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Le Pôle sud (Antarctique) bat des records… de froid !!!

lundi 3 juin 2019, par Robert Paris

Au même moment, les média français lancent une campagne envisageant la fonte complète de l’Antarctique : une pure absurdité !

Voici la prédiction sur l’extension des glaces de l’Antarctique en rouge et la réalité observée en bleu : les glaces augmentent alors qu’on nous prédisait qu’elles allaient décroitre !!!

Source

Cela, c’est la propagande !

Même les partisans de la thèse du réchauffement global anthropique reconnaissent que la surface totale de la glace antarctique passe de 11,7 millions de km² à 12,2 millions de km ² de 1979 à 2010 puis à 19,4 millions de km² en 2012.

En réalité :

Les glaces augmentent au sud pendant qu’elles diminuent au nord : rien de global là-dedans !

La banquise antarctique augmente à mesure que la banquise arctique décline source

Le Pôle sud (Antarctique) bat des records… de froid !!!

L’Antarctique ou continent austral ne cesse de battre ses propres records de froid qui sont aussi ceux de la Terre entière :

moins 89,2°C le 21 juillet 1983

moins 93,2°C le 10 août 2010

moins 93°C en 2013

moins 98°C en 2016

Elle approche des moins 100°C en 2019….

L’antarctique s’est un peu réchauffé mais seulement de 1950 (ou avant ?) jusque dans les années 70-80. Mais depuis 1980, il ne se réchauffe plus, voire il se refroidit, à l’exception peut-être de la volcanique péninsule antarctique Ouest...

La partie ouest de l’antarctique est le siège d’une activité volcanique remarquable qui peut très bien expliquer que cette partie se réchauffe alors que tout le reste du continent se refroidit.

« La péninsule Antarctique ne se réchauffe plus. Alors qu’elle se réchauffait rapidement depuis les années 1950, la péninsule Antarctique connaît actuellement une phase de baisse des températures. » écrit « Pour la Science » : Lire ici

Et ce n’est pas seulement question de records. « De 1986 à 2000, les vallées centrales de l’Antarctique ont connu un refroidissement de 0,7° par décennie » (2002, article de Daran, Priscu, Walsh, Fountain, McKnight, Moorhead, Virginia, Wall, Clow, Fritsen, McKay, Parsons).

Et les articles qui le confirment sont nombreux :

« Bilan de masse positive des déplacements des glaces sur la banquise de Ross, Antarctique ouest » écrivent dans leur article Joughlin I., Tulacyzk S. dans Science 2002. Des mesures radar montrent que la glace de l’Antarctique Ouest augmente au rythme de 26,8 gigatonnes par an.

« Climat et histoire atmosphérique sur 420.000 ans dans les forages de Vostok, Antarctique », Nature 1999 (article de Petit, Jouzel, Raynaud, Barkov, Barnola, Basile, Bender, Chappelaz, Davis, Delaygue, Delmotte, Kotlyakov, Legrand, Lipenkov, Lorius, Pepin, Ritz, Saltzman, Stievenard). Pendant les quatre dernières périodes interglaciaires, qui remontent à 420.000 ans, la Terre était plus chaud qu’elle ne l’est aujourd’hui.

« Contraintes du radiocarbone sur les avancées et les reculs de la couche de glace dans la mer de Wessell, Antarctique » peut-on lire dans Geology 1999 (article de Anderson, Andrews) La glace de l’Antarctique fond moins aujourd’hui qu’au cours de la dernière période interglaciaire.

« Interprétation de la variabilité récente des glaces flottantes », Geophysical Research Letters, 2004 (article de Curry, Martinson) Les glaces flottantes de l’Antarctique ont augmenté depuis 1979.

« Tendances dans la durée de la saison des glaces dans l’océan austral, 1979-1999 », Annals of Glaciology 2002 (article de Parkinson) La plus grande partie de l’Antarctique connaît une saison des glaces plus longue de 21 jours qu’elle ne l’était en 1979.

L’Antarctique est plus froid que l’Arctique pour deux raisons. La première est qu’une grande partie du continent se situe à plus de 3 km au-dessus du niveau de la mer, or la température diminue avec l’altitude. La seconde raison est que la région polaire arctique est recouverte par l’océan qui transmet sa chaleur relative à travers la banquise, permettant ainsi de maintenir des températures plus élevées qu’en Antarctique.

La couche de glace y est de 1,6 kilomètres en moyenne !!!

Et l’Antarcique bat sans cesse ses records en quantité de glace…

En 2013, par exemple, il battait un record et on pouvait lire :

« La superficie de la glace antarctique a atteint un maximum record de 19,44 millions de km² pour la première fois depuis le début des observations par satellite en 1979, a annoncé le Centre national américain de la neige et de la glace (NSIDC).

Le maximum record, d’un million de kilomètres carrés supérieur à la moyenne enregistrée de 1979 à 2000 (18,3 millions de km²), a été atteint le 26 septembre, à la fin de l’hiver antarctique. Il s’agit d’un deuxième record en six ans. Le record précédent (19,4 millions de km²) remonte à 2006.

L’Arctique a battu un record contraire en 2012. La surface de la banquise arctique a atteint un niveau historiquement bas (3,41 millions de km²) le 16 septembre dernier, pulvérisant le record précédent de septembre 2007 (4,17 millions de km²). La moyenne de 1979 à 2000 constitue 6,71 M km².

Sur 30 ans, la banquise antarctique, mesurée au mois de mars (proche du minimum et dernier mois connu) s’accroit donc au rythme moyen de 4,7% par décade. » Lire ici

Selon une étude de l’agence spatiale de 2015, le continent Antarctique a gagné plus de glace l’année précédente qu’il n’en a perdue dans les 25 dernières années !!!

En 2015, on pouvait lire aussi :

« On constate la reprise de l’extension des glaces de l’Arctique (plus de 1,6 millions de km² regagnés depuis 2012, année du minimum historique avec 2007) (3) tandis que la surface des banquises de l’Antarctique n’a jamais été aussi immense depuis le début des mesures des satellites en 1979, avec une extension record de plus de 20 millions de km². Constatons tout de même que l’Antarctique a aussi battu ses records de froid pendant l’hiver austral qui vient de s’écouler. » Lire ici

Ironisant sur le prétendu réchauffement Anthropique global, le climatologue Marcel Leroux expliquait :

« Comme l’écrit correctement M. Postel-Vinay, rédacteur de la revue La Recherche, « le gros de la calotte antarctique n’a pas fondu depuis sa formation, voici 60 millions d’années. » L’observation satellitale montre même qu’au cours de la période 1979-1999, qui est celle de la plus forte hausse supposée de la température, la surface de la banquise a globalement augmenté autour du continent antarctique. »

Andrei Kapitsa, géographe, spécialiste de l’Antarctique, membre de l’académie des Sciences de Russie répondait aux partisans du réchauffement global : « les théoriciens de Kyoto ont mis la charrue avant les bœufs. L’étude des carottes glaciaires démontre que c’est le réchauffement global qui est la cause de hauts niveaux de CO2 dans l’atmosphère et non le contraire. »

Robert Vivian, glaciologue, docteur en glaciologie : « Duncan Wingham, professeur de physique climatique à University College London et directeur du centre pour l’observation polaire et la modélisation, Ph.D. en physique a montré que, contrairement à l’idée reçue propagée par des organismes comme le GIEC, la banquise antarctique était en stable ou en expansion. D’après ses travaux de 2006, 72% de la banquise antarctique croit, au rythme de cinq millimètres par an. »

Nouveau record historique mondial de froid

Voir ici l’article en anglais dans Geophysical Research Letters]

Douze fois de suite en 35 ans, l’Antarctique a battu ses propres records de froid et ceux de la Terre

Précédents records

Où en est la glace du Pôle sud

Alors que la glace diminue au Pôle Nord, elle augmente au Pôle Sud

Tout l’hémisphère sud

Déjà en 2015

En 2009

Comment expliquer que l’Antarctique gèle un peu plus chaque année ?

Certains climatologues se font une raison en voyant le refroidissement du pôle sud :

Jérôme Weiss écrit ainsi : « Paradoxalement, l’accroissement (très relatif) des glaces de mer antarctique résulterait du réchauffement climatique. En effet, dans les zones polaires, un réchauffement peut renforcer les précipitations neigeuses qui participent au bilan positif de masse de la banquise en l’épaississant par le dessus. Ce mécanisme est souvent évoqué également pour les glaces continentales. »

Expliquer le refroidissement par le réchauffement, certains diraient que c’est dialectique ou bien c’est… une simple erreur !!!

L’Antarctique est un continent recouvert de glace à 98%. L’océan est recouvert d’une grande partie de sa surface par de la glace de mer saisonnière. Les rapports sur la glace antarctique omettent souvent de reconnaître la différence fondamentale entre la glace de mer et la glace de terre. La glace terrestre de l’Antarctique est la glace qui s’est accumulée au cours de milliers d’années sur la masse continentale de l’Antarctique en raison des chutes de neige. Cette glace terrestre est donc en réalité une eau de mer stockée qui s’est évaporée puis s’est précipitée sous forme de précipitation. La banquise antarctique est tout à fait différente car c’est la glace qui se forme dans l’eau salée en hiver et qui fond presque entièrement à nouveau en été.

Fait important, lorsque la glace continentale fond et se jette dans les océans, le niveau de la mer augmente globalement ; lorsque la glace de mer fond, le niveau de la mer ne change pas de façon mesurable, mais d’autres parties du système climatique sont affectées, comme l’augmentation de l’absorption de l’énergie solaire par les océans les plus sombres.

Pour résumer la situation avec les tendances des glaces antarctiques :

La glace terrestre antarctique diminue à un rythme accéléré

La banquise antarctique augmente malgré le réchauffement de l’océan Austral

La glace terrestre antarctique diminue

Mesurer les changements dans la masse de glace de l’Antarctique a été un processus difficile en raison de la taille et de la complexité de la calotte. Cependant, depuis les années 90, des satellites nous ont permis de mesurer ces changements. Il existe trois approches totalement différentes et toutes s’accordent dans leurs incertitudes de mesure. La plus récente estimation du changement de glace terrestre combinant les estimations de ces trois approches (Shepherd et autres, 2012) indique qu’entre 1992 et 2011, les inlandsis antarctiques ont perdu au total 1 350 giga-tonnes (Gt) ou 1 350 000 000 000 de tonnes dans les océans, à un taux moyen de 70 Gt par an (Gt / an). Comme une réduction de masse de 360 Gt / an représente une élévation moyenne annuelle du niveau de la mer de 1 mm au niveau mondial, ces estimations correspondent à une augmentation du niveau moyen global de la mer de 0,19 mm / an, ou 1,9 mm par décennie. Avec la perte de glace terrestre du Groenland, cela représente environ 30% de l’élévation moyenne du niveau de la mer observée au niveau mondial au cours de cette période.

L’examen de la répartition de ce changement dans le temps (Figure 1) montre que la calotte glaciaire dans son ensemble ne perdait ni ne gagnait de glace au début des années 90. Depuis lors, la perte de glace a commencé et l’on voit clairement qu’elle s’est accélérée au cours de cette période.

La mission satellitaire la mieux adaptée à la mesure du changement de la masse de la glace continentale est l’expérience de récupération par gravité et de climat (GRACE). Les satellites GRACE mesurent les modifications de la gravité terrestre et celles-ci peuvent être directement liées aux variations de masse surfacique telles que la calotte glaciaire antarctique. Les récentes estimations GRACE des changements de masse montrent la perte de masse spectaculaire en Antarctique occidental et le gain en masse en Antarctique oriental (King et autres, 2012).

La banquise antarctique connaît une croissance à long terme depuis le début des mesures par satellites en 1979. C’est une observation qui a souvent été citée comme une preuve contre le réchauffement climatique. Cependant, la question est rarement posée : pourquoi la banquise antarctique augmente-t-elle ? L’hypothèse implicite est qu’il doit y avoir un refroidissement autour de l’Antarctique. Ce n’est décidément pas le cas. En fait, l’océan Austral se réchauffe plus rapidement que le reste des océans du monde. À l’échelle mondiale, de 1955 à 1995, les océans se réchauffaient à 0,1 ° C par décennie. En revanche, l’océan Austral se réchauffe à 0,17 ° C par décennie. L’océan Austral ne se réchauffe pas seulement, il se réchauffe plus vite que la tendance mondiale

« La quantité de glace qui entoure l’Antarctique a atteint son plus haut niveau en près de 30 ans soit depuis que les satellites ont commencé à la surveiller. C’est tout simplement trop froid pour qui pleut en Antarctique et ça va rester comme cela pendant encore très longtemps. Ce qu’il faut retenir c’est que la glace qui entoure l’Antarctique va rester là pour de bon."
(Patrick J. Michaels associé senior en études environmentales au CATO Institute et auteur de Meltdown : The Predictable Distortion of Global Warming by Scientists, Politicians, and the Media.

« Les gains de masse de l’inlandsis antarctique sont supérieurs aux pertes » écrit la Nasa en 2015

 : lire ici

Une nouvelle étude de la NASA indique qu’une augmentation de l’accumulation de neige en Antarctique amorcée il y a 10 000 ans ajoute actuellement suffisamment de glace sur le continent pour compenser les pertes accrues dues à la fonte des glaciers.

La recherche remet en cause les conclusions d’autres études, notamment le rapport 2013 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), selon lequel l’Antarctique perd globalement de la glace terrestre.

Selon la nouvelle analyse des données satellitaires, la calotte glaciaire antarctique a enregistré un gain net de 112 milliards de tonnes de glace par an de 1992 à 2001. Ce gain net est tombé à 82 milliards de tonnes de glace par an entre 2003 et 2008.

« Nous sommes pour l’essentiel en accord avec d’autres études montrant une augmentation des rejets de glace dans la péninsule Antarctique et dans la région de Thwaites et Pine Island dans l’Antarctique occidental », a déclaré Jay Zwally, glaciologue au Centre de vol spatial Goddard de la NASA à Greenbelt, Maryland, et auteur principal de l’étude, qui a été publiée le 30 octobre dans le Journal of Glaciology. "Notre principal désaccord concerne l’Antarctique de l’Est et l’intérieur de l’Antarctique de l’Ouest. Nous y constatons un gain de glace supérieur aux pertes dans les autres zones". Zwally a ajouté que son équipe "a mesuré les faibles changements d’altitude sur de vastes zones, ainsi que la changements importants observés sur des zones plus petites. "

Les scientifiques calculent la croissance ou la contraction de la couche de glace à partir des changements de hauteur de la surface mesurés par les altimètres satellites. Aux endroits où la quantité de nouvelles chutes de neige accumulées sur une couche de glace n’est pas égale à l’écoulement de la glace vers l’océan, la hauteur de la surface change et la masse de la couche de glace augmente ou diminue.

Mais il ne faudra peut-être que quelques décennies pour que la croissance de l’Antarctique s’inverse, selon Zwally. « Si les pertes de la péninsule antarctique et de certaines parties de l’Antarctique occidental continuent d’augmenter au même rythme qu’au cours des deux dernières décennies, ces pertes rattraperont le gain à long terme de l’Antarctique oriental dans 20 ou 30 ans. - Je ne pense pas qu’il y aura suffisamment de chute de neige pour compenser ces pertes. "

L’étude a analysé les variations de la hauteur de la couche de glace antarctique mesurées par les altimètres radar de deux satellites de télédétection de l’Agence spatiale européenne (ERS) de 1992 à 2001, et par l’altimètre laser de l’altitude glaciaire, terrestre et terrestre de la NASA. Satellite (ICESat) de 2003 à 2008.

Zwally a déclaré que, alors que d’autres scientifiques pensaient que les gains d’altitude observés dans l’Antarctique oriental étaient dus à l’augmentation récente de l’accumulation de neige, son équipe a utilisé des données météorologiques datant de 1979 pour montrer que les chutes de neige dans l’Antarctique oriental avaient en fait diminué de 11 milliards de tonnes par an. pendant les périodes ERS et ICESat. Ils ont également utilisé des informations sur l’accumulation de neige sur des dizaines de milliers d’années, extraites de carottes de glace par d’autres scientifiques, pour conclure que l’Antarctique oriental s’épaississait depuis très longtemps.

« À la fin de la dernière période glaciaire, l’air s’est réchauffé et a transporté plus d’humidité sur le continent, doublant ainsi la quantité de neige déposée sur la calotte glaciaire », a déclaré Zwally.

Les chutes de neige supplémentaires qui ont commencé il y a 10 000 ans s’accumulent lentement sur la calotte glaciaire et se compactent en glace solide au cours des millénaires, ce qui a eu pour effet d’épaissir la glace dans l’Antarctique oriental et l’intérieur de l’Antarctique occidental de 1,7 pouce (0,7 pouce) en moyenne par an. Ce petit épaississement, qui dure depuis des milliers d’années et s’étend sur les vastes étendues de ces secteurs de l’Antarctique, correspond à un très important gain de glace - suffisamment pour compenser les pertes dues aux glaciers à fort débit dans d’autres parties du continent et réduire la mer mondiale. élévation de niveau.

L’équipe de Zwally a calculé que le gain de masse résultant de l’épaississement de l’Antarctique oriental est resté stable de 200 milliards de tonnes par an entre 1992 et 2008, tandis que les pertes de glace des régions côtières de l’Antarctique occidental et de la péninsule Antarctique ont augmenté de 65 milliards de tonnes par an.

« La bonne nouvelle est que l’Antarctique ne contribue pas actuellement à l’élévation du niveau de la mer, mais perd 0,23 millimètre par an », a déclaré Zwally. « Mais c’est aussi une mauvaise nouvelle. Si les 0,27 millimètres par an d’élévation du niveau de la mer attribués à l’Antarctique dans le rapport du GIEC ne proviennent pas vraiment de l’Antarctique, il doit y avoir une autre contribution à l’élévation du niveau de la mer qui ne soit pas prise en compte. "

"La nouvelle étude souligne les difficultés rencontrées pour mesurer les faibles variations de la hauteur de la glace en Antarctique oriental", a déclaré Ben Smith, un glaciologue de l’Université de Washington à Seattle, qui n’a pas participé à l’étude de Zwally.

"Effectuer l’altimétrie avec précision pour de très grandes zones est extrêmement difficile, et certaines mesures de l’accumulation de neige doivent être effectuées indépendamment pour comprendre ce qui se passe dans ces endroits", a déclaré Smith.

Pour aider à mesurer avec précision les changements en Antarctique, la NASA élabore le successeur de la mission ICESat, ICESat-2, dont le lancement est prévu en 2018. « ICESat-2 mesurera les changements de la couche de glace dans l’épaisseur d’un crayon n ° 2. », A déclaré Tom Neumann, glaciologue à Goddard et chercheur adjoint du projet ICESat-2. "Cela contribuera à résoudre le problème du bilan massique de l’Antarctique en fournissant un enregistrement à long terme des changements d’altitude. »

NASA Study : Mass Gains of Antarctic Ice Sheet Greater than Losses

A new NASA study says that an increase in Antarctic snow accumulation that began 10,000 years ago is currently adding enough ice to the continent to outweigh the increased losses from its thinning glaciers.
The research challenges the conclusions of other studies, including the Intergovernmental Panel on Climate Change’s (IPCC) 2013 report, which says that Antarctica is overall losing land ice.
According to the new analysis of satellite data, the Antarctic ice sheet showed a net gain of 112 billion tons of ice a year from 1992 to 2001. That net gain slowed to 82 billion tons of ice per year between 2003 and 2008.
“We’re essentially in agreement with other studies that show an increase in ice discharge in the Antarctic Peninsula and the Thwaites and Pine Island region of West Antarctica,” said Jay Zwally, a glaciologist with NASA Goddard Space Flight Center in Greenbelt, Maryland, and lead author of the study, which was published on Oct. 30 in the Journal of Glaciology. “Our main disagreement is for East Antarctica and the interior of West Antarctica – there, we see an ice gain that exceeds the losses in the other areas.” Zwally added that his team “measured small height changes over large areas, as well as the large changes observed over smaller areas.”
Scientists calculate how much the ice sheet is growing or shrinking from the changes in surface height that are measured by the satellite altimeters. In locations where the amount of new snowfall accumulating on an ice sheet is not equal to the ice flow downward and outward to the ocean, the surface height changes and the ice-sheet mass grows or shrinks.
But it might only take a few decades for Antarctica’s growth to reverse, according to Zwally. “If the losses of the Antarctic Peninsula and parts of West Antarctica continue to increase at the same rate they’ve been increasing for the last two decades, the losses will catch up with the long-term gain in East Antarctica in 20 or 30 years — I don’t think there will be enough snowfall increase to offset these losses.”
The study analyzed changes in the surface height of the Antarctic ice sheet measured by radar altimeters on two European Space Agency European Remote Sensing (ERS) satellites, spanning from 1992 to 2001, and by the laser altimeter on NASA’s Ice, Cloud, and land Elevation Satellite (ICESat) from 2003 to 2008.
Zwally said that while other scientists have assumed that the gains in elevation seen in East Antarctica are due to recent increases in snow accumulation, his team used meteorological data beginning in 1979 to show that the snowfall in East Antarctica actually decreased by 11 billion tons per year during both the ERS and ICESat periods. They also used information on snow accumulation for tens of thousands of years, derived by other scientists from ice cores, to conclude that East Antarctica has been thickening for a very long time.
“At the end of the last Ice Age, the air became warmer and carried more moisture across the continent, doubling the amount of snow dropped on the ice sheet,” Zwally said.
The extra snowfall that began 10,000 years ago has been slowly accumulating on the ice sheet and compacting into solid ice over millennia, thickening the ice in East Antarctica and the interior of West Antarctica by an average of 0.7 inches (1.7 centimeters) per year. This small thickening, sustained over thousands of years and spread over the vast expanse of these sectors of Antarctica, corresponds to a very large gain of ice – enough to outweigh the losses from fast-flowing glaciers in other parts of the continent and reduce global sea level rise.
Zwally’s team calculated that the mass gain from the thickening of East Antarctica remained steady from 1992 to 2008 at 200 billion tons per year, while the ice losses from the coastal regions of West Antarctica and the Antarctic Peninsula increased by 65 billion tons per year.
“The good news is that Antarctica is not currently contributing to sea level rise, but is taking 0.23 millimeters per year away,” Zwally said. “But this is also bad news. If the 0.27 millimeters per year of sea level rise attributed to Antarctica in the IPCC report is not really coming from Antarctica, there must be some other contribution to sea level rise that is not accounted for.”
“The new study highlights the difficulties of measuring the small changes in ice height happening in East Antarctica,” said Ben Smith, a glaciologist with the University of Washington in Seattle who was not involved in Zwally’s study.
"Doing altimetry accurately for very large areas is extraordinarily difficult, and there are measurements of snow accumulation that need to be done independently to understand what’s happening in these places,” Smith said.
To help accurately measure changes in Antarctica, NASA is developing the successor to the ICESat mission, ICESat-2, which is scheduled to launch in 2018. “ICESat-2 will measure changes in the ice sheet within the thickness of a No. 2 pencil,” said Tom Neumann, a glaciologist at Goddard and deputy project scientist for ICESat-2. “It will contribute to solving the problem of Antarctica’s mass balance by providing a long-term record of elevation changes.”

Science et Vie : la banquise antarctique s’étend de plus en plus

La NASA annonce que l’Antarctique gagne plus de glace qu’elle n’en perd

Pour la Science : La péninsule Antarctique ne se réchauffe plus

L’Antarctique fond exclusivement là où il y a des volcans et par en dessous et pas à cause du réchauffement global et par dessus.

L’Arctique fond mais pas l’Antarctique.

Regardons maintenant les images de la glace de l’Antarctique :

Avez-vous l’impression de voir de la glace en réduction dramatique due au réchauffement global ?

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