9 avril 2009, par Robert Paris
Lettre ouverte aux salariés du CTR (Renault-Rueil) Jetés !
Levé à cinq heures, embauché à six heures et, à peine une demi-heure après, la hiérarchie nous invite à une « réunion de travail ». Là, on nous annonce, comme si de rien n’était, la suppression l’an prochain de plus d’un millier d’emplois sur le site. C’est chez Renault ? Non, c’est chez Continental. Les syndicats sont sur le cul : « On a accepté la flexibilité, la réduction des salaires, travailler 40 heures payés 35, pour éviter la fermeture » (...)