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Henri Poincaré et le temps

mercredi 27 mai 2009, par Faber Sperber, Robert Paris

Henri Poincaré et la notion de temps

par Eric Emery

Professeur invité à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, mathématicien et musicien

Introduction

Dans son livre La Valeur de la Science de 1913 (1),
Henri Poincaré consacre un chapitre entier à la notion de
temps en ayant pour visée la mesure du temps. Il est clair
qu’en abordant ce problème, il se situe au sein d’une
lignée de penseurs et de savants qui ont médité sur ce
thème : Platon, Aristote, saint Augustin, etc.
L’apport de Poincaré est à considérer dans le prolongement des travaux de Newton, de Kant, de Wundt et de
Mach ; il est contemporain des contributions de Bergson,
de Husserl et d’Enriques.

Plutôt que de voir comment toutes ces approches
s’accordent ou s’opposent au sujet des recherches d’Einstein en théories de la relativité, il est sans doute plus
enrichissant de prendre connaissance des thèses formulées par Bachelard et par Gonseth. Poincaré dégageait
deux variantes temporelles, celle qui se manifeste dans le
domaine conscientiel et celle qui se prête à la mesure :
temps psychologique et temps physique. Chez Bachelard
et chez Gonseth, ce sont six variantes que l’on met en évidence : trois sur le versant de la subjectivité et trois sur le
versant de l’objectivité, ainsi que nous le montrerons. On
peut vérifier l’idonéité de cette manière d’appréhender les
dimensions temporelles en divers horizons : dans le langage quotidien, en recherche horlogère, en art musical,
en théorie de l’apprentissage et même dans la vie quotidienne. C’est donc l’occasion de dire que le travail raffiné
sur le concept temps permet à l’être humain de mieux se
connaître en sa temporalité.

Comment développer ce sujet sans tomber dans le
piège de la monotonie ? Nous concentrer sur la notion de
temps dans un langage de haute technicité ? Non ! Les
penseurs que nous citerons se sont toujours exprimés en
fonction de leurs options philosophiques ; nous devons le
mettre en clarté tout en étant bref.

Le temps en civilisation gréco-latine

Prenons d’abord Platon. Quand il écrit, dans le Timée
(2), que le temps est une imitation mobile de l’éternité,
il explicite sa thèse d’un monde sensible comme réplique
d’un monde intelligible (imitation et éternité). Ce sont les
astres errants au sein de l’univers qui ont pour mission de
définir les mesures du temps. Platon ajoute : « C’est ainsi
et pour ces motifs qu’ont été engendrés ceux des astres
qui parcourent le Ciel et qui ont des phases. Je veux dire,
afin que le Monde fût aussi semblable que possible au
Vivant parfait et intelligible et pour imiter la substance
éternelle » (39 d-e, pp. 153 et 154).

Que dit Aristote ? Sous certains angles, sa théorie du
temps ne paraît pas étrangère à l’esprit moderne ; mais
elle reste antique : la forme aristotélicienne est en fait
l’Idée considérée comme immanente aux choses et réalisée dans la matière ; les mondes sensible et intelligible
sont associés l’un à l’autre. C’est dans son ouvrage La
Physique (3) que la notion de temps est dégagée ; il l’examine en la mettant en rapport avec la notion de mouve-
ment. Il écrit en particulier ceci : « Le temps n’existe pas
sans le changement ; en effet, quand nous ne subissons
pas de changements dans notre pensée, ou que nous ne les
apercevons pas, il ne nous semble pas qu’il se soit passé
du temps » (p. 149). Et une page plus loin, il donne cette
définition : « Voici ce qu’est le temps : le nombre du mouvement selon l’antérieur-postérieur » (p. 150). On tient ici
l’approche classique qui a été reprise par de nombreux
penseurs.

On pourrait parler du concept temps en le situant au
sein de la pensée chrétienne des premiers siècles. Tournons-nous plutôt vers saint Augustin, vers le Onzième
livre des Confessions (4) si célèbre et souvent cité. C’est le
temps de la conscience qui est évoqué là : « Je cherche, ô
Père, je n’affirme pas » et il poursuit : « Qu’est-ce donc que
le temps ? Quand personne ne me le demande, je le sais ;
dès qu’il s’agit de l’exprimer, je ne le sais plus » (p. 308).
Saint Augustin montre alors les apories liées au passé, au
présent et au futur : le présent, par exemple, sitôt vécu
devient passé. Toutefois, faut-il dire, nous ne mesurons le
temps qu’au moment où il passe, lorsque nous le mesurons par la conscience que nous en avons... Tout le texte
de cette Onzième Confession pourrait être cité ; bien des
penseurs l’ont fait. Mais beaucoup omettent de restituer
la conclusion de saint Augustin ; elle leur paraît peut-être
anodine. Et pourtant, elle parle aux musiciens. Voici la
totalité du propos : « Je veux chanter un morceau que je
sais par coeur : avant de commencer, mon attente se tend
vers l’ensemble du morceau ; dès que j’ai commencé, tout
ce que j’en laisse tomber dans le passé vient tendre aussi
ma mémoire. Toute mon activité est donc tendue vers deux
directions : elle est mémoire par rapport à ce que j’ai dit ;
elle est attente par rapport à ce que je vais dire. Et pourtant
mon attention reste présente, elle par qui ce qui n’était pas
encore passe à ce qui déjà n’est plus... Et ce qui se produit pour l’ensemble du morceau chanté, se produit pour
chacune de ses parties, pour chacune de ses syllabes... ;
pareillement pour la vie entière de l’homme « (p. 324).
Oui, pour le musicien, l’image donnée fait mouche.
Ecoutons Caldara (5).
Peut-être devrions-nous prendre pour témoins certains
penseurs du Moyen Age : Avicenne, Maïmonide, saint
Thomas..

Il en est de même des porte-parole de l’époque dite
moderne : Descartes, Locke, Spinoza, Berkeley, Hume,
Leibniz et Condillac. Je ne retiens, parmi ceux-ci, que
l’approche proposée par Newton.

Newton : le temps vrai
et le temps vulgaire

Dans ses Principes mathématiques de la philosophie
naturelle (6), on voit le physicien anglais opposer radicalement deux notions de temps : « Le temps absolu, vrai et
mathématique, sans relation à rien d’extérieur, coule uni-
formément, et s’appelle la durée. Le temps relatif, apparent et vulgaire, est cette mesure sensible et externe d’une
partie de durée quelconque (égale ou inégale) prise du
mouvement : telles sont les mesures d’heures, de jours,
de mois, etc... dont on se sert ordinairement à la place du
temps vrai » (pp. 7 et 8). Ainsi sera fondé l’emploi que
font les mathématiciens et les physiciens du paramètre t.
Existe-t-il d’ailleurs un mouvement parfaitement uniforme
qui puisse servir de mesure fiable du temps ? Personne
ne peut l’affirmer, ni l’infirmer. On dira cependant - c’est
Newton qui s’exprime : « Le temps absolu doit toujours
couler de la même manière » (p. 10).

Kant, La Critique de la raison pure
et le temps

L’intervention de Kant, eu égard à H. Poincaré, est primordiale. Le philosophe allemand, dans la préface de La
Critique de la raison pure (7), explique son option philosophique : « On avait admis jusqu’ici que toutes nos con-
naissances devaient se régler sur les objets ; mais dans
cette hypothèse, tous nos efforts pour établir à l’égard de
ces objets quelque jugement à priori qui étendît notre connaissance, n’aboutissaient à rien. Que l’on cherche donc
une fois si nous ne serions pas plus heureux dans les problèmes de la métaphysique, en supposant que les objets
se règlent sur notre connaissance, ce qui s’accorde déjà
mieux avec ce que nous désirons expliquer, c’est-à-dire
avec la possibilité d’une connaissance à priori de ces
objets qui établisse quelque chose à leur égard avant même
qu’ils nous soient donnés. Il en est ici comme de l’idée
que conçut Copernic... » (p. 21). Oui, Kant pense que sa
réflexion philosophique et sa théorie de la connaissance
témoignent d’une véritable révolution copernicienne.
C’est dans la deuxième section de l’Esthétique transcendantale que Kant met en lumière son approche de la
notion de temps ; il écrit : « Le temps n’est pas un concept empirique ou qui dérive de quelque expérience. En
effet, la simultanéité et la succession ne tomberaient pas
elles-mêmes sous notre perception, si la représentation
du temps ne lui servait à priori de fondement.[...]. Le
temps est une représentation nécessaire qui sert de fondement à toutes les intuitions. [...] Sur cette nécessité
se fonde à priori la possibilité de principes apodictiques
concernant les rapports du temps, ou d’axiomes du temps
en général, comme ceux-ci : le temps n’a qu’une dimension ; des temps différents ne sont pas simultanés, mais
successifs... Le temps n’est pas un concept discursif, ou,
comme on dit, général, mais une forme pure de l’intuition sensible » (pp. 71 et 72). Cette manière de saisir
le temps semble propre à se soumettre avec succès à
l’épreuve des divers éléments de l’intuition au sein d’une
expérience possible.

Il semble clair que l’apport kantien doit être pris au
sérieux, même si l’on doit le rectifier aujourd’hui eu égard
aux avancées scientifiques du vingtième siècle.
Nous pourrions ici passer en revue, à la suite de Kant,
une véritable galerie de portraits en citant, Schopenhauer,
Hegel, Guyau.

Le temps chez Wundt et chez Mach

Je pense que les recherches de Wundt sur le temps
sont essentielles. On en prend connaissance dans son livre
de 1874 La Psychologie physiologique (8). C’est la première fois, dans l’histoire, que ce concept est placé dans
un contexte précisant. Le savant-penseur a mené pendant
une dizaine d’années un grand nombre d’observations
et d’études de tout genre, en particulier au sujet des
représentations temporelles, toujours liées au jeu des sen-
sations et imbriquées dans le système complet des représentations sensorielles diverses.

Ce sont les questions posées tant par l’origine et le
développement de la notion de temps chez l’être humain
que par la réalité et ses propriétés qui sont étudiées par
Wundt. En fait, nous aurions tendance à dire qu’avec les
travaux du savant allemand la notion de temps se spécifie
dans l’horizon de la psychophysiologie, comme elle s’était
spécifiée chez Newton dans l’horizon de la physique.
Qu’en est-il, selon Wundt, de l’origine et du développement de la notion de temps chez l’être humain ? On
est condamné à ne pas pouvoir répondre si l’on ne discerne pas que les représentations auditives sont associées
à l’éveil du temps, alors que les représentations visuelles
contribuent à la perception de l’espace ; le tactile et le
moteur concernent à la fois les deux concepts. Wundt
focalise sa pensée en ces termes : « L’intuition du temps,
à la vérité, est déjà ébauchée dans la représentation du
mouvement, mais son développement supérieur est absolument lié au sens de l’ouïe » (p. 39).

Et maintenant que dire de la réalité et de la nature du
temps ? Wundt, pour répondre, se penche avec soin sur
l’activité de la conscience et sur le cours des représenta-
tions dont celle-ci est le siège. Mais on demandera : comment définir la conscience ? Selon Wundt, elle consiste
en ceci que nous trouvons en nous des états et des processus dont nous disons que nous en prenons conscience ; il
n’est donc pas opportun de donner une définition explicite.
Dans cette perspective, Wundt parvient à dégager diverses mesures concernant le temps : le temps de la réception simple, celui de la perception, celui de l’aperception,
celui de l’acte volontaire, etc... Dès lors, Wundt précise en
particulier ceci : « Dès que nous ne percevons pas simultanément les impressions et qu’à cette occasion nous les réunissons pour en former une complexion, nous remarquons
toujours un temps intermédiaire plus court ou plus long
qui semble correspondre à l’abaissement d’une représentation et à l’ascension de l’autre représentation. En cela,
la nature psychologique de notre intuition de temps se
révèle, en qualité, de nature discrète » (p. 296).

Il est un autre aspect de la représentation temporelle
qui demande à être signalé, c’est celui que la conscience
prête à la durée lors des évaluations qu’elle en donne :
tendance à la surestimation des petits espaces de temps et
à la sous-estimation des grands ; 0,72 s est la durée pour
laquelle la justesse d’évaluation est la meilleure. Chose
étonnante, c’est la durée que la jambe emploie quand les
mouvements de la marche ne sont ni rapides, ni lents
(andante en musique). Quant aux évaluations des larges
tranches de l’existence, elles sont variées et manifestent
des effets de perspective : « L’heure que nous venons de
passer paraît plus longue qu’une heure du jour d’hier « (p.
323) En outre, le temps court vite pour qui se trouve en
activité prégnante et lentement lorsque plane l’oisiveté ;
la perspective s’inverse dans le souvenir.
Donnons maintenant la parole à Mach ; il entreprit la
critique du temps vrai de Newton et donne une approche
intéressante des sensations temporelles. Les deux ouvrages qu’il laisse à la postérité, sont : La Mécanique (9)
et L’Analyse des sensations (10). On connaît les options
positivistes de Mach ; il en témoigne dans son premier
livre en ces termes : « On y trouvera un travail d’explication critique animé d’un esprit anti-métaphysique » (p.
1). Sa critique du temps vrai est des plus nettes. Newton,
doit-on dire, est encore sous l’influence de la philosophie
du Moyen Age ; il a oublié que tous les phénomènes du
monde sont dans une dépendance réciproque et que l’être
humain lui-même n’est qu’une parcelle de la nature. Conséquence ? Mach l’exprime ainsi : « Nous sommes dans
l’impossibilité absolue de mesurer par le temps les variations des choses. Le temps est bien plutôt une abstraction
à laquelle nous arrivons par ces variations mêmes » (p.
217). Ainsi la notion de mouvement uniforme en soi n’a
aucune signification ; parler d’un temps absolu ou vrai est
dépourvu de sens.

Est-ce à dire que Mach, sous le signe de ses options
anti-métaphysiques, tend à réduire les faits physiologiques à des phénomènes physique ? Non ; il écrit : « Même
les phénomènes qui sont en apparence purement mécaniques sont toujours en même temps physiologiques et par
suite électriques, chimiques, etc. » (p. 478).
On comprend dès lors pourquoi le second ouvrage de
Mach s’intitule Analyse des sensations. Ce sont en effet
les sensations qui, selon lui, sont les véritables éléments
du monde, c’est-à-dire que les objets, la matière, ne sont
rien hors de leur relation avec ces éléments. Par suite, ce
sont les sensations spatiales et temporelles qu’il convient
d’étudier. Il ne fait aucun doute, en particulier, que les
sensations du temps existent, quoiqu’il soit difficile de les
cerner, plus que les sensations de l’espace ; elles sont en
réalité en rapport strict avec l’état de conscience et le travail de l’attention ; elles sont étroitement liées aux pro-
cessus périodiques et rythmiques.

Henri Poincaré et la mesure du temps

Venons-en à l’apport d’Henri Poincaré ; il aborde, lui
aussi, le problème du temps ; mais il le fait en mathématicien et physicien, voire en philosophe ; ce qui retient son
attention, c’est surtout la question de la mesure du temps.
Cette visée est, peut-être, à situer par rapport à la thèse
que défend Bergson : la qualité n’est pas réductible à la
quantité.

Quelques mots donc sur la notion de temps chez
Bergson. Dès son ouvrage intitulé : Essai sur les données immédiates de la conscience (11), qui date de 1889,
l’auteur s’applique à montrer qu’il y a un fossé entre le
quantitatif et le qualitatif ; il écrit par exemple : « Lorsque
nous parlons de temps, nous pensons le plus souvent à un
milieu homogène où nos faits de conscience s’alignent, se
juxtaposent comme dans l’espace » (p. 78). Mais on a tort
de céder ainsi à la pression de la spatialité. Dans un autre
ouvrage La pensée et le mouvant (12), il écrit : « Ecoutons
une mélodie, en nous laissant bercer par elle ; n’avons-
nous pas la perception nette d’un mouvement qui n’est
pas attaché à un mobile, d’un changement sans rien qui
change ? Ce changement se suffit, il est la chose même.
Et il a beau prendre du temps, il est indivisible » (p. 164).
Ecoutons le début de l’Adagio ma non troppo du Con-
certo de Mozart, KW 313 (13).

Continuité ? Là est la question qui fait problème.
Attendons Bachelard pour en parler en détail ; notons ici
que le musicien auditeur est actif ; il peut, certes se laisser
bercer ; mais généralement il construit les formes musicales, il s’approprie l’oeuvre.

Cela noté, allons à Poincaré. C’est dans son livre La
Valeur de la science (1), paru en 1913 qu’il traite du
temps ; il est question des propriétés métriques du temps
et des problèmes de fondement qui s’y rapportent.
Pour Poincaré, la préoccupation philosophique est primordiale : « La recherche de la vérité doit être le but de
notre activité ; c’est la seule fin qui soit digne d’elle » (p.
19). En fait, en parlant de vérité, il associe à la fois vérité
scientifique et vérité morale : « Toutes deux ne sont jamais
fixées : quand on croit les avoir atteintes, on voit qu’il faut
marcher encore, et celui qui les poursuit est condamné à
ne jamais connaître le repos » (p. 20). Elles sont l’objet
d’une quête incessante, pour laquelle l’être humain dispose d’une intelligence faite de logique et d’intuition.
C’est ainsi que le savant-penseur cherche à déchiffrer
les références spatio-temporelles de la nature et de la culture : « Ce n’est pas la nature qui nous les impose, précise
Poincaré, c’est nous qui les imposons à la nature » (p. 21).
Derrière cette affirmation, on voit que Poincaré choisit
Kant comme repère philosophique. Il ajoute une touche :
« C’est nous qui les imposons à la nature parce que nous
les trouvons commodes » (p. 22). On voit poindre ainsi ce
qu’on a appelé le conventionalisme.

Problème de la nature du temps ? Poincaré considère
d’abord cette notion comme un phénomène de conscience
et l’on pense au début de la Onzième Confession de Saint
Augustin quand il écrit : « Tant que l’on ne sort pas du
domaine de la conscience, la notion du temps est relativement claire » (p. 41). On est apte à distinguer la sensation
présente des souvenirs passés et de la prévision des sensations futures : succession et simultanéité sont à l’horizon.
Poincaré poursuit en notant que nous avons à chercher
la réalité. Qu’est-elle ? Il développe, en songeant éventuellement à Mach : « Les physiologistes nous apprennent que
les organismes sont formés de cellules ; les chimistes ajoutent que les cellules elles-mêmes sont formées d’atomes.
Cela veut-il dire que ces atomes ou que ces cellules constituent la réalité ou du moins la seule réalité ? » (p. 35).
Poser la question, c’est ouvrir l’horizon et, en fait, refuser
le positivisme. Poincaré défend en effet l’idée que l’ana-
lyse met, certes, à notre disposition un grand nombre de
procédés ; elle nous offre mille chemins où l’on peut s’en-
gager avec confiance. Mais, si l’on examine de près comment l’être humain mène son analyse, on constate qu’il y
a une faculté qui est nécessaire à l’exploration, à savoir
l’intuition. C’est elle qui donne une vue d’ensemble des
problèmes à résoudre : « elle est nécessaire à celui qui veut
réellement comprendre l’inventeur ; la logique peut-elle
nous la donner ? » (p. 37). Logique et intuition ont l’une et
l’autre leur rôle à jouer ; elles sont indispensables. Encore
faut-il préciser que le mot intuition ne doit pas être pris au
sens vulgaire du terme, mais au sens de Kant.
Revenons au temps ! Poincaré s’exprime en ces termes :
« Nous classons nos souvenirs dans le temps, mais nous
savons qu’il reste des cases vides. Comment cela se pourrait-il si le temps n’était une forme préexistante dans
notre esprit » (p. 42). Encore Kant ! Poincaré poursuit
en étendant l’idée d’une forme individuelle à une forme
dont les autres consciences peuvent aussi témoigner ; et il
ajoute : « Bien plus, nous voulons y faire rentrer les faits
physiques, ces je ne sais quoi dont nous peuplons l’espace et que nulle conscience ne voit directement » (p. 42).
En réalité Poincaré entrevoit deux difficultés pour introduire la mesure du temps : 1° Est-il possible de transfor-
mer un temps psychologique en un temps quantitatif ? 2°
Sommes-nous capables de réduire à une même mesure
des faits qui se passent dans des horizons différents ?
On surmonte la première difficulté en étant conscient
que l’on n’a pas l’intuition directe de deux intervalles
de temps ; on se servira toutefois du pendule en admettant que tous les battements de l’instrument sont d’égale
durée ; ce n’est qu’une première approximation ; ainsi les
meilleures horloges doivent être corrigées ; le jour sidéral
sera l’unité constante de temps. Et nous dirons avec Poincaré : « Des causes à peu près identiques mettent à peu
près le même temps pour produire à peu près les mêmes
effets » (p. 45). Ou mieux encore : « Le temps doit être
défini de telle façon que les équations de la mécanique
soient aussi simples que possible » (p. 46). En d’autres
termes, on choisit la mesure du temps en vue de satisfaire
à des exigences de commodité.

Pour surmonter la seconde difficulté, Poincaré propose un itinéraire d’explications assez subtil, mais long.
Soyons bref : l’astronome admettra que la lumière se propage à une vitesse constante dans toutes les directions.
Et surtout : « On adopte pour la vitesse de la lumière une
valeur telle que les lois astronomiques compatibles avec
cette valeur soient aussi simples que possible » (p. 53).
Dès lors, Poincaré fait le constat suivant : les physiciens
sont amenés à ne point dissocier le problème qualitatif de
la simultanéité du problème quantitatif de la mesure de
temps ; s’ils pensent disposer d’une intuition directe de la
simultanéité et de l’égalité de deux durées, ils s’illusionnent. En fait, on doit suppléer à l’aide d’un certain nombre
de règles qu’on applique sans s’en rendre compte ; mais,
pas de règle générale ! Au reste, voici la conclusion exprimée par Poincaré : « La simultanéité de deux événements,
ou l’ordre de leur succession, l’égalité de deux durées,
doivent être définies de telle sorte que l’énoncé des lois
naturelles soit aussi simple que possible » (p. 54).
Faut-il attribuer au savant-penseur français un scepticisme désespéré, voire un conventionalisme radical ? Il
s’en défend. Voici ce qu’il écrit au terme d’un chapitre
de son livre qu’il consacre à la physique mathématique
et à ses problèmes : « Voilà bien des raisons d’être sceptiques ; devons-nous pousser le scepticisme jusqu’au bout
ou nous arrêter en chemin ? » (p. 151). Poincaré répond
en rejetant l’outrance et il refuse d’affirmer que la science
n’est faite que de conventions. Certains chercheurs, dit-il,
sont allés jusqu’à prétendre que la loi et le fait scientifiques sont créés de toute pièce par les savants : « C’est
là aller beaucoup trop loin dans la voie du nominalisme.
Non, les lois scientifiques ne sont pas des créations artificielles » (p. 23)

Enriques : essai de conciliation
entre Mach et Poincaré

Le point de vue du philosophe italien Enriques sur
le problème du temps s’affirme comme une tentative de
conciliation entre Mach et Poincaré. Consultons le livre
Les Concepts fondamentaux de la science (14), qui met
en lumière la signification réelle et l’acquisition psychologique des concepts d’espace, de temps, de mouvement,
de force, etc.
Dans la préface de l’ouvrage, Enriques dit qu’il offre
son étude comme une contribution à l’édification de la
théorie de la connaissance scientifique ; il a parcouru,
explique-t-il, des domaines étendus en s’efforçant de discerner partout la fonction spécifique de l’esprit qui crée
la science : « parfois, ce sont des données de la physiologie des sciences qui suffisent à rendre compte de certaines
tendances opposées du mouvement scientifique ; ailleurs,
les lois générales de l’association des idées donnent lieu
à un développement univoque de certains concepts plus
fondamentaux » (p. 4). Ainsi, la poussée de l’expérience
et la nature même de l’esprit humain peuvent ensemble
expliquer, dans les grandes lignes, le devenir de la science.
La pensée d’Enriques se précise au fil des premières
pages du livre et l’on voit qu’il conteste aussi bien la doc-
trine kantienne de l’à priori que le conventionalisme de
Poincaré ; c’est l’étude de la genèse historique de la connaissance qui vient à l’avant-scène.

Dans le livre deuxième, Enriques examine de front
le problème du temps et de sa mesure ; il montre que
les concepts premiers de la mécanique sont ordonnés
aux principes de la géométrie. Mais en fait : qu’est-ce
que le temps ? Le penseur italien entre en matière en
écrivant ceci : « Quand deux sensations ou deux groupes
de sensations sont donnés, nous apercevons que l’une est
antérieure et l’autre postérieure ou toutes les deux simultanées » (p. 87). On constate ici que Mach est à l’horizon. Sur cette base intuitive, il est déjà possible de tirer
l’idée de la succession ; de plus, la possibilité est offerte
à l’esprit humain d’attribuer au phénomène temporel une
structure d’ordre qui est condition sine qua non des appréciations quantitatives.

Faisons un pas de plus, en allant vers le concret ; le
temps physique prend son assise à partir des séries phénoménales et des échelles temporelles suggérées par le
jeu des sensations. Enriques précise : « Le temps abstrait,
que nous considérons comme temps physique, suppose
une échelle unique, où tous les phénomènes possibles
trouvent place, à la différence du temps physiologique
qui postule l’échelle des phénomènes perçus » (p. 88). On
constate dès lors que le temps physique se porte garant
d’un double accord, celui des représentations temporel-
les relatives à divers observateurs ainsi que celui des
représentations temporelles relatives à des lieux différents. Le programme ainsi tracé traduit très exactement
l’effort de synthèse qu’Enriques propose pour passer du
point de vue physiologique de Mach au point de vue
logique de Poincaré.

Les variantes temporelles
chez Bachelard et chez Gonseth

Si nous disposions d’une durée de conférence de 75
minutes, nous traiterions le problèmes des variantes temporelles en ouvrant deux chapitres : Bachelard d’abord,
puis Gonseth. Mais comme leurs thèses sont voisines, on
peut les évoquer ensemble. Les deux philosophes situent
leurs études au sein de contextes précisants différents ;
en métaphysique, en physique, en psychologie et en art
musical dans l’ouvrage La Dialectique de la durée (15)
de Bachelard qui date de 1936 ; dans le langage quotidien
et en recherche horlogère dans le livre Le Problème du
temps (16) de Gonseth paru en 1964.

Henri Poincaré, nous l’avons montré tout à l’heure, a
travaillé autour de deux notions : le temps psychologique
et le temps physique. Aussi bien Bachelard que Gonseth
mènent la réflexion en faisant valoir six variantes ; du côté
de la subjectivité : le temps que l’on vit ou le temps existentiel, le temps que l’on ressent ou le temps conscientiel et le temps que l’on construit et structure ou le temps
idéel. Du côté de l’objectivité : le temps chronos, le temps
relationnel et le temps de la montre.

Dans La Dialectique de la durée, Bachelard parle
constamment des trois variantes subjectives ; elles apparaissent en toile de fond en physique, plus nettement en
psychologie et carrément en art musical.

Dans ce dernier domaine, il souligne le fait que la
durée, en musique, est structurée sur des rythmes et non
sur une base temporelle régulière ; une mélodie, la phrase
mozartienne par exemple, témoigne de divers systèmes
d’instants décisifs ; les autres instants se manifestent
comme par grâce. Certes, l’auditeur peut décider en situation donnée de se laisser bercer, comme le dit Bergson,
mais en général il s’approprie la forme musicale en la
construisant comme une oeuvre qu’il veut faire sienne.
Là, c’est la continuité qui prédomine ; ici c’est la fête du
discontinu ; souvent, il y a dialectique du continu et du
discontinu :

Ecoutons notamment le début l’Andante du Concerto
n° 4 pour piano et orchestre de Beethoven (17).
Après avoir écouté attentivement cette séquence du
Concerto, il y a lieu de citer Bachelard : « Sur le plan
musical, il nous faut montrer que ce qui fait la continuité, c’est toujours une dialectique obscure qui appelle
des sentiments à propos d’impressions, des souvenirs à
propos de sensations. Autrement dit, il faut prouver que
le continu de la mélodie, que le continu de la poésie, sont
des reconstructions sentimentales qui s’agglomèrent par
delà la sensation réelle, grâce au flou et à la torpeur de
l’émotion, grâce au mélange confus des souvenirs et des
espérances » (p. 113). On voit ainsi l’oeuvre complexe
que réalise un entrelacs de temps vécu, de temps ressenti
et de temps structuré. Bachelard précise qu’il suffit d’une
inattention à la mélodie pour que son flux s’arrête : les
notes successives ne chantent plus, elles restent insérées
dans la discontinuité qualitative et quantitative où elles
sont élaborées ; on apprend la continuité, on ne l’entend
pas. Plus loin, Bachelard dit encore : « La continuité
se fait à la faveur du groupement. Et c’est ainsi que
la poésie, ou plus généralement la mélodie, dure parce
qu’elle reprend » (p. 115). En fait, le temps pensé accompagne le temps vécu associé au temps ressenti en vue de
donner un sens au message poétique ou musical.
Bachelard, parvenu à ce point de son étude, n’oublie
pas de faire entrer dans son approche de l’art musical ce
que l’on doit aux variantes dites objectives. Il fait mention des travaux de Maurice Emmanuel (de Bar-sur-Aube,
comme lui), qui dénie le caractère primordial des techniques mensuralistes où l’esprit du métronome tue la musique. Bachelard a cette phrase qui dit tout à ce propos :
« Le métronome, c’est le compte-fil, ce n’est pas le métier
à tisser » (p. 117).

Ah ! La tyrannie de la barre de mesure à laquelle certains choeurs et leurs chefs se soumettent pour ne pas
déraper. Le vrai dérapage est, en fait, à la porte : finies
les injonctions nuancées des rythmes, finis les méandres
imprévus de la forme mélodique, finie la musique elle-
même.

Mais alors à quoi sert le chef d’orchestre ? Pourquoi
doit-il agir ? Face à cette dialectique de régularité et de
la liberté, il suscite et anime la pulsation : « Dès l’instant,
note Bachelard, où l’on refuse la référence à une durée
absolue, il est nécessaire d’accepter franchement l’appui
réciproque des rythmes. [...] En fait, les divers instruments
de l’orchestre se soutiennent et s’entraînent les uns les
autres. Le rôle du chef est de rendre plus conscient l’effort
de corrélation des instrumentistes » (pp. 122 et 123). C’est
au temps relationnel que Bachelard pense lorsqu’il parle
de cet effort de corrélation des membres de l’orchestre.
Ainsi, face à Bergson qui désigne la mélodie comme
métaphore de la durée, Bachelard en appelle à la pulsa-
tion, aux rythmes musicaux. Et l’on voit ainsi que, pour
atteindre la vérité du discours musical, le musicien mène
un jeu dialectique très diversifié des variantes temporelles
dont on vient de parler.

Et maintenant, terminons l’exposé en consacrant quelques alinéas aux variantes temporelles chez Gonseth.
A-t-il eu connaissance du livre de Bachelard sur la dialectique de la durée ? Dans son livre intitulé Le Problème
du temps, il ne cite pas son ami. Mais, comme les deux
philosophes ont si souvent travaillé dans le même esprit -
même quand ils ne se connaissaient pas encore - il ne faut
pas s’étonner qu’ils aient, l’un et l’autre, dégagé l’idée
que les dimensions temporelles sont trop subtiles pour
qu’on puisse parler d’un temps ou même de deux en donnant une définition bien explicitée : les variantes temporelles retentissent les unes sur les autres, elles s’opposent
et s’accordent tour à tour.

La démarche de Gonseth concernant la notion de
temps est originale. Son livre comporte deux parties : plus
de 140 pages consacrées à cette étude dans le contexte
de la langue de grande communication, puis plus de 230
pages orientées vers l’approche spécifique de la mesure
du temps, c’est-à-dire vers la recherche horlogère. On
retrouve là certaines questions abordées par H. Poincaré.
Ce qui retient notre attention, c’est la manière dont
Gonseth engage son étude en se situant dans le domaine
du langage quotidien ; ce qu’il montre concerne tout
homme parlant la langue française ou les langues indo-européennes. Voici quelques phrases que l’on prononce
dans la vie courante : je n’ai pas le temps, le temps me
dure, je songe au temps passé avec toi ou je songe au
temps que je passerai avec toi, le temps guérit, le temps
dont je m’approprie pour l’accorder avec celui de mon
ami, le temps que met tel athlète pour parcourir un cent
mètres ou le temps que donne l’horloge du village. Dans
l’ordre des phrases prononcées ici, on dégage les temps
spécifiques suivants : temps existentiel, temps conscientiel, temps idéel, temps chronos, temps relationnel, temps
mesuré ou temps intégré (temps de la montre). Tout cela
est présenté par Gonseth avec beaucoup de nuances et
de nombreux commentaires. Mais son intention n’est
pas de brosser une galerie de portraits, il veut illustrer
le fait que le concept est à saisir, dans le langage quo-
tidien, comme le résultat d’une synthèse dialectique ou
comme une tentative de l’insérer dans le discours considéré comme milieu synthétique.

Voici en effet d’autres phrases : hâtons-nous, car le
temps fuit ; j’ai revécu par la pensée ces interminables
minutes d’attente ; les heures m’ont paru brèves. Gonseth
commente : « Ce que nous cherchons à faire comprendre,
c’est que l’activité discursive qui constitue les sens globaux a tous les caractères d’une synthèse dialectique au
niveau du discursif. Lorsqu’on dit que le temps nous est
mesuré, l’analyse pourrait retrouver sous le mot temps
plusieurs acceptions. [...]. Le discours renonce ici à opérer
des distinctions. Il confond les sens pour les identifier
sous le même mot » (p. 82). La synthèse dialectique que
suscite l’emploi du mot temps, inséré dans le discours
courant, suppose des opérations variées : elle oppose des
significations, les identifie, les projette les unes sur les
autres.

Dans les pages qui suivent, Gonseth examine de près
comment le temps est à saisir au niveau de l’adverbe et du
verbe.

Laissons maintenant l’approche assez technique du
langage courant ; faisons plutôt un constat de synthèse en
citant Gonseth : « Nous avons recherché de quelles significations le mot temps peut être revêtu dans une langue telle
que le français couramment écrit ou parlé. Une recherche de ce genre ne devait-elle pas fatalement rencontrer et
dégager une notion générale de temps que ce mot aurait
à lui seul le pouvoir d’évoquer ? On aurait pu s’y attendre : certaines philosophies du langage le suggèrent. [...]
Notre analyse n’a cependant pas répondu à cette attente et
n’a pas rencontré de substance discursive correspondant
à une notion générale de cette nature. Ce qu’elle a découvert, ce que le langage a offert à sa recherche, c’est tout
un éventail d’emplois du mot temps et tout un spectre de
significations correspondantes » (p. 135).

Une remarque au sujet de la seconde partie du livre
de Gonseth : au sein de la recherche horlogère, les variantes suivantes sont sollicitées : le temps mathématique, le
temps mesuré et le temps intuitif. Cette dernière variante,
qui pourrait paraître inattendue, mérite d’être présentée ;
Gonseth en parle ainsi : « C’est le résultat d’un arbitrage
dont la conscience semble être le siège entre l’autorité du
sentiment, la liberté de l’imagination et l’objectivité de la
perception aux fins d’un action efficace » (p. 265). Pour
mieux se faire comprendre Gonseth parle - en plus de dix
pages - du temps des abeilles, de leurs danses, de leurs
horloges internes. A défaut de connaître les rudiments de
la chronobiologie, il s’exprime ainsi : « On dira que le
temps intuitif n’est pas simplement un temps inscrit dans
les différents rythmes dont notre organisme est le siège :
dans le rythme normal du coeur, dans le rythme des pulsations électriques du cerveau, dans le rythme de la respiration, etc. Pour que ces rythmes restent synchronisés
et pour qu’on puisse parler de leur fréquence normale,
il faut bien que tout notre corps, pris comme un tout,
soit plus ou moins comparable à une horloge construite
dans le but exprès de réaliser un rythme régulier. Mais le
temps intuitif n’est pas le temps sourdement et profondément vécu par notre organisme, même si nous n’y prêtons
aucune attention. C’est un temps auquel notre conscience
est ouverte » (p. 280).

Autorité du sentiment (temps conscientiel), liberté
de l’imagination (temps idéel) et objectivité de la perception (temps existentiel) ! Voilà trois ingrédients qui
évoquent une certaine complétude de l’humaine condition ; il me semble que J.- S. Bach, par son Air admirable
de la Suite n° 3 en ré majeur, BWV 1063, exprime musicalement cette dialectique des trois variantes subjectives. Vous connaissez certainement tous cette pièce, à
juste titre très célèbre ; vous pouvez vous la chanter intérieurement en guise de conclusion et avec une volonté
d’ouvrir l’horizon.

Références bibliographiques

1 POINCARÉ
H., La Valeur de la science, Flammarion, Paris,
1913 et 1970.

2 PLATON
, Le Timée, in Oeuvres complètes, t. II, Bibl. de la
Pléiade, Paris, 1950.

3 ARISTOTE
, La Physique, t. I et II, Les Belles Lettres, Paris,
1926.

4 AUGUSTIN
(
SAINT
), Les Confessions, Livres IX - XIII, t. II ;
Les Belles Lettres, Paris, 1926.

5 CALDARA
A., Come raggio di sol.

6 NEWTON
, Principes mathématiques de la philosophie natu-
relle, t. I et II, Lambert, Paris, 1759.

7 KANT
, La Critique de la raison pure, t. I et II, Gibert, Paris.

8 WUNDT
, La Psychologie physiologique, t. I et II, Alcan,
Paris, 1886.

9 MACH
, La Mécanique, Hermann, Paris, 1904.

10 MACH
, L’Analyse des sensations, Fricker, Jena, 1906.

11 BERGSON
, Essai sur les données immédiates de la cons-
cience, PUF, Paris, 1945.

12 BERGSON
, La Pensée et le mouvant, PUF, Paris, 1950.

13 MOZART
, Adagio ma non troppo du Concerto pour flûte, KW
313.

14 ENRIQUES
, Les Concepts fondamentaux de la science, Flam-
marion, Paris, 1913. (L’original paru en italien Problemi
della Scienza date de 1906 ; la première partie de cet
ouvrage a été éditée sous le titre Les Problèmes de la science
et de la logique.)

15 BACHELARD
, La Dialectique de la durée, PUF, Paris, 1963.

16 GONSETH
, Le Problème du temps, Le Griffon, Neuchâtel,
1964.

17 BEETHOVEN
, Andante du Concerto n° 4 pour piano.

Messages

  • Intéressant mais quid de l’origine du temps ?

    Si l’élémentaire ultime est sous forme d’oscillateur continu, alors il est doté d’une fréquence typiquement aléatoire et variable. Puis, par application des règles de Huygens, on obtient une synchronisation de N oscillateurs groupés et, par voie de conséquences, des constantes. Une de celles-ci est le quantum de temps, issu de l’inverse de la moyenne des fréquences auparavant aléatoires.

  • Bonjour.

    ___Pourquoi parler encore du temps, car je me suis déjà exprimé sur cette notion dans d’autres articles ?? Et bien parce que le temps est la plus belle notion de toutes les physiques, et que l’on pourrait continuer indéfiniment de parler de cette notion de temps qui semble très simple, et pourtant on n’a rien à ne se mettre sous la dent.

    ___La perception du temps en tant qu’être être conscient est sans rapport avec le temps absolu qui est le temps physique de M.Einstein. Nos perceptions du temps sont sans rapport avec la réalité d’une horloge qui trotte. Le temps en hivers semble beaucoup plus long que celui quand nous sommes en été, et pourtant cela devrait être même l’inverse par rapport à l’ensoleillent. Mais en faites il semble que le temps soit aussi plus long et associer au non ensoleillement, quand nous ne dormons pas, car la morosité du non ensoleillement rallonge le temps, mais cela n’est qu’un sentiment et ne correspond à rien d’une horloge interne.

    ___Notre rapport avec le temps est aussi celui des saisons, ainsi dans l’hémisphère nord, quand nous sommes en hivers nous attendons avec impatience le printemps et l’été. Et nous regardons les semaines et les mois passer, qui sont en rapport avec les saisons. Quand nous sommes dans l’hémisphère sud ce critère d’attente est moins prononcé, car les saisons se ressemblent et cela ce comprend par l’inclinaison fixe de la terre dans l’espace et aussi de l’ellipse que décrit la terre autour du soleil. Dans cette hémisphère sud l’attente est moins prononcé car d’un bout de l’année à l’autre les saisons sont sensiblement les mêmes, et sans grand changements de température. Pour les pôles et bien c’est exactement l’inverse, car cela est encore plus prononcé et sûrement même délirant, car 6 mois de jours d’affilé et 6 mois de nuits complète continue. Les caractères des humains dans de telles conditions doivent forcément changer, car un rapport avec le temps qui n’est plus une cadence sur quelque semaines, mais sur la moitié de l’année.

    ___Quand nous sommes en campagne sur un champ à perte de vue, ou encore quand nous sommes dans une forêt éloigné de tout, le rapport que nous avons avec le temps est encore particulier, car ce qui nous rapproche de notre réalité habituelle c’est le temps, mais un temps donné par notre montre, comme si cette montre nous reliait à notre contexte habituel. N’ayant plus de repère de temps dans un endroit uniforme, on se sent alors obligé de regarder notre montre, car en fait nos horloges internes ne nous indiquent pas l’heure. La peur nous donne aussi un temps rallongé et interminable, comme si le temps se dilatait. En fait nous concevons le temps fonction de nos sentiments et fonctions des événements, et quand il n’y a rien et bien nous sommes simplement perdu dans un temps sans repère. Le temps que nous connaissons n’est lié qu’à nos activités et nos habitudes, et toutes les expressions populaires utilisant le temps le montrent bien. Nous ne sommes donc pas une horloge fiable, car le temps s’écoule fonction des événements qui se produisent autour de nous. Bien sûr quand notre estomac réclame, cela nous inique une façon de dire qu’il est environ telle heure, mais la plainte de notre estomac est fonction de ce qu’il avait avant et dans un laps de temps déterminé. Si nous décalions nos repas d’un quart de journée l’estomac n’y verrait que du feu, et de dire que nous avons des horloges internes, correspond plus à des laps de temps et donc des durées et non au temps physique qui s’écoule. Si le soleil est absent, alors nous perdons tout repère du temps, et c’’est seulement montres et horloges qui nous indiquent qu’il faille faire telle chose ou autres choses, car la cadence du temps est simplement perdu. Notre vison sur la cadence du temps n’est donc que celle de nos repères journaliers et aussi de nos habitudes que nous nous sommes imposées.

    ___Maintenant pour les scientifiques le temps c’est quoi ?? Et bien suivant les scientifiques, le temps est une cadence logique se rapportant à des phénomènes physiques. Pour d’autres le temps n’est pas une notion physique mais humaine. Pour M.Einstein le temps est une notion très particulière car ce temps est associé au contenu de l’espace, et ce contenu peut se déformer par les masses des objets, et ainsi le temps se déforme aussi. Le temps de M.Einstein et donc relié au référentiel auquel il appartient, et ce référentiel peut être en mouvement donnant ainsi un temps différent de l’absolu, comme un temps différent suivant les masses qui définissent le référentiel. Cette façon de concevoir le temps est une exception de la vision de M.Einstein mais cette façon de voir le temps, est une réalité, car des expériences ont prouvées ce bien fondé, et donc une grande majorité des scientifiques se rattachent à ce concept étrange, sans en comprendre pour autant les mécanismes, car ils cherchent encore la cause de ces modifications de temps s’écoulant et non absolu.

    ___Comment réfléchissent les scientifiques ?? Et bien il y deux façons de raisonner et voir l’approche sur ce qu’est le temps. La première est de raisonner par la logique de ce qui est et de ce qui existe et donc aussi des mesures effectuées, et en découler des équations, sans pour autant comprendre ce qu’est le temps. Cette façon est un raisonnement par les mathématiques sans mettre en jeu la compréhension de ce qu’est le vrai temps en tant objet éventuel. En gros c’est de définir le temps par les mathématiques, car les raisonnement se font à partir d’équations. Ceci est une façon de faire, tout à fait normale pour un scientifique, mais aura t-il compris ce qu’est vraiment le temps.

    ___La deuxième méthode pour aborder le temps physiquement est celle de M.Einstein qui est de se projeter par image animée de pensée sur le sujet, ce qui n’est pas si facile à faire car avec cette notion de temps où il n’y a pas d’élément pouvant construire un environnement, hors mis le contenu de l’espace. Cette façon de faire est de se mettre comme inconnu à l’échelle nécessaire et dans des conditions impossibles de notre réalité où le sujet se trouve mais invisible, et voir des déroulements possibles. C’est exactement comme si ce Einstein était assis sur un photon et se posant comme question, qu’est que le photon verrait autour de lui. C’est donc une démarche totalement différente, car on plonge dans un ou même des images de pensée, pour essayer de voir des choses, et ce sans calcul. C’est donc de l’imagination et non des réflexions et de la logique, mais de la pensée spéciale à se faufiler incognito dans un espace où son contenu est très spécial. Si on trouve des solutions de représentations, alors les raisonnements viennent ensuite pour savoir la validité des images de pensée, et l’écriture d’équation vient en troisième lieu. Il y a donc dans cette démarche une autre façon de faire, car c’est l’imagination qui prime. Ensuite bien sûr les équations sont là pour donner ces notions de modification du temps, mais ces équations ne reflètent en rien les imaginations et les pensées d’un individu, et c’est bien là le problème, car les équations sont vide d’inspiration, même si elles traduisent des effets particuliers, la singularité de la pensée est complètement absente. Il y a donc deux sortes individu et aussi deux sortes d’approches totalement différentes. Raisonner sur la logique des équations d’autres personnes, n’est absolument de voir ce qu’elles représentent en imagination. Je pense que ce M.Einstein à trouvé des solutions pas son imagination débordante, mais n’a pas vraiment exprimé ces visions de ses pensées, et c’est pour cela que j’ai dit qu’il était un "FILOU", car je pense qu’il a gardé pour lui- seul sa vision et son imagination, sans en rendre compte à la communauté scientifique. Dévoiler son imagination aurait été pour lui, une façon de perdre du terrain par rapport aux scientifiques, mais justement de ne rien dévoiler permettait justement l’incompréhension, tout en gardant les équations qui décrivaient à merveille des notions. Pour le dire autrement le raisonnement et la logique n’aboutissent pas aux idées de départ et à l’imagination.

    ___La philosophie, philosopher, c’est en fait de raisonner avec ce qui est établi et trouver, et faire des recoupements plus ou moins complexes de l’existant, et aussi de permettre de soulever des problèmes, mais la philosophie ne rentre pas dans le domaine de l’imagination ni des idées de concept, car elle n’est que le reflet d’un ensemble de données permettant des recoupements et des regroupements et d’en parler, mais pas forcément de trouver des solutions. Si on part d’un sujet précis, et bien cette philosophie est faite pour élargir le sujet et donc le débat et donner des liens avec d’autres sujets, mais comme déjà dit on peut parler d’un sujet sans en connaître la moindre donnée, et là c’est ennuyeux, car la valeur des dires n’ont en fait pas de valeur. La philosophie à l’avantage de mettre sur table un ensemble de liens sur un sujet de départ, et donc d’agrandir le sujet et soulever des problèmes, mais la philosophie ne résout pas les problèmes, mais exprime la logique des liens sans en comprendre forcément les mécanismes. C’est de cette image que je me fais de la philosophie, c’est à dire des fois de décrire plus que ce qui est. Mais je n’ai absolument rien contre la philosophie et de philosopher, mais je préférerai connaître les imaginations et idées des penseurs, ce qui est impossible.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • « Maintenant pour les scientifiques le temps c’est quoi ?? Et bien suivant les scientifiques, le temps est une cadence logique se rapportant à des phénomènes physiques. »

      Eh bien oui ! Le temps le plus élémentaire que nous connaissions, au niveau de la matière, est le temps de Planck qui est de 10-43 secondes. Les autres temps sont des multiples.

      Qu’est-ce qui peut porter un tel intervalle de temps ? Un quanta tout simplement !

  • RE Bonjour.

    ___J’ai bien peur de vous agacez avec mes tartines de commentaires. Surtout avec mon assurance d’autant que je suis qu’un petit crétin que je me qualifie moi-même. N’ayant pas l’expérience que vous avez dans l’écriture, je pense savoir quand même lire entre les lignes (comme on dit), car une phrase commençant par "Maintenant" dénote bien une sorte d’agacement, une lassitude, un raz le bol, et peut être même un dérangement et pourquoi pas de la provocation, qui sait. Donc est-ce mon écriture non philosophique et même pire encore non diplomatique ?? Est ce le contenu de mes commentaires qui est dérangeant ?? Ce qui es déroutant c’est que vous répondiez dans tous les cas, et là c’est peut être une forme de droiture, de respect, de forme d’obligation qui serait absurde d’ailleurs car si mes commentaires vous dérangent, il serait plus simple de ne pas avoir de retour de votre part. Mais j’ai bien peur que mes idées très spéciales peuvent déranger et remettent en cause des physiques trop bien établies. Si vous n’avez pas ... de me répondre par le biais de ces boites d’échanges venant s’inscrire dans vos articles, et bien comme le lecteur est obligé de fournir une adresse MAIL pour envoyer ses commentaires, et bien envoyé moi un MAIL et je comprendrai. Je peux aussi imaginer que la cadence de mes commentaires, qui n’est pas celle du temps, peut aussi être dérangeant, et bien comme vous parlez de quanta que sont en fait des paquets, je regrouperai mes envois qui seront envoyés par paquets, et où le déclenchement d’un paquet sera une certaine quantité d’unités de commentaire, et ce pour vous laissez tranquille à écrire autre chose que des retours sur des commentaires de lecteur.

    ___Même si ce dernier retour de votre part est une très bonne chose, il semble être un raccourcis par rapport à mon commentaire définissant plusieurs sujets, dont le temps de Henri Poincaré qui est le sujet de votre article, mais j’avoue m’être plus étendue sur la vision et l’imagination de M.Einstein, du moins sur les différentes méthodes à réfléchir et aborder des conceptions résultantes des raisonnements et/ou d’imaginations. Comme vous dites "Qu’est-ce qui peut porter un tel intervalle de temps ? Un quanta tout simplement !" et bien je comprends aussi tout simplement, que le quanta dont vous parlez n’est que dans un référentiel donné, et que dans d’autres référentiels il sera tout simplement différent. Faut-il être simple pour comprendre très simplement. Pour continuer et non pour vous nuire, mais simplement pour répondre à cette valeur de temps minimum de Planck qui est de 10E-43 seconde que vous me donnez, et bien si cette valeur est un quanta, cela veut forcément dire qu’il y a des éléments formant ce quanta, et quand un dernier élément arrive pour former ce paquet cadeau qui est le quanta, et bien il y a 1 truc, 1 machin, qui déclenche que ce 1 de quanta soit vrai et déclenche à son tour des événements de notre réalité, mais cela prouve aussi que pour avoir ce 1 de ce quanta il a fallu que des sous éléments de ce 1 se réunissent, ce qui veut dire tout simplement que la valeur de Planck n’est pas un minium absolu, mais un minimum dans notre réalité. Si un quanta est un paquet, pour former le paquet il faut bien des éléments constituant le paquet, ce qui veut dire tout simplement que 10E-43 seconde est divisible mais hors de notre réalité qui ne fonctionne que par paquet complet, ceci veut dire encore que la mécanique quantique qui s’appuie sur cette valeur, ne peut alors descendre de niveau inférieur. Ne voyez pas de délire et d’agressivité dans mon raisonnement qui est en fait très simple, car si un quanta est un paquet, et bien il faut bien des éléments pour former ce beau paquet qui est le minimum de notre réalité, mais qui n’est absolument pas le minimum d’’une hors réalité. Pour le dire encore autrement le paquet n’arrive pas d’un bloc, ou encore le quanta n’arrive pas d’un bloc, mais se constitue dans une échelle que l’on ne peux pas comprendre et qui est forcément inférieure de l’échelle de Planck.

    — Quand j’en aurai marre de retenir mes commentaires, correspondant à un paquet, je vous enverrai ce paquet de commentaires correspondant à un quanta d’acceptation de votre réalité, et vous déclencherez vous-même ce que vous avez envie de déclencher. Je travaillerai donc dans la division de vous réceptions, et donc hors réalité de vos réceptions.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • N’ayant pas l’expérience que vous avez dans l’écriture... dites vous, mais je ne suis en rien un écrivain, n’ayant fait d’études qu’en sciences et non en philosophie ni en littérature. Nous ne sommes donc pas bien différents. Nous pensons par nous-mêmes : c’est ce que pour ma part j’appelle philosopher.

    • Vous écrivez :

      « Si un quanta est un paquet, pour former le paquet il faut bien des éléments constituant le paquet, ce qui veut dire tout simplement que 10E-43 seconde est divisible mais hors de notre réalité qui ne fonctionne que par paquet complet, ceci veut dire encore que la mécanique quantique qui s’appuie sur cette valeur, ne peut alors descendre de niveau inférieur. »

      Nous avons dit qu’un quanta de matière ne peut pas descendre en dessous, mais un quanta virtuel le peut...

      Un quanta virtuel peut même aller plus vite que la lumière et aussi remonter le temps !!

    • J’écrivais par exemple en septembre 2009 :

      « Au dessus du temps de Planck, nous sommes dans l’univers de la matière/lumière. En dessous, nous sommes dans le vide quantique. Et dans ce dernier, nous trouvons, plusieurs niveaux également : virtuel, virtuel de virtuel, etc… »

      source

      Mais l’existence de temps inférieurs ne signifie pas la continuité.

      Elle signifie d’autres niveaux hiérarchiques de la réalité. Et entre ces niveaux, il y a discontinuité.

  • « le quanta dont vous parlez n’est que dans un référentiel donné, et que dans d’autres référentiels il sera tout simplement différent. » écrivez-vous...

    Je ne crois pas que l’on puisse parler de référentiel pour un quanta mais on peut parler de diagrammes de Feynman.

    Lire ici

  • Bonjour.

    ___J’avoue ne rien comprendre à ce que vous me dites, car je pensais que les limites de Planck étaient forcément celles de la mécanique quantique, et d’après ce que vous me dites dans votre retour du "29 décembre 07:28" le vide quantique est en dessous de ces barrières, et bien cela est à ne rien comprendre.

    ___Y a t-il un site ou l’une de vos pages qui donne ces barrières et donc ces limites ??

    ___Je pense que ces barrières ont changées depuis peu, car elles ne semblent pas être celles de départ, et je pense que c’est par la gravitation quantique ou encore pour d’autres domaines que ces limites initiales ont changées.

    Au revoir.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Cette mécanique quantique est tellement évolutive, que si on ne suit pas cette physique, et bien des tas de choses changent. Même si l’évolution est la normale des choses, suivre l’évolution est plus difficile car le bases changent. Depuis Einstein je ne pense pas qu’il y ait eu des changements sur ces équations et sur ces concepts, et l’avantage est ses théories ne soient l’œuvre que d’une seule personne. Maintenant avec cette quantique, cela est un travail d’équipe, et suivant les besoins où elle s’attaque, et bien cela change les limites. Donc de parler quantique ne veut rien dire, car de quelle quantique parle t-on ??

    ___Il y a sûrement des BUG dans le traçage des correspondances en fin d’articles, car d’une part, le classement d’apparition des messages n’apparaissent pas dans l’ordre chronologique de parution, et d’autre part les messages dans la page des dernières parution ces messages du ’29 décembre 07:25"’ et "29 décembre 07:28" n’apparaissent, et cela n’est pas faute de réinitialiser la boite en venant dans cette boite par une nouvelle action, car je me doute qu"=elle ne soit pas mise à jour en temps réel quand on consulte cette page.

    ___Il y a dans votre gestion de messages comme si il y avait validé/non validé attente/publié … Je me demande même si c’est une seule personne qui répond à ces messages, car les sauts d’humeur, les états d’âme, la rédaction, n’est pas forcément linéaire, ce qui veut dire que c’est sûrement une équipe et non un seul individu, voir même un robot qui répond ??

    Au revoir.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Aucune saute d’humeur et une seule personne qui s’appelle Robert Paris. Ce n’est pas un robot qui vous répond, ni plusieurs !!!

    • « de quelle quantique parle t-on ?? » dites-vous.

      Et, là, je vous suis entièrement : il y a une quantité de physiques quantiques, diverses et variées.

      Et cela pour plusieurs raisons qui ont trait les unes à l’histoire de la discipline, les autres aux problèmes qui restent en suspens, les troisièmes aux difficultés de pénétrer le domaine. Même les spécialistes ne connaissent la plupart du temps pas les dernières étapes de la physique quantique, la quantique relativiste des champs et celle de Feynman, et celle du vide bien entendu. Cela fait partie de la difficulté...

  • Bonsoir.

    ___Merci encore d’avoir répondu, et je me rends compte que mon écriture est très crue, et c’est même d’aborder les sujets qui sont difficiles à demander et où je ne mets pas de gants, donc désolé encore pour ma façon de m’exprimer qui est très sèche et directe, mais il ne faut pas voir cela comme une agressivité. Je n’enrobe pas mes questions difficiles comme pourrait le faire un diplomate qui lui trouverai forcément des tournures différentes. De toutes façons que vous soyez robot ou encore une équipe ou seul à répondre, l’important est avant tout de communiquer et d’échanger. Si vous étiez même virtuel de virtuel cela ne changerai en rien la communication et donc l’échange qui est le plus important.

    __Pour revenir à cette mécanique quantique, comment savoir que tel domaine se limite aux constantes de Planck, et que tel autre domaine ne se limite pas à ces constantes de Planck mais descend en dessous ?? C’est de la folie à ne rien comprendre, mais ce qui est encore plus grave c’est d’échanger des points de vue sur tel domaine, sans savoir quelles sont les limites autorisées. Il devient normal que je ne vous comprenne pas, car pour moi toute la physique quantique était bornée à un seuil défini par M.Planck. On se se demande pourquoi ces physiciens ont gardé ce nom de quantique pour des limites totalement différentes de ce que la quantique traditionnelle nous indique ?? Si il y avait comme nouveau terme subquantique, cela aurait déjà limité les incompréhensions, car peu importe les sujets développés, une quantique limitée et une subquantique non limitée, aurait été plus clair, qui devrait même être l’évidence de le dire ainsi. Si on aborde un sujet de cette mécanique quantique sans savoir si elle est une mécanique subquantique, et bien une totale incompréhension entre les dialogues, car pour celui qui sait ne raisonne pas de la même façon que celui qui ne sait pas. Même subquantique est un nom trop proche de quantique, et il aurait été préférable d’une invention d’un nouveau nom, mais vous le dites vous même, ce sont les hommes qui font l’histoire et qui donne des incompréhensions et que ces incompréhensions persistent, comme le vide quantique qui en fait aussi partie. Il va falloir un livret ou un manuel des domaines quantique ou subquantique donnant des explications simplement pour dire dans quelle échelle tel domaine est conceptualisé et en gros quantique ou subquantique où ce domaine se trouve.

    __Je continue à vous dire que la chronologie des messages (pour cet article en tout cas) n’est pas respecté, ce qui fait que si vous relisez les échanges vous ne comprenez pas exactement le déroulement de ces échanges. Donc obligé de regarder les dates des messages pour suivre un dialogue et donc des questions et des réponses.

    ___Je vous remercie encore de votre patience et de votre indulgence à mes écrits très rudes , mais mon but n’est absolument pas de vous gêner dans quoi que ce soit, et que vous soyez journaliste, non écrivain, philosophe ou autre n’a peu d’importance, car mon but et je pense aussi le votre est avant tout d’échanger. Mais je comprends aussi que le nombre de vos écrits est très important, et que ces échanges avec les lecteurs puissent être aussi un frein à vos rédactions. Comme déjà dit je regrouperais mes questions et j’enverrais par paquet, pour éviter des échanges dispersés. Mon problème est de revoir nos échanges en comprenant qu’il puisse y avoir déphasage par mon ignorance de ces limites quantiques où je supposais que c’étaient celles de Planck. Je ne sais où trouver encore si telle notion, tel domaine se trouvent dans des échelles inférieures de celles de Planck, car même dans vos articles cette notion d’échelle ou de seuil n’ait pas défini d’ambler. J’avais déjà évoquer avec ce terme d’Éther que j’affectionne que chaque domaine physique devrait donner le contenu de cet Éther, avant toutes explications. Et bien pour les différents domaines de cette physique quantique il aurait été judicieux de définir quelles sont les limites utilisées.

    ___PS : : Malgré être retraité et bien mon temps n’est pas toujours disponible, et mes retours sont forcément décalés.

    Bonne soirée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • « toute la physique quantique était bornée à un seuil défini par M.Planck. »

      En fait, Planck n’a jamais parlé de limites à propos des valeurs de distance, de temps, d’action ou de charge. Il a seulement constaté que ces valeurs étaient reliées entre elles par les formules classiques et que l’on ne pouvait par des expériences que mesurer ces quantités et pas plus. Il ne connaissait d’ailleurs aucune expérience qui les mesure vraiment mais seulement des expériences seulement interprétables en faisant appel à ces valeurs ce qui est très différent.

      Ce qui est fou, ce ne sont pas nos échanges mais ceux qu’ont eu et continuent d’avoir les grands physiciens.

      Feynman rappelait que celui qui croit comprendre la physique ne la comprendre certainement pas !!! Pourtant tout le monde lui attribuait de tout comprendre en physique !!!

      Je ne crois absolument pas avoir compris la physique et si vous le croyez c’est que vous ne me comprenez absolument pas.

      D’ailleurs, ma connaissance de la physique est tout ce qu’il y a de limitée.

      Je ne discute absolument pas de la physique comme un monde à étudier à part mais comme une partie d’un tout qu’est le monde, englobant la matière et la pensée humaine, les contradictions étant non rejetées mais considérées comme des moteurs de la dynamique.

  • Bonjour.

    ___Pour donner une autre note sur ce sujet global du savoir tout, et tout comprendre sur tout, et même de comprendre tout sur un petit RIEN, et bien je dirai que personne ne peut connaître un sujet à fond, car il ne peut qu’être remis en cause suivant l’évolution de nos connaissance, et que de plus le sujet évolue lui-même. Si il y avait un Dieu ou même des Dieux, et bien je pense qu’eux-mêmes ne sauraient pas, d’autant qu’une notion de départ, et bien cette notion évolue au fil du temps, et que l’évolution n’est pas maîtrisable car il y a tellement de paramètres, que ces paramètres sont plus grands que la notion elle-même. On peut dire que certaines personnes maîtrisent mieux que d’autres une certaine notion, mais que de toutes façons, même la maîtrise d’une notion n’est pas une science vraie, car la notion change sa façon d’être au fils du temps.

    ___Pour exemple le petit électron, dont on ne sait pas vraiment ce qu’il est vraiment, et bien dans son environnement d’origine appartenant à un SEUL et UNIQUE noyau qui serait un SEUL et UNIQUE proton, donnant ainsi cet atome d’hydrogène, et bien cet électron ancestral depuis environ 15 milliards d’années et isolé de TOUT, serait forcément différent d’un électron du même type d’atome mais d’age plus proche de notre présent et de notre réalité. Simplement parce que chaque particule porte en elle le temps qu’elle traverse, ainsi le petit électron isolé et appartenant au plus vieux passé possible serait forcément différent du même électron créé récemment, où ce dernier n’aurait pas vu le temps passé. Je pense que la plus part des scientifiques ne font aucune différence entre un électron très très vieux de la naissance de notre monde, avec un électron récemment créé. Cela n’est absolument pas de la poésie, mais on peut considérer que chaque entité est UNIQUE, ce qui va très loin en philosophie et en poésie. En tant qu’être humain nous nous croyons être unique car nous n’avons pas notre double possible, et on peut comprendre que cela soit vrai, mais chaque élément qui nous compose est lui aussi unique, et donc forcément les objets même vivant qui les composent sont forcément différents, car les entités qui les composent sont différentes. Nous ne pouvons absolument pas voir de différence entre 2 électrons comme 2 neutrons comme encore 2 protons, et pourtant il existe des différences qu’il est totalement impossible de comprendre et de connaître. Chaque élément est UNIQUE, car déjà l’élément que l’on croit le plus bas niveau est déjà constitué d’autres éléments de niveau inférieur, et que ces éléments de niveau inférieur ne sont pas non plus une fin, et qu’ils sont unique. L’UNICITÉ est une vérité que nous ne pouvons pas comprendre, alors pour revenir au sujet qui est notre vision sur les choses, et bien personne ne peut connaître ce qu’est une notion constituée d’éléments que l’on croit identiques.

    ___EH BEN DIT DONC !!!

    ___Quand je pense à ce petit électron isolé venant du début de notre Monde, et bien il en a vu du temps passé, et de plus il en a parcouru du chemin par ces mouvements, et je crois que personne ne se rend compte de la distance qu’il à parcouru dans cet espace et ce même si il tournait en rond et restant à sa place !!! Vouloir faire du Copier/Coller d’entité est une erreur, mais nous ne pouvons pas raisonner autrement, car déjà en faisant des factorisations nous n’y arrivons pas, alors de décomposer serait alors impossible. Bien sûr les diagrammes de ce Feynman (que vous m’avez recommandés) est une façon de découper une interaction entre deux particules, et donc de donner des croquis représentatif qui sont des séquences différentes d"un événement découpés en actions, mais cette façon n’est qu’une représentation différente d’une équation qui serait très longue et incompréhensive, alors on découpe en phases, en actions, en images, en croquis, en représentations, par une série de notions pouvant être découpée, et ce indépendamment des particules dont on parle où il faut adapter leurs données et équations. C’est comme si on décomposait en mouvement un événement pour montrer par différents croquis les différentes étapes de chaque action du mouvement, et que l’ensemble correspond à un quanta d’un phénomène. Mais cela n’est qu’une image même vraie d’un événement qui se répète et peut être intercalé avec d’outres phénomènes. C’est donc plus une représentation graphique de phénomènes qui est donné que des explications par des formules qui deviendraient trop complexes. Cela est exactement comme cette théorie des boucles, où l’unité est la boucle et où l’espace est matricé et rempli par des boucles. Les boucles changent et grossissent si des masses d’objet ont présente, mais chaque boucle même agrandit garde ses valeur de base qui sont celles de M.Planck. Ceci n’est qu’une représentation, très bonne d’ailleurs, à se représenter la déformation du contenu de l’espace, mais comme je le dis qu’une représentation, car l’espace n’est pas rempli de boucles, et les événements dessiner en croquis continu que sont les diagrammes de ce Feynman ne sont aussi qu’une représentation imagée à comprendre plus facilement les phénomène, et il en va de l’ascenseur de M.Einstein. L’homme qui est cet être humain, à besoin de se représenter les notions en images, en croquis, en projetant et se rapportant à notre réalité que nous voyons, car nous n’avons que cela pour comprendre les notions que nous ne pouvons pas décrire, sauf en équations mais malheureusement pas pour tout le monde, car la plupart des personnes préfèrent entendre les belles mélodies que de voir les notes la composant, car nos sens initiaux sont plus adaptés à entendre qu’à déchiffrer. Et cela est tellement vrai que les animaux aiment aussi la musique, et se moquent bien des équations et des notes. Si ce animaux aiment aussi la musique, et bien il ressentent aussi mieux ce qu’est le TEMPS, histoire de retomber sur mes quatre pattes.

    __La philosophie est aussi, je pense, d’aborder les sujets sous un autre angle qui est sans rapport avec les dites sciences.

    Bonne soirée.

  • RE Bonjour.
    ___Vous voyez que j’y arrive à la philosophie, et pourtant je ne savais pas que de dire des choses même simples était de philosopher, si toute fois on a une représentation des objets non conventionnelle. Si de voir différemment est philosopher alors je philosophe, et je ne le savais pas !!!
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • RE RE Bonjour.
    ___De voir comme les autres ou différemment des autres, ne change pas grand chose, car notre vision n’est pas une vraie réalité mais qu’une interprétation de ce que nous pouvons Y voir. La vison n’est pas une réalité, car il suffit pour cela de dire que telle chose est belle et non laide, pour comprendre que la beauté ne veut rien dire. Les cieux blancs ne sont pas plus beaux que les ténèbres noires, car la couleur est une appréciation de chaque individu, et pour ma part je préfère le noir, car j’y vois des étoiles, mais quand tout est éclairé, et bien on n’y voit plus rien !?! Paradoxalement !!!
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonsoir. En réponse a votre retour du "30 décembre 16:22" : :

    ___Et bien pour moi mon cher M.Paris c’est exactement l’inverse de vous, car j’aborde la science, justement parce qu’elle n’ a pas toutes les réponses et qu’elle cherche encore à essayer de trouver des solutions qui ne seraient peut être pas des vérités. De trouver n’est pas destiné qu’aux chercheurs dit scientifiques, mais justement à tout le monde. Si tout était écrit je ne sais même pas si je m’intéresserais aux sciences, car tout serait sans énigmes, et c’est justement par les manques, que l’on peut essayer de trouver soi-même de nouvelles notions ou concepts et donc de nouvelles pistes, et que l’intérêt de chercher y figure. Si tout était écrit et bien notre monde serait triste et morose, et c’est justement parce que presque rien n’est écrit qu’il faille chercher et essayer de trouver, il en va aussi pour les hommes au sens large.

    ___Quand je dis que la science ne m’intéresserait pas si tout était écrit, et bien cela est quand même faux, car on peut toujours remettre en cause ce qui est, et heureusement d’ailleurs. Les choses établies peuvent être revisitées, et il suffit pour cela de voir la relativité générale de M.Einstein qui a remanié les notions de gravitation de M.Newton, et avant Newton, je n’en sais rien. Donc que les choses soient établies, et bien elles peuvent être remises en cause et remaniées. Sur ce qui n’est pas établi et bien c’est un domaine ouvert où tout le monde peut participer, et non spécialement que les scientifiques, et c’est donc même ouvert pour les amateurs qui peuvent mettre leur grain de sel et donner d’autres pistes que celles présentées par la science même très spécialisée et pointue. Et pour prendre un exemple de notion non résolue, et bien la notion de temps qui est le plus bel exemple d’interrogation pour l’ensemble de la communauté scientifique, et pour le reste du monde. Il suffit de parler de cette notion de temps, pour comprendre que personne ne comprend. Vos idées qui sont sûrement calquées sur ce qui se dit en quantique (et ne voyez pas d’ironie), ne sont pas forcément une vérité, car sinon elle serait publiée comme grande trouvaille, et ce qui n’est pas le cas. Les soupçons, les idées des personnes touchant de près cette mécanique qui n’est même plus quantique, mais devient subquantique, ne sont que des suppositions, ne définissant pas grand chose au niveau des valeurs des mécanismes, car de dire ce sont les créations de particules virtuelles et/ou leurs destructions qui donne une cadence de temps, me semble une belle idée, mais on nous donne strictement rien aux niveaux des nombres des créations comme celles des annihilations et des densités de ces particules, comme aussi leur durée de vie, comme encore d’où vient la possibilité de création spontanée. De dire que le vide quantique bouillonne, cela ne veut pas dire grand chose, car ma casserole d’eau bouillante aussi, et pourtant dans ma casserole ce ne sont pas des particules virtuelles qu’il y a, mais simplement de l’eau, et cette eau de ma casserole je peux la quantifier en donnant des caractéristiques et même dire que ce que l’on nome comme bouillonnement sont les bulles qui se créer fonction de transformation des atomes libérant ainsi de l’oxygène venant de cette eau.

    ___Je me pose toujours des questions sur votre identité, et sur la quantité d’articles qui portent votre nom, car je suppose que cela dépasse 6000 articles qui est une approximation suivant les index des pages internet, et peut-être même plus d’ailleurs, et cela m’interpelle, car si je fais un calcul grossier, en supposant que vous fassiez un article par jour, et bien au bout d’un an cela en fait 365 articles dans une année, ce qui est monstrueux, mais cela continue, car au bout de 10 ans cela fait 3650 articles. Comme vous répondez aux questionnements des lecteurs, cela oblige à rédiger encore des écrits prenant beaucoup de temps. Les traces permettant de rechercher par mois et par année, donne un début de site vers 2003, ce qui nous fait en gros 15ans d’existence de ce site. Mais la cadence du nombre d’articles 2003=2 2004=0 2005=2 et donc plus nous nous rapprochons de notre présent plus il y a d’articles publiés par jour. Donc la cadence du temps s’accélère et par la même vos écrits. Donc mon estimation grossière d’un article par jours est même fausse car c’est peut être plus. Si cela est vrai, et bien c’est un travail de FOU,et je comprend votre fatigue qui ne se manifeste pas dans vos écrits, mais dans la réduction de vos phrases et du nombre de phrases de retour qui sont très réduites, et aussi aux questions soulevées mais non répondues. Je pense ne pas être très loin d’un article par jour avec de plus les réponses aux lecteurs. Quand on sait le temps qu’il faille passer pour rédiger une biographie, ce que vous avez fait ressassement, et bien je ne comprend pas non plus que la quantité d’articles, de brèves et autres soit aussi monstrueuse. Donc êtes vous seul à rédiger tout cela, ou êtes vous une équipe ? Cela n’est pas du vice à chercher qui vous êtes, mais c’est la quantité d’articles rédigés par une même personne qui me semble complètement anormal. Demande et retour déjà de votre part, mais là c’est bien la quantité d’articles par une même personne qui m’étonne. Comme déjà dit, peu importe qui rédige les retours aux lecteurs, car l’important c’est d’avoir des retours pour savoir si les demandes et les questionnements ne sont pas idiots et donc tiennent la route, et ce même si vous ne pouvez pas répondre aux questions posées.

    ___Extrait du votre retour "mais pas sans rapport avec ce que d’autres sciences ou modes de pensée ont compris", où peut-on trouver ces modes de pensée que donnez, et où chercher ?? dernière question : : Y a t-il une page de votre site où les questions ne sont pas liées à un article précis. En d’autres termes existe t-il un forum globalisé ??

    Bonne nuit. Merci encore de vos retours.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Je pense que vous survolez les commentaires des lecteurs et plus précisément les miens, car votre réponse datant du "31 décembre 07:26" suite à mon commentaire du "30 décembre 21:40" me semble en décalage total. Je m’étonne sur votre œuvre qui est volumineuse et comme dit "monstrueuse" en tant que nombre d’articles bien sûr, mais aussi et forcément en quantité du contenu et donc du volume important des écrits, et il me semble ne pas y avoir de vice dans mes interrogations et dans mon étonnement. Peu importe comment on considère et on voit le monde et les sujets diverses qui s’y rapportent, car écrire dans plein de domaines, prend forcément beaucoup de temps. J’ai bien peur que vous preniez la mouche, comme on dit, car tel mot vous déplaît, et peut être même que mon étonnement sur la quantité de votre œuvre vous déplaît également, et pourtant je ne pense pas avoir été désagréable par mon simple étonnement, ce qui doit vous gênez sans doute c’est mon estimation grossière, qui est de l’ordre d’un article par jour, à laquelle d’ailleurs vous ne répondez en rien. Votre phrase "Du moment que c’est seulement le nombre d’articles que vous jugez monstrueux et pas leur contenu" me paraît complètement déplacée, car je ne juge rien, je n’ai fait qu’une estimation du nombre d’article en voyant l’index des noms des pages internet, et la naissance de votre site, donc ce n’est pas un jugement comme vous dites mais une simple estimation, sachant de plus, qu’il y a des articles nommés brèves, et d’autres peut être rubriques, et que de plus vous répondez aux lecteurs sur leurs questionnements. Je suis étonné par la quantité et aussi par le volume de travail que cela représente, et je ne peu juger son contenu, car je n’ai effleuré que quelques articles. Si vous voulez de la pommade, et bien votre écriture est claire, le découpage des blocs de phrases est parfait, d’autant que je ne suis pas un lecteur traditionnel, car je n’ai presque rien lu dans ma vie, et de me parler de Socrate, des pharaons ou autre j’avoue sûrement comprendre, que c’est sans doute pharaonique, mais je ne vois en rien le rapport avec mon étonnement sur votre faculté à écrire sur des tas de notions même en dehors de la physique. Peut importe comment on considère le monde, comme un tout pour vous, et pour moi je n’en sais strictement rien, car ce n’est pas le nombre de sujets abordés qui fait le volume du monde, et pour preuve avec ce M.Einstein où il y a sûrement plus d’écrits sur lui et de ses relativités qu’il n’a écrit lui même, et donc ce n’est pas dans la dispersion que l’on trouve la vérité du monde mais aussi dans la description du RIEN, du vide, du néant, du non-être, où on devrait pourtant ne rien dire. Je pense que le mot "monstrueux" vous déplaît alors comme je ne suis pas compliqué je dirai maintenant pharaonique, car l’important ne sont pas les mots utilisés, mais le sens que l’on veut donner aux phrases et surtout de la compréhension aux textes que l’on rédige, et pour être clair c’est de se faire comprendre tout simplement. Même si monstrueux vient de monstre, c’est au sens de choquer la raison, qui se traduit pour moi par l’étonnement, et il ne faut pas voir affreux, repoussant, horrible... mais justement son contraire c’est à dire extraordinaire, anormal, phénoménal...

    ___Ce qui est sûr c’est que vous n’avez pas répondu à ma question qui est la quantité, volume sur ce que vous écrivez, comme si cela était un secret d’État, avec un E majuscule car à chaque fois que j’ai trouvé ce mot dans vos écrits, et bien toujours avec ce E en majuscule et sans accent d’ailleurs, histoire de mettre l’accent ou le doigt sur ce E majuscule.

    ___Vous ne répondez pas non plus sur ma réflexion pour dire que les physiques sont intéressantes pour ma part, car tout n’est pas écrits, et qui va exactement dans le sens contraire de ce que vous dites. Si ces sciences sont incomplètes c’est justement l’intérêt d’y apporter des réponses, même pour un petit individu comme moi, et presque sans connaissance, car la culture ne débouche par forcément sur les idées, et les raisonnements logiques, car avec une tête pleine, il peut ne rien en sortir, ce qui paraît même aberrant, car avec la quantité d’informations, on devrait avoir une quantité de croisements, comme de liaisons très importantes, mais ces liaisons entre ces informations est autre chose, car se ne sont pas les neurones, mais les synapses. D’avoir 100 neurones est une chose, mais le nombre de liaisons reliant ces neurones est beaucoup plus important si on considère que chaque neurone est relié aux autres, et je ne ferais pas de démonstration, car c’est de l’ordre des mathématiques statistiques. Mais comme la logique m’intéresse, et bien voilà une proposition : : si pour un neurone il y a 100-1 connexions, donc 99 liaisons aux autres neurones, comme il y en a 100 neurones, c’est donc 100x100-1=9900 liaisons, et comprend alors que si les liaisons n’existent que partiellement, la quantité d’informations que sont les connaissances peuvent ne pas servir si elles ne sont pas reliées à l’ensemble des connaissances, et qu’il soit préférable d’avoir plus de liaisons que de neurones ce qui permet des raisonnements plus performant sur un nombre réduit de connaissances. Mais dans ma proposition de 100×100-1=9900 liaisons et bien celle-ci est inexacte, car il faut soustraire pour chaque neurone les liaisons déjà effectuées par les neurones prétendants, ce qui devrait être (100×100-1)-100=9800 ce qui se traduit par (N×N-1)-N=x mais je n’en suis même pas sûr, et c’est même certain que ma proposition soit fausse, mais cela me donne quand même et déjà un ordre de grandeur, même si je me trompe complètement. Le raisonnement est celui des mathématiques, mais les idées sont sans rapport avec les mathématiques, car même si on pousse tel terme vers zéro ou l’infini, pour avoir des notions qui en ressortent, et bien cela n’est pas une idée, mais simplement jouer avec des nombres donnant d’autres possibilités. Donc les ondes gravitationnelles, les trous noirs, remonter le temps et ayant donc une naissance, ne sont pas des idées, mais c’est jouer avec les nombres de formules pour y voir autre chose par des extrêmes. Comme le sujet de cet article est encore le Temps, et bien de le mêler au contenu d l’espace, n’est pas un raisonnement mais une idée pharaonique et non ps monstrueuse. La démarche du raisonnement est la logique, mais il n’y a pas de démarche pour les idées, car il faut se plonger dans l’inconnu, et après l’idée viennent les raisonnements. Cette dérive est simplement pour dire que la quantité d’informations ne justifie pas à ne regarder que ces informations pour comprendre ce qu’est le monde et sa complexité, car on peut avoir beaucoup moins d’information pour comprendre ce que peut être ce monde. Même si la dérive des hommes entre dans cette constitution de notre monde, ceci n’est en rien a comprendre pour autant le monde lui-même, mais seulement essayer de comprendre ce que sont les hommes et leur divergence et de leur révolte. L’électron individu, ce moque d’être dans Paul Pierre ou Jacques, mais d’être en relation avec son environnement proche, et il en va de même pour la particule virtuelle éphémère du quantique rentrant dans les diagrammes de Feynman ou pas d’ailleurs.

    ___Je terminerai par votre belle phrase de début de votre retour qui reste pour moi incomprise car pas très claire "Du moment que c’est seulement le nombre d’articles que vous jugez monstrueux et pas leur contenu, ça va encore..."

    ___Mais une terminaison fausse, car pour vraiment terminé ce commentaire, je dirai bien heureux d’avoir un vrai interlocuteur, même si ces idées diffèrent des miennes, car c’est tout l’intérêt d’échanger des idées.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Suite à mon propre commentaire du "31 décembre 12:18, par JFP/Jean-François POULIQUEN" : :
     "Si ces sciences sont incomplètes c’est justement l’intérêt d’y apporter des réponses, même pour un petit individu comme moi, et presque sans connaissance, car la culture ne débouche par forcément sur les idées, et les raisonnements logiques, car avec une tête pleine, il peut ne rien en sortir, ce qui paraît même aberrant, car avec la quantité d’informations, on devrait avoir une quantité de croisements, comme de liaisons très importantes, mais ces liaisons entre ces informations est autre chose, car se ne sont pas les neurones, mais les synapses. D’avoir 100 neurones est une chose, mais le nombre de liaisons reliant ces neurones est beaucoup plus important si on considère que chaque neurone est relié aux autres, et je ne ferais pas de démonstration, car c’est de l’ordre des mathématiques statistiques."

    ___Voyez vous, en me posant moi même une colle sur le nombre de liaisons qui puissent y avoir pour 100 neurones, et bien, cela vous travaille la tète, et comme je n’aime pas rester en plan, j’ai cherché moi même une vraie solution, et ce sans essayer de trouver des solutions sur internet, car cela sert aussi à ça une tète rempli de neurones, mais surtout de synapses qui sont je crois les liaisons. Et en cherchant en trouve forcément, et ma solution est celle ci : x=N2/2-N/2 pour dire que le nombre de liaisons possibles pour 100 neurones est donc ((100x100)/2)-100/2 soit de 4950 liaisons.

    ___Comment avoir trouvé cette solution tout seul comme un grand ?? Et bien faire des croquis qui ne sont pas ceux FEYNMAN avec 2 neurones avec 3, 4 5 et 6 et compter les liaisons que vous avez tracées manuellement sur une feuille. Puis chercher ensuite avec ses propres neurones. Si vous trouvez une formule vraie pour les premiers nombres de 2,3,4,5, 6, cette formule sera donc valable et forcément pour les nombres suivants. C’est FOU !!! Je réinvente donc les mathématiques que d’autres ont inventé avant moi, mais est-ce des mathématiques que de donner x=((N2)/2)-N/2 ??

    ___Ce commentaire est l’un des éléments du paquet cadeaux (quanta) que je vous avait parlé pour ne pas que vous ayez trop de commentaires de ma part tout les jours. Donc comme c’est un éléments du paquet, d’autres éléments vont suivre, et j’espère qu’ils ne vont pas vous nuire, car le but étant les échanges pour donner des évolutions à vos articles.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Vous voyez ce qui manque au lecteur comme moi, c’est à dire une personne très dispersée, c’est une sorte de trace d’avoir envoyé réellement un commentaire ou pas, car après l’envoi d’un commentaire, on n’a strictement rien comme trace à savoir si on a envoyé un commentaire ou pas. Bien sûr si l’utilisateur frappe son commentaire directement dans la boité de saisie, et bien il sait ce qu’il fait, mais quand vous préparez des commentaires à envoyer dans un fichier séparé, et qu’il faille faire des Copier/coller, et bien vous ne savez plus si cela à été réellement envoyé ou pas, d’autant qu’il n’y a pas toujours de retour d’une part, et que de plus il faut attendre un certain temps avant que la publication du commentaire soit réelle. Ceci m’est arrivé sur l’un de vos articles où j’attendais une réponse de votre part, mais aussi une publication de ce commentaire, et bien ce commentaire n’a jamais été publié, ce qui veut sans doute dire que j’ai fait une mauvaise manip, en n’utilisant pas la deuxième boite de vérification où l’envoi réel se fait par un deuxième bouton que le premier bouton qui donne accès à cette boite de vérification. Je ne dis pas cela pour vous mais pour le logiciel générique que vous utilisez pour votre site. Ainsi le fait de donner une adresse MAIL pour un commentaire donné, il devrait y avoir une trace dans les MAIL pour dire qu’un envoi à été effectué, même si cet envoi n’est pas publié. C’est donc au logiciel lui-même qui sert de squelette, qu’il faille faire une demande, mais non à votre site. Merci encore.

    ●Bonne journée.
    ●JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjours.

    ___Je suis allé voir sur le site que vous me recommandiez par votre réponse du "28 décembre 20:23" : :
    http://
    feynman.phy.ulaval.ca/
    marleau/pp/05qed/Mathieu%20Savard/Matrice.html
    découpés en trois parties, afin de savoir si votre "GROCIGIEL" de saisie de commentaires est si intelligent que ça.
    Site que vous m’indiquez suivant vos recommandations en date du "28 décembre 20:23" où vous me dites ceci : :
    "Je ne crois pas que l’on puisse parler de référentiel pour un quanta mais on peut parler de diagrammes de Feynman.", lié à l’article "Henri Poincaré et le temps". Et bien en voici un premier extrait du début de l’article du site recommandé : :
     "Les diagrammes de Feynman
    La théorie des perturbations est un outil extrêmement pratique dans le calcul des probabilités des interactions dites faibles, dans un cadre classique (non relativiste). Par contre, lorsque l’on inclut à ce type d’interaction des particules fortement relativistes, cette théorie procure des résultats beaucoup trop compliqués à calculer, d’où l’intérêt de développer un nouvel outil permettant d’appliquer cette théorie des perturbations aux cas relativistes. Cet outil porte aujourd’hui le nom de diagramme de Feynman.
    Bien qu’ils permettent de visualiser les interactions entre les particules, les diagrammes de Feynman sont bien plus qu’une simple représentation schématique. Le but premier de cet outil est de réduire – considérablement - les calculs décrivant ces interactions en les réduisant à de simples variations d’amplitude de probabilité. Ils sont une sorte de représentation graphique des formules de section efficace de diverses interactions. Dans ses diagrammes, Feynman dévoile une nouvelle théorie des perturbations invariantes dans laquelle il propose que la perturbation du système soit représentée par un échange de particules virtuelles.
    Une grande partie de cet ouvrage traite de l’interaction entre deux électrons (ou positrons). Par contre, une fois la technique saisie, ce n’est qu’une question de temps avant de pouvoir l’appliquer à d’autres types d’interaction. Dans ce travail, j’entends démontrer l’efficacité des diagrammes de Feynman dans le calcul des probabilités d’interaction entre des particules. Pour y arriver, je dois néanmoins introduire quelques éléments de théorie mathématiques qui se dissimulent derrière ces diagrammes, ensuite, nous verrons comment chaque terme de l’équation menant au calcul se trouvent bel et bien à l’intérieur d’un tel graphique."

     (...)

     Puis un deuxième extrait assez court que voici mais pour moi le plus important : :
     "Conservation de l’énergie et de l’impulsion
    Toutes les lignes qui entrent et sortent du diagramme et qui représentent de vraies particules, doivent absolument respecter E = p2c2 + m2c4. L’impulsion doit aussi être conservée tout au long du processus."

    ___RÉFLEXION 1 : : Sans décortiquer cette formule car j’en serait peut-être incapable, et bien je pense que cette formule par ces variables et constantes parle de vitesse et donc forcément de temps, mais dans quel référentiel ??

    ___RÉFLEXION 2 : : Même si je ne comprends pas tout de ce qui est expliqué dans cette approche des diagrammes de Feynman, car je n’ai pas envie d’approfondir et perdre du temps, ce que sont ces diagrammes, le deuxième extrait défini bien cette formule donnée : : E = p2c2 + m2c4 : : QUE LE TEMPS JOUE UNE TRÈS GRANDE IMPORTANCE dans cette représentation, qui est une sorte de découpage en actions d’une interaction entre deux particules. Où chaque action se traduit graphiquement comme aussi mathématiquement. Mais qu’est-ce qu’un diagramme après tout ?? Et bien je crois que c’est simplement une représentation imagée en plusieurs croquis définissant aussi des expressions mathématiques, et où ces différents croquis définissent des étapes (action) et que l’ensemble est une interaction, c’est ce que je crois comprendre. C’est une vraie représentation graphique du déroulement et des variations d’un phénomène donné, mais maintenant reste à savoir si un quanta est un phénomène, d’après vos recommandations ?? Le vrai problème qui est masqué implicitement c’est que ces termes c2 et c4 dépendent de la célérité et donc de la vitesse de la lumière, mais qu’il faille voir derrière cette le TEMPS, et que ce TEMPS ne soit pas le même d’un référentiel à un autre !!! Pour le dire autrement un quanta n’a pas la même valeur absolue d’un référentiel à un autre, et que si on découpe les quanta pour en faire des diagrammes, et bien même si le découpage est le même d’un quanta à un autre, les valeurs des divisions ne sont pas les mêmes en valeur absolue. Si je prend UN et je le divise par 10 j’obtiens 0.1. Si je prend DEUX et que je le divise par 10 j’obtiens 0.2. Un étant le quanta d’un référentiel donné, et DEUX étant un autre quanta dans un autre référentiel donné. On ne peut pas mélanger UN et DEUX bien sûr, mais on peut voir UN et DEUX hors et indépendamment des quanta. Chaque quanta de chaque référentiel pense être la vérité, mais ceci est faux !!!

    ___Si le quanta de Planck est un diagramme et bien c’est que déjà l’on peut forcément découper ce quanta en différentes actions (croquis) qui se représentent sur ce diagramme, et donc que 10E-43 seconde de Planck se découpe encore en croquis, en actions, en événements, mais sans aller jusqu’à là, car je ne veux pas approfondir la chose, c’est de votre réponse non comprise qui m’interpelle. Car j’ai l’impression que vous feignez de ne point me comprendre, car comme le terme de référentiel semble vous gêner, prenons alors système, mais j’ai bien peur que même ce mot de système puisse encore vous gêner comme peut-être contexte, alors pour être TRÈS CLAIR prenons l’horloge, et posons nous deux images où chaque image animée est une horloge. Une horloge fixe dans l’espace pour la première, et une deuxième horloge pour la seconde image, mais ayant une vitesse très grande, sans préciser la vitesse. Le mécanisme de ces horloges est strictement le même, et pourtant le temps de ces horloges s’écoule différemment. Et donc STUPEUR OU NORMALITÉ !! Ni l’une ni l’autre, mais simplement une totale incompréhension !! Ce qui veut dire que le quanta de chaque horloge est différent, ce qui veut dire encore que 10E-43 seconde de Planck se découpe bien sûr et est aussi différent, ce qui veut dire encore que chaque diagramme de Feynman est aussi différent, non pas par la logique, ni par les croquis, mais par le temps qui s’y écoule, et il en va de même pour la mécanique des horloges qui elles aussi sont les mêmes, mais la vitesse des rouages est différente. FOLIE ou NORMALITÉ !!! Et bien pour moi c’est normal, car je crois comprendre ce qu’est le temps qui n’est pas celui de Newton. Pour le dire encore plus CRÛMENT, la vitesse des rouages des horloges est différente, mais pire encore la vitesse des actions des particules est aussi différente, et c’est bien ce qu’il faille simplement comprendre. Les actions, les événements, les phénomènes, les interactions, les particules, les champs, les quanta ne se déroulent PAS à la même VITESSE/TEMPS suivant les horloges fixe ou en mouvement. Et pour le dire encore plus DUREMENT, l’atome et son comportement n’est pas le même si il est fixe ou en mouvement !!! Les scientifiques voir même les physiciens sont vraiment bébête à ne pas comprendre que le comportement de l’atome comme de ses constituants n’ont pas les mêmes temps de réaction que si ils sont fixe ou en mouvement, car les horloges sont avant tout constituées d’atomes, et peu importe les mécanismes même basés sur l’atome, car ces mécanismes sont les mêmes mais leur déroulement dans le temps est totalement différent. Pour le redire encore plus VIOLEMMENT l’atome du césium 133 n’a pas les mêmes réactions de temps dans des référentiels et des contextes différents, ce qui veut dire que LA BELLE SECONDE diffère. Il est complètement fou de ne pas comprendre que ces horloges identiques montrent des temps différents, sans se poser la question que forcément cela provient des interactions des éléments formant l’atome qui eux différent dans le temps. Les horloges ont beau être les mêmes, ainsi que les atomes les constituant, c’est les mouvements de ces atomes et de leurs particules qui différent et qui ont des vitesses différentes, et qu’en gros la rapidité des petites choses n’est pas la même si elles sont fixe ou en mouvement, mais le mouvement très rapide n’est pas la seule notion à faire varier le temps, mais aussi les masses importantes...

    ___Faut-il être un PETIT CRÉTIN comme moi, pour comprendre ce qu’est le temps, et que les physiciens ne comprennent pas, alors je dis à ces physiciens scientifiques soyez des crétins comme moi, et je pense alors que la science avancera. Nul besoin d’apprendre pour comprendre, il suffit d’ailleurs de voir tous les organismes vivants qui eux comprennent, mais l’homme est une espèce vraiment très à part qui entasse des tas de connaissances qui complexifient ce qui est pourtant très simple. Même si on ne sait pas définir ce qu’est le temps, et bien ce temps n’est pas un absolu, mais change fonction des notions des mouvements à grande vitesses et des masses importantes. Donc l’écoulement du temps n’est pas un absolu et donc régulier, comme les mouvements rapides des entités du quantique et ceux du subquantique, car ces particules même virtuelles et encore virtuelles de virtuelles, ont des mouvement différents si on les met dans des conditions particulières. Si ces particules particulières définissent elles-mêmes le temps, alors la fréquence de leur rencontre et de de leur désintégration différent également, ainsi pour le dire très RAISONNABLEMENT et explicitement, quant un ensemble de particules de tous genres, vont à des vitesse très grandes, comme aussi si ce même ensemble de particules est placé proche de masses très importantes, alors les créations et les annihilations de ces particules particulières, se font moins rapidement donnant ainsi une cadence de temps moins rapide et donc d’allongement du temps. 7

    ___En fait les particules virtuelles ou non, ont peur des très grandes vitesses et aussi de masses monstrueuses comme ces objets de trous noirs, et alors leur activité se réduit, quitte à ne plus bouger du tout. C’EST FOU !!! Imaginer dans le même sens la peur des humains, et bien ceux ci quand ils sont effrayés sont complètement bloqués, et il n’ont plus d’activité. Il en va de même pour ces particules réelles ou virtuelles, car la peur les rend moins activent avec l’extérieur. Faut-il se transposer en une particule quelconque, pour dire que j’ai peur quand cela va trop vite, et j’ai encore peur quand j’approche des trous noirs qui vont m’engloutir, et que cette peur me bloque et où je ne peux plus voir mes semblables même de charge opposes. Donc moi PARTICULE je n’interagis plus avec quoi que ce soit car je ne donne plus cette cadence de temps si les humains considèrent que je fais ce métier. En étant complément paralysé par la peur, moi petite PARTICULE je n’interagis plus avec mon petit entourage et le temps devient interminable et sans fin, mais ce n’est pas vraiment le temps qui est interminable mais sa durée sans fin, car d’après les scientifiques c’est moi qui définit une fraction de durée définissant ainsi cette notion de temps pour un ensemble avec mes compagnes .

    ___Pour le redire une dernière fois, l’agitation des très petites entités ne s’agitent pas de la même façon, si le contexte est fixe que si il est mobile a très grande vitesse. La vitesse du contexte et ce qu’il contient, conduit que le temps ralentisse. Le ralentissement du temps est aussi vrai quand des masses très importantes constituent le contexte et où ce contexte peut être même fixe. L’agitation des petites entités du subquantique varient donc fonction soit des masses ou de la vitesse du contexte. Ainsi peu importe comment on défini les interactions, les quanta, les actions, les diagrammes, les enclumes (mais très très petites), et tout ce qui concerne le subquantique, l’agitation de tout ce petit monde, peut suivant les contextes être ralentit, et ceci est tellement vrai que dans un contexte très particulier proche d’un trou noir même fixe, que cette agitation s’arrête pratiquement, et donc que plus rien ne bouge, même ce soit disant césium 133 définissant la seconde, et ce indépendamment du contenu de l’espace dans ce contexte du très petit.

    ___C’est comme l’image d’une voiture roulant en campagne, et bien plus elle s’approche des villes et plus elle ralentit, il arrive même qu’elle s’arrête complètement quand elle arrive très très lentement sur Paris Monsieur Paris !!! Car même si Paris sera toujours Paris, ce Paris fait tout ralentir et qui fait même stopper les voitures, et à Rome c’est pareil, donc vivons à la campagne pour ne plus être ralentit par les villes, et déplaçons nous d’un hameau à un autre sans problème. C’est ce que revendiquent les particules. Que votre nom soit comme celui de la capitale Française, cela est un pur hasard, et j’espère que vous l’aurez compris, car je pense connaître aussi un certain Madrid, un certain Londres, et encore plein d’autres personnes virtuellement bien sûr, car je ne veux pas être ralentit, et donc je suis isolé de ces grandes villes pouvant ainsi me déplacer normalement avec ma petite voiture, pour aller dans un hameau voisin voir une voisine, SINE SINE en TEUF TEUF mais à bonne cadence où le temps semble normal.

    ___CONCISÉMENT PARLANT (terme débile) : : LA CADENCE du TEMPS est la CADENCE DES PARTICULES !!! Car pourquoi se torturer l’esprit quand c’est très simple. On serait tenté de donner cette belle égalité en ayant vu cette belle phrase donnant ceci : : CADENCE-TEMPS=CADENCE-PARTICULE ; et bien même si cela est vrai, que veut vraiment dire la cadence des particules, car qu’est-ce qui se cache derrière ces créations et destructions des particules ?? Et comme auraient dit les scientifiques, ÇA BOUILLONNE, mais je dirai, pas dans leur cerveau pour être très clair.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Il semble curieux qu’il n’y ait pas eu de retour de votre part sur mon commentaire VIRULENT du [9 janvier 09:41]. Ai-je tord ou raison dans mes explications ?? Il semble difficile de comprendre le temps, et peu importe comment il est fabriqué, car quand on parle de quantique, on la voit toujours la même, comme si il n’était pas possible de la modifier. Et bien cette quantique comme le reste subit une cadence du temps qui n’est pas figé, car les cadences de créations par paire de particules virtuelles à partir de photon virtuel changent, les cadences de destructions de particules virtuelles par annihilation par des charges opposées changent fonction du contexte où elles se trouvent. Et les particules de masse changent aussi de cadence, ainsi l’électron par exemple change sa vitesse d’orbite, les quarks dans ces protons et neutrons changent aussi de cadence d’interaction entre eux, et en fait tout ce petit monde change, et ce chargement n’est lié qu’à deux choses, la vitesse rapide du contexte, où simplement un contexte proche de masses importantes. Suivant ces deux dernières possibilités de contexte, tout ralentit, les interactions et peu importe ce qu’elles sont, ont une cadence moins rapide, ainsi comme déjà dit, ce césium 133 dont l’un de des électrons excité, tourne en fait moins rapidement que la normal, rendant ainsi une seconde plus longue. En fait il y une très grosse bourde dans ce système SI car on a pris un matériau quelconque pour définir la seconde et même la vitesse de la lumière d’ailleurs, mais ce matériau servant à définir la seconde, change fonction de son contexte si il est au repos ou en mouvement rapide comme aussi proche d’une masse importe, et je parle bien sûr du contexte qui varie, faisant varier justement tout ce petit monde que sont les particules de tout genre. Nous ne comprenons RIEN car on n’arrive pas à s’imaginer, que les durées dans le domaine du petit puisse changer , et même énormément. Ainsi l’activité même du quantique peut s’arrêter, ce qui semble incroyable, et pourtant les atomes et le vide quantique sont forcément au ralentit dans des contextes spéciaux, ce qui fait que les belles horloges atomiques sont aussi au ralentit dans ces contextes spéciaux. Les interactions, les forces, les énergies, et tout les mots qui désignent une activité quelconque, sont au ralentit et le comble est même de tout arrêter dans des conditions spéciales. Et là difficile de comprendre qu’à notre échelle voyant cette quantique super-active, dont on dit que les notions de temps et de vitesse ne peuvent pas être données, et bien que tout ce petit monde peut s’arrêter !!! Je pense que ce M.Einstein à très compris cette façon de voir le temps, car il se projetait d’une autre façon que les scientifiques le font. Dire que la quantique peut être au ralentit et même s’arrêter et quand même très surprenant, et pourtant c’est comme cela qu’il faille le voir, et c’est ce que je pense, et mon imagination n’a rien d’extraordinaire.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Bonjour.

    ___Tout le problème de ces adeptes de la quantique, est que le concept de temps et d’autres concepts d’ailleurs, vient forcement de leur quantique et de son vide, et pourtant le temps est une notion différente et détachée et à plus basse échelle que ce "virtuel de virtuel". La quantique ne résout pas tout, mais en fait cette quantique triche en elle-même, car tout ce qui est petit est de son domaine. C’est un peu comme la théorie des cordes qui rajoute à foison des dimensions, et vous avez cette théorie à N-4 ou N+6 ou N+12 dimensions qui sont des visions différentes et des domaines différents, ce qui ne veut rien dire, car pour expliquer telle chose il faut prendre N plus ou moins de dimensions, et pour expliquer autre chose prendre différemment un nombre de dimensions. Et bien c’est ce que j’ai pu comprendre de cette quantique, qui ne se place plus à des limites de départ de celles de Planck mais qui aborde d’autres possibilités. Et bien ces nouveaux domaines de la quantique, ne sont plus de la quantique, mais auraient dû s’appeler autrement, car c’est autre chose car les limites et les échelles sont différentes. C’est à ne rien comprendre comme les cordes.

    Bonne journée.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

    • Des physique quantiques, il y a en a eu des quantités et il y a de multiples versions pour chaque problème posé à la Physique. Les cordes et les supercordes sont une tentative quantique qui a cherché une version purement mathématique sans aucune base fondée sur des observations. Ce n’est pas le cas du reste de la physique quantique.

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