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Révolution politique et sociale, nous sommes tes fils

vendredi 20 octobre 2023, par Robert Paris

Révolution politique et sociale, nous sommes tes fils !

Aucun changement important dans le monde n’a eu lieu sans révolution, sans la mobilisation et l’action directe de masse des exploités et des opprimés, s’organisant eux-mêmes et détruisant tout l’ancien ordre.

Victor Hugo : « Nous sommes tes fils, Révolution »

« Nous sommes 1789 aussi bien que 1793. La Révolution, toute la Révolution, voilà la source de la littérature du dix-neuvième siècle.

Sur ce, faites-lui son procès, à cette littérature, ou son triomphe, haïssez-la ou aimez-la, selon la quantité d’avenir que vous avez en vous, outragez-la ou saluez-la ; peu lui importent les animosités et les fureurs ! elle est la déduction logique du grand fait chaotique et génésiaque que nos pères ont vu et qui a donné un nouveau point de départ au monde. Qui est contre ce fait, est contre elle ; qui est pour ce fait, est pour elle. Ce que ce fait vaut, elle le vaut. Les écrivains des réactions ne s’y trompent pas ; là où il y a de la révolution, patente ou latente, le flair catholique et royaliste est infaillible ; ces lettrés du passé décernent à la littérature contemporaine une honorable quantité de diatribe ; leur aversion est de la convulsion ; un de leurs journalistes, qui est, je crois, évêque, prononce le mot « poëte » avec le même accent que le mot « septembriseur » ; un autre, moins évêque, mais tout aussi en colère, écrit : Je sens dans toute cette littérature-là Marat et Robespierre. Ce dernier écrivain se méprend un peu ; il y a dans « cette littérature-là » plutôt Danton que Marat.

Mais le fait est vrai. La démocratie est dans cette littérature.

La Révolution a forgé le clairon ; le dix-neuvième siècle le sonne.

Ah ! cette affirmation nous convient, et, en vérité, nous ne reculons pas devant elle, avouons notre gloire, nous sommes les révolutionnaires. Les penseurs de ce temps, les poètes, les écrivains, les historiens, les orateurs, les philosophes, tous, tous, tous, dérivent de la Révolution française. Ils viennent d’elle, et d’elle seule. 89 a démoli la Bastille ; 93 a découronné le Louvre. De 89 est sortie la Délivrance, et de 93 la Victoire. 89 et 93 ; les hommes du dix-neuvième siècle sortent de là. C’est là leur père et leur mère. Ne leur cherchez pas d’autre filiation, d’autre inspiration, d’autre insufflation, d’autre origine. Ils sont les démocrates de l’idée, successeurs des démocrates de l’action. Ils sont les émancipateurs. L’idée Liberté s’est penchée sur leurs berceaux. Ils ont tous sucé cette grande mamelle ; ils ont tous de ce lait dans les entrailles, de cette moelle dans les os, de cette sève dans la volonté, de cette révolte dans la raison, de cette flamme dans l’intelligence.

Ceux-là mêmes d’entre eux, il y en a, qui sont nés aristocrates, qui sont arrivés au monde dépaysés en quelque sorte dans des familles du passé, qui ont fatalement reçu une de ces éducations premières dont l’effort stupide est de contredire le progrès, et qui ont commencé la parole qu’ils avaient à dire au siècle par on ne sait quel bégaiement royaliste, ceux-là, dès lors, dès leur enfance, ils ne me démentiront pas, sentaient le monstre sublime en eux. Ils avaient le bouillonnement intérieur du fait immense. Ils avaient au fond de leur conscience un soulèvement d’idées mystérieuses ; l’ébranlement intime des fausses certitudes leur troublait l’âme ; ils sentaient trembler, tressaillir, et peu à peu se lézarder leur sombre surface de monarchisme, de catholicisme et d’aristocratie. Un jour, tout à coup, brusquement, le gonflement du vrai a abouti, l’éclosion a eu lieu, l’éruption s’est faite, la lumière les a ouverts, les a fait éclater, n’est pas tombée sur eux, mais, plus beau prodige, a jailli d’eux, stupéfaits, et les a éclairés en les embrasant. Ils étaient cratères à leur insu.

Ce phénomène leur a été reproché comme une trahison. Ils passaient en effet du droit divin au droit humain. Ils tournaient le dos à la fausse histoire, à la fausse société, à la fausse tradition, au faux dogme, à la fausse philosophie, au faux jour, à la fausse vérité. Le libre esprit qui s’envole, oiseau appelé par l’aurore, est désagréable aux intelligences saturées d’ignorance et aux fœtus conservés dans l’esprit-de-vin. Qui voit offense les aveugles ; qui entend indigne les sourds ; qui marche insulte abominablement les culs-de-jatte. Aux yeux des nains, des avortons, des astèques, des myrmidons et des pygmées, à jamais noués dans le rachitisme, la croissance est apostasie.

Les écrivains et les poètes du dix-neuvième siècle ont cette admirable fortune de sortir d’une genèse, d’arriver après une fin de monde, d’accompagner une réapparition de lumière, d’être les organes d’un recommencement. Ceci leur impose des devoirs inconnus à leurs devanciers, des devoirs de réformateurs intentionnels et de civilisateurs directs. Ils ne continuent rien ; ils refont tout. A temps nouveaux, devoirs nouveaux. La fonction des penseurs aujourd’hui est complexe : penser ne suffit plus, il faut aimer ; penser et aimer ne suffit plus, il faut agir ; penser, aimer et agir ne suffit plus, il faut souffrir. Posez la plume, et allez où vous entendez de la mitraille ; voici une barricade ; soyez-en. Voici l’exil ; acceptez. Voici l’échafaud, soit. Qu’au besoin dans Montesquieu il y avait John Brown. Le Lucrèce qu’il faut à ce siècle en travail doit contenir Caton. Eschyle, qui écrivait l’Orestie, avait pour frère Cynégyre, qui mordait les navires ennemis ; cela suffisait à la Grèce au temps de Salamine ; cela ne suffit plus à la France après la Révolution ; qu’Eschyle et Cynégyre soient les deux frères, c’est peu ; il faut qu’ils soient le même homme. Tels sont les besoins actuels du progrès. Les serviteurs des grandes choses pressantes ne seront jamais assez grands. Rouler des idées, amonceler des évidences, étager des principes, voilà le remuement formidable. Mettre Pélion sur Ossa, labeur d’enfants à côté de cette besogne de géants : mettre le droit sur la vérité. Escalader cela ensuite, et détrôner les usurpations au milieu des tonnerres ; voilà l’œuvre.

L’avenir presse. Demain ne peut pas attendre. L’humanité n’a pas une minute à perdre. Vite, vite, dépêchons, les misérables ont les pieds sur le fer rouge. On a faim, on a soif, on souffre. Ah ! maigreur terrible du pauvre corps humain ! le parasitisme rit, le lierre verdit et pousse, le gui est florissant, le ver solitaire est heureux. Quelle épouvante, la prospérité du ténia ! Détruire ce qui dévore, là est le salut. Votre vie a au dedans d’elle la mort, qui se porte bien. Il y a trop d’indigence, trop de dénûment, trop d’impudeur, trop de nudité, trop de lupanars, trop de bagnes, trop de haillons, trop de défaillances, trop de crimes, trop d’obscurité, pas assez d’écoles, trop de petits innocents en croissance pour le mal ! le grabat des pauvres filles se couvre tout à coup de soie et de dentelles, et c’est là la pire misère ; à côté du malheur il y a le vice, l’un poussant l’autre. Une telle société veut être promptement secourue. Cherchons le mieux. Allez tous à la découverte. Où sont les terres promises ? la civilisation veut marcher ; essayons les théories, les systèmes, les améliorations, les inventions, les progrès, jusqu’à ce que chaussure à ce pied soit trouvée. L’essai ne coûte rien ; ou coûte peu. Essayer n’est pas adopter. Mais avant tout et surtout, prodiguons la lumière. Tout assainissement commence par une large ouverture de fenêtres. Ouvrons les intelligences toutes grandes. Aérons les âmes.

Vite, vite, ô penseurs. Faites respirer le genre humain. Versez l’espérance, versez l’idéal, faites le bien. Un pas après l’autre, les horizons après les horizons, une conquête après une conquête ; parce que vous avez donné ce que vous avez annoncé, ne vous croyez pas quittes. Tenir, c’est promettre. L’aurore d’aujourd’hui oblige le soleil pour demain.

Que rien ne soit perdu. Que pas une force ne s’isole. Tous à la manœuvre ! la vaste urgence est là. Plus d’art fainéant. La poésie ouvrière de civilisation, quoi de plus admirable ! le rêveur doit être un pionnier : la strophe doit vouloir. Le beau doit se mettre au service de l’honnête. Je suis le valet de ma conscience ; elle me sonne, j’arrive. Va ! je vais. Que voulez-vous de moi, ô vérité,’ seule majesté de ce monde ? Que chacun sente en soi la hâte de bien faire. Un livre est quelquefois un secours attendu. Une idée est un baume, une parole est un pansement ; la poésie est un médecin. Que personne ne s’attarde. La souffrance perd ses forces pendant vos lenteurs. Qu’on sorte de cette paresse du songe. Laissez le kief aux turcs. Qu’on prenne de la peine pour le salut de tous, et qu’on s’y précipite, et qu’on s’y essouffle. N’allez-vous pas plaindre vos enjambées ? Rien d’inutile. Nulle inertie. Qu’appelez-vous nature morte ? Tout vit. Le devoir de tout est de vivre. Marcher, courir, voler, planer, c’est la loi universelle. Qu’attendez-vous ? qui vous arrête ? Ah ! il y a des heures où il semble qu’on voudrait entendre les pierres murmurer contre la lenteur de l’homme !

Quelquefois on s’en va dans les bois. A qui cela n’arrive-t-il pas d’être parfois accablé ? on voit tant de choses tristes. L’étape ne se fournit point, les conséquences sont longues à venir, une génération est en retard, la besogne du siècle languit. Comment ! tant de souffrances encore ! On dirait qu’on a reculé. Il y a partout des augmentations de superstition, de lâcheté, de surdité, de cécité, d’imbécillité. La pénalité pèse sur l’abrutissement. Ce vilain problème a été posé : faire avancer le bien-être par le recul du droit ; sacrifier le côté supérieur de l’homme au côté inférieur ; donner le principe pour l’appétit ; César se charge du ventre, je lui concède le cerveau ; c’est la vieille vente du droit d’aînesse pour le plat de lentilles. Encore un peu, et ce contre-sens fatal ferait faire fausse route à la civilisation. Le porc à l’engrais, ce ne serait plus le roi, mais le peuple. Hélas, ce laid expédient ne réussit même pas. Nulle diminution de malaise. Depuis dix ans, depuis vingt ans, l’étiage prostitution, l’étiage mendicité, l’étiage crime, marquent toujours le même chiffre ; le mal n’a pas baissé d’un degré. D’éducation vraie, d’éducation gratuite, point. L’enfant a pourtant besoin de savoir qu’il est homme, et le père qu’il est citoyen. Où sont les promesses ? où est l’espérance ? oh ! la pauvre misérable humanité ! on est tenté de crier au secours dans la forêt ; on est tenté de demander appui, concours et main-forte à cette grande nature sombre. Ce mystérieux ensemble de forces est-il donc indifférent au progrès ? On supplie, on appelle, on lève les mains vers l’ombre. On écoute si les bruits ne vont pas devenir des voix. Le devoir des sources et des ruisseaux serait de bégayer : En avant ! on voudrait entendre les rossignols chanter des marseillaises.

Après tout, pourtant, ces temps d’arrêt n’ont rien que de normal. Le découragement serait puéril. Il y a des haltes, des repos, des reprises d’haleine dans la marche des peuples, comme il y a des hivers dans la marche des saisons. Le pas gigantesque, 89, n’en est pas moins fait. Désespérer serait absurde ; mais stimuler est nécessaire.

Stimuler, presser, gronder, réveiller, suggérer, inspirer, c’est cette fonction, remplie de toutes parts par les écrivains, qui imprime à la littérature de ce siècle un si haut caractère de puissance et d’originalité. Rester fidèle à toutes les lois de l’art en les combinant avec la loi du progrès, tel est le problème, victorieusement résolu par tant de nobles et fiers esprits.

De là cette parole : Délivrance, qui apparaît au-dessus de tout dans la lumière, comme si elle était écrite au front même de l’idéal.

La Révolution, c’est la France sublimée. Il s’est trouvé un jour que la France a été dans la fournaise, les fournaises à de certaines martyres guerrières font pousser des ailes, et de ces flammes cette géante est sortie archange. Aujourd’hui pour toute la terre la France s’appelle Révolution ; et désormais ce mot, Révolution, sera le nom de la civilisation jusqu’à ce qu’il soit remplacé par le mot Harmonie. Je le répète, ne cherchez pas ailleurs le point d’origine et le lieu de naissance de la littérature du dix-neuvième siècle. Oui, tous tant que nous sommes, grands et petits, puissants et méconnus, illustres et obscurs, dans toutes nos œuvres, bonnes ou mauvaises, quelles qu’elles soient, poèmes, drames, romans, histoire, philosophie, à la tribune des assemblées comme devant les foules du théâtre, comme dans le recueillement des solitudes, oui, partout, oui, toujours, oui, pour combattre les violences et les impostures, oui, pour réhabiliter les lapidés et les accablés, oui, pour conclure logiquement et marcher droit, oui, pour consoler, pour secourir, pour relever, pour encourager, pour enseigner, oui, pour panser en attendant qu’on guérisse, oui, pour transformer la charité en fraternité, l’aumône en assistance, la fainéantise en travail, l’oisiveté en utilité, la centralisation en famille, l’iniquité en justice, le bourgeois en citoyen, la populace en peuple, la canaille en nation, les nations en humanité, la guerre en amour, le préjugé en examen, les frontières en soudures, les limites en ouvertures, les ornières en rails, les sacristies en temples, l’instinct du mal en volonté du bien, la vie en droit, les rois en hommes, oui, pour ôter des religions l’enfer et des sociétés le bagne, oui, pour être frères du misérable, du serf, du fellah, du prolétaire, du déshérité, de l’exploité, du trahi, du vaincu, du vendu, de l’enchaîné, du sacrifié, de la prostituée, du forçat, de l’ignorant, du sauvage, de l’esclave, du nègre, du condamné et du damné, oui, nous sommes tes fils, Révolution ! »

Toute l’expérience historique mondiale démontre que les révolutions sont les locomotives du changement social et politique.

« Les révolutions sont les locomotives de l’Histoire », disait Karl Marx

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4564

L’histoire mondiale des révolutions est bien plus riche qu’on ne le croit souvent.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4551

Quelques dates sous forme d’éphémérides

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article7245

Des grandes vagues internationales

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5347

Chronologie mondiale de la révolution sociale

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6209

https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_r%C3%A9volutions_et_de_r%C3%A9bellions

Qu’est-ce que la révolution ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article657

Comment naissent les révolutions ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2195

Encore et à nouveau sur la révolution

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4216

Quelles leçons nous tirons des révolutions du passé ?

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3374

La logique de la révolution

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3436

Dialectique et révolution sociale

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4774

Qui a arrêté les guerres ? La révolution !

De l’antiquité …

https://www.matierevolution.org/spip.php?article5218

… à nos jours

https://www.matierevolution.org/spip.php?article4677

https://www.matierevolution.org/spip.php?article4176

https://www.matierevolution.org/spip.php?article4687

Chronologie des révolutions bourgeoises et populaires en Europe

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article442

La révolution parisienne d’Etienne Marcel (1358) a arrêté un temps la guerre de cent ans.

Les révoltes populaires ont arrêté la guerre des deux Roses (1455-1487) entre féodaux anglais.

La révolution des Pays-Bas (1566) arrête la guerre du roi d’Espagne

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volte_des_Gueux

https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Quatre-Vingts_Ans

La révolte du peuple espagnol a arrêté la guerre de Napoléon 1er de 1808.

La révolution de la Commune de Paris (1871) a arrêté la guerre franco-allemande de 1870.

https://www.marxists.org/francais/marx/works/00/commune/kmfecom02.htm

Les révolutions russe (1917) et allemande (1918) mais aussi hongroise et européenne ont arrêté la première guerre mondiale.

https://www.matierevolution.org/spip.php?article4466

https://www.matierevolution.org/spip.php?article2075

Les révolutions en Italie, en Asie (Vietnam, Corée, Inde, Indonésie, Philippines, etc) et dans les pays coloniaux et la menace de révolutions dans les pays vaincus (Allemagne, Japon notamment) ont arrêté la deuxième guerre mondiale.

https://www.marxists.org/francais/barta/1943/08/ldc16_080443.htm

https://www.marxists.org/francais/barta/1943/10/ldc18_101043.htm

https://matierevolution.fr/spip.php?article94

https://matierevolution.fr/spip.php?article91

https://matierevolution.fr/spip.php?article59

https://matierevolution.fr/spip.php?rubrique46

Qui a brisé les dictatures ? La révolution !

La révolution égyptienne a par deux fois fait chuter le pouvoir des pharaons pour des décennies.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article222

Les révolutions se sont attaqué à toutes sortes de dictatures dans l’Antiquité.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article52

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1677

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1046

La révolte des boxers a fait tomber finalement l’empire de Chine, l’une des plus grandes dictatures sanglantes du monde, et provoqué la formation de la république

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volte_des_Boxers

https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9publique_de_Chine_(1912-1949)

La révolution française a démoli la royauté et le féodalisme.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6804

https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_du_10_ao%C3%BBt_1792

La révolution russe a détruit l’empire des tsars et la dictature capitaliste dans une partie de l’Europe.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1503

http://www.matierevolution.org/spip.php?article4940

La révolution allemande a détruit l’empire du kaiser.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5983

Tous les empires ont été détruits…

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5700

La révolution a fait chuter les dictateurs égyptien et tunisien.

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1895

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1842

Qui a détruit l’esclavage et le colonialisme ? La révolution !

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3500

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article745

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5483

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1174

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5334

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4980

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4417

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4026

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3983

https://www.matierevolution.fr/spip.php?breve1010

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2506

Qui a changé le système social ? La révolution !

http://www.matierevolution.fr/spip.php?rubrique24

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5336

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5342

https://www.cairn.info/revue-actuel-marx-2010-1-page-43.htm

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article227

Qui a bloqué les coups d’état fascistes ? La révolution !

Le coup d’état de Kornilov par exemple…

https://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/hrrusse/hrr33.htm

https://www.marxists.org/francais/trotsky/livres/hrrusse/hrr34.htm

Le putsch de Kapp en Allemagne

https://www.marxists.org/francais/radek/works/1920/11/kapp.htm

https://www.marxists.org/francais/broue/works/1971/00/broue_all_18.htm

Qui a fait reculer les impérialismes ? La révolution !

Qui a supprimé les anciennes classes exploiteuses ? La révolution !

https://www.marxists.org/francais/engels/works/1884/00/fe18840000z.htm

Qui a supprimé les vieilles lois et institutions du passé ? La révolution !

Les révolutions sont les locomotives de l’histoire.

https://www.marxists.org/francais/marx/works/1850/03/km18500301d.htm

Qui fait avancer l’Histoire ? La révolution !

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article51

Qui a bouleversé la pensée, la philosophie, les vieux idéalismes et vieilles religions, la science ? La révolution !

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article2680

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article3655

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4018

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6710

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4050

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4903

Le monde progresse par bonds…

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