Accueil > 02 - Livre Deux : SCIENCES > Atome : lois de la Physique ou rétroaction de la matière/lumière et du (...) > L’expérience des fentes de Young et la dualité onde/corpuscule

L’expérience des fentes de Young et la dualité onde/corpuscule

vendredi 28 avril 2017, par Robert Paris

Même en arrivant un par un les corpuscules reconstituent sur l’écran des franges d’interférence

L’expérience des fentes de Young et la dualité onde/corpuscule

L’expérience des fentes de Young est un des fondements de la remise en cause de la physique dite classique et son remplacement par la physique quantique.

Le paradoxe est le suivant : des corpuscules qui arrivent un par un ponctuellement comme des particules et qui reconstituent pourtant des interférences comme des ondes !

Paul Davies dans « Les forces de la nature » :

« Nous avons vu que l’hypothèse du photon implique que les ondes électromagnétiques se comportent parfois comme des particules. Inversement, des objets généralement considérés comme des particules, tels que les électrons, peuvent se comporter de façon floue comme s’ils étaient étalés dans l’espace. En 1924, Louis de Broglie suggéra que cet étalement associait aux particules de matière un comportement d’onde. (…) L’idée d’ondes de matière semble de prime abord aussi étrange que celle de particules de lumière dans le cas de l’hypothèse du photon, mais la conjecture de De Broglie reçut dès 1927 un appui expérimental dans les travaux de Davisson et Germer aux USA et ceux de G.P. Thomson en Grande-Bretagne. Ces expériences consistaient à diffuser des faisceaux d’électrons sur des cristaux. La diffusion montrait des figures d’interférence caractéristiques des mouvements ondulatoires. (…) Les physiciens parlent de la « dualité » onde-particule pour décrire cette conjonction apparemment paradoxale de propriétés. (…) Un bon test de la cohérence de la « dualité » onde-particule est ce qu’on appelle l’expérience des deux fentes, due à l’origine à Thomas Young. Le dispositif expérimental est montré sur la figure suivante.

Une source de lumière ponctuelle éclaire deux fentes étroites percées dans un écran opaque, et les images de ces fentes sont projetées sur un second écran. On pourrait croire que le résultat serait deux bandes de lumière partiellement superposées, mais en fait on observe une alternance régulière de bandes claires et sombres. (…) Quand les ondes arrivent en phase, elles se renforcent et créent une région brillante, quand elles sont déphasées, elles se compensent et créent une région noire. (…) Si la lumière est faite de particules, les photons, comment une figure d’interférence peut-elle se produire ? (…) On peut diminuer l’intensité de la source lumineuse de sorte qu’un sel photon à la fois traverse le dispositif, et remplacer l’écran par une plaque photographique. Chaque photon arrive individuellement sur la plaque, et produit une petite tâche sur le film photosensible. Il n’y a aucun doute qu’à l’arrivée sur la plaque, le photon est une particule avec un point d’arrivée précis. Les photons arrivent un par un, et la figure d’interférence se construit graduellement, en pointillés, à partir des tâches de chaque photon. Bien que les photons traversent le système séparément, ils se débrouillent quand même pour faire apparaître une figure d’interférence ondulatoire. Là est le mystère. (…) La détection des photons met en évidence l’aspect de particule, mais leur distribution dans l’espace a un caractère d’onde. »

Dans la physique classique, la matière est corpusculaire et la lumière est ondulatoire.

L’expérience montre que les deux sont à la fois ondulatoire et corpusculaire.

Dans la physique classique, la mécanique est prédictive alors qu’en physique quantique on n’accède qu’à une probabilité.

L’avantage de la nouvelle physique est qu’elle permet de calculer les résultats obtenus dans des expériences de type de Young ; c’est-à-dire qui mettent en jeu le microscopique (corpuscules élémentaires de matière et de lumière).

L’inconvénient, pensent les scientifiques, c’est qu’elle introduit une contradiction dialectique : les éléments fondamentaux sont à la fois une chose et son contraire, onde et particule.

Je dis inconvénient par ironie, mais il est difficile d’imaginer à quel point c’est renversant pour toutes les croyances précédentes et même actuelles.

Essayons de montrer pourquoi de manière simple.

Tout d’abord, il faut voir que l’on assiste à ce que l’on appelle des interférences qui ressemblent à ce que l’on voit dans les ondes.

Mais, dans le cas des ondes qui traversent deux fentes, la même onde interfère avec elle-même et produit l’interférence c’est-à-dire une suite de hauts et de bas. Les différences entre les deux chemins passant par l’une et l’autre fente fait que les deux phénomènes sont additifs ou soustractifs.

Or, dans le cas de l’expérience de Young, on va réduire la puissance au point d’envoyer de la lumière en quantité minimale. A l’arrivée, on va s’assurer que ce qui arrive c’est des grains quantiques de lumière. On les capte par un phénomène photoélectrique typique des quanta.

Du coup, il est certain que le photon est passé par une fente ou par l’autre. Comment le photon peut-il interférer puisqu’il ne passe que par une fente et qu’on envoie les photons indépendamment, un par un ?

Par le calcul probabiliste qu’elles mettent en place, les premières théories quantiques vont mathématiquement retrouver les résultats mais renoncer à toute explication selon laquelle il se passe ceci, tel objet fait cela...

La seule manière d’interpréter est de reconnaitre que le photon ( ou l’électron puisqu’on peut faire l’expérience de Young avec des électrons) n’est pas seulement un corpuscule, qu’il est entouré d’une nuage du vide qui détermine les positions des particules et qui, lui, passe par les deux fentes...
Mais cela suppose que le monde matériel est pétri de contradictions dialectiques irréductibles :

l’ordre est émergent (issu du désordre)

le local et le non-local (étendu) sont inextricablement imbriqués

le temps et l’espace sont issus d’un univers où espace et temps sont agités et, en particulier, l’écoulement du temps provient du vide où le temps est désordonné...

il n’existe aucune image non contradictoire de l’univers matériel et il n’existe aucune image non dynamique non plus de la matière et de la lumière

l’existence est inséparable de la destruction

la base de la matière comme du vide est située dans le vide quantique constitué d’une contradiction fondamentale : des couples particule/antiparticule

Une des manières les plus claires de mettre en évidence la dualité onde-particule est l’expérience des fentes de Young. Cette expérience est connue depuis le XIXe siècle, où elle a d’abord mis clairement en évidence l’aspect purement ondulatoire de la lumière. Modifiée de manière adéquate, elle peut démontrer de manière spectaculaire la dualité onde-corpuscule non seulement de la lumière, mais aussi de tout autre objet quantique. Dans la description qui suit, il sera question de lumière et de photons mais il ne faut pas perdre de vue qu’elle est également applicable - du moins en principe - à toute autre particule (par exemple des électrons), et même à des atomes et à des molécules.

L’expérience consiste à éclairer par une source lumineuse un écran percé de deux fentes très fines et très rapprochées. Ces deux fentes se comportent comme deux sources secondaires d’émission lumineuse. Une plaque photographique placée derrière l’écran enregistre la lumière issue des deux fentes. Ces deux sources interfèrent et forment sur la plaque photographique ce que l’on appelle une figure d’interférence. Cette figure est caractéristique d’un comportement ondulatoire de la lumière. Si l’expérience en reste à ce niveau, l’aspect corpusculaire n’apparaît pas. En fait, il est possible de diminuer l’intensité lumineuse de la source primaire de manière à ce que la lumière soit émise photon par photon. Le comportement de la lumière devient alors inexplicable sans faire appel à la dualité onde-corpuscule.

En effet, si on remplace la source lumineuse par un canon qui tire des micro-billes à travers les deux fentes (par exemple), donc de "vraies" particules, on n’obtient aucune figure d’interférence, mais simplement une zone plus dense, en face des fentes. Or, dans le cas des photons, on retrouve la figure d’interférence reconstituée petit à petit, à mesure que les photons apparaissent sur la plaque photographique. On retrouve donc une figure d’interférence, caractéristique des ondes, en même temps qu’un aspect corpusculaire des impacts sur la plaque photographique. L’interprétation de cette expérience est difficile, car si on considère la lumière comme une onde, alors les points d’impacts sur la plaque photographique sont inexplicables ; on devrait voir dans ce cas très faiblement, dès les premiers instants, la figure d’interférence, puis de plus en plus intense. Au contraire, si on considère la lumière comme étant exclusivement composée de particules, alors les impacts sur la plaque photographique s’expliquent aisément, mais la figure d’interférence ne s’explique pas : comment et pourquoi certaines zones seraient privilégiées et d’autres interdites à ces particules ? Force est donc de constater une dualité onde-particule des photons (ou de tout autre objet quantique), qui présentent simultanément les deux aspects. Interprétation de la dualité.

En mécanique quantique, la dualité onde-particule est expliquée comme ceci : tout système quantique et donc toute particule sont décrits par une fonction d’onde qui code la densité de probabilité de toute variable mesurable (nommées aussi observable). La position d’une particule est un exemple d’une de ces variables. Donc, avant qu’une observation soit faite, la position de la particule est décrite en termes d’ondes de probabilité. Les deux fentes peuvent être considérées comme deux sources secondaires pour ces ondes de probabilité : les deux ondes se propagent à partir de celles-ci et interfèrent. Sur la plaque photographique, il se produit ce que l’on appelle une réduction du paquet d’onde, ou une décohérence de la fonction d’onde : le photon se matérialise, avec une probabilité donnée par la fonction d’onde : élevée à certains endroits (frange brillante), faible ou nulle à d’autres (franges sombres). Cette expérience illustre également une caractéristique essentielle de la mécanique quantique. Jusqu’à ce qu’une observation soit faite, la position d’une particule est décrite en termes d’ondes de probabilité, mais après que la particule est observée (ou mesurée), elle est décrite par une valeur fixe.

Que signifie le phénomène des deux fentes de Young, cette fameuse expérience fondatrice de la physique quantique et qui a particulièrement justifié la notion de dualité onde/corpuscule ? Supposons que du sable coule par un trou dans une plaque et s’entasse en dessous, que trouvera-t-on ? Un petit tas et de moins en moins de sable quand on s’éloigne de la verticale du trou. Et si le sable passe par deux trous ? Eh bien, il s’il y a deux trous, il y aura deux petits tas. S’il ne s’agit pas de sable mais d’électrons ou d’autres particules de matière ou de lumière, il n’en va pas du tout de même. Au lieu de deux tas, il y en a toute une série de tas séparés par des zones où aucune particule n’est arrivée. Cela forme des bandes successives pleines suivies de bandes vides, d’où des figures appelées franges d’interférence. On a d’abord pensé que les électrons (ou les particules émises) interféraient entre eux. Mais on a effectué l’expérience en envoyant les électrons (ou d’autres particules) un par un. Or, les particules qui arrivent sur l’écran une par une construisent progressivement les mêmes figures d’interférence. Les scientifiques ont été amenés à en déduire que chaque particule interfère avec elle-même, comme si elle était passée à la fois par les deux trous… C’est difficile (voire impossible) pour un corpuscule comme l’électron ou le photon … Les diverses expériences du type de Young ont amené les scientifiques à rejeter successivement toutes les interprétations sur la particule, qu’elles soient de type corpusculaire (comme des corpuscules ponctuels et localisés) ou ondulatoire (comme des objets non localisés produisant des interférences). Cela signifie qu’il faut aller plus loin dans la remise en question des idées reçues sur la matière et … le vide.

Tout d’abord, il est clair que quelque chose passe à la fois par les deux trous quand le corpuscule, lui, ne passe que par un seul : le vide. Mais ce vide est-il si vide ? Non, il est plein de particules et antiparticules virtuelles (fugitives qui ne durent que des temps très brefs).

Qu’entend-on par brefs ? Cela dépend de l’énergie qu’ils portent. Des paires électron - positron peuvent exister, de l’ordre de six fois dix puissance moins 22 seconde. Par contre, des photons virtuels peuvent très bien avoir une durée de vie relativement grande pourvu que leur énergie (leur fréquence) soit très faible.

Et ces particules (et antiparticules) entourent le corpuscule d’un nuage. Elles guident son déplacement. Mais ce n’est pas aussi simple, en fait, qu’un déplacement, c’est-à-dire un mouvement d’un objet qui change seulement de place mais reste la même. Mais d’abord qu’est-ce que le vide ? C’est le milieu le plus symétrique de la nature. Dans ce milieu, dès qu’apparaît une particule, une antiparticule apparaît avec elle et elles restent couplées. Leurs caractéristiques sont égales et opposées et elles disparaissent en même temps dans un intervalle trop court pour être mesuré à notre échelle, celle de la matière dite durable. Il y a effectivement plusieurs niveaux de la matière qui se différencient par bien d’autres choses que la durée. Il y a le niveau des relations interstellaires. Il y a celui de la matière que nous examinons tous les jours, appelé le niveau macroscopique. Il y a encore le niveau de l’électron par exemple appelé niveau microscopique ou quantique. Il y a enfin le (ou les) niveau du vide….

Lire la suite en passant directement à l’interprétation moderne des fentes de Young par le vide quantique

Qu’est-ce que la dualité onde-corpuscule

Qu’est-ce que la non-séparabilité quantique ?

Les "mystères" de la physique ne peuvent être interprétés que comme des manifestations de la discontinuité du vide quantique, milieu qui, loin d’être vide, est le véritable siège de la matière

Messages

  • Richard Feynman dans son « Cours de Physique – Mécanique 1 » :

    « Les choses que nous avions l’habitude de considérer comme des ondes se comportent aussi comme des particules et que les particules se comportent inversement comme des ondes ; en fait, tout se comporte de la même manière. Il n’y a pas de distinction entre une onde et une particule. Ainsi, la mécanique quantique unifie l’idée du champ et de ses ondes, et l’idée de particules, dans une seule et même idée. Cependant, il est vrai que lorsque la fréquence est basse, l’aspect ondulatoire du phénomène est plus évident ou plus utile comme description approchée en partant des expériences de tous les jours. Mais lorsque la fréquence augmente, les aspects particulaires du phénomène deviennent plus évidents avec l’équipement que nous utilisons habituellement pour faire les mesures. »

  • ▬ SUITE
    JFP¦¦15092019¦¦Nous faisons des sauts d’article en article, comme exactement des sauts quantiques, pour arriver à cet article, sachant que nous sommes parti des articles [Y a-t-il des sciences exactes ?] nous recommandant d’aller voir [Ce que nous apprend l’expérience des fentes de Young] où ce dernier article nous renvoie sur un troisième article¦¦ [Qu’est-ce que l’expérience des fentes de Young et quelle en est la conséquence ?]celui-là ¦¦Nous mettons des phrases que nous ne comprenons pas et entourées de crochets, avec après nos commentaires.
    ▬[Du coup, il est certain que le photon est passé par une fente ou par l’autre. Comment le photon peut-il interférer
    puisqu’il ne passe que par une fente et qu’on envoie les photons indépendamment, un par un ?]
    ▬Avant d’arriver à cette phase commençant pas "Du Coup", il n’y aucune démonstration comme quoi la lumière passe par une seule fente par rapport aux deux fentes, et on ne comprend pas cette certitude et affirmation de dire que le photon passe QUE par une fente , car on n’en sait rien ‼‼ Comment se représenter le corpuscule du photon physiquement Ɂ Est-il une sphère Ɂ Un point ponctuel qui est une aberration physique Ɂ Ou encore une autre forme géométrique, mais laquelle Ɂ
    ▬Dans ces explications, on ne parle pas des largeurs de fente, et de quelle distance ces fentes sont séparées, comme on ne parle pas de la fréquence des photons donnant une longueur d’onde et part la même une amplitude de l’onde ‼‼ Dans ces explications synthétisées on ne nous donne absolument pas des valeurs et des caractéristiques des expériences réalisées, c’est dommage ‼‼
    ▬[La seule manière d’interpréter est de reconnaître que le photon ( ou l’électron puisqu’on peut faire l’expérience de Young avec des électrons) n’est pas seulement un corpuscule, qu’il est entouré d’une nuage du vide qui détermine les positions des particules et qui, lui, passe par les deux fentes...]
    ▬Difficile à comprendre ce qu’est un nuage de vide entourant la particule car après ce nuage c’est encore du vide ‼‼ Donc quelle distinction entre le nuage de vide entourant la particule, et le reste de vide Ɂ Comment différencier les deux vides Ɂ On suppose que ce nuage de vide suit la particule qui est le photon ou l’électron, ce qui veut dire que ce nuage va à la vitesse de la lumière, mais est-ce que cela est vraie comme possibilité et explication Ɂ
    ▬[ la base de la matière comme du vide est située dans le vide quantique constitué d’une contradiction fondamentale : des couples particule/antiparticule]
    ▬Quelle différence entre le vide et le vide quantique Ɂ Car on nous dit que le vide est situé dans le vide quantique ‼‼Mais qu-est -ce qu’une particule et qu’une anti-particule si ce n’est que leur contraire en charge. Pourquoi parler toujours de cette façon quand on veut exprimer des charges opposées, c’est à dire positives et négatives sans pour autant parler de particules. L’anti-particule nous fait penser à un autre monde, car notre monde n’est constitué que de particules, alors pourquoi parler sous cette forme d’autant que ce ne sont que les charges qui sont utiles Ɂ
    ▬[Ces deux sources interfèrent et forment sur la plaque photographique ce que l’on appelle une figure d’interférence. Cette figure est caractéristique d’un comportement ondulatoire de la lumière.]
    ▬Qu’il y ait des franges résultat sur l’écran ne nous donnent aucunes explications physiques de ces franges ‼‼ Cela est un constat de voir ces franges par le procédé qu’il y a deux fentes où peut passer la lumière, mais il n’y a pas d’explication physique du comment et du pourquoi, et donc la cause de ces franges...
    ▬[L’interprétation de cette expérience est difficile, car si on considère la lumière comme une onde, alors les points d’impacts sur la plaque photographique sont inexplicables ; on devrait voir dans ce cas très faiblement, dès les premiers instants, la figure d’interférence, puis de plus en plus intense.]
    ▬Normalement une onde peut se diviser, car dans le cas des vagues d’eau reprenant les mêmes expériences il y a bien interférence entre les vagues passées par les fentes, et du coup hauteur comme creux résultats sont réduit et peuvent s’additionner ou se soustraire. Nous ne comprenons pas pourquoi on appelles des photons des ondes et de plus des ondes électromagnétiques ‼‼ Ces photons ne sont pas des ondes mais ils oscillent, et ce n’est pas parce que il y a oscillation, et donc fréquence que ces entités soient des ondes ‼‼ D’ailleurs à chaque fois que l’on essaie de comprendre ce qu’est un photon, et bien toutes les explications ne nous donnent pas vraiment d’image. On a des représentations avec des sinusoïdes représentant la charge et perpendiculairement d’autres sinusoïdes représentant le magnétisme, mais ces représentation ne sont que des inventions, car nous pensons que l’on ne peut pas tester les photons longitudinalement dans leur sens de parcours...
    ▬[Le vide quantique contient de telles paires virtuelles et cet effet a été observé sous le nom de « polarisation du vide ».L’électron se trouve interagir avec la charge d’un des éléments de la paire virtuelle, en sorte qu’un électron quantique n’est jamais « nu » mais « habillé » d’un essaim ou nuage de paires virtuelles qui polarisent son environnement immédiat et modifient, par voie de conséquence, ses niveaux d’énergie. (…) La procédure dite de renormalisation considère que la masse et la charge physique de l’électron sont celles de l’électron « habillé » et non celles de l’électron « nu ». ce dernier n’existe pas réellement, puisqu’il est toujours impensable sans son champ. »]
    ▬Nous ne pensons pas que le vide quantique puisse être tester hors de particules élémentaires, car le vide que l’on teste est celui proche des particules, ce qui est totalement différent, car après tout on ne sais pas si les particules peuvent avoir des extensions, car une particule n’est pas un objet bien fini mais justement très flou. Ce que l’on teste est alors l’approche de la particule mais pas vraiment le vide, car cette approche peut aussi appartenir à la particule et non au vide ‼‼ Tester les abeilles libres d’un essaim ce n’est pas tester l’espace où ces abeilles volent ‼‼ Sans essaim et donc sans abeilles on ne peut pas tester l’espace ‼‼ Si on pouvait tester le vide sans particule, cela voudrait dire que le vide est orienté, et donc que l’espace est orienté, et nous ne croyons pas que l’espace soit orienté ‼‼ Nous ne croyons pas à pouvoir tester la polarisation du vide comme il est dit, car ce que l’on teste c’est toujours ce vide mais dans l’approche d’une particule chargée positivement ou négativement, ce qui fait que l’on teste la dispersion de cette particule et non le vide lui-même. Il est curieux que tu utilises le mot essaim que tu nous refusais il y a quelque temps, et pourtant cette image d’essaim est plus parlante qu’un nuage, car quelle est la constitution à donner pour un nuage Ɂ De parler d’électron nu ou habillé nous parait curieux, car sait t-on isoler un électron pour qu’il soit nu Ɂ D’après tes explications toute particule est dans le vide, mais un vide spécial car il est plein. Isoler un électron pour qu’il soit nu, il faudrait vider ce vide plein, mais nous pensons que nous ne savons pas le faire, et donc de vider le vide de ce qu’il contient est impossible. Donc de parler d’électron nu ou habillé n’est pas clair.Par contre il peut y avoir des différences entre un électron isolé, et un électron associé à son noyau, car dans l’environnement de son noyau, ses caractéristiques changent certainement, et là le vide entre noyau et électron n’est pas le même que celui sans particule, et le vide proche et externe est encore un autre vide. Tu parles de champs de l’électron et tu parles aussi de nuage de polarisation, mais cela nous semble la même chose, ce qui veut bien dire que l’électron qui est pris comme exemple à une extension dans l’espace et champ ou nuage de polarisation c’est toujours lui l’électron et cela lui appartient, même si il y a des échanges avec cette extension dit de champ, ce champ lui appartenant. L’électron n’est pas un corpuscule limité, mais justement flou et déformable et s’étalant, et donc ce que l’on teste n’est pas le vide, mais son extension ‼‼ Il est dit dans le texte, que l’électron sans son champ est impensable, on se demande alors pourquoi parler d’électron nu si cela n’est pas réalisable, car c’est comme si on parlait d’une galaxie sans ses étoiles ‼‼ Et le rapprochement d’image, malgré des échelles totalement différentes est une bonne représentation de similitude entre ces deux objets complètement différents. L’atome est ses électrons en correspondance avec un système solaire avec ses planètes, est bien loin d’un galaxie représentant un seul électron ‼‼
    ▬[Rappelons nous que les expériences de fentes fonctionnent avec des fentes suffisamment étroites pour laisser passer le corpuscule sans laisser passer l’onde du corpuscule, agitation du vide qui entoure le corpuscule et se propage autour.
    ▬Il aurait été bon de donner des dimensions dans ces explications, car laisser passer le corpuscule sans laisser passer l’onde nous sommes légère comme explication. Quelle fréquence à l’onde et donc quelle amplitude elle a Ɂ Pour le corpuscule de l’onde, nous croyons connaître ses dimensions, car en fait il n’en a pas, car il est dit qu’il est un point ponctuel, auquel nous ne croyons pas d’ailleurs, car le point est une aberration physique ‼‼ Une question, si toutefois on peut y répondre¦¦Si on tire des électrons ou photons se trouvant juste à coté des fentes ou entre les fentes, et donc buttant sur la plaque ou sont les fentes, est-ce que ces particules passent quand même par les fentes Ɂ Et puis est-ce que l’espacement des fentes fait varier les dimensions des franges Ɂ Jusqu’à quelle dimension minimum on peut rapprocher ces fentes Ɂ Est-ce que le fait de faire deux trous au lieu des fentes, aurait changé au niveau des interférences Ɂ De dire que l’onde ne passe pas mais que le corpuscule passe, au travers de la ou des fentes, cela sous-entent que l’amplitude de l’onde est plus grande que la largeur d’une fente, mais cela sous-entend aussi que le corpuscule se trouve dans la direction et l’axe de la fente. Si cette direction est légèrement décalée, cela fait que le corpuscule devrait buter à coté de la fente, mais les particules passent t-elles alors ou pas Ɂ Dans cette interrogation de décalage de visée, il faut considérer que l’amplitude de l’onde englobe quand même la fente. Si nous tirons des électrons ou des photons exactement entre les deux fentes, et que l’amplitude de l’onde couvre bien les deux fentes, que se passe t-il Ɂ
    ▬[ La mécanique quantique est une théorie problématique pour trois raisons étroitement liées. La première est son échec à donner une image physique de ce qui se passe dans un processus ou une expérience individuels : contrairement aux théories physiques précédentes, le formalisme que nous utilisons en mécanique quantique ne peut pas être lu comme nous montrant ce qui se passe à chaque instant. Deuxièmement, dans la plupart des cas elle échoue à prédire le résultat précis d’une expérience ; plutôt que de nous dire ce qui va se passer, elle ne nous donne que des probabilités pour les différentes choses susceptibles de se produire. La troisième et plus problématique caractéristique de la mécanique quantique est que les notions de mesure, d’observation ou d’information sont nécessaires pour exprimer la théorie.
    ▬Il n’est pas étonnant que nous ne comprenons rien dans cette physique quantique, si les représentations n’existent pas. On peut même se demander comment ces physiciens font pour comprendre cette quantique si tout est abstrait ‼‼
    ▬[Alors je me range aux côtés d’Einstein. Je crois qu’il existe une réalité physique objective et que quelque chose qu’on peut décrire se produit quand un électron saute d’un état d’énergie dans un autre. Et je cherche une théorie qui en donne cette description. »
    ▬Et bien nous nous rangeons également du même coté que toi ou vous, car essayer de comprendre l’abstrait nous est chose impossible, car derrière des descriptions non linéaires de bouts de quantiques, il y a forcément un fil conducteur que l’on ne connaît pas, et c’est bien ce fil qui manque pour comprendre cette physique, car les actions ou événements décrits par cette quantique sont toujours discontinus sans fil conducteur.
    ▬Amicalement. Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.