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10- Les bulles de vide et la matière

vendredi 16 mai 2008, par Robert Paris

A lire aussi : quelles relations entre matière et vide

Les étoiles ne naissent pas seules. Elles se regroupent en galaxies. Les galaxies ne naissent pas seules. Elles se groupent en amas et les amas sont groupés en superamas. Par contre, il n’y a pas de super superamas. Ce serait dû à une durée de vide de notre univers. En lumière visible, l’espace entre les galaxies d’un amas ou d’un groupe semble "vide". En fait, il est rempli de gaz très chaud (10 millions de degrés) qui brille en lumière X.
On peut dire que la gravitation est responsable de cette tendance à « groupir » de la matière ou, inversement, interpréter la matière comme le produit d’une pression du vide.

La naissance des galaxies

Beaucoup de vide et très peu de matière

Une répartition fractale de la matière dans l’espace

Des galaxies rattachées en filaments

Ces galaxies naissent autour des bulles de vide

Amas de galaxies

Des structures à toutes les échelles

L’idée que nous développons ici, selon laquelle la matière s’ordonne dans l’espace aux limites de bulles de vide, n’est pas vraiment nouvelle. Cependant, elle avait d’abord été rejetée et ce n’est que récemment qu’elle a été reprise et acceptée par les scientifiques.

La matière a une tendance à se concentrer appelée gravitation mais elle a également une tendance à grande échelle à s’éloigner appelée expansion et une tendance à petite échelle à se repousser principe de Pauli. Il en résulte que la matière est organisée, structurée en niveaux avec à l’intérieur et autour de ces niveaux de structure : du vide.

Les superamas, les amas, les galaxies, les étoiles et leurs sytèmes solaires sont des niveaux.

Une galaxie est un ensemble d’étoiles, de poussières et de gaz interstellaires dont la cohésion est assurée par la gravitation.
La galaxie à laquelle appartient le système solaire est la Voie Lactée. La galaxie la plus proche de la Voie Lactée, Andromède, est située à 2,3 millions d’années-lumière. Notre galaxie possède toutefois deux petites galaxies satellites, le Grand et le Petit Nuage de Magellan, situés respectivement à environ 150 000 et 200 000 années lumière.
Les regroupements de galaxies que l’on observe dans l’Univers sont appelés amas et superamas.
Les galaxies présentent une grande diversité de taille (entre 2000 et 500 000 années-lumière de diamètre) et de forme. On distingue des galaxies elliptiques, des galaxies spirales, des galaxies lenticulaires, alors que d’autres ont des formes irrégulières. Le rayonnement provenant des galaxies permet de répartir ces dernières en galaxies normales et galaxies actives, parmi lesquelles les quasars.
Les galaxies spirales comme la Voie Lactée sont les plus nombreuses. Elles ont en fait la forme d’un disque en rotation autour de son centre, le noyau ou bulbe, très dense, entouré d’un halo, peu dense. Le disque se prolonge fréquemment par un ou deux bras spiralés, composés d’étoiles, de poussières et de gaz.
D’après les théories de la formation stellaire, les étoiles, que l’on compte par centaines de milliards au sein des galaxies, sont façonnées par la condensation de nuages moléculaires de gaz. Ce phénomène tend à raréfier ce gaz dans le milieu interstellaire au cours de l’évolution des galaxies. Le gaz est quasiment absent dans les galaxies anciennes, situées au confins de l’Univers observable. Les positions et les trajectoires des étoiles dépendent de la classe à laquelle elles appartiennent.

Amas de galaxies Cl 0024+17.

Un superamas est une grande concentration de centaines ou de milliers de groupes de galaxies. Les Superamas ont une taille variant entre 100 et 500 millions d’années lumière et sont généralement inclus dans de vastes feuillets et murs de galaxies entourant de grands vides dans lesquels on ne trouve que peu de galaxies. Les superamas se sont formés dans l’univers primordial lorsque la matière s’est regroupée sous l’influence de la gravitation.

Dans l’espace, on trouve de grands vides sphériques ayant des diamètres d’un grand nombre d’années-lumière. A l’intérieur des limites de ces bulles, on observe des filaments denses dans lesquels résident les galaxies et aux nœuds les amas de galaxies.

Ce n’est pas seulement la forme de l’Univers qui est posée ni seulement la position des concentrations de matière les unes par rapport aux autres. cela pose en fait la signification de la matière dont on sait déjà qu’elle est un produit du vide. La matière est en effet produite aux interstices des bulles de vide. la gravitation pourrait bien n’être que le produit d’une somme de pressions des bulles de vide....

"Les études et observations récentes montrent que les amas et superamas ne sont pas disposés au hasard : l’univers aurait une structure en "éponge" ou en "nid d’abeille" : il serait constitué de "bulles " pratiquement vides de 100 Megaparsecs (300 milliards d’années-lumière) de diamètre, les galaxies et amas de galaxies se trouvant à la frontière de ces bulles, regroupés en "filaments" ou "murs" ou "parois". On trouverait alors les superamas aux intersections entre les filaments."

Bertrand Lemasle

"Vers un univers non homogène

"Quels que soient les succès remportés par la cosmologie observationnelle, il est difficile de ne pas être frappé par une profonde contradiction. La description de l’Univers conduisant aux modèles de Friedmann et toutes les conclusions qu’on en tire concernant les relations entre les observables sont fondées sur le principe cosmologique d’homogénéité et d’isotropie. A très grande échelle (au-delà du gigaparsec), sans doute les observations vont-elles dans le sens de ce principe. Mais nous avons vu à quel point, à plus petite échelle, l’Univers réel diffère de cette idéalisation. Hétérogène, structurée, hiérarchisée, la distribution de la matière jusqu’à plusieurs centaines de mégaparsecs semble bien loin de l’homogénéité supposée. (...) Pour obtenir les modèles de Friedmann-Robertson-Walker, on remplace la distribution effective de la matière par un fluide continu. mais quoi de plus discontinu que la structure de l’Univers, faite d’étoiles se regroupant en galaxies, les galaxies en amas, les amas et les groupes en superamas, "crêpes", filaments, grandes structures. (...) Or, lorsque furent mesurés les décalages spectraux (donc les distances via la loi de Hubble) des galaxies observées entre ces amas, on s’aperçut que, loin de se distribuer au hasard, ces galaxies s’organisaient en vastes ponts reliant les amas, laissant libres de gigantesques vides. De grands vides : voilà peut-être la structure dominante de l’univers ! Tout se passe comme si les galaxies se distribuaient sur les parois d’une structure cellulaire, comme si le vide n’était pas là où il n’y a pas de matière mais plutôt la matière là où il n’y a pas de vide."

Laurent Nottale dans "L’Univers et la lumière"

Carte de l’univers à un milliard d’années-lumière de la Terre montrant les vides et superamas locaux.

« Il existe des étoiles, rassemblées en galaxies, elles-même constituant une structure à grande échelle. Certains galaxies se rassemblent elles-mêmes en amas d’un millier d’individus. On avait cru au début que ceci se poursuivrait à une échelle supérieure et lancé l’idée d’existence de superamas, d’amas d’amas.
...L’observation a révélé quelque chose de totalement différent. En fait les galaxies se distribuent en formant ce qu’on pourrait appeler des "bulles de savon jointives". Les amas de galaxies ne sont que les "nœuds" d’une telle distribution. Ci-après, le résultat du dépouillement des observations (1977). ...Ainsi les galaxies se distribuent, à très grande échelle (Very Large Structure) autour de grandes bulles de vide dont le diamètre caractéristique est de l’ordre de la centaine de millions d’années-lumière. »

Jean-Pierre Petit

Pierre Chastenay de Montréal décrit l’état des recherches dans le même domaine :

"Complètes ou non, les cartes de Geller et Huchra sont fascinantes. À première vue, on distingue nettement les régions vides et les filaments, qui sont probablement des coupes transversales à travers la surface et l’intérieur de gigantesques bulles vides. La ressemblance et la continuité des formes d’une tranche à l’autre montrent bien qu’on a affaire à une structure tridimensionnelle. La taille même de ces structures défie l’imagination : les régions vides ont un diamètre moyen de 160 millions d’années-lumière !"

Pierre Chastenay :

« [...] Elles ont toutes révélé des structures faites de filaments et de murs, entourant des régions dépourvues de galaxies. Comme si l’univers à grande échelle ressemblait à un enchevêtrement de bulles de toutes tailles. Se pourrait-il que les galaxies et les amas se concentrent vraiment à la surface et aux intersections de ces gigantesques bulles ? »

Chastenay, Pierre, La science pour tout le monde

"Les analyses détaillées de Geller, Huchra et Lapparent ont confirmé que les galaxies étaient réparties à la surface de gigantesques bulles vides atteignant 100 millions d’années-lumière de diamètre."

Collectif, Les énigmes du cosmos, Éditions Time-Life, 1990
La formation des galaxies

Site : Matière et révolution

www.matierevolution.fr

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Qu’est-ce que le vide ?

Structure de la matière et du vide

Petite chronologie des relations tumultueuses de la matière et du vide

- - - - - - - - - - - - - - - - - Une image de l’univers - - - - - - - - - - - - -

Les galaxies, le film

Naissance, vie et mort des étoiles, le film

Qu’est-ce que la gravitation ?

L’univers est constitué d’objets visibles observables, c’est à dire : gaz, poussières, nébuleuses, galaxies, particules, mais aussi de constituants non observables.
Le reste serait de la matière noire et de l’énergie noire.
Environ 5 % de sa masse totale serait l’univers observable, 25% serait de la matière noire et 70% de l’énergie noire. Le modèle ΛCDM (Standard Cold Dark Matter) décrit un modèle cosmologique représentant un univers homogène et isotrope, dont la courbure spatiale est nulle et qui contient, en plus de la matière ordinaire, de la matière noire et de l’énergie noire. Ce modèle est à la base du modèle standard de la cosmologie.
Les amas de galaxies sont les plus grandes structures observables de notre Univers. Ils sont constitués de centaines de galaxies, liées ensemble par leur propre attraction gravitationnelle.
Entre les galaxies on y trouve de la matière constituée de gaz chaud, formant un plasma, dont la température atteint 10 à 100 millions de degrés.
Ce plasma est un fort émetteur de rayons X.
De l’analyse spectrale de ces rayons X on en déduit la température de l’amas et sa dynamique.
Les amas de galaxies se forment aux croisements des filaments qui composent cette toile d’araignée cosmique.

L’Univers est constitué de matière répartie le long de ses immenses filaments entre lesquels se trouvent de vastes bulles vides de matière.
La matière s’écoule le long des filaments et converge vers les nœuds de la toile pour former des groupes, puis des amas de galaxies. Les amas de galaxies ne sont pas constitués que de galaxies, ils sont remplis de gaz extrêmement chaud (10-100 millions de degrés) et de faible densité (1000 particules/m3).
Ce gaz est distribué de façon beaucoup plus diffuse et étendue que les galaxies. Il remplit l’espace entre les galaxies et représente une masse bien plus importante que les galaxies elles-mêmes.
A ces températures, le gaz est totalement ionisé, il s’agit d’un plasma.


A lire également sur la thèse de Linde :

La production et la transmission de la masse dans le vide

Les univers bulle

L’inflation chaotique

Le vide chaotique

Pour mesurer l’évolution de l’expansion de l’univers, la méthode employée a été la mesure du décalage vers le rouge, dû à la vitesse d’éloignement, des raies de l’émission des supernova appelées « chandelles standard ». Celles-ci sont le produit d’un phénomène d’explosion d’étoile naine blanche couplée à une autre étoile dont elle absorbe de la matière. Arrivée à un certain seuil d’absorption, la naine blanche explose avec un niveau fixe et connu de luminosité intrinsèque. La luminosité mesurée de la supernova permet de connaître sa distance. Les distances mesurées de ces supernova démontrent qu’elles s’éloignent plus vite que prévu. Cette accélération de l’expansion de l’univers a également été vérifiée en mesurant les vitesses de 10.000 galaxies au laboratoire européen VLT du Chili. En 2000 puis en 2003, les expériences Boomerang et Wnap montraient que l’expansion de l’univers accélère. C’était le contraire de ce que laissait présager l’ancienne manière de voir du Big Bang. L’expansion serait ainsi une interaction opposée à la gravitation : une pression négative. Pour certains physiciens, l’énergie inconnue jusque là qui produirait cet effet, appelée énergie noire, serait un effet de la constante cosmologique d’Einstein. Selon d’autres physiciens, il s’agirait de l’énergie du vide quantique.
L’existence d’immenses bulles de vide pourrait bien permettre de comprendre le fonctionnement de l’univers, et notamment son expansion. En effet, on remarque d’abord que la répartition de la matière n’est pas celle que l’on imaginait : une densité uniforme, régulière et homogène dans tout l’espace. Au contraire, la matière est concentrée dans des zones : galaxies composés d’un grand nombre d’étoiles, ces galaxies elles-mêmes jointes avec des filaments de matière. Les étoiles naîtraient aussi bien dans les galaxies que dans ces filaments. En fait, l’espace ce sont des bulles de vide qui sont entourées par ces filaments avec des galaxies aux nœuds de ce réseau.
Fin août 2007, une immense zone ‘« vide » a été découvert dans la constellation de l’Eridan. Sa taille ? Un milliard d’années-lumière ! Cette découverte faite par l’université du Minnesota découle de l’étude des données du relevé NVSS.
La bizarrerie de cette zone avait été relevée en 2004 avec un « trou » dans la même zone au sein de l’image du rayonnement cosmique de fond : une « tâche froide ». Cette immense zone aurait une totale carence de galaxies.
Il semble bien que notre univers soit structuré autour de ses « vides ». Les autres univers seraient d’autres bulles de vide encore. Une structure hiérarchique de différents niveaux de vide en somme !

Comme une éponge....

La nature : des petits trous, des petits trous, encore des petits trous, de toutes les tailles ...


Texte tiré d’internet :

Notre univers est-il né à partir du vide ?

Le satellite WMAP vient de livrer, il y a quelques semaines, ses premières images extraordinairement précises du bruit de fond thermique de l’Univers tel qu’il était seulement 400000 ans après le Big Bang. En étudiant la taille et la répartition de ces fluctuations thermiques les scientifiques ont obtenu des informations fondamentales sur notre Univers. Premièrement, l’âge de l’Univers peut être calculé avec une précision sans précédent (1 %). Cet âge est de 13,8 milliards d’années. Ces images confirment en outre que l’Univers est "plat" à grands échelle et qu’il va donc continuer son expansion sous l’effet d’une énergie inconnue, la mystérieuse "énergie sombre", qui représente 73 % de l’Univers (le reste étant composé par la "matière noire", 23 %, et notre matière "ordinaire, seulement 4 %) et s’oppose à l’effet de la gravitation. En observant des supernovae très lointaines, à la fin de l’année 1998, une équipe internationale de chercheurs avait déjà calculé que non seulement l’Univers est en expansion, mais qu’il connaîtrait une phase d’accélération depuis environ 4 milliards d’années ! La fameuse constante cosmologique, imaginée par Einstein au début du siècle, pourrait expliquer ce phénomène remarquable. Cette constante représenterait "l’énergie du vide", ou "l’énergie sombre" dont la force serait de sens opposé à la force gravitationnelle. Ces observations récentes ne nous proposent pas seulement une nouvelle description de l’Univers, et une nouvelle vision de son évolution, mais elles accélèrent la remise en cause théorique du modèle "standard" actuel qui explique la naissance de notre Univers par le Big Bang. Le Big Bang pose en effet des problèmes scientifiques et métaphysiques considérables. On ne peut notamment échapper à ces deux interrogations fondamentales : pourquoi le Big Bang a t’il eu lieu et qu’avait-il "avant" ? Enseignant à l’université de Stanford depuis 1990, Andrei Linde, un des plus grands cosmologistes de notre temps, a formulé en 1982 une nouvelle théorie de l’univers qui se veut une "amélioration" du modèle du Big Bang (l’explosion initiale à l’origine de la création de l’univers). Linde critique la théorie du Big Bang pour les nombreux problèmes physiques et philosophiques qu’elle soulève. Il considère notamment que les équations physiques qui déterminent le Big Bang prédisent un univers beaucoup plus petit qu’il ne l’est en réalité et que le modèle théorique n’explique pas pourquoi les différentes régions de l’univers se ressemblent et les lointaines galaxies sont distribuées de façon aussi uniforme dans toutes les directions au sein de l’univers. Sur ce dernier point, il semblerait que les fameux trous noirs aient joué un rôle fondamental pour rassembler les milliards d’étoiles et les organiser en galaxies grâce à la gravité (voir sur ce point précis l’article sur les trous noirs dans notre rubrique espace). C’est pourquoi Linde propose la théorie d’un univers auto-reproducteur et à très forte croissance (self-reproducing inflationary universe) qu’il a modélisé grâce à des simulations sur ordinateur. Selon lui, la croissance de l’univers à son origine aurait été extrêmement rapide et aurait obéi à un modèle d’"inflation chaotique". Alors que la théorie classique du Big Bang décrit un univers semblable une bulle de savon se gonflant graduellement, la théorie de Linde décrit un univers semblable à une bulle qui produirait des bulles identiques, et ainsi de suite. L’univers décrit par Linde enfanterait de nouveaux univers par auto-reproduction et selon une arborescence empruntée aux mathématiques fractales découverte par Benoit Mandelbrot. Pour le physicien russe Andrei Linde, il faudrait imaginer l’univers comme un ensemble de bulles intereliées qui se développent de manière fractale (chaque partie du tout ressemble au tout). Il y aurait donc eu création d’un univers à partir duquel plusieurs bulles se seraient formées de façon indépendante. Ces nouvelles bulles seraient en fait des points de l’univers qui seraient entrés en expansion en eux-mêmes, sans affecter l’univers originel. Chacun de ces univers aurait ses propres lois de la physique et pourrait donner naissance à d’autres univers, et ainsi de suite. Ce mécanisme donnerait lieu à un univers auto-reproducteur éternel et infini dans le temps et dans l’espace. Le modèle de Linde est à la fois très audacieux et très novateur car il dépasse le problème de l’origine du Big Bang et se situe dans un nouveau cadre théorique qui intègre la relativité générale et la physique des particules (théorie quantique des champs et théorie des interactions fondamentales) pour obtenir un cadre explicatif plus général. Ce nouveau cadre, appelé "quintessencence" par certains physiciens, est fascinant car il ouvre la possibilité mathématique et physique d’une création ex nihilo, à partir de fluctuations du vide quantique. Dans le monde quantique, les objets (particules, ondes ou champs) ne peuvent jamais être au repos absolu. Ils restent toujours dans un état de vibration résiduelle. Ainsi, le vide, ne doit plus être considéré comme un néant ou une absence totale de matière et d’énergie mais comme un champ d’énergie à son niveau minimal. Dans ce cadre théorique, les particules deviennent des émanations de ce champ. Leurs disparitions et apparitions sont la manifestation des fluctuations du champ quantique fondamental. L’expansion de l’espace induit l’excitation du champ, et donc la création de particules. Cette expansion de l’Univers apparaît donc comme un réservoir d’énergie interne. Le processus ne consomme globalement aucune énergie, puisque celle-ci est simplement "transvasée" du contenant géométrique vers le contenu matériel, le champ quantique. Le plus étonnant c’est que ce processus peut s’enclencher quel que soit l’état quantique du champ au départ, même si c’est l’état de vide. La préexistence de particules matérielles n’est pas nécessaire pour amorcer la création d’autres particules. Linde s’appuie sur ce nouveau cadre théorique pour proposer son modèle cosmologique d’univers auto-reproducteur et auto-accélérateur. Dans ce scénario cosmologique, la singularité du Big Bang se voit remplacée par un détonateur physique, qui n’est autre qu’une instabilité du vide. En la présence, inévitable, de la gravitation, le système passe nécessairement d’un vide quantique instable à un Univers en expansion et empli de matière, selon un processus qui s’entretient tout seul et qui ne coûte rien du point de vue énergétique. Dans ce fascinant scénario que nous propose Linde, tout se passe comme si la matière et l’espace-temps courbe, d’une part, et le vide, d’autre, part n’étaient que deux phases distinctes, mais énergiquement équivalentes d’un seul et même substrat. Tous les objets contenus dans l’univers, y compris nous-mêmes, ne seraient finalement qu’une forme cristallisée du vide. Dans le modèle de Linde notre univers ne serait donc qu’une infime partie d’un "multivers" qui n’aurait ni commencement, ni fin et serait éternel.


Dans "Prédire n’est pas expliquer", de René Thom

« Les singularités apparaissent lorsque l’on soumet en quelque sorte l’espace à une contrainte. La manche de ma veste, si je la comprime, je fais apparaître des plis. C’est une situation générale. Cela ne relève pas de la mécanique des matériaux. J’énonce en réalité un théorème abstrait : lorsqu’un espace est soumis à une contrainte, c’est-à-dire lorsqu’on le projette sur quelque chose de plus petit que sa propre dimension, il accepte la contrainte, sauf en un certain nombre de points où il concentre, si l’on peut dire, toute son individualité première. Et c’est dans la présence de ces singularités que se fait la résistance. Le concept de singularité, c’est le moyen de subsumer en un point toute une structure globale. »

Le superamas de Persée-Poissons est le plus évident de notre ciel, mais il se trouve également à côté du vide le plus spectaculaire. Le vide du Taureau est un grand vide circulaire bordé de murs de galaxies de chaque côté. Le vide a un diamètre d’environ 100 millions d’années lumière. La plupart des galaxies portées sur la carte dans la région du vide sont en fait des galaxies d’arrière-plan qui se trouvent en dehors du vide.

Superamas du Centaure

Simulation de la formation des superamas et des filaments interamas galactiques (pour le film, cliquez sur l’icône au dessus)

UNE GRANDE SIMILITUDE ....... DE l’UNIVERS AU SYSTEME NERVEUX ......

"De nos jours, la matière n’est pas distribuée uniformément partout dans l’espace, mais est arrangée au lieu de cela dans un complexe "tissu cosmique” de filaments et de murs délimitant des bulles de vide. Des régions avec des concentrations élevées de galaxies sont connues comme des amas de galaxies tandis que des régions de faible densité sont dénommées vides. Cette distribution non homogène de matière est appelée la distribution à Grande Echelle de l’Univers. Lorsque l’Univers est considéré dans son ensemble cette distribution a une apparence similaire au réseau de neurones du cerveau." PGJ Astronomie

2dF Galaxy Redshift Survey, pour l’anglais Two degree field (« champ de deux degrés ») est un catalogue de galaxies réalisé par l’observatoire anglo-australien (AAO). Il a été réalisé sur une période de cinq ans, de 1997 à 2002, et les données obtenues ont été rendues publiques le 30 juin 2003. Les responsables du projet étaient Steve Maddox et John Peacock. Il s’agit du second plus grand relevé, tant en volume qu’un nombre d’objets recensés, derrière le Sloan Digital Sky Survey.

CONCLUSIONS :

Concluons par quelques questions :

 Est-ce que l’expansion ne serait rien d’autre que l’accroissement de taille des bulles de vide ?

 Est-ce que cette structure en forme d’éponge est le produit d’un mouvement de la matière qui s’assemblerait le long des filaments puis des nœuds ou une déformation de l’espace-temps où le temps s’écoulerait plus vite près des masses et de plus en plus vite plus la masse s’y assemble ?

 Est-ce que la gravitation ne serait pas autre chose que la pression exercée par les bulles de vide ?

Big Bang ou pas Big Bang ?

Qu’est-ce que la gravitation ?

Un univers en bulle savon, le film

« Il existe des étoiles, rassemblées en galaxies, elles-même constituant une structure à grande échelle. Certains galaxies se rassemblent elles-mêmes en amas d’un millier d’individus. On avait cru au début que ceci se poursuivrait à une échelle supérieure et lancé l’idée d’existence de superamas, d’amas d’amas.
...L’observation a révélé quelque chose de totalement différent. En fait les galaxies se distribuent en formant ce qu’on pourrait appeler des "bulles de savon jointives". Les amas de galaxies ne sont que les "nœuds" d’une telle distribution. Ci-après, le résultat du dépouillement des observations (1977). ...Ainsi les galaxies se distribuent, à très grande échelle (Very Large Structure) autour de grandes bulles de vide dont le diamètre caractéristique est de l’ordre de la centaine de millions d’années-lumière. »
Comment interviennent ses univers jumeaux dans ce processus ?
Instabilités gravitationnelles conjointes.
...C’est l’analogue de la théorie de Jeans, mais avec deux populations auto-attractives, qui se repoussent mutuellement.
Lorsqu’un grumeau se forme dans l’un des feuillets, ce phénomène va de pair avec la naissance d’une bulle de vide dans l’autre.
...Qualitativement, la ghost matter mène le jeu. Elle donne naissance à des conglomérats, assez rapidement (son temps d’accrétion, inversement proportionnel à la racine carré de la
densité est plus court). Ces conglomérats chassent alors notre propre matière dans l’espace résiduel en lui donnant ainsi sa configuration lacunaire. ...L’intérêt est que cette distribution est alors stable. Les grumeaux de ghost matter stabilisent la distribution lacunaire matière et, inversement, celle-ci emprisonne ces grumeaux dans ses "mailles". Ceci expliquerait la grande stabilité obtenue (de l’ordre de l’âge de l’univers).Les ’mailles" de matière feraient alors office de barrière de potentiel vis à vis des éléments de ghost matter, issus des conglomérats et accélérés lors de collisions
..Un tel système devrait donner lieu à des "observables", non que ces grumeaux de ghost matter soient optiquement détectables : pour des raisons d’ordre géométrique ils ne le sont pas. Mais ils devraient modifier l’arrière-plan, par effet de lentille gravitationnelle.
...Nous avons vu qu’une concentration de matière M* (correspondant à des masses positives m*), située dans l’univers jumeau, dans le ghost universe, produisait, dans notre propre feuillet un effet de lentille gravitationnelle négatif (negative lensing)
Vers une théorie de la naissance des galaxies.
. ».Il s’agit d’un scénario nouveau dont il convient d’en explorer toutes les implications. Toute la difficulté, non actuellement résolue, est de traiter tout en même temps. On ne peut pas dissocier le phénomène de l’expansion cosmique et la naissance des différentes structures. Pour le moment, on ne sait pas gérer les deux à la fois. « 
Une explication du confinement des galaxies.
.. ».On obtient donc un schéma où de la matière fantomatique exercerait une contre pression sur la galaxie, assurant son confinement. C’est une alternative à l’idée de la présence de dark matter en son sein. »

Jean Pierre Petit

Galaxies en surface de l’écume du vide

Atome : rétroaction de la matière/lumière et du vide (de la microphysique à l’astrophysique)

* 01- Les contradictions des quanta

* 02- La matière, émergence de structure au sein du vide

* 03- Matière et lumière dans le vide

* 04- Le vide, … pas si vide

* 05- Le vide destructeur/constructeur de la matière

* 06- La matière/lumière/vide : dialectique du positif et du négatif

* 07- La construction de l’espace-temps par la matière/lumière

* 08- Lumière et matière, des lois issues du vide

* 09- Matière noire, énergie noire : le chaînon manquant ?

* 10- Les bulles de vide et la matière

* 11- Où en est l’unification quantique/relativité

* 12- La symétrie brisée

* 13- Qu’est-ce que la rupture spontanée de symétrie ?

* 14- De l’astrophysique à la microphysique, ou la rétroaction d’échelle

* 15- Qu’est-ce que la gravitation ?

* 16- Big Bang ou pas Big Bang ?

* 17- Qu’est-ce que la relativité d’Einstein ?

* 18- Qu’est-ce que l’atome ?

* 19- Qu’est-ce que l’antimatière ?

* 20- Qu’est-ce que le vide ?

* 21- Qu’est-ce que le spin d’une particule ?

* 22- Qu’est-ce que l’irréversibilité ?

* 23- Qu’est-ce que la dualité onde-corpuscule

* 26- Le quanta ou la mort programmée du continu en physique

* 25- Lumière quantique

* 26- La discontinuité de la lumière

* 27- Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

* 28- Les discontinuités révolutionnaires de la matière

* 30- Qu’est-ce qu’un système dynamique ?

* 31- Qu’est-ce qu’une transition de phase ?

* 32- Quelques notions de physique moderne

* 33- Qu’est-ce que le temps ?

* 34- Henri Poincaré et le temps

* 35- La physique de l’état granulaire

* 36- Aujourd’hui, qu’est-ce que la matière ?

* 37- Qu’est-ce que la rupture de symétrie (ou brisure spontanée de symétrie) ?

* 38- Des structures émergentes au lieu d’objets fixes

* 39- Conclusions provisoires sur la structure de la matière

* 40- L’idée du non-linéaire

*41- Univers fractal

*42- Qu’est-ce qu’un photon ?

*43- Physique quantique et philosophie

Hors du site :

Structures de l’Univers à grande échelle

A lire :

BERNARDEAU F. & MELLIER Y. : Quand l’Univers fait des bulles... Sciences & Avenir hors-série, n° 112 , pp. 72 - 75. Novembre 1997.

Michel Cassé dans « Dictionnaire de l’ignorance » :

« Le niveau de description ultime susceptible de fonder la singularité du vide est la théorie quantique des champs, qui combine les concepts de la relativité restreinte et ceux de la physique quantique. (…) le vide y est le ciment permanent de l’univers, les particules en jaillissent et y replongent comme des poissons volants, non sans servir de monnaie d’échange entre les particules stables et durables qui donnent sa chair au monde, et qui proviennent d’ailleurs elles-mêmes de la pulvérisation du vide primordial. (…) Les particules virtuelles (du vide quantique) sont si fugitives qu’elles sont comme si elles n’étaient pas. Les particules « réelles » et « virtuelles » sont tout aussi existantes les unes que les autres, mais les dernières disparaissent avant même qu’on puisse les observer. (…) Les termes de « fluctuation du vide » et « particules virtuelles » sont équivalents dans la description, le premier appartenant au langage des champs, le second à celui des particules. (…) Les fluctuations électromagnétiques, et donc les photons virtuels qui en sont la contrepartie dans le langage des particules, furent mises en évidence dès 1940, par la mesure du décalage des raies spectrales de l’hydrogène (Lamb shift) dû à un très léger changement des niveaux d’énergie de l’atome correspondant, et par la découverte d’une minuscule attraction entre deux plaques conductrices (effet Casimir). (…) Le vide se peuple d’une invisible engeance. L’inventaire du moindre centimètre cube d’espace frappe de stupeur : les paires électron-positon (+ et -) côtoient toute une faune de quanta. Les paires électron-positon virtuelles, en dépit de leur faible durée de vie, s’orientent dans le champ électrique des charges électriques présentes et modifient leurs effets. Océan de particules virtuelles, on peut s’étonner de voir encore à travers le vide, tant il est poissonneux En lui s’ébattent tous les photons, bosons intermédiaires et gluons nécessaires à la transmission des forces qui charpentent, coordonnent et organisent le monde. Les particules furtives qui émergent du vide et s’y précipitent aussitôt relient entre elles les particules stables et durables de la matière, dites particules réelles (quarks et leptons). (…) Le vide, à la différence de la matière et du rayonnement, est insensible à la dilatation car sa pression est négative. Ceci provient de la relation : pression = opposé de la densité d’énergie qui lui confère son invariance relativiste. La pression négative engendre une répulsion gravitationnelle. De fait, si la gravitation freine l’expansion de l’univers, l’antigravitation ne peut que l’accélérer.

Le vide est écarteur d’espace et créateur de matière

(…) La création de matière (via la lumière) est le fruit de la transmutation du vide indifférencié en entités physiques distinctes. Il y a là une chaîne physique de la genèse : Vide -> Lumière -> Matière et Antimatière. Le vide est une composante de l’univers, distincte de la matière ordinaire et du rayonnement. Vide, rayonnement et matière diffèrent par leur équation d’état (relation entre densité et pression pour le fluide considéré), laquelle influe sur l’expansion de l’univers et est influencée par elle, par le biais des transitions de phase. (…) Sa rage savonneuse à s’étendre indéfiniment, l’univers la tiendrait du vide. Le vide a enflé sa bulle. (…) Il y a autant de vides que de champs. (…) Chaque restructuration profonde, ou brisure de symétrie, modifie l’état du vide. Inversement, chaque modification de l’état du vide induit une brisure de symétrie. L’évolution de l’univers procède ainsi par brisures de symétrie successives qui se soldent par des transitions de phase, lesquelles bouleversent l’apparence globale du cosmos. »

L’astrophysicien Cassé écrit dans « Du vide et de la création » : « Au centre de la nuée du virtuel est encore un virtuel, d’ordre plus élevé. Et ces électrons et positons doublement virtuels s’entourent eux-mêmes de leur propre nuage de corpuscules virtuels, et cela ad infinitum. (…) L’image quantique qui en résulte est un électron (…) protégé par des rangs successifs de photons virtuels (…) L’électron n’est plus l’être simple qu’il était. (…) Il s’habille de vide fluctuant. De même, chaque proton est dépeint comme un microcosme concentrique où s’étagent les différents niveaux de virtualité. Au centre est la particule réelle, sa garde rapprochée est constituée par des particules et antiparticules les plus massives (énergétiques) et donc les plus éphémères, bosons W et Z, paires proton-antiproton et photons gamma. Le second cercle contient les couples positon-électron et les photons de 1 MeV environ. A la périphérie flottent les photons d’énergie déclinante. Chaque particule virtuelle, comme précédemment, s’entoure de son cosmos virtuel et chacune à son tour fait de même et cela indéfiniment. Le vide est constitué d’un nuage virtuel flottant de manière aléatoire. L’activité frénétique autour du moindre électron, du moindre proton, nous éloigne à jamais de l’image paisible que la plupart des philosophes attribuent au mot « vide ». »

Jean-Pierre Petit :

« Il existe des étoiles, rassemblées en galaxies, elles-même constituant une structure à grande échelle. Certains galaxies se rassemblent elles-mêmes en amas d’un millier d’individus. On avait cru au début que ceci se poursuivrait à une échelle supérieure et lancé l’idée d’existence de superamas, d’amas d’amas.

...L’observation a révélé quelque chose de totalement différent. En fait les galaxies se distribuent en formant ce qu’on pourrait appeler des "bulles de savon jointives". Les amas de galaxies ne sont que les "nœuds" d’une telle distribution. Ci-après, le résultat du dépouillement des observations (1977). ...Ainsi les galaxies se distribuent, à très grande échelle (Very Large Structure) autour de grandes bulles de vide dont le diamètre caractéristique est de l’ordre de la centaine de millions d’années-lumière. »
Comment interviennent ses univers jumeaux dans ce processus ?
Instabilités gravitationnelles conjointes.

...C’est l’analogue de la théorie de Jeans, mais avec deux populations auto-attractives, qui se repoussent mutuellement.

Lorsqu’un grumeau se forme dans l’un des feuillets, ce phénomène va de pair avec la naissance d’une bulle de vide dans l’autre.

...Qualitativement, la ghost matter mène le jeu. Elle donne naissance à des conglomérats, assez rapidement (son temps d’accrétion, inversement proportionnel à la racine carré de la
densité est plus court). Ces conglomérats chassent alors notre propre matière dans l’espace résiduel en lui donnant ainsi sa configuration lacunaire. ...L’intérêt est que cette distribution est alors stable. Les grumeaux de ghost matter stabilisent la distribution lacunaire matière et, inversement, celle-ci emprisonne ces grumeaux dans ses "mailles". Ceci expliquerait la grande stabilité obtenue (de l’ordre de l’âge de l’univers).Les ’mailles" de matière feraient alors office de barrière de potentiel vis à vis des éléments de ghost matter, issus des conglomérats et accélérés lors de collisions.

Un tel système devrait donner lieu à des "observables", non que ces grumeaux de ghost matter soient optiquement détectables : pour des raisons d’ordre géométrique ils ne le sont pas. Mais ils devraient modifier l’arrière-plan, par effet de lentille gravitationnelle.

...Nous avons vu qu’une concentration de matière M* (correspondant à des masses positives m*), située dans l’univers jumeau, dans le ghost universe, produisait, dans notre propre feuillet un effet de lentille gravitationnelle négatif (negative lensing)

Vers une théorie de la naissance des galaxies.

Il s’agit d’un scénario nouveau dont il convient d’en explorer toutes les implications. Toute la difficulté, non actuellement résolue, est de traiter tout en même temps. On ne peut pas dissocier le phénomène de l’expansion cosmique et la naissance des différentes structures. Pour le moment, on ne sait pas gérer les deux à la fois.

Une explication du confinement des galaxies.

.. ».On obtient donc un schéma où de la matière fantomatique exercerait une contre pression sur la galaxie, assurant son confinement. C’est une alternative à l’idée de la présence de dark matter en son sein. »

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Messages

  • Un superamas est une grande concentration de centaines ou de milliers de groupes de galaxies. Les Superamas ont une taille variant entre 100 et 500 millions d’années lumière et sont généralement inclus dans de vastes feuillets et murs de galaxies entourant de grands vides dans lesquels on ne trouve que peu de galaxies. Les superamas se sont formés dans l’univers primordial lorsque la matière s’est regroupée sous l’influence de la gravitation.

    Dans l’espace, on trouve de grands vides sphériques ayant des diamètres d’un grand nombre d’années-lumière. A l’intérieur des limites de ces bulles, on observe des filaments denses dans lesquels résident les galaxies et aux nœuds les amas de galaxies.

  • Est-ce que l’expansion ne serait rien d’autre que l’accroissement de taille des bulles de vide ?

    Est-ce que cette structure en forme d’éponge est le produit d’un mouvement de la matière qui s’assemblerait le long des filaments puis des nœuds ou une déformation de l’espace-temps où le temps s’écoulerait plus vite près des masses et de plus en plus vite plus la masse s’y assemble ?

    Est-ce que la gravitation ne serait pas autre chose que la pression exercée par les bulles de vide ?

    • En astrophysique, la matière noire (ou matière sombre), traduction de l’anglais dark matter, désigne la matière apparemment indétectable, invoquée pour rendre compte d’effets inattendus, notamment au sujet des galaxies. Différentes hypothèses ont été émises et explorées sur la composition de cette hypothétique matière noire : gaz moléculaire, étoiles mortes, naines brunes en grand nombre, trous noirs, etc. Cependant, les observations (ou plutôt le manque d’observations directes) impliqueraient plutôt une nature non-baryonique, et donc encore inconnue, encore que l’on suppose fortement des super-partenaires tels que le neutralino (voir la page sur la supersymétrie). Ces particules exotiques sont regroupées sous le nom générique de WIMP, acronyme de l’anglais Weakly interacting massive particles.
      La matière noire représenterait pourtant une abondance au moins cinq fois plus importante que la matière baryonique, pour constituer de 83 %[1] à 90 %[2] de la densité totale de l’Univers observable[3], selon les modèles de formation et d’évolution des galaxies, ainsi que les modèles cosmologiques.!!!!!!!!!!!!
      la matière noire est celle que nous ne pouvons pas voir ?
      la matière n’est-elle pas seulement intéligible ?
      matière noire omniprésente ??
      peut-on parler de la sience sans la matière noire ?
      si la matière noire est indétectable par la lumière comment on arrive à la situer dans l’univers ??

    • Une autre hypothèse est que l’on ne doit pas raisonner seulement sur la matière durable mais aussi sur la matière virtuelle, celle qui est fugitive et peuple le vide entre les matières. Lire là dessus les chapitres de Sciences sur l’atome - paragraphes sur le vide

      Bonne lecture

  • Dans « L’univers et la matière » de Laurent Nottale :

    « Lorsque furent mesurés des décalages spectraux (dont les distances, via la loi de Hubble) des galaxies observées entre ces amas, on s’aperçut que, loin de se distribuer au hasard, ces galaxies s’organisaient en vastes ponts reliant les amas, laissant libres de gigantesques vice. De grands vides : voilà peut-être la structure dominante dans l’Univers ! Tout se passe comme si les galaxies se distribuaient sur les parois d’une structure cellulaire, comme si le vide n’était pas là où il n’y a pas de matière, mais plutôt la matière là où il n’y a pas de vide. Le premier des grands vides découvert en tant que tel fut celui de la constellation du Bouvier : les mesures des vitesses radiales en direction de cette région laissèrent libre de galaxies une zone quasi sphérique de plus de 50 Mpc de diamètre. D’autres vides du même type furent ensuite mis en évidence ; puis des sondages profonds de galaxies jusqu’à des décalages spectraux se rapprochant de 1 (mais dans des cônes très fins) confirmèrent l’existence systématique de vastes zones dépourvues de galaxies, sans que leur géométrie exacte puisse être précisée. »

  • Dans le sujet, bulles vides, on oublie souvent de parler du grand désert vide en direction de l’éridan. Avec 1 milliard d’années lumière de diamètre, il a tellement surpris tout le monde que l’on en parle plus.

    Voici un lien : http://fr.academic.ru/dic.nsf/frwiki/553783

    On peut mettre en parallèle cette approche sur la possibilité d’une symétrie sphérique par le physicien Jean-Philippe UZAN :

    http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=23795

    Le trou unique de l’éridan en serait le centre ?

  • Selon le modèle OSCAR, les bulles vides "matérialisant" le vide en expansion, sont elles-mêmes pavées de bulles enchevêtrées transparentes qui ne sont rien d’autre que des OSCARs ou Condensats macroscopiques de Bose-Einstein (BECM).

    La vision que l’on a de l’univers, volume "vide" = 10^4 pour "galaxies visibles" = 1 est erronée car en fait ces "vides" sont remplis de "galaxies noires". Cette idée fait d’ailleurs son chemin chez les astrophysiciens [1].

    Selon ce modèle, la partie visible d’une galaxie est au centre d’un enchevêtrement de BECM (R = 150 K.a.l) formant un halo 4 fois plus grand (4 x 50 K.a.l) qui a d’ailleurs été mesuré récemment par le biais d’une rétention de matière noire. Cette rétention (surdensité) est tout à fait expliquée dans le modèle OSCAR. Cette surdensité a été détectée à 155 K.a.l [2] c’est à dire 150 K.a.l après le bulbe (5 K.a.l) qui représente un cassure nette de densité de matière visible.
    Conformément aux prédictions de la première partie de mon article [3] et notamment parmi les 14 propriétés énoncées, on trouve que l’instabilité du BECM primordial le divise en BECM secondaires qui sont les galaxies + les BECM du vide.
    Parmi des dizaines de prédictions, on montre que les galaxies éjectent des BECM en surnombre + de la matière baryonique noire. On montre que la régulation globale (éjection vers le vide et rythme de l’expansion) est gouvernée par le jeu d’enchevêtrement et déchevêtrement des BECM. Cela explique que ces derniers conservent leurs constantes qui permettent (entre autres) de conserver la vitesse de la lumière.
    Les clés de la cause de la matière noire sont également fournies parmi les 14 propriétés du BECM, à savoir le potentiel continu d’annihilation à grande échelle. On ne compte plus les publications qui montrent clairement que les croisements de galaxies génèrent de la matière noire. C’est en fait la confirmation de la base fondatrice du modèle OSCAR.

    [1] http://www.google.fr/search?client=firefox-a&rlz=1R0GGLL_fr&channel=s&hl=fr&source=hp&q=VIRGOHI21&meta=&btnG=Recherche+Google
    [2] http://translate.google.fr/translate?hl=fr&langpair=en|fr&u=http://astro.berkeley.edu/~mwhite/darkmatter/essay.html
    [3] http://www.cosmologie-asa.com/

  • Je reviens sur le modèle dit "à croissance hiérarchique" des galaxies. Les américains sont friands de ce ce modèle alors que toutes les observations récentes montrent que les galaxies sont formées très vite et "entière".

    Ce qui me parait incroyable est que ce modèle utilise ce mot "à l’envers" comme si l’univers ressemblait à ces petits ruisseaux qui s’assemblent pour former un fleuve ! L’image logique est au contraire, de voir un tronc qui se divise en branches. Il est clair que l’idée des condensats (BEC) d’accrétion résout le principe de préformatage et le principe d’accélération d’accrétion. C’est bien ce qui est observé et qui le sera encore plus avec les moyens nouveaux mis à l’oeuvre.

  • Diego Lambas, chercheur à l’Université de Cordoba en Argentine et son équipe ont découvert de grands mouvements dans ces bulles de vide en explorant les données du grand relevé astronomique SDSS (Sloan Digital Sky Survey) et en comparant les 245 vides cosmiques identifiés avec des simulations numériques antérieures. Ils trouvent que ces grandes bulles de vides évoluent à des vitesses entre 300 et 400 km/s par rapport à leur vitesse standard d’expansion cosmique, soit plus vite, soit moins vite. Et ce sont les petites bulles qui régressent tandis que les grandes s’étendent.

    Les petites bulles de vide se trouvent être pour la plupart d’entre elles enfermées entre des zones de grande densité de matière, ce qui a pour effet gravitationnel de les faire se rapprocher entre elles et à terme disparaître. Les grandes bulles de vides quant à elles se situent plutôt entre des zones de relativement faible densité, et se retrouvent étirées par la gravité de leur environnement.

    Les très grandes structures de l’Univers ne se construisent pas seulement par la fusion des galaxies et des amas de galaxies, mais aussi par la fusion des bulles de vide. L’étude détaillée de l’évolution de ces vides, par exemple l’étude de leurs vitesses, doit pouvoir donner quantités d’informations très utiles, notamment du fait que par leur quasi absence de matière ordinaire ou noire, ces bulles de vide doivent connaître une physique très simple en étant dominées par l’énergie noire, qui est la cause de l’accélération de l’expansion cosmique et toujours mal comprise aujourd’hui.

  • De nouveaux travaux montrent que la vitesse d’expansion de l’Univers serait plus importante que celle déduite des observations des premiers instants après le big bang.

  • Bonjour Monsieur Robert.
    Je me présente : : Jean-François POULIQUEN né à Paris 11e le 150151.
    Je suis un amateur en science, et plus particulièrement des extrêmes des infinis et donc des physiques en général.
    Je suis retraité depuis 6 ans, d’un job d’ingénieur maison en informatique, et j’ai enfin eu les réponses que je me posais en étant petit, quand j’avais moins de 10 ans, comme c’est quoi le temps, la transparence, la gravitation, la sphéricité des objets, l’expansion de l’univers, la matière noire, les trous noirs, l’énergie sombre ou noire, les ondes...
    Ce ne sont pas les revues de vulgarisation sur les sciences, comme les pages internet, qui m’ont apportées des réponses, mais simplement le vouloir de me répondre à moi-même sur mes interrogations, restées sans réponse. Quand la science reste dans ses interrogations, c’est donc a vous de trouver vous même les réponses que vous attendez.
    Suite à mes propres réponses, j’ai inventé une théorie qui touche les deux infinis que je n’ai pas communiqué.
    Ingénieur maison, veut aussi dire sans diplôme, mais cela n’empêche pas de réfléchir comme ces scientifiques, et peut être même mieux, car ma tête est vide de réponse, mais pleins de questions, et le survol des sciences est sûrement la meilleurs des choses, pour remettre en cause, ce que les scientifiques peuvent savoir, et ne peuvent se défaire.
    Sur cette page internet : : http://www.matierevolution.fr/spip.php?article441 concernant les plus grandes structures de notre Monde, que sont les Bulles de vide, j’ai trouvé une erreur en nombre : : 300 Milliards d’années lumière !!!

    Le parsec vaut 3,2616 années lumière (trouvé sur Wikipédia).
    Le Méga est un préfixe valant un million de fois l’unité soit 10E6. (Où E veut dire Exposant comme puissance).
    Mais en informatique il y a exception de ces préfixes multiples par mille. Ainsi 2E10 vaut 1024 au lieu de 10E3 valant 1000, car se sont des puissances de deux, ainsi donc : :
    2E0 : : 1.
    2E1 : : 2.
    2E3 : : 4.
    2E5 : : 8.
    2E6 : : 16.
    2E6 : : 32.
    2E6 : : 64.
    2E7 : : 128.
    2E8 : : 256.
    2E9 : : 512.
    2E10 : : 1024. Le kilo octet, est la base des multiples, et non 1000 (mille) !!!
    Le kilo (10E3) 1000 : : 1024E1=1024. Mille.
    Le méga (10E6) 1|000|000 : : 1024E2=1|048|576. Million.
    Le giga (10E9) 1|000|000|000 : : 1024E3=1|073|741|824. Milliard ou Billion.
    Le téra (10E12) 1|000|000|000|000 : : 1024E4=1|099|511|627|776. Trillion.
    Le xxx1 (10E15) 1|000|000|000|000|000 : : 1024E5=1|125|689|906|8427|624 .
    Le xxx2 (10E18) 1|000|000|000|000|000|000 : : 1024E6=1|152|921|504|60|6846|976.
    Le xxx3 (10E18) 1|000|000|000|000|000|000|000 : : 1024E7=1|180|591|620|717|411|303|424.
    Le xxx4 (10E21) 1|000|000|000|000|000|000|000|000 : : 1024E8=1|208|925|819|614|629|174|706|176.
    Le xxx5 (10E21) 1|000|000|000|000|000|000|000|000|000 : : 1024E9=1|237|940|039|285|380|274|899|124|224. Trilliard
    Le xxx6 (10E24) 1|000|000|000|000|000|000|000|000|000|000 : : 1024E9=1|267|650|600|228|229|401|496|703|205|376.
    Le xxxx (10E60à) Je n’irai pas jusqu’au CENTILLION où l’Univers est encore plus car forcément infini !!!

    Pour revenir au Méga que vous utilisez pour définir une taille approximative des bulles de vide de cette structure filamenteuse de notre Monde, vous dites 100 Mégaparsecs (300 milliards d’années-lumière). Je vous site : :
    ►Les études et observations récentes montrent que les amas et superamas ne sont pas disposés au hasard : : l’univers aurait 1 structure en "éponge" ou en "nid d’abeille" : : il serait constitué de "bulles" pratiquement vides de 100 Mégaparsecs (300 milliards d’années-lumière) de diamètre, les galaxies et amas de galaxies se trouvant à la frontière de ces bulles, regroupés en "filaments" ou "murs" ou "parois". On trouverait alors les superamas aux intersections entre les filaments.◄ Bertrand LEMASLE.
    Remarque immédiate : : Sachant que notre Monde observable n’est que d’≈ 15 milliards d’années dans une direction donnée, de suite le nombre que vous exprimez de 300 milliards d’années-lumière, saute aux yeux, car il est de 20 fois la taille observable de notre Monde visible dans une direction donnée. Il y a donc, je pense une erreur, d’un facteur 1000, et il faut voir ces bulles de vide d’une approximation de 300 millions d’années lumière, et non de 300 milliards d’années.

    Nous sommes le centre obligé et non privilégié d’une bulle de temps de ≈ 15 milliards d’années de rayon, ce qui fait un diamètre de 30 milliards d’années dans des directions opposées. Le rapport entre 300 millions (diamètre de bulles de vide) et ≈ 30 milliards (diamètre de notre bulle de temps de visibilité) est de 100. Ce qui fait que nous pouvons imaginer sur une direction donnée, de rencontrer une cinquantaine de Bulles de vide, qui normalement est un volume sans matière, sauf à sa surface ou justement la matière se concentre en filaments.

    J’espère ne pas vous vexer en vous disant qu’une bulle n’a pas de frontière, mais une surface, ou une enveloppe virtuelle éventuellement même floue. Je ne suis pas du tout scientifique, mais la frontière d’une bulle, d’une sphère, d’une bille, d"une boule... est sa surface, et même pour une particule qui est son enveloppe approximative, car comme l’électron, il n’est ni corpuscule, ni onde, mais champ, mais ce champs est sphérique et décrit forcément une enveloppe, même floue.

    Ces bulles nous montrent que notre Monde n’est pas vraiment homogène, même si il y a homogénéité dans les tailles de ces bulles. Pour ma part cette date de compte à rebours de 13, 8 milliard d’années depuis le Big-bang, donc de notre naissance, ne veut strictement rien dire, et ce même avec l’accélération de l’expansion de notre Monde. J’ai bien sûr une explication de cette structure en Bulle de vide dans ma théorie... mais là n’est pas le problème.

    Pour ma part nous sommes dans un Monde fini sans vraies limites, car elles sont floues, et notre Bulle de temps de visibilité n’est sûrement qu’une goutte d’eau dans un océan, et c’est pour cela que nous ne pouvons pas définir la géométrie de notre Monde, comme ses dimensions, à partir des données recueillies du fond diffus cosmologique. Nous nous bornons à faire des statistiques idiotes sur des % de matière ordinaire, de matière noire, et d’énergie que regorgerait l’Éther de l’espace. À plus grande échelle que notre visibilité réduite, la taille des bulles, comme d’autres paramètres peuvent changés. Toutes les physiques et leurs constantes reposent sur notre visibilité restreinte et donc réduite, mais ce que nous pouvons observer, n’est qu’une petite portion d’un ensemble, et on ne peux peut préjuger de l’étendue de notre Monde, même si ce dernier est fini mais sans bord, car tous les objets sont flous.
    Si nous montons à 3000 mètres d’altitude, l’air se fait plus rare, et pourtant cela ne fait que 3 kilomètres, par rapport à cette surface de notre terre. À 30 kilomètres comme à 300, c’est encore autre chose, et les variations de température ne sont pas linéaires ni progressives ou dégressives, car elles fluctuent comme tout objet et comme l’Éther.
    Comme vous parlez de giga parsec, j’irai encore plus loin en parlant de téra parsec, et même de CENTILLION parsec, car l’infini ne me donne absolument pas le vertige, et il est justement l’intérêt de concevoir et d’imaginer autre chose que la portion de notre Monde que nous connaissons mal d’ailleurs. Comme déjà dit si notre visibilité maximum est réduite à 15 milliards d’années dans toutes les directions par notre centre obligé où nous sommes le centre, rien n’empêche de concevoir notre vrai Monde comme un océan de gouttes d’eau, dont une seule goutte est notre portée et où nous nous trouvons au centre de cette goutte. Donc peut importe si notre vrai Monde n’est pas une belle sphère, il est forcément plus grand que ce que nous pouvons en voir et détecter. La goutte d’eau du bord du rivage de cette océan, et celle du fond des abîmes, sont toujours deux gouttes d’eau, mais les propriétés ne sont pas exactement les mêmes, et les paramètres que subissent ces gouttes d’eau sont aussi totalement différents. Notre vrai Monde n’a pas forcément une belle géométrie, car un océan est déjà un volume sans vrai forme et ne représente rien au niveau d’une structure, car il épouse une surface chaotique qui est notre terre, et se sépare de l’air plus légère. Mais cet océan sans vraie frontière et sans vraie géométrie possède des milliards de gouttes d’eau dont l’une est notre bulle de temps. Cet océan contenant des milliards de milliards... de gouttes d’eau, n’est peut être lui aussi qu’une goutte d’eau dans un autre océan sans limite et donc sans fin pour ne pas utiliser ce mot d’infini. Cette notion de multi-Univers ou d’Univers parallèles ne veut rien dire, car il n’y a qu’un Univers regorgeant une infinité de Mondes aussi identiques ou différents que le notre, dont nous ne connaissons presque rien. Si notre Bulle de temps de visibilité de 15 milliard d’années correspondant à une goutte d’eau dans un océan semble très petite, il faut se représenter que notre vrai Monde qui est cet océan peut aussi être considéré comme une goutte d’eau dans un autre espace d’océan. Ceci donne des proportions gigantesques, mais ne donne pas le vertige, et répond à cette notion d’infini que tout être se pose. On a totalement le droit de dire que d’autres Mondes existe, d’autant que nous ne savons même pas définir le notre, car toutes les données que nous recueillons s’adressent à notre goutte d’eau qui est notre Bulle de temps, et non à un Monde que l’on ne peut pas définir, mais que l’on peut totalement imaginer et concevoir. Les quelques degrés qui séparent les pôles de l’équateur, donnent une variétés de paysages totalement différents, et bien il faut considérer que les gouttes proches entre elles, donnent des paysages identiques, mais que des gouttes d’océan très éloignées donnent des paysages très différents. Ces bulles de vide de matière que sont les plus grandes structures que nous connaissions, ne sont que dans notre Bulle de temps que l’on considère à tord comme non Monde, car chaque scientifique sait que notre Monde ne s’arrête pas à notre vision, mais continue forcément, et on ne peut préjuger si il se poursuit dans une même homogénéité. Il faut encore le redire notre vrai Monde n’est absolument pas notre Bulle de temps d’≈ 15 milliards d’années !!!

    Je vous remercie énormément pour les pages internet que sont vos colonnes scientifiques en réalités, que vous offrez gratuitement sur internet, car depuis seulement quelques semaines j’ai découvert votre site, où l’on trouve enfin des tas de notions scientifiques importantes et intéressantes, très bien expliquées, même si il n’y a pas toujours des réponses aux énigmes de ces physiques, car cela reste encore que des suggestions, sans preuves pour autant, et reste en suspend.
    J’ai survolé une centaine de vos rubriques, tout en étant très près mais aussi très loin, car j’ai fait un travail personnel de cinglé de Copier/Coller de certaines pages, où le vrai travail est de reformater et mettre en page dans un traitement de texte, vos belles colonnes scientifiques, et ce simplement pour avoir une sorte de bibliothèque virtuelle, de données vraiment intéressantes. Je n’ai donc pas besoin d’être sur internet pour vous lire et même vous relire... Je finirai par acheter vos livres, où le support papier est quand même préférable et plus simple à transporter, que de lire sur un écran d’une machine. Mais les fichiers informatiques ont cet avantage de pouvoir mettre des commentaires à même les rubriques ce qui n’est pas conseillé quand ce sont des livres que l’on respecte.

    Je vous remercie par avance d’un retour sur cette erreur de 300 Milliards d’années pour une moyenne de diamètre de ces Bulles de vide de matière, où la vraie matière que l’on connaît, en tant que grande structure comme regroupement de galaxies, vient se greffer sur cette surface virtuelle, se rassemblant en filament ; mais je pense que cela a déjà été signalé.
    Pouvez vous me confirmer que sur un axe aux limites opposées de direction de visibilité, donc sur une portée de 30 Milliard d’années lumière, le nombre de Bulles de Vide est en gros de 100 en moyenne ? Sachant que des bulles de vide peuvent être 2 fois plus petites comme 2 fois plus grosses !!!
    La page internet de http://www.matierevolution.fr/spip.php?article441 date du Vendredi 16 mai 2008, et donc près de 11 ans, et en 11 ans de l’eau à coulé sous les ponts... Y a t-il du nouveau ?? Mercie encore.

    Bonne journée.
    Jean-François POULIQUEN.

  • Vous avez raison, il y a tout le temps du neuf sur l’espace et l’astrophysique. C’est un domaine où les faits nouveaux sont légion. Voir ici :

    https://www.matierevolution.org/spip.php?article2543

  • Bonjour.

    ___Merci de votre réponse que ne n’ai pas pu voir de suite, car je n’avais pas noté dans quel article j’avais fait ce commentaire un peu trop long d’ailleurs, et ce en direct dans la boite de saisie de votre site. Je pensais avoir perdu ce commentaire et je le revois de nouveau sur cette page de votre site. Si ces bulles de vide sans matière font environ et en moyenne 100 millions d’années lumière de diamètre, et bien cela nous donne dans une seule direction 150 bulles de vide sans matière et donc la somme des directions opposées forcément le double correspondant à 300 bulles de vide traversant notre propre bulle de temps de vison de 30 milliards d’années lumière de diamètre : : 30 milliards/300=100 millions de diamètre de bulle de vide sans matière.

    ___A ce propos de ne pas avoir noté mon commentaire : :
    ___Vous savez ce qui manque au lecteur comme moi, c’est à dire une personne très dispersée, c’est une sorte de trace d’avoir envoyé réellement un commentaire ou pas, car après l’envoi d’un commentaire, on n’a strictement rien comme trace à savoir si on a envoyé un commentaire ou pas. Bien sûr si l’utilisateur frappe son commentaire directement dans la boité de saisie, et bien il sait ce qu’il fait, mais quand vous préparez des commentaires à envoyer dans un fichier séparé, et qu’il faille faire des Copier/coller, et bien vous ne savez plus si cela à été réellement envoyé ou pas, d’autant qu’il n’y a pas toujours de retour d’une part, et que de plus il faut attendre un certain temps avant que la publication du commentaire soit réelle. Ceci m’ait arrivé sur l’un de vos articles où j’attendais une réponse de votre part, mais aussi une publication de ce commentaire, et bien il n’a jamais été publié, ce qui veut sans doute dire que j’ai fait une mauvaise manip, en n’utilisant pas la deuxième boite de vérification où l’envoi réel se fait par un deuxième bouton que le premier bouton donnant accès à cette boite de vérification possédant le vrai bouton d’envoi. Je réitère donc ma question qui est : : à quoi sert l’adresse mail que l’on donne quand on envoie un commentaire ?? Cette adresse autrait pu servir de trace d’envoi des commentaires envoyés !!!

    Bonne journée, et merci des retours sur cet article.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • RE Bonjour.

    ___Pour continuer sur cette notion de bulles de vide sans matière, et bien je trouve assez fou que les dimensions soient aussi grandes car 100 millions d’années lumière pour un diamètre moyen de bulles de vide, ce n’est pas rien, et que surtout le nombre de 150 bulles sans matière dans une direction donnée, nous donne un sentiment curieux, car 150 en terme de nombre cela est très peu. De dire quand je regarde dans une direction, qu’il n’y a que 150 bulles pour arriver à la fin de notre monde visible est très curieux comme représentation et effet que cela donne. Notre monde visible est donc comme un assemblage du bulles virtuelles sans matière et c’est seulement la matière alignée en fils où se trouvent les galaxies qui déterminent ces trous de vide. Il faut prendre ces fils comme ceux d’une toile d’araignée où la finesse donne cet incroyable toile très fine, car toutes la matière de notre monde se trouve dans ces fils d’araignées entourant des ballons de foot virtuels pour simplement donner un ordre de grandeur. Nous somme donc très loin de notre échelle d’agitation modérée, et de celle du quantique où soit disant tout bouillonne et va très vite. Dans cette vison de bulles virtuelles du grand règle un silence et une non activité, comme si notre monde était mort, et ce qui est encore plus surprenant c’est cette notion de n’être rien, car qu’est-ce qu’un fil araignée par rapport à la taille d’un ballon. Notre monde visible n’est donc qu’un volume de fausses bulles ou des fils d’araignées viennent définir ces bulles sans matière. Cette vision me donne le sentiment que rien n’existe, et où se trouve toute la matière dans ces fils qui ne pèsent pas lourd. Maintenant est-ce que les particules virtuelles du quantique sont présentent dans cet ensemble de vide ou presque vide ?? Et bien pour ma part ces particules virtuelles ne remplissent pas tout l’espace, mais se trouvent où la matière se trouve, c’est à dire dans ces fils d’araignées, et ce qui donne comme sentiment que monde n’est pratiquement rien, d’autant que dans ces fils, les galaxies ne sont pas juxtaposées mais laissent entre elles des vides énormes. On sait que l’atome et rempli de vide car l’enveloppe virtuelle est très grande par rapport à son noyau, mais dans cette vision comme il y a des milliards de milliards d’atomes, l’impression est différente que ces bulles virtuelles sans matière à très grande échelle, car là nous touchons à la grandeur de notre monde qui est une butée. Impression curieuse de n’être rien...

    Bonne fêtes.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • RE RE Bonjour.

    ___Merci pour votre réponse rapide, mais je reprends mon envoi précédant, car plein de fautes comme quand j’étais petit où ma vison du monde était bourrée de fautes, et pour moi et mes fautes cela n’a pas changés.

    ___Pour continuer sur cette notion de bulles de vide sans matière, et bien je trouve assez fou que les dimensions soient aussi grandes car 100 millions d’années lumière pour un diamètre moyen de bulles de vide, ce n’est pas rien, et que surtout le nombre de 150 bulles sans matière dans une direction donnée, nous donne un sentiment curieux, car qu’est-ce que 150 en terme de nombre cela est très peu. De dire quand je regarde dans une direction, qu’il n’y a que 150 bulles pour arriver à la fin de notre monde visible est très curieux comme représentation et effets que cela donne. Notre monde visible est donc comme un assemblage du bulles virtuelles sans matière et c’est seulement la matière alignée en fils où se trouvent les galaxies qui déterminent ces trous de vide sans matière. Il faut prendre ces fils comme ceux d’une toile d’araignée où la finesse donne cette incroyable toile très très fine, car toutes la matière de notre monde se trouve dans ces fils d’araignées entourant des ballons de foot virtuels, et ce pour simplement donner un ordre de grandeur. Nous sommes donc très loin de notre échelle d’agitation modérée, et de celle du quantique où soit disant tout bouillonne et va très très vite. Dans cette vison de bulles virtuelles du grand règle un silence et une non activité, comme si notre monde était mort, et ce qui est encore plus surprenant c’est cette notion de n’être rien ou presque, car qu’est-ce qu’un fil araignée par rapport à la taille d’un ballon. Notre monde visible n’est donc qu’un volume de fausses bulles ou des fils d’araignées viennent définir ces bulles sans matière. Cette vision me donne le sentiment que rien n’existe, et où se trouve toute la matière dans ces fils qui ne pèse pas lourd. Maintenant est-ce que les particules virtuelles du quantique sont présente dans cet ensemble de vide ou presque vide ?? Et bien pour ma part ces particules virtuelles ne remplissent pas tout l’espace de ce vide, mais se trouvent où la matière se trouve, c’est à dire dans ces fils d’araignées, et ce qui donne comme sentiment que notre monde n’est pratiquement rien, d’autant que dans ces fils, les galaxies ne sont pas juxtaposées mais elles laissent entre elles des espaces de vide énormes. On sait que l’atome est rempli de vide car l’enveloppe virtuelle est très grande par rapport à son noyau, mais dans cette vision comme il y a des milliards de milliards d’atomes, l’impression est différente que ces bulles virtuelles sans matière à très grande échelle, car là nous touchons à la grandeur de notre monde qui est une butée. Impression curieuse de n’être presque rien...

    ___La grandeur du presque rien (monde et ses bulles) englouti la petitesse du presque tout (particules).

    Bonne fêtes.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Pour revenir donc sur cette question des immenses bulles du vide interstellaire et de leur liaison avec le mécanisme de base du vide quantique...

      Il convient d’abord de se souvenir que ce mécanisme de base consiste en la liaison et la rupture de liaison successives entre particules et antiparticules. La dynamique du vide provient de là et elle amène les échanges entre particules et antiparticules au sein des couples qui ainsi ne sont pas fixes mais se rompent et se reconstituent. Si la symétrie matière/antimatière était exacte, on en resterait là. Mais il y a une légère dissymétrie qui provient de la même dissymétrie des propriétés particulaires et antiparticulaires. La physique n’est pas entièrement symétrique et n’est dissymétrique que très faiblement.

      D’où beaucoup plus de matière collée à de l’antimatière que de matière indépendante d’elle.

      D’autre part, ce que j’ai appelé la dynamique de base du vide entraîne le regroupement progressif de matière non attachée à de l’antimatière et forme ce que l’on appelle des structures durables matérielles et celles-ci sont repoussées du reste du vide quantique.

      La répulsion produite par le vide entraîne le regroupement de matière que nous appelons gravitation.

      Mon hypothèse est ici

      Ainsi que là

  • Feynman disait : « Je cherche à comprendre le monde, voyez-vous ! »

    Et il affirmait qu’il estimait ne pas encore le comprendre vraiment…

    Comprendre LE monde sous-entendait bien des choses et notamment qu’il n’y a qu’un seul monde à comprendre, qui englobe la matière et la pensée, et la matière à toutes les échelles, y compris la lumière !!!

    Cela sous-entendait aussi qu’il n’y a pas barrière absolue contre la compréhension humaine et qu’on franchit sans cesse ce que l’on croyait être des interdits !

  • Bonsoir Merci de vos réponses.

    ___Dans vos 2 derniers retours vous me parlez d’un certain FEYMAN, y a t-il un article sur lui et de ses citations ??

    ___J’ai lu votre article titré : : "Une hypothèse sur l’origine quantique virtuelle de la gravitation entre particules de masse inerte." correspondant à l’une de vos thèses sans doute, et bien j’ai eu du mal, car d’une part je ne connais pas les termes de la mécanique quantique et ses notions, et d’autre part j’ai noté un certain nombre de mes réflexions que je vous enverrai.

    ___Je ne connais de la théorie de ce LE SAGE que par vos citations dans l’article précédemment cité, car le raccourcis que vous m’avez donné ne fonctionne pas. Existe t-il d’autres sites sur ce physicien LE SAGE ??

    __Je n’ai pas trop compris pourquoi partant d’un article sur les bulles de vide sans matière, qui sont les plus grandes structures de notre monde, vous en êtes à m’avoir conseillé de lire un article sur la gravitation quantique qui est l’une de vos thèses sans doute et qui correspond à une échelle totalement opposée. C’est sans doute parce que j’avais écrit que les particules du quantique ne remplissent pas tout le contenu de l’espace, mais se trouve ou se trouve la matière.

    __Je pense que M.FEYNMAN s’est trompé ainsi que ce M.LÉVY-LEBLOND et donc vous même, sur cette notion de gravitation devenue quantique, mais comme je dis "je pense que", mais j’ai des arguments pour invalider ce qui a été contrecarré de la théorie de LE SAGE, mais avant de vous envoyer quoi que ce soit je dois lire et comprendre.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Bonjour.

      ___Suivant nos différentes correspondances vos m’avez parlé de "dissymétrie" en supposant que c’est celle de l’espace. Cela est partie de l’article "10- Les bulles de vide et la matière" de votre retour du "1er janvier 09:54" : :
      [Pour revenir donc sur cette question des immenses bulles du vide interstellaire et de leur liaison avec le mécanisme de base du vide quantique...
      Il convient d’abord de se souvenir que ce mécanisme de base consiste en la liaison et la rupture de liaison successives entre particules et antiparticules. La dynamique du vide provient de là et elle amène les échanges entre particules et antiparticules au sein des couples qui ainsi ne sont pas fixes mais se rompent et se reconstituent. Si la symétrie matière/antimatière était exacte, on en resterait là. Mais il y a une légère dissymétrie qui provient de la même dissymétrie des propriétés particulaires et anti-particulaires. La physique n’est pas entièrement symétrique et n’est dissymétrique que très faiblement.
      D’où beaucoup plus de matière collée à de l’antimatière que de matière indépendante d’elle.
      D’autre part, ce que j’ai appelé la dynamique de base du vide entraîne le regroupement progressif de matière non attachée à de l’antimatière et forme ce que l’on appelle des structures durables matérielles et celles-ci sont repoussées du reste du vide quantique.
      La répulsion produite par le vide entraîne le regroupement de matière que nous appelons gravitation.]

      ___ET BIEN VOILÀ UNE PARTIE DE LA SOLUTION SUR LA "DISSYMÉTRIE" : :
      ___QUESTIONNEMENTS : :
       Q01 Pourquoi le NEUTRON est plus massif que PROTON et que L’ÉLECTRON forme l’enveloppe de l’atome ?
       Q02 Pourquoi le NEUTRON est légèrement plus massif que le PROTON d’une valeur d’un ’ÉLECTRON ?
       Q03 Pourquoi L’ÉLECTRON semble libre et définissant un champ et non le PROTON comme le NEUTRON ?
       Q04 Pourquoi le PROTON est positif d’un E+ ?
       Q05 Pourquoi L’ÉLECTRON est négatif d’un E- ?
       Q06 Pourquoi le NEUTRON est dit sans charge E0 ?
       Q07 Pourquoi le POSITRON est absent dans la constitution de la matière ?
       Q08 Pourquoi la CHARGE+ est plus grande en masse particule représentée par la matière que la CHARGE- ?
       Q09 Est-ce que la quantité de particules virtuelles CHARGE+ est égale aux particules virtuelles CHARGES- ?
       Q10 Est-ce que le vide de l’espace est équilibré en charge +et- ?

      ___HYPOTHÈSES : :
       H01 Considérons que toutes les particules sont des paquets de POUSSIÈRES donnant des structures-champs.
       H02 Considérons que L’ÉLECTRON- POSITRON soit une structure-champ de poussières.
       H03 Considérons que le NEUTRON est un assemblage d’ ÉLECTRONS et de POSITRONS égale en nombre.
       H04 Considérons que le PROTON est équivalant au NEUTRON avec un ÉLECTRON de moins.

       H01 Considérons que toutes les particules sont des paquets de POUSSIÈRES donnant des structures-champs.

      ___Que l’on parle d’électron de proton de neutron ou autre particules, ces entités élémentaires ou composites sont en fait des tas de poussières (non péjoratif) structurés. L’élément de base n’est donc plus la particule mais la poussière permettant de constituer des paquets de poussières structurés mais variant en densité et en concentration.

       H02 Considérons que L’ÉLECTRON- POSITRON soit une structure-champ de poussières.

      ___Pour prendre l’exemple de l’électron, celui-ci est constitué d’un certain nombre d’éléments que j’appelle poussière. Sa structure est un bloc non homogène car son centre possédant une sorte de noyau qui est plus dense que le reste de sa structure et où ce reste s’amenuise au fur et à mesure que l’on s’éloigne du noyau. C’est donc une sorte de structure-champ de poussières non homogène, où sa périphérie est plus en activité que son centre, car plus d’interaction avec le vide l’espace que sont les particules virtuelles. C’est donc une structure modifiable jouant plus sur sa périphérie avec l’extérieur. Ceci est à comparer comme un essaim d’abeilles, où le centre est plus ou moins l’essaim, mais la colonie totale d’abeilles n’est pas rassemblée dans l’essaim mais dilatée. Il faut donc voir une structure-champ dilaté et qui n’est pas une onde, mais pouvant être interprétée comme telle si besoin. Cette structure-champ peut aussi être interprétée comme étant un corpuscule si par contraintes, les éléments se rassemblent pour ne former qu’un bloc assez compacte. Cette structure est valable pour l’électron mais aussi pour le positron où seule la charge diffère. Donc l’électron ou le positron est un paquet de poussières non homogène et non concentré donnant une structure souple en modification. Il faut comprendre aussi que ces structures peuvent se rencontrer par des chocs, et donc si deux électrons se rencontrent, il se déforment suivant le choc, mais ils reprendrons leur structure initiale et peut même avoir des poussières échangée entre 2 électrons. Donc ces structures-champs ne sont pas figées mais s’adaptent suivant les événements.

       H03 Considérons que le NEUTRON est un assemblage d’ ÉLECTRONS et de POSITRONS égale en nombre.

      ___Le neutron est un assemblage d’électrons et de positrons en nombre égale. La structure du neutron est composé de plusieurs paquets de poussières d’électrons et de positrons. Mais cette structure globale n’est pas la même que celle de l’électron et le positron, car les paquets de poussières sont plus concentrés et donc la structure de l’électron ou celle de positron change complètement en étant moins dispersé mais justement très compressés. La masse du proton est 1836 fois celle de l’électron ou du positron, ce qui veut dire qu’il faille divisé par deux cette masse correspondant à une partie de charge positive et une autre partie égale de charge négative. C’est pour cela que cet entité de proton est neutre au niveau des charges, car les quantités des charges plus et moins s’équilibrent ou s’annulent. Le neutron est compacte parce que la constitution de ces paquets de poussières sont compacte. Le nombre d’électrons est donc de 1836/2=918 paquets et que le nombre de positrons est aussi de 1836/2=918 paquets. L’agencement de ces paquets peut être diverse, mais ce qui est retenu par la physique des particules est que le neutron soit constitué de 3 quarks. Cela pose un problème d’équilibre des charges car si on divise ce nombre 1836 (m) par 3, le nombre résultant est exacte 1836/3=612 (m) par super-paquet en masse égale, mais le problème est qu’il faille regrouper dans ces super-paquets des électrons et aussi des positrons. Ceci voudrait dire qu’il y a des groupement de petits paquets par des charges différentes, et donc qu’un quark devient neutre, et ce qui est contraire à ce qui est établit. Pour l’instant, sans se soucier ce quarks, est que le neutron rassemble des électrons et des positrons concentrés et que l’organisation interne est à revoir, mais que électron, positron, neutron ne sont que des tas de poussières. Je donnerai des explications sur ces regroupements de paquets de paquets de poussières que sont les notions de quarks, mais dans l’article consacré à ces quarks. D’ailleurs ce commentaire devrait sûrement être donné ailleurs que dans celui-ci, mais c’est dans cet article que le retour à été donné par ce mot de ’’dissymétrie" et de toutes façons je ne connais pas tous les articles...

       H04 Considérons que le PROTON est équivalant au NEUTRON avec un ÉLECTRON de moins.

      ___Le proton est exactement comme le neutron, mais sa charge est positive, car il lui manque un électron de charge négative qui le fait de ne plus être neutre comme le neutron. Cet électron en moins est fait l’électron qui lui est associé en extérieur, car un proton désigne aussi un électron externe. Sa masse est donc de 1836-1=1835 (m) celle de l’électron ou du positron. On peut écrire cette formule Neutron-Électron=Proton mais il faut considérer que cela est faux car à un proton correspond aussi un électron externe. Cela veut dire que (Proton+ Électron)=Neutron, et donc que que cette formule 1835+1=1836 correspond à la masse du neutron. Le proton doit être pris dans son ensemble avec son électron extérieur. Pour les calcules des regroupements des super-paquets des petits paquets que sont électrons et positrons, et bien il faut se rapporter à la constitution de neutron et supprimer un élément qui est un électron à mettre à l’extérieur.

      ___EXPLICATIONS : :
      ___Par les hypothèses définies, les questions établies se comprennent alors plus facilement, car Q02 Pourquoi le NEUTRON est légèrement plus massif que le PROTON d’une valeur d’un ’ÉLECTRON se comprend car ces particules composites sont constituées exactement configurées de la même façon d’électrons et de positrons, sauf que pour le proton il a en moins un électron. A la question Q03 Pourquoi L’ÉLECTRON semble libre et définissant un champ et non le PROTON comme le NEUTRON, et bien le fit que des petits paquets de poussières se soient regroupés, la structure des petits paquets a changée en se contractant, et que les structures-champs ne sont plus les mêmes, et on comprend aussi la -Q04 Pourquoi le PROTON est positif d’un E+, car c’est en fait un neutron déséquilibré ou il manque un électron se trouvant à l’extérieur.

      __On comprend aussi la Q05 Pourquoi L’ÉLECTRON est négatif d’un E- ?,Cela est en fait que la nature soit équilibrée en charge, mais sa constitution se retrouve par différentes tailles de paquets, et que les paquets de paquets (neutron, proton) soient constitués en charge neutre, ou si cette charge et positive (proton) un élément externe (électron) équilibre la charge de cette structure de paquets de paquets rendant une charge nulle. Dans cette explication il y a une certaine beauté, car la disparition de l’anti-matière est en fait inclus dans la matière, et cela est franchement géant, car rien n’a disparu. La matière ou l’anti-matière faut partie entièrement de notre monde, mais cette anti-matière se cache dans la matière par ces particules de proton. Il y a donc équivalence en masse et en charge positive et négative pour toute la matière !!! On comprend alors cette question Q05 Pourquoi L’ÉLECTRON est négatif d’un E- ? Comme aussi celle-ci Q06 Pourquoi le NEUTRON est dit sans charge E0 ? Et surtout celle ci Q07 Pourquoi le POSITRON est absent dans la constitution de la matière ? Car se positron et caché masqué à même la matière. Cette autre question devient alors une fausse question : : Q08 Pourquoi la CHARGE+ est plus grande en masse particule représentée par la matière que la CHARGE- ? Reste la première question : : Q01 Pourquoi le NEUTRON est plus massif que PROTON et que L’ÉLECTRON forme l’enveloppe de l’atome ? Dans la première partie de la question tout se comprend par les explications précédentes. La deuxième partie de la question est largement moins évidente, car pourquoi c’est un électron qui orbite autour d’un proton et non un positron qui orbite autour d’un anti-proton ?

      __Ne pas oublier que l’on parle de "DISSYMÉTRIE" et que déjà on peut entrevoir pourquoi cette dissymétrie existe par le simple fait que la constitution de la matière est faite d’une façon et pas d’une autre.

      Amicalement.
      JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour. Merci encore de vos réponses. Étant désolé de mes éléments du paquet (quanta) envoyé par bloc.

    ___Suite du dialogue de l’article "les bulles de vide et la matière" Dans votre retour du "1er janvier 09:54" vous dites ceci "le mécanisme de base du vide quantique...".
    Et bien OÙ je peux aller consulter les bases du mécanisme du vide quantique ?? Merci d’avance si retour sur ce sujet.
    Cet article donne les plus grandes notions et structures d’objet de notre Monde, que sont les bulles de vide sans matière, et le commentaire qui va suivre s’éloigne un peu du sujet, mais en fait pour ma part ces bulles de vide sans matière ont un rapport direct avec la gravitation, et vos recommandations, d’aller lire un article sur la gravitation qui est une hypothèse sur l’origine de la gravitation quantique, m’a permis de donner plein de commentaires sur la gravitation quantique, mais surtout de ne pas mettre au tiroir la théorie de M.LESAGE, car dette théorie me semble tout à fait bonne et même excellente en conception qui est sans rapport avec la gravitation quantique. Ayant dit que les particules virtuelles du quantique ne remplissaient pas tout l’espace mais que ces particules se trouvaient ou se trouve la matière, et donc dans ces fils d’araignée pour ce donner une image par rapport au bulles de vide sans matière représentant des ballons, vous m’avez orientez sur le vide quantique, et je trouve cela très curieux comme changement d’échelle car ces bulles d vides sans matière sont les plus gros objets que l’on peut définir dans notre monde, et les particules virtuelles sont exactement l’inverse car ce sont les objets les plus petits, et la différence d’échelle est énorme, mais cela tombe très bien car c’est souvent le petit qui engendre les structures du plus grand, donc on passe du plus grand au plus petit.

    ___Dans votre fin de retour vous indiquez par ce groupe de mots "Mon hypothèse est ici" correspondant à un renvoi sur un article au titre : : "Une hypothèse sur l’origine quantique virtuelle de la gravitation entre particules de masse inerte.".
    Dans cet l’article à la position : : "Discussion de la thèse de LESAGE avec La théorie de Lesage", et bien ce lien donnant une page internet est inaccessible et me donne comme résultat : : "Aucun aperçu disponible." et donc impossible de lire la vraie théorie de ce physicien M.LESAGE datant fin 1700. Votre article que j’ai lu, est en fait une confirmation de vos idées, qui sont en rapport par des extraits de citations de M. FEYNMAN et qui désapprouve la théorie de M.LESAGE en donnant un certain nombre d’arguments. Votre thèse si cela sont vos idées, donne une description du vide quantique et des mécanismes pour justifier cette gravitation cantique. Je vais essayer de rapporter certaines phrases où je mettrai certaines remarques, quand je serai en désaccord.

     Phrase explicative : : "Ma réponse consiste à dire que la matière de masse étant fondée sur le vide, c’est-à-dire sur les particules et antiparticules sans masse par la procédure dite du boson de Higgs, le vide quantique doit être à la base de l’interaction liée à la masse, la gravitation. Essayons d’imaginer comment..."

    ___D’après les explications sur le vide quantique il est considéré comme étant des particules et anti-particules virtuelles sans masse. La première interrogation est que si ces particules virtuelles n’ont pas de masse, comment comprendre qu’elle puissent avoir une charge positive comme aussi négative, car la charge définit bien les différences entre des particules et des anti-particules virtuelles ?? Cela me semble curieux d’avoir des particules sans masse mais possédant une charge, mais après tout qu’est-ce que la charge ??? La masse n’étant plus un attribut intrinsèque de la particule, mais une notion dépendant du boson de Higgs soit disant, qui est une particule venant donner cette notion de masse aux particules par interaction et par choc, on pourrait se demander si la charge est du même ordre d’idée ??

     Phrases présentant le vide : : "On sait maintenant que le vide est un milieu matériel d’un type différent de la matière de masse. Il y règne un désordre lié à l’absence de masse, à l’absence de durabilité et à l’agitation de l’espace-temps. Le vide est quantique puisque ses particules et antiparticules sont des quantons déterminés par une action égale à la quantité de Planck, comme les particules de masse. Il maintient en son sein un certain désordre qui est auto-entretenu en permanence et combat tout ordre permanent en particulier celui de la matière durable.

    ___De dire que le vide est milieu matériel est semble t-il un peu exagéré, car matériel vient de matière, et matière sous-entend une masse réelle. Si on parle quantons et aux quantités de Planck, c’est que nous sommes à une échelle limite ne descendant pas en dessous pour définir des éventuelles fractions de ces limites de Planck. Il et curieux de parler du vide comme une personne réalisant des actions, comme "il maintient" "il combat"...
    ___Pour cette phrase : : "Le vide est quantique..." Et bien je dirai que cette phrase me semble fausse, car même si on évoque les particules du quantique, et bien qu’il faille descendre en dessous de cette échelle pour définir les mécanismes de cette quantique au niveau de son vide.

     Cette phrase confirme mon idée : : "En conséquence, à proximité des particules de masse règne une agitation contraire à l’ordre de la matière massive. ".

    ___Mon idée étant que tout l’espace n’est pas rempli de particules virtuelles, mais que seulement à proximité des particules du réel possédant une masse, et donc de la matière, ainsi les particules virtuelles se trouvent où se trouve la matière. Et donc il reste de très grands espaces vide de vide, c’est à dire vide de quantique, mais non vide pour autant. Bien sûr ce concept de dire que la quantique ne rempli pas tout l’espace, ne peut fonctionner avec la définition du temps utilisant la création et destruction des particules éphémères quantiques qui donneraient une certaine cadence au temps, car où il n’y plus de particules virtuelles il n’y aurai plus de temps. Mais ce sujet de temps est un sujet traité à part de la gravitation, et pourtant la gravitation par M.Einstein met dans le même sac temps et gravitation comme vitesse lumière.

     Phrases difficiles : : "Particules et antiparticules changent sans cesse de liaisons l’une avec l’autre, les deux formant toujours des couples instables. Il en résulte des sauts continuels de la valeur de l’énergie alors qu’à l’inverse la matière durable se caractérise par la conservation de l’énergie. L’agitation de l’espace-temps est aussi remarquable au sein du vide et sur un intervalle court, le temps s’agite vers l’avant comme vers l’arrière... La particule de masse crée à l’inverse un ordre qui produit autour d’elle un espace-temps ordonné avec une flèche du temps."

    ___Je ne comprends pas la première phrase, car que veut dire des couples instables ?? Si une particule rencontre son anti-particule et bien normalement les deux particules disparaissent ou se ddétruisent ou encore s’annihilent, et donc que la notion de couple n’est pas une vraie notion, car quand celle-ci existe c’est justement pour disparaître. Une rencontre n’est pas une durée mais justement un état éphémère qui pourrait être même l’instantané. Et puis de dire qu’une particule change sans cesse de liaison, me semble inexacte car une fois les particules disparues par rencontre, par annihilation, elles n’existent plus, et que même si de nouvelles particules apparaissent, elle ne sont pas le prolongement des anciennes disparues. Donc pour le redire, les particules virtuelles ne changent pas de liaison, car à la première liaison possible elles se détruisent. Les sauts dont on parle ne sont pas des vrais sauts car à telle position il y a eu disparition d’une rencontre entre particule et son anti-particule, puis non pas réapparition à une position différente, mais de nouvelles particules qui se créer à proximité de la disparition du couple plus qu’éphémère. Doit-on parler de sauts ?? Et bien pour ma part ce ne sont pas des sauts, mais des créations proches et à proximité des disparitions. Le saut est une invention et une interprétation poétique, mais les particules ne sautent pas par leur disparition et de leur création, mais cela donne cet effet, et pour exemple si une particule et un anti-particule totalement indépendante se rencontrent elles s’annihilent, et par rapport à cette position de disparition, un certain nombre de créations vont se réaliser autour du couple éphémère disparu, ainsi doit-on dire que c’est telle création plutôt qu’une autre pour dire qu’il y un saut et donc continuité ? La particule qui se créer n’est pas un couple mais ayant une charge bien définie, et donc il ne peut y avoir de sauts, car à un couple de rencontre disparu, il existe des créations ayant des charges différentes des charges cumulées du couple correspondant à une charge zéro c’est à dire sans charge ou charge nulle. Le saut est donc bien une interprétation une vision donnant cet effet. On pourrait croire que je décortique l’écriture de votre article, mais en fait je décortique l’interprétation ce qui est totalement différent, car mes réflexions sont Basic. Et puis comme je ne connais pas cette mécanique quantique, et bien mes réflexions sont peut-être normales comme elles peuvent être aussi des idées non pensées. C’est peut être quand on ne connaît pas grand chose, que les réflexions et interprétations peuvent être décalées.

     Cause de la gravitation : : "Le vide qui entoure la particule de masse va combattre cet ordre et, étant ainsi fixé plus longuement autour des masses, produire ainsi un déficit d’agitation lorsqu’il se situe dans une zone située entre deux masses, déficit qui est globalement assimilable à une attraction gravitationnelle entre ces masses. Cela signifie que la gravitation ne serait ni une onde ni une particule, ni même une force fondamentale d’interaction mais un effet indirect de la réaction du vide à la présence de matière durable."

    ___Si on peut admettre que le vide s’amoindrisse proche d’une particule de masse, la mécanique engendrant cet amoindrissement n’est pas du tout expliquée, et je répondrai par mon imagination pour donner une solution possible. Nul besoin d’avoir une masse de part et d’autre d’une troisième masse au milieu, car une seule masse suffit pour expliquer pourquoi le vide est moins actif proche d’une particule de masse. Ainsi si une particule de masse se trouve dans ce brouillement de particules virtuelles qui est le vide de l’espace, et bien les particules virtuelles proche de la masse apparaissent en plus faible quantité, et la raison est très simple. La particule de masse fait simplement écran tout autour d’elle où le vide bouillonne. Pourquoi ?? Les particules virtuelles naissantes n’ont pas de direction privilégiée, et donc elles se créer de partout et vont dans n’importe qu’elle direction. Le fait de mettre une particule de masse, celle ci fait écran pour les futures naissances, déséquilibrant l’environnement, comme si il y avait une certaine force venant de partout pour générer ces particules virtuelles, et que la particule de masse fasse écran sur cette force permettant de générer des particules virtuelles, car on peut considérer ces particules virtuelles comme des vecteurs éphémères se créant et se détruisant. Comme la particule de masse fit écran à cette force, cette force est amoindrie et génère moins de particules virtuelles. Dans cette vision imagée on peut même dire que les particules crées en direction opposée à la masse écran est en moins grand nombre que les particules créer venant vers la particule masse, et ceci donne comme une certaine dépression où les vecteurs particules virtuelles sont non répartis dans toutes les directions, mais que les vecteurs allant dans le sens opposés sont moindre. Qui dit déséquilibre en pression par ces vecteurs éphémères, dit aussi gravitation déformée. Donc la gravitation n’est pas une force, mais un déséquilibre des vecteurs de création de ces particules virtuelles. Ceci est une explication d’un mécanisme possible, mais il peut en avoir sans doute d’autres. Pour le redire différemment ces particules virtuelles qui se créent et se détruisent sont en fait assimilées à des vecteurs éphémères de force même si les particules n’ont théoriquement pas de masse. Le fait de placer une particule de masse, cette masse fait écran dans l’homogénéité des créations, générant ainsi une sorte de dépression autour de la masse, car il y a plus de vecteurs qui se créer venant vers la masse que ceux qui se créer en venant de la masse. La déformation de la gravitation est alors une pression non homogène du vide où les particules de masses réduisent la création des particules virtuelles considérées comme des vecteurs, et où les vecteurs virtuels sont déséquilibrés en quantité de directions. Pour être concis et clair, les particules virtuelles sont des vecteurs virtuels éphémères.
    ___Je dirai que la gravitation existe indépendamment des masses dites réelles, que de plus cette gravitation existe toujours indépendamment des particules virtuelles du quantique, car la gravitation n’est pas un effet du quantique mais de l’Éther qui est sans rapport avec la quantique. Qu’il y ait masses réelle ou non réelles l’Éther existe. Ne croyez pas que je sois le défenseur de qui que ce soit, car je défend simplement mes idées contre personne, et si elles vont dans le sens de ce M.Einstein et bien tant pis ou tant mieux, car cela n’a aucune importance.

    Découpage de mon commentaire car trop long pour envoi d’un seul bloc...............................

  • Suite.......................Découpage de mon commentaire car trop long pour envoi d’un seul bloc

    …...........IMPOSSIBLE d’envoyer la deuxième partie du commentaire précédant, donc j’attendrai, et je pense que c’est un quanta (paquet) de caractères envoyé à un même article qui bloque les autres envois, et que si le quanta n’est pas avalé par vos soins, et bien il reste plein. Il faut donc attendre que ce quanta (paquet) soit vide pour envoyer le reste, et donc comme déjà dit j’attendrai. Bonne journée. C’est aussi cela l’informatique et ses limites.......................

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Suite de la remarque précédente du même article ayant développé des hypothèses disant que tout est poussières.

    ___Comme tout est poussières même si ces poussières se rassemblent en différents paquets que sont les particules élémentaires et les particules composites, et bien à quoi correspond une particule virtuelle du quantique ? Et bien je pense à un tout petit paquet de poussières. Même si la particule virtuelle est une seule et unique poussière, cela ne change pas grand chose. Ce sont pour moi les mêmes poussières que celles constituant les paquets que sont les électrons et les positrons, ce qui veut dire que ces poussières ont une masse, mais que nous ne savons pas les mesurer. Mais en fait la masse n’a peut d’importance sauf pour avoir dit que des paquets de poussières comme électrons et positrons ont une masse plus ou moins définie, et de pouvoir dire que le neutron comme le proton sont en fait un ensemble d’électrons et de positrons. Et donc que ces particules composites ont une structure composée d’électrons et de positrons mais condensés ou compressés donnant une certaine densité et donc de dureté. L’agencement de la super-structure est à définir que sont les quarks. Si la structure de l’électron et du positron sont très fluide se prêtant à des collisions et se reconstituant, pour les neutrons et protons, la structure est beaucoup plus fermée et condensée et rigide, même si le nombre de paquets de ces électrons et positrons ont une structure plus élargie.

    __Si dans cette quantique les particules virtuelles se créer ayant autant de charge plus que de charge moins cela veut dire que tout est équilibré en charge par rapport à notre monde. Comme dans notre réalité de la matière il n’y a pas de différence de masse et de charge en fonction de ce que j’ai pu expliquer comme concepts, et que la quantique équilibre aussi ses charges, et bien notre monde est équilibré en masse et en charge. Alors pourquoi cette "DISSYMÉTRIE" ?? Et bien sans dire que DIEU ne joue pas au dé ou son contraire d’ailleurs, et bien nous sommes dans un environnement où les électrons orbitent autour de leur proton, mais que l’on aurait pu avoir le contraire, c’est à dire que des positrons orbitent autour de leur anti-proton. C’est donc un coup de poker ou plus exactement une chance sur deux. Mais de dire que la nature a fait un choix, est absolument faux et même une absurdité, car dans notre petit contexte allant même jusqu’à la fin de notre système solaire, qui nous dit que dans d’autres systèmes, et toujours dans notre galaxie, ces systèmes ne sont pas inversés ?? Que voyons nous de l’extérieur de notre système solaire ?? Et bien que de la lumière, et cette lumière neutre peut être produite par des systèmes inverses de notre contexte. Ce qui brille ne porte pas la signature du système proton-électron ou anti-proton-positron, car la lumière est la même. Ce qui veut dire que le choix n’est que local, et donc que d’autres systèmes que le notre sont inversés. Ce qui veut dire aussi que nous appliquons à l"ensemble de ce que nous voyons un système local qui est le notre et sans preuve que cela soit vrai. Le spectre de lumière doit être le même si les systèmes sont inversés des électrons en positrons. Peut être que je me plante complètement, mais quelles preuves avons nous que notre portion de Monde obéisse a cette notion de système proton-électron ??

    ___Maintenant revenons sur terre et à notre système proton-électron et où on nous dit qu’il y a "DISSYMÉTRIE". Et bien il ne peut qu’y avoir "DISSYMÉTRIE", même si le vide de l’espace de cette quantique est neutre, c’est à dire que la quantité des particules est la même que les anti-particules virtuelles et donc correspondant à une charge nulle et donc à un équilibre, et même coté matière réelle dite de masse, elle est aussi équilibrée en masse et en charge donnant ainsi une charge nulle, et bien cette matière dite réelle est déséquilibrée en géométrie. Simplement la géométrie de ce choix proton-électron et où si cela avait été anti-proton-positron, le déséquilibre de la géométrie aurait été du même ordre. Pourquoi ?? Et bien simplement parce que le vide quantique chargé de plus et de moins attaque les électrons ayant une charge négative, et que ce même vide attaque aussi le proton ayant lui une charge positive, mais que les structures de l"électron et du proton en tant géométrie sont différentes, mais aussi leur concentration. C’est simplement l’évidence même qu’une charge équilibrée attaque des structures différentes et ce même si elles sont opposées en charge. Pour le dire autrement même si il y a équilibre de charge entre électron et proton, la géométrie des paquets de poussières est différentes et les mouvements sont aussi différents. Sans rien connaître de ce que peut-être les charges électrique, ce que peut-être des mouvements avec ces charges, et baignant dans un environnent chargé et bien je me dis qu’il y a forcément des particularités que je ne connais pas. Ainsi le vide entre le proton et électron n’est forcément pas le même que celui à l’extérieur de l’électron, car déjà les masses différent et ce même si initialement il devait être le même. Je en pourrais pas expliquer les différences entre un système proton-électron et un système inverse anti-proton-positron mais il se voit et ce conçoit, d’autant que les tests se font toujours près de la matière et avec nos instruments, car comment tester le contenu de l’espace entre proton et électron et celui l’extérieur de l’électron ? Je finirai donc sans preuve et même sans conviction, mais par une évidence de comportement du vide suivant où on se trouve. Je n’ai donc pas de démonstration à donner pour essayer que l’on comprenne qu’il y a des différences électriques et qu’il y a "DISSYMÉTRIE".

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Suite à votre dernier retour du [10 janvier 07:48], vous me dites de raisonner dialectiquement et non pas logiquement, et bien cela est très curieux, car si le vide quantique est une thèse ou même une théorie, et bien je propose autre chose qui est une anti-thèse, en utilisant des mots simples comme "tas de poussière", et si de proposer autre chose de ce qui est, n’est pas de la dialectique, et bien je ne comprend pas ce que veut dire ce mot de dialectique. Car ce terme sert jurement à philosopher et ne pas rejeter toute forme de discussion sur un sujet donné, et donc de prendre en compte un ensemble d’idées contraires où les logiques sont différentes car les raisonnements le sont aussi. La dialectique est du dialogue, où les idées peuvent être contraires, et elle sert justement à comprendre la thèse mais aussi l’antithèse et d’en faire une synthèse, sans rejeter l’une ou l’autre. Je garderai donc mes tas poussières auxquels vous n’avez sûrement pas compris grand chose, et comme vous me l’avez déjà écrit : : j’en soulève des points, et si soulevez des points n’est pas de la dialectique, alors je rejette ce mot que vous employez à tout va, et je ne me brusque pas, car je suis calme et serein. Ce qui est très curieux est que vous m’avez branché sur ce mot de "DISSYMÉTRIE" que je ne connais pas d’ailleurs, et que s’en doute j’ai pris pour asymétrie. Alors comme mon langage est très réduit je vais alors étudier....

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Oui maître, car je ne demande qu’à apprendre, même si ce OUI est contraire du NON...

  • « Comme tout est poussières » dites-vous...

    Mais poussière n’est pas descriptif de manière claire.

    La poussière que nous connaissons à notre échelle est faite d’éléments solides faits de molécules.

    Dire que tout est poussière, en ce sens, ne peut décrire la particule ni le vide.

    C’est vrai que les termes sont difficiles et que j’ai parlé pour ma part du nuage de polarisation à propos du groupe de particules et d’antiparticules virtuelles qui entourent une particule dite réelle.

    Mais justement, dans ce cas, on ne dit pas "un nuage" mais le nuage de polarisation de la particule.

  • Bonsoir.

    ___Si vous n’êtes point maître, vous êtes forcément professeur, car vous avez énormément de connaissances, et je suis par rapport à vous qu’un petit élève, ce qui n’empêche en rien d’avoir mes idées non conventionnelles. En CM1 ou CM2 j’avais un maître ou une maîtresse, mais ces personnages n’étaient pas des Dieux pour autant. J’ai bien peur et une forte impression que je vous agresse par mon langage courant, mais cela n’est absolument pas pour vous nuire, car de vous dire maître va dans le sens de professeur, mais comme je suis très petit, et bien je suis dans une petite classe, et le maître et son savoir que je n’ai pas,peut servir à enseigner dans toutes les classes de tous les niveaux.

    ___Pour répondre à votre phrase [Mais poussière n’est pas descriptif de manière claire] et bien je pense que particule virtuelle n’est pas plus une description claire, car qu’est-ce qu’une particule virtuelle, une entité d’un seul bloc ou encore composée d’autres entités plus petites ? Il en va de même pour un champ au sens quantique, car ces points sont quoi ?
    Je pense que je vais faire le ménage pour enlever mes poussières, mais ces poussières n’étaient que des grains, des granules, pour expliquer que les notions de particule et même celles du quantique sont des grains (de poussières), et que l’unité n’est pas les différentes particules mais le grain qui les constitue. C’est-on mieux définir ce qu’est le photon ? En attendant j’enlève mes poussières qui semblent ne pas rentrer dans ces physiques avec de beaux mots scientifiques.

    ___D’après le lien que vous me donnez pour consulter cette notion de dialectique, et bien j’obtiens une liste très grande d’un nombre impressionnant d’articles de votre propre site. Il y a plus de 230 articles correspondant à la liste que vous me proposez d’aller regarder. Cette liste n’est pas une vraie liste constituée par vos soins, mais je pense une sorte de requête sur vos bases de données recherchant le mot clef "dialectique" et on peut compter plus de 230 articles où ce mot y figure, ce qui est énorme. Je ne pourrai pas lire tout cela d’un seul coup, et je vais m’habiter à ce mot de "dialectique" doucement, même si il ne va pas dans votre sens du réel. Ce qui est sûr est que vous affectionner énormément ce mot de "dialectique", et pour le dire plus fortement c’est de l’amour pour ce mot et sans doute même de la rage, car pour trouver ce mot dans plus de 230 articles et qui n’est pas un mot usuel commun, et bien il faut vraiment l’aimer ce mot de "dialectique". Parmi le survol manuel que j’ai pu faire en parcourant vos articles et noter les adresses pages internet, et bien j’ai noter 5 articles très particuliers, car il sont vides mais comportement quand même les deux mots "lire ici", et bien sûr ce renvoi de "lire ici" est un lien donnant accès à une vraie page. Ceci vous prouve que j’ai pris du temps pour survoler vos articles, et comme on a pas directement tout les articles d’un seul coup quand on consulte cette liste, et bien on ne sait pas vraiment quand elle s’arrête (la liste), et on est alors obligé de parcourir ces articles par gestion par découpage par pages qui est une gestion de présentation des accès des pages.

    __Je vais essayer de changer la façon de mes écrits, car on m’a dit qu’ils étaient non agressifs mais déplaisants, car la forme semble être celle du non respect, mais cela n’est absolument pas mon but de me faire valoir, car j’écris comme je parle, et cela peut déplaire, car la franchise et la simplicité peut être perçu comme agression. On m’a dit aussi d’être plus concis, et il serait préférable que vous me disiez aussi car je demande qu’à apprendre. Je vous remercie de vos retours.

    Bonne soirée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Mr POULIQUEN, vous présentiez au départ en disant que vous êtes né à Paris en 1951, êtes amateur de sciences, passionné de physique en général, retraité depuis quelques années. Vous me dites que vous avez inventé une théorie qui touche les deux infinis. Etre amateur, dites vous, cela n’empêche pas de réfléchir comme ces scientifiques, et peut être même mieux, car ma tête est vide de réponse, mais pleins de questions, et le survol des sciences est sûrement la meilleurs des choses, pour remettre en cause, ce que les scientifiques peuvent savoir, et ne peuvent se défaire.

    Cela fait déjà de grands points communs, d’âge (la même année de naissance !), de situation, de point de vue. Nous divergeons sur les diplômes (que j’ai passés tout en émettant toutes les réserves sur les institutions qui les organise) mais, contrairement aux apparences, je ne suis qu’un amateur (on ne pourrait pas imaginer le contraire vu le nombre de domaines que j’aborde !). Même si j’ai effectivement fait toutes les études scientifiques nécessaires, dans les grandes écoles et universités, je n’ai pas eu l’activité professionnelle correspondante car tel n’était pas mon choix. Comme vous avez pu le constater, j’ai un point de vue philosophique révolutionnaire qui influence clairement et ouvertement mes conceptions dans tous les domaines. Ce n’est bien entendu pas nécessaire que nous soyons d’accord en tous points. Je crains que la plupart de nos lecteurs (actuellement respectivement 3800 et 900 par jour en moyenne dans nos deux sites) ne soient pas non plus d’accord avec nous !!

    Ce n’est pas un problème : nous ne prêchons pas pour une paroisse, nous ne sommes pas détenteurs de « la vérité », nous ne cherchons pas des adeptes mais d’autres chercheurs de vérité, comme nous ! Nous apprécions qu’ils nous critiquent, qu’ils nous corrigent et, si nécessaire, nous sommes prêts à changer nos points de vue si on nous démontre qu’il le faut…

    Nous nous revendiquons d’une démarche matérialiste scientifique selon laquelle ce n’est pas la pensée qui gouverne le monde mais la réalité et que la pensée humaine se soumet à cette réalité dont elle fait partie.

    Certaines de vos critiques de la physique contemporaine nous sont communes.

    Par exemple, vous dites :

    « Pour ma part cette date de compte à rebours de 13, 8 milliard d’années depuis le Big-bang, donc de notre naissance, ne veut strictement rien dire, et ce même avec l’accélération de l’expansion de notre Monde. »

    J’ai moi aussi un point de vue opposé au point de vue le plus classique du Big Bang : voir ici

    Vous écrivez par contre :

    « Ces bulles de vide de matière que sont les plus grandes structures que nous connaissions, ne sont que dans notre Bulle de temps… »

    En fait, il faut surtout expliquer non l’existence des bulles de vide dans l’espace mais le fait que la matière soit apparue aux limites des ces immenses sphères sans matière durable (puisque la matière non durable est partout) !!! L’existence du vide n’étonne pas non plus puisque le vide est partout, y compris au sein de la matière !

    Vous écrivez : « c’est seulement la matière alignée en fils où se trouvent les galaxies qui déterminent ces trous de vide. »

    Mais il semble que la matière ne fait pas que délimiter les bulles : elle a été créée aux limites des zones du vide.

    Cela signifie que le vide a un effet de pression et qu’à la limite de deux zones subissant deux pressions contradictoires se forme de la matière durable…

    Ce qui caractérise les zones où apparaît la matière, c’est le fait que de la matière durable se forme et pas d’antimatière durable. Il me semble que c’est le fait essentiel qu’il s’agit d’interpréter car dans toutes les zones du vide, il n’y a jamais de matière éphémère sans antimatière éphémère. Il faut rappeler que la base de la matière durable est la matière éphémère. La matière durable est de la matière éphémère qui a reçu de l’énergie.

    De ce point de vue, je ne comprends pas ce qui nous mènerait à penser que nous aurions affaire à des bulles de temps…

    Les bulles de vide vous posent un problème apparemment conceptuel puisque vous écrivez :

    « Et bien pour ma part ces particules virtuelles ne remplissent pas tout l’espace, mais se trouvent où la matière se trouve, c’est à dire dans ces fils d’araignées, et ce qui donne comme sentiment que monde n’est pratiquement rien, d’autant que dans ces fils, les galaxies ne sont pas juxtaposées mais laissent entre elles des vides énormes. On sait que l’atome et rempli de vide car l’enveloppe virtuelle est très grande par rapport à son noyau, mais dans cette vision comme il y a des milliards de milliards d’atomes, l’impression est différente que ces bulles virtuelles sans matière à très grande échelle, car là nous touchons à la grandeur de notre monde qui est une butée. Impression curieuse de n’être rien... »

    En fait, cette impression d’un monde « qui n’est rien », « qui est vide » (le vide ne signifie pas « qui ne contient rien » mais qui ne contient rien de durable) est fausse. Ce qui l’emporte en voyant des immenses bulles et leur part considérable de l’Univers, c’est l’impression d’une immense majorité du monde où il y a une symétrie dynamique et contradictoire entre matière et antimatière, les deux restant sans cesse couplés et d’une fraction infime de l’Univers (les immenses filaments de matière entre les bulles) où cette symétrie est rompue et où la matière existe sans l’antimatière !!!!

    Pourquoi, en partant dans la discussion des immenses bulles de vide, en venir à parler de ma thèse de la gravitation quantique ?

    Eh bien, c’est parce que vous demandez : comment relier les immenses bulles de vide et les infimes particules virtuelles du vide ?

    Vous écriviez en effet :

    « Je n’ai pas trop compris pourquoi partant d’un article sur les bulles de vide sans matière, qui sont les plus grandes structures de notre monde, vous en êtes à m’avoir conseillé de lire un article sur la gravitation quantique qui est l’une de vos thèses sans doute et qui correspond à une échelle totalement opposée. C’est sans doute parce que j’avais écrit que les particules du quantique ne remplissent pas tout le contenu de l’espace, mais se trouve ou se trouve la matière. »

    Or, la gravitation, c’est justement une interaction qui a surtout du poids (excusez le petit jeu de mots) à grande échelle…

    Vous concluez :

    « Considérons que toutes les particules sont des paquets de POUSSIÈRES donnant des structures-champs. »

    Ce n’est pas extrêmement différent de mes propres conclusions.

    Pour moi, une particule est constituée d’un nuage de particules et d’antiparticules virtuelles, nuage structuré autour d’une particule réelle.

    Je n’emploie pas le terme de poussière parce qu’on se demanderait « poussière de quoi » de matière durable ou de matière éphémère, ou encore de matière et d’antimatière éphémère.

    L’idée que ce nuage entraîne la formation de « structures-champs » n’est pas non plus très différente.

    Il semble que les particules et antiparticules sautent d’une position à une autre au sein du nuage de telle sorte que les interactions entre charges électriques les amènent à former des couches successivement électriquement positives et négatives, par couches en oignons autour de la particule durable.

    Vous écrivez :

    « Ayant dit que les particules virtuelles du quantique ne remplissaient pas tout l’espace mais que ces particules se trouvaient ou se trouve la matière, et donc dans ces fils d’araignée pour ce donner une image par rapport au bulles de vide sans matière représentant des ballons, vous m’avez orientez sur le vide quantique, et je trouve cela très curieux comme changement d’échelle car ces bulles d vides sans matière sont les plus gros objets que l’on peut définir dans notre monde, et les particules virtuelles sont exactement l’inverse car ce sont les objets les plus petits, et la différence d’échelle est énorme, mais cela tombe très bien car c’est souvent le petit qui engendre les structures du plus grand, donc on passe du plus grand au plus petit. »

    En fait, j’ai dû mal m’exprimer : je ne voulais pas dire que le vide interstellaire ne serait pas du vide quantique. Je voulais seulement dire que les propriétés du vide quantique que nous constatons autour des particules durables ne se produisent pas sans la présence des particules durables.

    Il semble aussi que la particule durable ne soit pas un objet fixe mais une propriété qui saute très rapidement d’une particule virtuelle du nuage à une autre. (Phénomène appelé écrantage de la particule)

    Sinon, votre interprétation reste proche de la mienne. Je vous cite :

    « Pour prendre l’exemple de l’électron, celui-ci est constitué d’un certain nombre d’éléments que j’appelle poussière. Sa structure est un bloc non homogène car son centre possédant une sorte de noyau qui est plus dense que le reste de sa structure et où ce reste s’amenuise au fur et à mesure que l’on s’éloigne du noyau. C’est donc une sorte de structure-champ de poussières non homogène, où sa périphérie est plus en activité que son centre, car plus d’interaction avec le vide l’espace que sont les particules virtuelles. C’est donc une structure modifiable jouant plus sur sa périphérie avec l’extérieur. Ceci est à comparer comme un essaim d’abeilles, où le centre est plus ou moins l’essaim, mais la colonie totale d’abeilles n’est pas rassemblée dans l’essaim mais dilatée. Il faut donc voir une structure-champ dilaté et qui n’est pas une onde, mais pouvant être interprétée comme telle si besoin. Cette structure-champ peut aussi être interprétée comme étant un corpuscule si par contraintes, les éléments se rassemblent pour ne former qu’un bloc assez compact. Cette structure est valable pour l’électron mais aussi pour le positron où seule la charge diffère. Donc l’électron ou le positron est un paquet de poussières non homogène et non concentré donnant une structure souple en modification. Il faut comprendre aussi que ces structures peuvent se rencontrer par des chocs, et donc si deux électrons se rencontrent, ils se déforment suivant le choc, mais ils reprendront leur structure initiale et peut même avoir des poussières échangée entre 2 électrons. Donc ces structures-champs ne sont pas figées mais s’adaptent suivant les événements. »

    Un de nos points de désaccord, peut-être momentané, se trouve dans cet écrit :

    « De dire que le vide est milieu matériel est semble t-il un peu exagéré, car matériel vient de matière, et matière sous-entend une masse réelle. »

    Il a été démontré en physique actuelle que la masse n’appartient à aucune sorte de matière et est portée par le boson de Higgs. Qui dit boson dit le contraire de fermion (terme employé pour les particules de matière). Le boson, c’est le corpuscule de lumière, de champ, d’interaction…

    Matière ne sous-entend pas masse.

    Matière sous-entend charge électrique.

    Boson sous-entend des couples de deux charges électriques opposées.

    Il y a des points sur lesquels je ne répond rien, soit parce qu’il faudrait se lancer dans de longs développements qui nous sortiraient de notre axe, soit parce que j’ignore la réponse.

    Il reste des quantités de choses que nous sommes loin de savoir en Physique mais le monde n’en est que plus passionnant à observer et à penser !!!! Voilà encore un point d’accord entre nous…

  • Bonjour.

    ___En réponse à votre retour du [18 janvier 14:34] car moi je fais souvent des allers et quelques fois aussi des retours.

    ___Tout d’abord pour dire que 1951 est un très bon millésime, histoire de sourire un peu, pour dire encore que la plus part des mamies sont la sagesse même et le vrai amour de ce monde, et dire encore vive les amateurs... Mercie encore d’avoir pris du temps pour me répondre et surtout d’avoir pris du temps pour me lire, car votre temps est apparemment très disputé dans vos activés d’écriture et autres sans doute. Donc je suis très heureux sans m’étendre d’avantage.

    ___Oui j’ai créé une petite théorie d’amateur correspondant aux extrêmes des physiques, mais sans tenir compte de cette physique très particulière qui est la physique quantique, que je découvre plus que moins d’ailleurs en vous lisant. Je me suis construit cet infini petit sans tenir compte de la quantique mais en sachant qu’il y avait des particularités dans cette mécanique qui n’en est pas une vraiment, car les rouages sont absent, du moins certains engrenages ne correspondant donc pas à une horloge complète, car il manque plein de roues à dents, pour entraîner l’ensemble.

    ●●Vous dites : : [En fait, il faut surtout expliquer non l’existence des bulles de vide dans l’espace mais le fait que la matière soit apparue aux limites des ces immenses sphères sans matière durable (puisque la matière non durable est partout) !!! L’existence du vide n’étonne pas non plus puisque le vide est partout, y compris au sein de la matière ! Mais il semble que la matière ne fait pas que délimiter les bulles : elle a été créée aux limites des zones du vide.
    Cela signifie que le vide a un effet de pression et qu’à la limite de deux zones subissant deux pressions contradictoires se forme de la matière durable…
    Ce qui caractérise les zones où apparaît la matière, c’est le fait que de la matière durable se forme et pas d’antimatière durable. Il me semble que c’est le fait essentiel qu’il s’agit d’interpréter car dans toutes les zones du vide, il n’y a jamais de matière éphémère sans antimatière éphémère. Il faut rappeler que la base de la matière durable est la matière éphémère. La matière durable est de la matière éphémère qui a reçu de l’énergie.
    De ce point de vue, je ne comprends pas ce qui nous mènerait à penser que nous aurions affaire à des bulles de temps…]

    ___Je parts de la fin dut texte extrait : : Je ne parle pas du tout DES bulles de temps, car ce que je veux exprimer c’est UNE SEULE BULLE DE TEMPS, qui est notre portion de monde que nous voyons au maximum dans toutes les directions et dont nous sommes le centre obligé. Donc une seule BULLE DE TEMPS qui est une vison réelle de ce que l’on peut y voir à très grande échelle, et dont le temps est limité en distance, car notre portée de détection n’est que d’environ 15 milliards d’années dans une direction de l’espace, comme si il y avait une limite autour de nous, et que derrière cette limite nous ne puissions plus rien voir. Il n’y a donc qu’une seule BULLE DE TEMPS qui représente une sphère qui n’est qu’une portion de notre vrai monde, car on ne peut rien détecter après cette limite de bulle de vision, et pourtant après cette limite le notre monde se poursuit mais est inaccessible. Donc quand on parle de notre monde voir même d’univers, et bien on ne parle que d’une PORTION du monde qui n’est que notre détection limitée par la distance et par le temps de ce que nous pouvons y voir. La vision du très grand comme du très petit n’est pas infranchissable, car on peut largement comprendre que nous sommes coincé dans une vision restrictive, mais qu’en dehors des limites, notre monde continue, et cela est la même chose dans la petitesse, car on peut sans même pouvoir le voir imaginer ce qui s’y passe, et c’est d(ailleurs ce que fait cette quantique qui ne peut se voir, mais être imaginée.

    ___Pour ces bulles de vide sans matière a très grande échelle, et bien je diverge complètement avec vous, car ces bulles de vide ne sont pas pour moi, venant d’une pression soit disant venant des particules éphémères qui y sont poussant ainsi la matière dite réelle, car j’ai d’autres explications sur cet état de fait que sont ces bulles sans matière durable. De dire que les particules éphémères se trouvent que où se trouvent les particules durables, n’est qu’une invention ressente de dernière minute de ma part qui ne correspond pas à ma théorie, car je découvre en ce moment ce que peut être cette quantique. Ces bulles de vide sans matière ne sont pas pour moi une construction par la matière éphémère invisible du quantique repoussant ainsi la matière durable en permanence, mais une construction autre qui est s’est figée, et donc est totalement inactive de nos jours, car déjà cette expansion cosmologique est revue dans ma théorie pour être autre chose. En expliquant où est apparue cette matière durable comme celle éphémère du quantique, on peut expliquer forcément la géométrie de ces bulles sans matière durable, et celle de la matière éphémère se trouvant aussi où se trouve la matière durable, en faisant ces bulles sans aucune particules quelconques, même celles du quantique, car le peu de ce que j’ai lu de cette quantique, celle-ci donne aussi des explications sur l’expansion cosmologique, et donc il y a un lien entre bulles de vide sans matière durable et l’expansion cosmologique. Mais à un constat donné il peut y avoir d’autres causes que celles données par la quantique, mais je ne peux le faire, car je développerai alors ma théorie qui n’est pas le but de mes commentaires. Sur cet article mon premier commentaire était de dire qu’il y avait sûrement une erreur de grandeur de ces tailles de bulles de vide sans matière, car vous m’avez confirmé qu’il faille prendre 100 millions d’années de diamètre et non 100 milliards d’années car notre propre portion de monde d’existence d’après les scientifiques n’est que de 15 milliards d’années.

    ___Non le vide dont vous parlez n’est pas PARTOUT, car ce vide est celui du quantique qui lui est PLEIN, et que je considère qu’il puisse y avoir de vrai vide et donc pour vous du néant dans notre propre portion de monde, car pour moi dans ces bulles de vide sans matière à grande échelle n’existe pas des particules sous toutes ses formes (réelles et/ou éphémères) sont absentes, mais que ce vide soit un faux vide pour autant, car cet Éther y est présent sans qu’il soit pour autant interprété comme les particules éphémères du quantique. L’Éther n’est pas les particules éphémères quantique !!! Donc où stationne la matière durable n’est pas lié au processus de poussée venant des particules éphémères quantique, rejoignant l’idée quantique de l’expansion cosmologique qui est en fait le même processus, mais qui pour moi est un autre processus, car déjà dans ma petite théorie j’ai réussi à éliminer cette expansion cosmologique, qui gène tout le monde avec ces scénarios catastrophes car cette expansion est dit même accélérée. La quantique qui à l’origine ne s’occupait normalement que du petit vient maintenant interférer pour expliquer des échelles les plus supérieures. Il est certain que c’est le petit qui commande presque tout, mais cette quantique n’est pas une obligation d’être présente à de grande échelle, car les particules éphémères ne sont pas une obligation pour résoudre des problèmes.

    ___Pour ce qui concerne matière et anti-matière cela est encore un autre problème, car je peux comprendre que notre vrai monde, et même que celui de la portion de monde de notre environnement limité en vision, puisse exister des systèmes inversés car la lumière est neutre et d’après ce que j’ai compris comme neutre n’est qu’un équilibre des charges, donc la lumière venant de la vraie matière ou de la fausse anti-matière est strictement la même, et on ne peut savoir si tel photon à été créé à partir de matière ou d’anti-matière. Il peut donc exister dans notre propre portion de monde des système inversé donnant des anti-galaxies, comme des anti-étoiles. La lumière perçue n’a pas cette identité de dire d’où elle provient, et je ne pense pas que le spectre de lumière soit inversé quand la lumière vient de l’anti-matière.

    ●●Vous dites : : [En fait, cette impression d’un monde « qui n’est rien », « qui est vide » (le vide ne signifie pas « qui ne contient rien » mais qui ne contient rien de durable) est fausse. Ce qui l’emporte en voyant des immenses bulles et leur part considérable de l’Univers, c’est l’impression d’une immense majorité du monde où il y a une symétrie dynamique et contradictoire entre matière et antimatière, les deux restant sans cesse couplés et d’une fraction infime de l’Univers (les immenses filaments de matière entre les bulles) où cette symétrie est rompue et où la matière existe sans l’antimatière !!!!]

    ___Et bien je considère pour ma part que des volumes d’espace puissent être sans aucune particule, aussi bien durable qu’éphémère, car pour moi la notion quantique n’épouse pas tout l’espace, et c’est même un raisonnement que j’explique dans un autre article de votre site, car si cette quantique et ses particules épousait tout l’espace, les vrais photons venant de galaxies lointaines nous donneraient des images déformées, car ces photons seraient en interaction par moment avec ce vide bouillonnant, et que forcément il y ait des collisions déformant les directions de ces photons lointains. Ceci est une logique rationnelle. Je reste donc sur ce sentiment que le monde n’est pas grand chose, mais je considère aussi que notre portion de monde n’est pas notre vrai monde, car après cette vision limité en distance et en temps qui es notre BULLE DE TEMPS, et bien après cette limite notre monde continue, et est même très grand sans être infini pour autant. Donc je perd d’un coté mais je le retrouve d’un autre. De dire que notre portion de vision de notre monde n’est qu’une goutte d’eau par rapport à un océan, n’est qu’une image pouvant être une vérité, car vous vous doutez qu’a la limite de ce que l’on peut voir existe après cette limite encore la même chose. Ce que nous voyons au plus lointain c’est notre passé du moins celui du monde, mais ce passé est aussi au présent de nos jours, car le présent est partout, mais nous le voyons avec retard plus nous voyons loin. Nous voyons donc du passé mais pas du tout un monde dans l’ensemble du présent. Pour revenir sur ces particules éphémères quantique, et bien je considère qu’elles stationnent où la les particules durables sont, mais que des échanges se font entre ces deux types de particules, comme si elles n’étaient qu’une, car on peut interpréter les éphémères comme un complément voir même comme un résidus ne pouvant se matérialisé.

    ●●Vous dites : : [Vous concluez :
    « Considérons que toutes les particules sont des paquets de POUSSIÈRES donnant des structures-champs. »
    Ce n’est pas extrêmement différent de mes propres conclusions.
    Pour moi, une particule est constituée d’un nuage de particules et d’antiparticules virtuelles, nuage structuré autour d’une particule réelle.
    Je n’emploie pas le terme de poussière parce qu’on se demanderait « poussière de quoi » de matière durable ou de matière éphémère, ou encore de matière et d’antimatière éphémère.]

    ___Et bien nous sommes presque d’accord sauf que le mot poussière vous le rejeté. Un certain Hubert REEVES a dit que nous sommes de la poussières d’étoiles. Et bien je dirai que nous sommes de la poussière de particules. En fait les particules même élémentaires ne sont pas d’un bloc continu, car le continu n’existe pratiquement pas, mais ces objets sont constitués d’éléments plus petits que j’appelle poussières et qui correspondent en fait à des grains, des granules. L’Électron est une structure-champ constitué de grains (poussières) et où le centre de ce paquet de grains est plus dense, mais cette structure-champ est très malléable et certains grains peuvent être remplacés par d’autres grains disponibles que sont les particules éphémères quantiques qui sont les mêmes grains, et quand on parle de masse, ce n’est pas le grain qu’il faille définir mais le paquet de grains, car il est déjà difficile de cerner ce que peut être un électron, alors d’aller voir ce que sont ces grains le constituant est de l’ordre impossible, et pourtant il y a encore plus petit. Que ces gains chargés s’arrange entre eux pour faire des couches positives ou négatives est encore autre chose comme description, mais ce qu’il faut voir c’est que les particules éphémères du quantique sont pour moi ces mêmes grains chargés, et que des échanges de grains puissent se faire entre une réalité qui n’est que le paquet et l’irréel qui ne sont que les grains disponibles. Donc quand je dis que le virtuel stationne où le réel se trouve, c’est que cela est un ensemble de grains, mais que suivant un groupage limité de grains cela forme alors des paquets de grains que l’on appelle de particules élémentaires. Dons l’élémentaire est mal choisi, car il y a plus petit. Atour ce ces paquets les grains ne pouvant erre pris car la quantité de grains pour un paquet est limité, donc ces grains restant sont encore dans l’environnement du paquet, et il y a des interaction avec les grains de paquet et ceux qui sont libres, et où il y a même des remplacements. En fait la matière change constamment et n’a pas de vraie identité. Pour répondre à votre interrogation "poussière de quoi " et bien la poussière sont des résidus justement venant de tas de choses ayant des caractéristiques différentes, et cette poussière est la meme que celle durable que celle éphémère.

    ●●Vous dites : : [En fait, j’ai dû mal m’exprimer : je ne voulais pas dire que le vide interstellaire ne serait pas du vide quantique. Je voulais seulement dire que les propriétés du vide quantique que nous constatons autour des particules durables ne se produisent pas sans la présence des particules durables.]

    ___Dur dur pour moi, car double négation. Donc si les particules éphémères ne sont présente que proche des particule durable, cela veut bien dire que des volumes d’espace sans particule durable, ces particules éphémères ne pas plus présente, et je ne comprend pas vraiment pourquoi vous étiez en désaccord avec moi. Le vide quantique est donc bien dépendant des particules durables !!!

    ●●Vous dites : : [Il semble aussi que la particule durable ne soit pas un objet fixe mais une propriété qui saute très rapidement d’une particule virtuelle du nuage à une autre. (Phénomène appelé écrantage de la particule)]

    ___Je ne pense pas que ce sont les particules durables qui sautent de position, mais leur constituants que sont leur grains, et donc échange entre un vide plein et certains éléments constituant les particules durables. Mais toutes les particules durable ne sont pas regroupées de la même façon, et je pense que cet électron est une structure-champ très déformable quand il est plus ou moins libre, car j’ai avancé que proton et neutron sont constitués d’électrons comme de positrons mais que ces paquets comme des quarks sont compressés et moins volatiles que l’électron et positron.

    ●●Vous dites : : [Il a été démontré en physique actuelle que la masse n’appartient à aucune sorte de matière et est portée par le boson de Higgs. Qui dit boson dit le contraire de fermion (terme employé pour les particules de matière).
    Le boson, c’est le corpuscule de lumière, de champ, d’interaction…
    Matière ne sous-entend pas masse.
    Matière sous-entend charge électrique.
    Boson sous-entend des couples de deux charges électriques opposées.]

    ___Comme vous dites actuelle en parlant de la physique mais demain ?? Je pense le savoir que la masse ne soit pas un attribut intrinsèque de la particule, mais si on considère que des grains forment des particules élémentaires, alors ces grains ont forcément une masse qu’il est impossible de tester. Mais après tout c’est peut être la géométrie même de la particule dans son ensemble formant un paquet de grains où la masse puisse être une donnée valide, et que le petit grain ayant une autre géométrie ne puisse pas être définit comme possédant une masse. La masse serait donc une notion pouvant être mesurée que si la géométrie d’une entité donne cette possibilité. Pas tout à fait d’accord avec vous car les petits neutrinos ont très petite masse mais n’ont absolument pas de charge. Ce sont donc aussi des paquets de grains mais sans charge, à moins que les charges soient équilibrées comme le neutron, et que le mêmes grains servent pour définir des tas de particules. Vu la difficulté à calculer les masses des neutrinos, leur charges peuvent équilibrées peut être d’autant plus difficile.

    ___Je dirai pour terminer : : Vive les amateurs qui ont des idées même si elles sont fausses (les miennes) !!!

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ●●[Pourquoi, en partant dans la discussion des immenses bulles de vide, en venir à parler de ma thèse de la gravitation quantique ?]

    ___Oublie de ma part, de cette petite phrase importante où le mot thèse est employé. Et bien je n’ai rien vu dans une petite partie de vos écrits, car je débute dans cette lecture infernale de vos articles tant ils sont en nombre, concernant la physique, et qu’il n’y avait pas de thèse de votre part, car beaucoup de citations, beaucoup d’explications, comme aussi des appréciations par quelques refus mais surtout des accords avec ce qui cité. Si vous avez des pages concernant votre thèse et bien je demande qu’à les lire, car SI il faut voir dans un certain nombre d’articles ce qui se dégage avec des innovations de votre part, cela me semble difficile pour moi, de faire alors une synthèse de ce que je peux lire de vos articles, ils sont fait de telle façon pour expliquer et rédigé sur un sujet donné, mais non scinder en une partie explicative et une autre qui serait vos des idées. Et puis ne connaissant pas cette quantique, et bien ce que je lis de vous n’est pas en opposition avec certaine notions quantiques, car je ne les connais pas, donc compliqué de juger. Difficile alors si ce sont des notions déjà existantes de cette quantique, ou si elles sont des notions innovantes de votre part. Il serait même préférable de lire vos thèses, et de vous dire je suis d’accord ou en désaccord avec vous. Je peux comprendre que mes réflexions puissent vous déranger, ne sachant pas moi-même ce que je li de vous, et qui sont parfois vos idées et celles d’autres. Il est toujours dérangeant de se voir démonter ses propres idées par d’autres, car une thèse est avant tout des trouvailles réfléchies, qui ne tombent pas du ciel, mais sont forcément élaborées, et si la légèreté de mes remarques, vient démonter ce qui est construit, je comprends alors sans doute vos humeurs. Si sur un ensemble d’explications d’un sujet donné, des notions vous appartiennent, et bien comme étant amateur je ne sais si ces explications et innovations sont les vôtres, car il faudrait que je sache où il y a innovations et idées, par rapport à un ensemble d’explications.

    ___Ma petite théorie est au départ qu’une question que je me pose à moi-même pour résoudre un problème non résolu de la physique, et où j’ai mis des jours et des nuits avant de trouver une solution particulière. De cette solution farfelue j’ai trouvé des relations avec d’autres énigmes de la science et ainsi de suite. Quand je suis arrivé à plus d’une vingtaine de liens et correspondant toujours à ma solution trouvée, et bien j’ai considéré que cela était une petite théorie. Maintenant si on me disait que cette solution ne tient pas la route, et bien je serais déçu, mais comme pour la théorie des boucles par exemple, je pourrais quand même dire ce qu’est le temps physique et donc de me faire une représentation de cette notion. Actuellement tout est virtuel, et cela est tellement virtuel que vous n’avez même pas de représentation !!!

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Avant de continuer mes remarques sur ces bulles de vide sans matière, quelle est votre thèse concernant la gravitation, et quels sont les différents articles où vous parlez de votre thèse. Merci d’avance.

    ___En m’imaginant ces bulles de vide sans matière, cela ne correspond pas à une très grande quantité de bulles dans une direction donnée, car seulement 150 bulles, ce qui correspond à une règle de 15cm graduée en 1mm d’intervalle, ce qui est très représentable dans notre échelle, car une règle fait en moyenne plus de 20cm, et bien qu’est-ce qu’il peut arriver après cette extrémité de 150mm ?? En gros est-ce que notre monde visible est limité par la portée de notre vision et donc est-ce que notre vrai monde est-il plus grand ?? Et bien forcément que OUI que notre vrai monde est beaucoup plus grand que ce que nous pouvons en voir, car on voit très mal pourquoi ces bulles s’arrêteraient à une frontière de notre visibilité du plus lointain que nous pouvons observer. Maintenant est-ce que la règle fait 1.5m, 15m 150m 1,5km 15km 150km 1500km 15|000 ou même plus... Si je prend ce dernier nombre évoqué de 15000km par rapport à 1mm cela nous donne comme rapport 1,5×10E10 ce qui n’est pas si énorme mais correspond bien à cette notion imagée d’une goutte d’eau par rapport à un océan, comme je l’ai déjà évoqué sur un autre article. Maintenant est-ce que cette structure de bulles de vide sans matière se prolonge de la même façon après notre limite de visibilité ?? Et bien je pense que oui, mais je crois aussi qu’elle s’atténue, et où les bulles sont de plus en plus petites, jusqu’à disparaître. Ce qui veut dire aussi que les constantes que nous avons dans notre vision limitée ne sont pas les mêmes plus on s’éloigne de cette fausse frontière qui est notre monde visible ou détectable. Ce qui est important de comprendre est que notre monde n’est absolument pas notre visibilité réduite. De plus on peut imaginer que dans la direction opposée de la règle, que ces bulles grossissent au lieu de rétrécir, et elles finiront par rétrécir, ce qui veut dire aussi que notre position dans cet océan n’est absolument pas le centre, mais une position que nous pourrons jamais connaître.

    ___Le fait de donner une taille imaginaire à notre vrai monde qui n’est pas celle de notre bulle de temps de 15 milliards d’années lumière de rayon, cela permet d’ouvrir un champ beaucoup grand qui est même celui de l’infini, car si notre océan est limité en dimension, cela veut dire aussi qu’il puisse y avoir d’autres mondes et donc d’autres océans de toutes tailles dans cet infini. Pour moi l’espace n’est rien qu’un contenant et il est infini, et n’a nul besoin de création, et dans cet espace sans fin, figure des zones non vide, pour ne pas dire ce que ces zones recèlent, et on peut donc considérer qu’il ait une infinité de mondes, mais ne communiquant pas entre eux. Le big-bang si on l’accepte n’est qu’une touche de matière et d’énergie se trouvant dans un volume réduit dans un espace infini où d’autres mondes existent. Notre vrai monde est une structure floue exactement comme une particule qui est un champ-objet ou une structure-champ composée de grains plus élémentaire que la particule élémentaire..

    ___De voir très grand c’est aussi voir très petit, ainsi l’Éther de notre monde est flou car il se dilue plus nous nous éloignons du centre de notre vrai monde, et cet Éther est aussi celui utilisé par la quantique donnant cette énergie. Si les masses très importantes déforment cet Éther localement, cet Éther se déforme de lui même plus nous éloignons du centre de notre vrai monde. Il est comme un essaim où les frontières n’existent pas, au même titre qu’une particule qui est aussi un champ local. On ne peut plus considérer qu’une particules soit un corpuscule, comme il ne faut pas non plus considérer qu’une particule soit une onde, car l’onde mécanique, comme l’onde photon, ne sont pas des ondes stationnaires, mais justement des ondes se déplaçant, des ondes toujours en mouvement rectiligne ; épousant bien sûr les géodésiques des déformations. L’onde stationnaire n’existe pas, car c’est même un abus de langage, et il faut remplacer cette notion d’onde stationnaire par un champ d’éléments et donc une structure-champ malléable se déformant et sans vraies frontière. Cette notion de structure-champ définie un objet particule comme un objet monde, car cette structure est malléable et donc non figée, et de plus possède un cœur, où simplement la densité d’éléments est plus grande vers le centre, et plus nous nous éloignons du centre plus la densité en éléments devient faible, et aussi plus nous sommes vers le centre d’une structure-champ et plus cela est ralenti.

    ___Quand je lisais certains petits articles sur les mondes ou univers parallèles, et bien je ne comprenais rien, car je ne comprenais pas où cela pouvait nous amener, mais comme les limites de notre portion de monde ne sont que des limites de visibilité à grandes portées, ces limites ne sont que virtuelles, c’est à dire des frontières n’existent pas réellement, et que forcément cela continue derrière ces frontières obstacles infranchissables sans détection possible, mais non par l’imagination et même par la logique et le raisonnement. On voit mal pourquoi par rapport à nous le centre, dans une direction donnée il n’y aurait que 150 bulles de vide ans matière, et dans la direction opposée la même chose, et que cela soit l’enveloppe de notre monde, car pourquoi 150 et non plus ?? Ceci est comme la quantique que l’on ne peut pas voir et détecter, et bien dans l’échelle du très grand cela est pareil, nous sommes limité dans les détections, mais nous devons imaginer une continuité dans les deux infinis.

    ___Faire des rapprochements par homothétie entre le très petit et le très grand n’est pas une bonne démarche, car les lois sont différentes, même si il peut y avoir des ressemblances au niveau des regroupements, car ce sont bien les assemblages qui donnent cette notion d’existence.

    ___En revenant sur votre article en début de celui-ci la phrase : : [On peut dire que la gravitation est responsable de cette tendance à "groupir" de la matière ou, inversement, interpréter la matière comme le produit d’une pression du vide.]


    et bien ce mot de "groupir" mis entre double guillemets je ne le comprends pas et de plus non trouvé sur internet en recherchant comme mots clef : : "définition groupir". Même si mon langage est rudimentaire, j’essaie de rechercher ce que je ne connais pas sur internet, et apparemment je dois être aussi nul pour la recherche pour ce mot. Mais je dois avoir un cerveau lent, car je pense après coup, que c’est une erreur de frappe et que c’est grouper tout simplement...
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Entièrement d’accord avec vous quand vous dites :

    « Faire des rapprochements par homothétie entre le très petit et le très grand n’est pas une bonne démarche ».

    Quand on multiplie ou on divise, on ne change pas de monde, pour moi il n’y en a qu’un seul, mais on change de niveau hiérarchique du monde et ça change les règles et les lois !!!

  • RE Bonjour.

    ___Merci d’une réponse de votre part, sur ce sujet d’échelle.
    ___Et bien il est assez rare que nous soyons d’accord, et c’est un bien pour mieux se comprendre sur des notions comme ces niveaux hiérarchiques de notre monde. Avez vous une idée ou un nombre de niveaux hiérarchiques à proposer, car pas si facile que cela à donner des tranches où les lois ou notions sont identiques, et que dans d’autres tranches les lois ou notions sont différentes ? Comme la quantique possède déjà différentes échelles d’interprétation, et bien sûrement très difficile de donner des échelles rien que pour cette quantique, car c’est ce que vous m’avez dit.

    ___Je réitère ma demande, à savoir quels sont les différents articles de vos thèses, si plusieurs articles. Merci d’avance.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Cher Mr Pouliquen, je ne fais pas un catalogue de mes thèses car je n’ai aucune visée académique ou universitaire. Je n’édite pas ni des livres ni des articles de revues. J’ai écrit à peu près dans une cinquantaine de domaines différents et je n’ai pas la liste. D’autres ont fait allusion à mes thèses ici ou là, qu’il s’agisse de la révolution antique de l’Egypte ou des Anasazis, de la mort de Socrate et de sa vie, de l’émergence de la matière au sein du vide quantique, ou de la gravitation quantique.

      En ce qui concerne mon hypothèse sur la gravitation

      Comme vous pouvez le constater, ce n’est que l’une des multiples hypothèses retenues…

  • Bonjour.

    ___Merci de votre réponse du lien pour votre thèse sur la gravitation quantique. Une question est comment vous avez fait pour entrer sur ce site https://books.google.fr/books ? Pour mettre votre thèse en référence ?? sur ce site où apparemment tous les articles sont anglais, que je ne pourrais pas lire, et je prendrais la votre. Merci encore.

    ___Votre thèse sur la gravitation, où il faille aller sur un autre site que le votre, me donnant votre thèse, est un peu compliqué comme démarche, mais j’y suis arrivé !!! Ce qui est très curieux c’est partant de ce même article et de votre retour du [1er janvier 09:54], vous me conseilliez l’article : : https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2632 et que j’avais lu rapidement sans trop envoyer de remarques, et celui ci http://www.matierevolution.org/spip.php ?article3085 que vous me proposez via un autre site, est exactement le même mais publié sur une autre page de votre propre site. Cependant il y a une grosse différence au niveau du forum aux messages, le dernier possède 14 messages, et l’autre article identique ne possède qu’un seul message.
    https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2632
    http://www.matierevolution.org/spip.php?article3085
    sont exactement les mêmes articles, édités à la même date du jeudi 14 février 2013, sauf le forum aux messages.

    • Cher monsieur, vous êtes en train d’expérimenter la complexité croissante. Que voulez-vous : il suffit parfois de tirer une ficelle pour créer un sac de noeuds !!!

      Pour ma part, je suis aussi éloigné que possible de cette thèse car je travaille sur les révolutions de méso-amérique, tout en tâchant d’écrire que la "convergence" entre gilets jaunes et syndicats, sans parler de la question des Amazones (les femmes ont-elles dirigé des armées dans l’Antiquité et gagné des guerres) ! Mais je sympathise avec vos difficultés !!! La nature est difficile à comprendre et la pensée de l’autre est tout aussi complexe !!!

    • Personnellement, ce qui me frappe dans notre discussion, c’est que vous démarrez en expliquant que vous n’êtes qu’un petit bonhomme qui réfléchit par lui-même alors qu’il n’est nullement un ponte de la science, et que je vous explique que c’est exactement comme moi, et vous continuez à m’écrire comme si vous écriviez à une espèce de ponte de la science que je ne suis pas !!!

      Non seulement, je n’ai pas sous le coude tous les textes imaginables que j’aurai écrits ici ou là, mais ils doivent se monter à dix mille et je ne me rappelle même pas de tous !! Donc je vous laisse vous dépatouiller pour les trouver. Vous avez pour cela plus de temps que moi !

      Je ne cultive pas le culte de mes textes et je m’intéresse surtout à ceux des autres. Cela aussi aurait dû vous frapper.

      Je suis un entêté mais visiblement je suis concurrencé dans ce domaine !!!

  • RE Bonjour.

    ___Plus de temps que vous, dites vous. Et bien ni plus ni moins de temps que vous, car nous avons les mêmes ages d’après ce que vous m’avez dit, et les mêmes grand-mères qui ne sont plus, et aussi les mêmes facilités à faire des Copier/Coller... Petit bonhomme dites vous, et bien un peu plus grand que la moyenne du moyen age qui s’est étalé sur 1000 ans, car étant jeune j’ai mangé du poisson, comme des tas de produits pour grandir un peu. Et bien sur deux mètres il faille soustraire 26 centimètres car j’ai du perdre deux centimètres depuis quelques années. Vu mon age, je suis en retraite depuis quelques années, et je pense que si vous avez le même age que le mien, cela ne fait pas exception, d’être un retraité. En tout cas je ne suis pas un révolutionnaire, car de toutes façons, à mon age, la sagesse vous gagne comme une maladie bénéfique, mais cela enlève aussi de l’ardeur à révolutionner, et je pense que l’on ne peut rien y faire.

    ___Vous n’êtes pas mon modèle Monsieur Paris, car je n’ai aucun modèle à prendre, mais vous avez cette faculté d’écrire tant de choses, et dans des domaines différents, que vous êtes en fait un peu une encyclopédie interactive, et j’avoue que j’use de vous, mais involontairement, car je vous prend du temps. Mais mon but n’est pas celui là, car comme vous avez un savoir que je n’ai pas, et bien j’étudie et j’apprends fonction de vos articles. Ma révolution n’est pas celle des hommes mais simplement de ces notions de physique que j’adore, car privé de cela par force de travailler comme un malade pour gagner ma croûte, et bien les loisirs n’y étaient pas. Je vous gènes sans doute, mais cela est totalement involontaire, car je prend une revanche sur mon passé sans étude, et comme il n’est jamais trop tard pour apprendre, et bien j’apprends mais je revendique également...Donc désolé.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • RE Bonjour.

    ___OUI aussi révolutionnaire, mais limité dans ces domaines de physique, car les autres systèmes sont aussi sujet à être révolutionnaire, mais comme tout est tellement établit et structuré et où même en changeant un chef d’État par un autre, et bien l’individu pensant diriger serra de toutes façons contraint et muselé par le système dans lequel il veut diriger, car il ne suffit pas d’enlever une personne pour en mettre une autre pour que cela change, car c’est le système lui-même qu’il faut changer et ses institutions... Mais je ne veux pas m’aventurer dans ce domaine, car il y a tellement de choses à dire, et bien je me contente d’essayer d’avoir des idées innovantes et farfelues par rapport à ce que nous présente ces sciences. Quand on est petit on se pose des questions sans vraiment savoir qu’elles sont des notions physiques, et comme les questions posées n’ont pas eu de réponses par ces sciences, et bien simplement bien des années après qui représentent même presque une vie, et bien vous vous répondez vous même, et vos propres réponses par des idées farfelues en cherchant de comprendre, deviennent une révolution pour vous même, et donc ce qui est établit peut être remis en cause, car cette science et ses physiques qui ne sont que des suppositions, et même dans ce domaine de la quantique où l’on ne peut rien prouver. Ce n’est pas parce que 1+1=2 semble une réalité que cela soit vrai. Un homme plus un autre homme font bien deux hommes, mais ces hommes sont forcément différent et ne peuvent être des clones. Donc chaque individu semble être identique par rapport au chef suprême, mais ces individus ne sont pas des moutons, car chacun à ses idées comme sa sensibilité comme ses problèmes, et d’additionner devient une bêtise que ces dirigeants prennent les gens pour des moutons. Il est donc plus facile de changer les physiques que les hommes et leur institution.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • « Le chaos dans le système solaire » de l’astrophysicien Ivars Peterson :

    Arthur Loeb, professeur à Harvard, apprit plus tard à ses parents sa réaction lors de sa première rencontre (d’astrophysicien) avec le ciel nocturne : « C’est plein de trous » avait remarqué le jeune Arthur. »

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