L’unité physique du monde
L’unité de la nature dans la physique contemporaine
https://www.google.fr/books/edition/Qu_en_est_il_de_l_unit%C3%A9_de_la_nature_da/bd5HAwAAQBAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=magn%C3%A9tisme+quantique&printsec=frontcover
Un seul monde, une seule science
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article5
Un ou plusieurs mondes
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4107
Réel et Rationnel, deux mondes ou un seul ? (...)
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Matière à philosopher ?
« L’histoire de la physique ne se réduit pas à celle du développement de formalismes et d’expérimentation, mais est inséparable de ce que l’on appelle usuellement des jugements « idéologiques ».
« Entre le temps et l’éternité » d’Ilya Prigogine et Isabelle Stengers
Marx dans Le Capital Livre III :
« Toute science serait superflue s’il y avait coïncidence immédiate entre la forme phénoménale et l’essence des choses. »
« Les particules ne sont pas des objets identifiables. (...) elles pourraient être considérées comme des événements de nature explosive (...) On ne peut pas arriver – ni dans le cas de la lumière ni dans celui des rayons cathodiques - à comprendre ces phénomènes au moyen du concept de corpuscule isolé, individuel doué d’une existence permanente. »
Le physicien Erwin Schrödinger
dans « Physique quantique et représentation du monde »
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Einstein dans « Physique et réalité » :
« Généralités concernant la méthode scientifique
On a souvent dit, non sans raison, que les chercheurs en sciences de la nature étaient de piètres philosophes. S’il en était ainsi, le physicien ne ferait-il pas mieux de laisser au philosophe le soin de philosopher ? Cela est sans doute vrai dans les périodes pendant lesquelles les physiciens croient disposer d’un système solide et incontesté de concepts fondamentaux et de lois fondamentales ; mais il en va autrement à une époque où toute l’assise de la physique est remise en question, comme c’est le cas aujourd’hui. A une pareille époque, où l’expérience le contraint à chercher des bases nouvelles et inébranlables, le physicien ne peut tout simplement abandonner à la philosophie l’examen critique des fondements de sa science, car il est le mieux placé pour savoir et sentir où le bât blesse ; dans sa recherche d’une assise nouvelle, il doit s’efforcer, autant qu’il peut , de prendre conscience de la pertinence, voire de la nécessité, des concepts dont il fait usage. »