Accueil > 02 - Livre Deux : SCIENCES > Atome : lois de la Physique ou rétroaction de la matière/lumière et du (...) > 19- Qu’est-ce que l’antimatière ?

19- Qu’est-ce que l’antimatière ?

jeudi 9 avril 2009, par Robert Paris

L’antimatière existe, le film

« Un électron dans un état d’énergie négative est un objet tout à fait étranger à notre expérience, mais que nous pouvons cependant étudier au point de vue théorique ; ... Admettons que dans l’univers tel que nous le connaissons, les états d’énergie négative soient presque tous occupés par des électrons, et que la distribution ainsi obtenue ne soit pas accessible à notre observation à cause de son uniformité dans toute l’étendue de l’espace. Dans ces conditions, tout état d’énergie négative non occupé représentant une rupture de cette uniformité, doit se révéler à l’observation comme une sorte de lacune. Il est possible d’admettre que ces lacunes constituent les positrons ».

P.A.M. Dirac (1902-1984) (rapport au 7ème conseil Solvay de Physique, 1934)

Pour le grand public, la notion d’antimatière ressemble souvent à un univers de science fiction, à des extraterrestre ou à un monde très énigmatique. Pour les physiciens, il y a belle lurette qu’il n’en est plus ainsi. Il a passé de l’eau sous les ponts et les preuves se sont accumulées depuis l’époque où le physicien Dirac avançait l’hypothèse de l’existence de l’antimatière.

Qu’entend-on par là ? C’est l’équivalent d’une sorte de matière mais qui réagirait à rebours de la matière habituelle. Cela signifie qu’elle agit comme une matière qu’on regarderait dans un film projeté à l’envers, donc comme si le temps s’écoulait en sens inverse ! Il y a une contradiction dialectique entre matière et antimatière car les deux s’allient sans cesse, s’éliminent mutuellement et se combattent mais sans jamais en finir vraiment l’une avec l’autre. Ce n’est pas seulement une existence des contraires du type "l’un ou l’autre" mais à la fois "l’un et l’autre" et "l’un contre l’autre" et encore "l’un pour l’autre" !

L’antimatière sur wikipedia

Antiparticules

Encore sur l’antimatière

Extraits de "L’antimatière" de Gabriel Chardin :

"Si nous acceptons la vision d’une symétrie complète entre les charges positives et négatives vis-à-vis des lois fondamentales de la Nature, déclarait Dirac lors de la cérémonie au cours de laquelle il reçut le prix Nobel, il nous faut considérer comme un accident que la Terre (et sans doute l’ensemble du système solaire) contienne majoritairement des électrons négatifs et des protons positifs. Il est parfaitement possible que la situation soit renversée pour certaines des étoiles, composées principalement de positrons (électrons positifs) et de protons négatifs. Il se peut en fait qu’il existe autant d’étoiles de chaque sorte. Les deux sortes d’étoiles auraient exactement le même spectre lumineux, et il n’existerait aucun moyen de les distinguer en utilisant les méthodes astronomiques actuelles."

(...) En 1932, le physicien américain Carl Anderson confirmait de façon éclatante cette hypothèse en observant dans le rayonnement cosmique une particule qui avait la même masse que l’électron, mais de charge opposée. On observait bientôt que, en s’arrêtant dans la matière, le positron se désintégrait en deux photons gamma (...) La découverte d’Anderson fut rapidement confirmée, non plus maintenant en utilisant le rayonnement cosmique, mais en produisant directement de l’antimatière grâce au bombardement des noyaux par des rayonnements gamma pour produire des paires électron-positron, ce que nous appellerions aujourd’hui la réaction inverse de l’annihilation. (...) La découverte du positron allait entraîner une nouvelle hypothèse, celle de l’existence d’une antiparticule jumelée à chaque particule et de celle d’un monde miroir jusqu’alors inobservé. En effet, une fois le positron détecté, la tentation était grande de généraliser la notion d’antiparticule et de chercher à observer l’antiproton et l’antineutron, ce qui aurait rétabli la symétrie du petit monde des particules connu, composé des seuls proton, neutron et électron. (...) Fabriquer un antiproton ou un antineutron demande environ mille huit cents fois plus d’énergie que la fabrication d’un positron, ce qui explique qu’il a fallu attendre trente-trois ans après la découverte du positron qu’Emilio Segré, Owen Chamberlain, Clyde Wiegand et Tom Ypsilantis découvrent, en 1955, l’antiproton, puis, l’année suivante, l’antineutron. Dans les deux cas, la découverte fut réalisée non plus en observant le rayonnement cosmique, mais en utilisant le Bevatron de Berkeley, un accélérateur de particules qui avait été construit dans le but de créer l’antiproton. (...) On a découvert dans le rayonnement cosmique d’autres particules, comme le muon ou le kaon, (...) une règle simple était toujours respectée pour chaque particule, on observait toujours son antiparticule, dotée autant que l’on pouvait en juger de propriétés extrêmement semblables à celles de la particule. Ainsi, il n’existe aujourd’hui aucun exemple de particule, y compris instable, qui n’ait pas son antiparticule. (...) C’est le physicien danois Gerhart Lüders qui clarifia un peu la situation en montrant pourquoi le monde de la matière et celui de l’antimatière devaient être si semblables : toute théorie physique "raisonnable" devait en effet respecter la symétrie CPT. (...)

La première, C, on l’appelle la conjugaison de charge (C est ici l’abréviation de "charge", en raison de l’inversion de charge entre particule et antiparticule). (...) On part d’une situation dont on sait qu’elle est permise par la nature et l’on applique la transformation C - en remplaçant donc toute particule par son antiparticule -, la nouvelle situation ainsi construite est-elle ou non permise dans la nature ? Si la réponse est oui, on dira que l’expérience respecte la symétrie C, et dans le cas contraire on dira qu’elle la viole. (...)

Cherchons à définir maintenant la transformation P (pour "parité"). (...) L’opération P est l’opération "miroir". (...) Appliquer la transformation P à une expérience réelle consiste maintenant à réaliser par la pensée l’expérience telle qu’elle serait vue dans un miroir. (...) Nous pouvons maintenant nous poser la question de savoir si, partant d’une expérience autorisée par la nature, la situation telle qu’elle est vue dans le miroir constitue également une situation permise par la nature. (...)

Passons maintenant à la troisième transformation, la transformation T (T est ici l’abréviation de "temps"). Appliquer la transformation T à une expérience revient à filmer celle-ci, puis à passer le film à l’envers. On obtient alors une nouvelle expérience donc, à nouveau, nous ne savons toujours pas a priori si elle est réalisable par la nature. (...)

Le théorème CPT affirme que, si l’on filme le reflet dans un miroir (la transformation P) d’un monde où les particules sont remplacées par des antiparticules (la transformation C), ce film passé à l’envers (la transformation T) doit montrer des processus qui sont également possibles dans notre monde de matière. (...) Ce théorème n’est démontré que sous certaines hypothèses. (...)

L’une des conséquences majeures de ce théorème concerne le rapport entre matière et antimatière. Le théorème implique en effet qu’à notre monde de matière corresponde un monde d’antimatière extrêmement proche puisque, par exemple, chaque particule doit avoir la même masse que la particule associée, ainsi que la même durée de vie. (...)

Lorsque Lüders démontre son théorème au début des années 50, l’immense majorité des physiciens aurait parié que la nature était telle que les morceaux du puzzle C, P et T étaient chacun séparément symétriques. n’est-il pas évident par exemple que la symétrie P est respectée par les lois de la nature, et que le reflet de notre monde dans un miroir montre des situations qui sont réalisables en pratique ? (...)

Les physiciens chinois Lee et Yang osèrent briser le tabou. ils montrèrent en effet que l’on ne savait pas si la nature respectait la symétrie miroir dans le cas de la désintégration des kaons. Cette particule se désintégrait tantôt en deux particules - que l’on appelle les pions -, tantôt en trois particules ; cela violerait la symétrie miroir. (...)

Quelques expérimentateurs intrépides, et parmi eux une physicienne nucléaire d’origine chinoise, Mme Chien-Shiung Wu, relevèrent le défi ; malgré l’incrédulité de la grande majorité de ses collègues, Mme Wu fut la première à vérifier bientôt que l’on peut reconnaitre notre monde de son image dans un miroir, ce qui signifie que l’on peut définir de façon absolue la droite de la gauche. (...) Ce résultat expérimental agit comme une déflagration sur le petit monde des physiciens. (...)

Les physiciens russes Lev Landau et Lev Okun montrèrent l’année suivante que l’on avait été trop naïf en supposant que les pièces du puzzle C et P étaient l’une et l’autre symétriques. Mais la symétrie qui, promis juré, devait être respectée était le produit des transformations C et P. (...) De fait, dans l’équation de Dirac, changer le signe de l’énergie revient à changer le sens du temps, et le positron y apparaît bien comme un électron qui remonte le temps (…) Notons également que, si le théorème CPT est vérifié, une différence de comportement entre matière et antimatière (une violation de CP) est reliée à la flèche du temps (une violation de T), un autre grand problème non résolu de la physique. C’est avec une immense surprise et une très grande méfiance que fut accueillie en 1964 la découverte de la violation CP. Les découvreurs eux-mêmes, les physiciens James Cronin, Val Fitch, James Christenson et le Français René Turlay, vérifièrent leur résultat pendant six mois avant d’oser annoncer leur découverte. (…) Récapitulons la façon dont la nature respecte les symétries C, P et T : l’interaction faible semble être la seule ,des quatre interactions à violer les transformations C et P, révélant que matière et antimatière ne respectent pas la symétrie miroir dans tous les phénomènes mettant en jeu l’interaction faible. Elle semble également être la seule à mettre en évidence, mais à un niveau très faible et dans le seul cas des kaons neutres, la violation de la symétrie CP, permettant une définition absolue de la matière par rapport à l’antimatière, et de la symétrie T du renversement de temps. Notons que l’on soupçonne la gravitation de violer la symétrie CPT dans le mécanisme d’évaporation des trous noirs (…) Si la symétrie est si grande entre matière et antimatière, et si la différence de comportement, pour discutable qu’elle soit, ne s’observe que dans un coin très discret de la physique, la question se pose maintenant de comprendre pourquoi notre environnement ne comprend pratiquement pas d’antimatière (…)"

... suite à venir ....

Violation de la symétrie CP

L’expérience “Babar”

"Les résultats d’une expérience menée au CERN confirment que, même dans l’univers subatomique, le temps préfère couler dans un certain sens.
"Impossible de vous dire mon âge, il change tout le temps." Ainsi s’exprimait le célèbre écrivain Alphonse Allais qui par ces simples mots illustrait parfaitement la marche immuable du temps. Mais si dans notre monde le passé, le présent et le futur se succèdent invariablement dans ce sens, il n’en va pas de même dans l’univers des particules subatomiques. Du moins c’est que les physiciens pensaient jusqu’à ce qu’une équipe de chercheurs du CERN, le Laboratoire européen pour la physique des particules (Genève), mesure pour la première fois l’asymétrie du temps pour des kaons.
En physique, les lois de Galilée, Newton ou encore Einstein sont symétriques dans le temps, c’est-à-dire que ce dernier peut être renversé sans changer le comportement des objets que les équations décrivent. Se basant sur les travaux de leurs illustres prédécesseurs, les spécialistes de la physique quantique ont alors été menés à envisager l’existence de l’antimatière et des antiparticules, les "miroirs" de la matière.
Initiée en 1985, l’expérience CPLEAR (CP-Low Energy Antiproton Ring) du CERN a pour but d’étudier les différences entre la matière et l’antimatière. A l’aide du collisionneur de particules de faible énergie, les chercheurs ont réalisé des chocs entre des antiprotons et des atomes d’hydrogène afin de produire des kaons et des antikaons. Lorsqu’ils se déplacent, les antikaons peuvent se transformer en kaons et inversement. L’équipe du CERN a alors utilisé un détecteur afin de compter les kaons et les antikaons générés par les collisions. Or, les chercheurs ont découvert que le taux de transformations des antikaons en kaons était plus élevé que celui des kaons en antikaons, le processus inverse dans le temps. "Le résultat de cette expérience révèle pourquoi l’univers est constitué de matière et non d’antimatière, explique Noulis Pavlopoulos de l’équipe CPLEAR. Même à l’échelle microscopique, le temps ’préfère’ couler dans une certaine direction."
Cette expérience apporte également un vent de soulagement dans la communauté scientifique. Elle confirme en effet la symétrie CPT (Charge-Parité-Temps), un des fondements de la physique moderne qui explique pourquoi nous vieillissons. Cette règle veut que la combinaison des symétries de Charge (particule/antiparticule), de Parité (symétrie dans l’espace) et de Temps soit également une symétrie. Or, en 1964, des physiciens américains ont noté que la combinaison des symétries CP n’était pas respectée. Cela signifiait que, pour conserver la symétrie CPT, la symétrie T devait également être violée. "La mesure de l’asymétrie du temps fut longtemps impossible, ajoute Noulis Pavlopoulos. Tout le monde attendait ce résultat car si la symétrie T n’était pas violée, toute la physique moderne s’écroulait." Mais tout n’est pas fini. Aujourd’hui, les chercheurs vont s’attacher à savoir si la symétrie CPT n’est pas perturbée par d’autres forces comme la gravitation, auquel cas il faudra peut-être revoir notre conception de l’écoulement du temps.

***

Les résultats de l’expérience “Babar” confirment un modèle décrivant le comportement de la matière et de l’antimatière vieux de trente ans.
“Je suis vraiment impressionnée par la puissance du modèle établi il y a trente ans." Lydia Roos, physicienne à l’IN2P3*, à Paris, ne cache pas son admiration. Elle fait partie des 600 chercheurs et ingénieurs qui ont mené pendant plus de deux ans l’expérience Babar, au Stanford linear accelerator center (Slac), en Californie, et dont les résultats ont été rendus publics récemment. Deux ans de prise de mesures qui ont permis de confirmer la prédiction d’un modèle théorique mis au point au début des années 1970 : la symétrie CP, pour charge–parité, est bel et bien violée pour les mésons B, à l’instar de leurs cousins plus légers, les mésons K.
Le monde subatomique aime les symétries. Il en est une particulièrement importante, qui régit les relations entre les particules et leurs antiparticules, ces miroirs de même masse mais de charge opposée. Baptisée symétrie CPT, elle désigne en fait l’invariance du produit de trois opérations fictives : la conjugaison de charge C, qui transforme particules en antiparticules, la parité P, qui change le signe des coordonnées dans l’espace, et l’inversion du temps T. Issue des théories de la relativité, cette symétrie constitue l’un des piliers de la physique quantique.
Seulement voilà, le monde subatomique sort parfois des sentiers battus. En 1964, on a découvert que le produit CP n’était pas invariant lors de la désintégration, par interaction faible (l’une des quatre forces fondamentales), des mésons K, particules constituées d’un quark étrange** et d’un anti-quark. Cette violation de symétrie n’est pas anodine, puisqu’elle permettrait d’expliquer pourquoi l’Univers est formé de matière et non d’antimatière. En effet, d’après le théoricien russe Sakharov, la prédominance de la matière résulte en partie de cette différence de comportement entre particules et antiparticules. Par ailleurs, la violation CP implique celle de la symétrie de temps. Une violation nécessaire à la conservation de la fameuse symétrie CPT. En d’autres termes, les particules, elles aussi, ont leur passé et leur avenir. Elles aussi suivent la "flèche du temps".
Mais en science, et à plus forte raison en physique, les résultats expérimentaux hors normes ne sont guère appréciés. On a donc rapidement développé un modèle théorique pouvant expliquer cette violation. Il s’agit de la matrice Cabbibo-Kobayashi-Maskawa, du nom de ses trois inventeurs. Mais cette théorie, qui rend possible la violation de la symétrie CP pour les mésons K, prédit cette même violation pour les mésons B, composés, eux, d’un quark beau et d’un anti-quark.
C’est pour vérifier cette prédiction que l’expérience Babar a été mise au point. Depuis son lancement en mai 1999, plus de 32 millions de paires particules–antiparticules ont été produites dans le collisionneur électrons–positrons du Slac. "Nous avons ainsi pu réaliser une mesure directe de l’un des paramètres représentatifs de la violation CP, que l’on nomme sin 2b , indique Lydia Roos. Si ce paramètre était égal à zéro, il n’y aurait pas de violation pour les mésons B." Soulagement dans les rangs, la valeur déterminée à Stanford frôle 0,6. La violation de symétrie CP pour les mésons B existe donc bien et le modèle de Cabbibo, Kobayashi et Maskawa est sauvé. "Notre résultat cadre étonnamment bien avec ceux des précédentes mesures indirectes, qui tournaient autour de 0,7," se félicite la physicienne.
Pour autant, les recherches ne sont pas terminées. "Nous accumulons des données afin d’affiner la valeur de sin 2b , précise Lydia Roos. En juin 2002, nous espérons atteindre les 100 millions de paires particules–antiparticules." Les scientifiques tenteront également de caractériser d’autres paramètres typiques d’une violation CP. "Sin 2b était le moins difficile à mesurer," confie Lydia Roos. Déterminer le reste ne sera donc pas une sinécure. C’est néanmoins à ce prix que l’on pourra peut-être comprendre pourquoi la matière domine l’Univers."

Encore sur l’anti-matière

Messages

  • L’antimatière, c’est encore de la matière : si ce n’est pas de la dialectique !!!

  • JFP¦¦02012020¦¦Pour nous le temps est sans rapport avec l’anti-matière, même si des théorèmes ou théories tiennent compte de ce temps comme étant inverse à celui de la matière.
    ▬[Fabriquer un antiproton ou un antineutron demande environ mille huit cents fois plus d’énergie que la fabrication d’un positron, ce qui explique qu’il a fallu attendre trente-trois ans après la découverte du positron qu’Emilio SEGRÉ, Owen CHAMBERLAIN, Clyde WIEGAND et Tom YPSILANTIS découvrent, en 1955, l’antiproton, puis, l’année suivante, l’antineutron. ].
    ▬ Ce n’est pas environ 1800 fois plus d’énergie, mais exactement 1836-1 fois plus d’énergie pour un anti-proton et 1836 fois plus énergie pour un anti-neutron, sachant que l’anti-neutron n’existe pas car il est équivalant au neutron. Les particules de charge nulle, du moins de charge équilibrée les rendant neutres n’ont pas leur opposées en charge. Donc de parler d’anti-neutron est une aberration. Ouest-ce qu’un neutron Ɂ Et bien c’est une somme égale d’électrons et de positrons correspondant exactement à 918 électrons et 918 positrons. Cet ensemble de 1836 éléments sont regroupés par paquets de DEUX ou TROIS que l’on appelle des quarks. Mais ces regroupements par paquets pourraient être autres, mais nous n’irons pas plus loin dans nos explication. Qu’est qu’un proton Ɂ Et bien c’est un neutron ayant un électron en moins, et à l’extérieur, c’est à dire 918 positrons et 917 électrons et un électron externe hors proton. Donc les quarks et anti-quarks ne sont pas des particules élémentaires mais des groupements de positrons et d’électrons. Qu’est-ce qu’un électron ou un positron Ɂ Et bien là encore un groupement de particules inconnues servant de base, ce qui veut dire que ces particules élémentaires ne le sont pas ‼‼ Quand un neutron est hors noyau atomique, ce dernier est instable, car sa durée de vie est assez courte de quelques minutes, et se transforme spontanément en proton, éjectant un électron, et quelques poussières que sont ces éléments de base, formant électron et positron, mais par regroupement dont on donne de nouvelles appellations pour ces particules éphémères.
    ▬ Tout ceci pour dire que les éléments formant les particules élémentaires, sont aussi bien de charge positive que de charge négative, et que la notion de matière ou d’anti-matière n’est qu’un assemblage particulier, sachant qu’il peut y avoir que deux types d’assemblage. La matière est formée par un centre de charge positive, mais ce centre n’est qu’un excédent de charge positive par rapport à une ensemble de charges différentes, et la matière est aussi une sorte d’enveloppe qui est l’extérieur de charge négative par ses électrons. Et là encore l’électron de charge négative n’est qu’un excédent de charges différentes. Pour l’anti-matière c’est exactement le contraire en charge, donc l’anti-proton sera formé de 918 électrons et 917 positrons, et le positron manquant sera extérieur. Maintenant pourquoi la matière n’accepte pas l’anti-matière et inversement Ɂ Et bien localement la matière a pris le dessus sur l’anti-matière, et quand ces deux formes se rencontrent, elles se décomposent pour se reconstruire. Comme localement la matière à pris le pas sur l’anti-matière, si cette anti-matière nous parvient elle n’est qu’éphémère car elle se décompose pour reformer de la matière. Dans un environnement où la matière est présente, il est difficile que des atomes d’anti-matière puissent survivre, et c’est pour cela que l’on ne peut pas trouver de l’anti-matière. Maintenant de dire que l’anti-matière à disparue, est une absurdité, car les éléments formant la matière comme l’anti-matière sont les mêmes et sont présent.
    ▬Ce Gabriel CHARDIN, dit exactement comme nous en disant qu’il puisse exister des étoiles d’anti-matière, mais on peut aller encore plus loin en disant qu’il peut exister des galaxies d’anti-matière. Une galaxie ne communique pas avec d’autres galaxies, car ce sont des objets totalement indépendants, et notre Univers peut regrouper et regorger de tas de galaxies comme des tas d’anti-galaxies sans que cela gène quoi que ce soit. La lumière émise des étoiles est neutre, et est aussi un équilibre de charge plus et moins, comme le vide de l’espace d’ailleurs. Cette anti-matière n’a absolument pas disparue de notre Univers, car la matière cache l’anti-matière. Notre système solaire avec ses planètes est fait de matière, et donc d’un des deux modèles, mais des étoiles de notre propre galaxie peuvent très bien être des anti-étoile, et voir ces étoiles comme encore ces anti-étoiles, ne changerait strictement rien sur nos appareils de détections. Le spectre lumineux d’étoiles comme d’anti-étoile ne nous donnent pas comment ces photons sont fabriqués, car il n’y a aucune signature de la charge. On peut donc très bien concevoir qu’il existe des anti-étoiles dans notre galaxie. Le Big-bang à généré autant d’éléments de charge positive que de charge négative entrant dans la conception et fabrication des particules élémentaires. Les modèles et théories disant que l’anti-matière à disparue de l’Univers, est en fait une erreur. Notre matière n’est qu’un façonnage d’éléments de base, et ces mêmes éléments peuvent former de l’anti-matière, et on peut donc dire que la matière cache l’anti-matière et que cette anti-matière fait toujours partie de la matière. Tout ceci n’est pas qu’une philosophie qui semble très simple, mais la nature est plus simple que l’on croit.
    ▬Que les scientifiques essaient de décortiquer cette fausse matière que sont les mésons, les kaons, les pions, les hadrons, et autres bêtises de noms absurdes, tout ceci n’a que peu d’intérêt pour essayer de trouver des asymétries, car ces paquets d’éléments de bases ne sont qu’éphémères et n’apportent pas de vérité sur la matière et l’anti-matière. La plus grosse bêtise est de dire que le temps est inverse pour l’anti-matière, et on se demande bien pourquoi le temps s’écoulerait à l’envers, et nous pensons que ce Feynman y est pour quelque chose. Le temps négatif dans les diagrammes de Feynman ne veut pas dire que la particule remonte le temps, mais qu’elle est hors du temps, ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Ainsi il peut y avoir des événements hors de la cadence du temps, c’est comme cela que nous comprenons ces diagrammes, d’autant qu’un diagrammes n’est que schématique, et n’est là que pour simplifier l’écriture. Il peut donc y avoir d’autres interprétations...
    ▬Ce qu’il faut bien comprendre c’est que notre terre, notre soleil avec ses fausses particules élémentaires, pourraient définir exactement les mêmes objets mais en anti-matière. Ce ne sont que les arrangements des fausses particules que nous nommons de base qui sont organisées de telle façon à avoir un modèle plutôt que l’autre. La même farine donne du pain ou de l’anti-pain, ceci est tellement vrai que la farine de l’espace donne autant de particules virtuelles que d’anti-particules virtuelles, ce qui veut dire que l’espace et son vide quantique est bien équilibré en charge. Et bien pour être simpliste,tout ce qui n’est pas virtuel est aussi équilibré en charge comme en masse d’ailleurs, si on considère masse positive et masse négative formant l’ensemble de ce qui existe, et donc pour finir l’Univers est neutre en charge.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • Je ne comprend pas comment le temps pourrait planer au-dessus de l’Univers matériel baignant dans l’antimatière virtuelle.

  • JFP¦¦03012020¦¦Votre phrase de retour est très courte et concise et est sujet à beaucoup d’explications déjà données¦¦
    ▬[Je ne comprend pas comment le temps pourrait planer au-dessus de l’Univers matériel baignant dans l’antimatière virtuelle.]
    ▬Le temps naturellement ne plane pas, car il est un mécanisme. Il peut être un mécanisme de la matière, comme de l’anti-matière, et c’est d’ailleurs avec le césium 133 que l’on défini la seconde universelle. Ceci est d’ailleurs un peu une absurdité, car ce même césium suivant son contexte, définira des durées de seconde différentes. Il n’y a pas de temps absolu comme celui de Newton , et ce que l’on croit faire en définissant la seconde à partir de la matière, c’est simplement de définir une référence moyenne dans notre système solaire, qui n’est pas une vraie référence. Prendre ce césium 133 très proche du soleil et le prendre au fin fond du système solaire, afin d’évaluer une fréquence, et bien la cadence ou fréquence de ce césium sera différente. Ce qui est aberrant c’est que nous nous basons sur la matière pour évaluer la seconde, mais la matière varie fonction des contextes où elle se trouve. Ainsi les horloges atomiques nous disent bien que le temps s’écoule de façon différente, si ces horloges sont en mouvement rapide. La matière comme l’anti-matière n’est donc pas une vraie référence pour définir ce qu’est le temps, car matière et anti-matière sont sujet à des variations de battement du temps. POURQUOI Ɂ Et bien la matière comme l’anti-matière subit le vide quantique de l’espace, mais ce n’est pas vraiment le vide quantique mais un niveau encore inférieur. Si on pouvait définir le temps à partir de ces particules virtuelles ou anti-particules virtuelles, le problème serait le même, car là encore ces particules virtuelles subissent un niveau encore inférieur de ce même vide. Le temps est relatif par rapport à un contexte, et matière ou anti-matière comme particules ou anti-particules virtuelles, sont dépendant e ce contexte.
    ▬Pour redire ce qu’est le modèle de la matière, c’est un agencement d’un centre positif et d’un externe négatif, rendant cet ensemble neutre. Pour l"anti-matière c’est exactement l’inverse, c’est à dire un centre négatif et un externe positif. Donc ce modèle est l’atome pour la matière et l’anti-atome pour l’anti-matière, mais les éléments de base non connus constituant ces ensembles sont exactement les mêmes. Ce qui veut dire que l’atome pourrait être conçu en anti-atome car les éléments constituant l’atome comme l’anti-atome sont exactement les mêmes en quantité et en charge. Si notre matière à choisi cette état de centre positif et externe négatif, cela n’est que que du pur hasard, car avec exactement les mêmes éléments ce modèle pourrait être un centre négatif et un externe positif.
    ▬Des portions d’espace peuvent être de la matière et d’autres portions d’espace de l’anti-matière, sans qu’il y ait d’interaction entre ces espace. Ainsi les étoiles sont des objets indépendant pouvant être de la matière comme encore de l’anti-matière. Les photons émis par ces étoiles de matière ou d’anti-matière ne portent pas la signature de matière ou d’anti-matière, mais portent si on peut le dire comme cela le nombre de protons ou anti-protons formant un noyau atomique, comme aussi portent le nombre d’électrons ou de positrons de l’atome ou de l’anti-atome.
    ▬L’Univers est neutre car les constitutions des particules élémentaires comme celles des anti-particules élémentaires, sont formées par le mêmes éléments de base en même quantité et en même nombre, et ces éléments de base sont soit de charge positive soit de charge négative, et le mariage de ces charges opposées donne une neutralité. Mais les particules élémentaires ayant une charge positive ou négative, ont un excès de charge positive ou négative. Maintenant le vide de l’espace de l’Univers est aussi neutre que cette matière ou anti-matière, car encore il y a équilibre entre charge positive et charge négative de ce vide de l’espace. Donc l’ensemble de ce que nous connaissons est neutre car il y a équilibre, et de dire que l’anti-matière à disparue, est une aberration, car rien a disparu. Il n’y a aucune étrangeté dans cette anti-matière sauf qu’il est difficile de la reproduire où la matière existe, car le simple fait que ces deux modèles se rencontrent, fait qu’ils se défont et se reconstruisent essayant de trouver une stabilité. Donc quand un modèle est constitué qui peut-être matière ou anti-matière, il déteint sur son environnement, l’obligeant à être du même type de modèle que lui-même. Une étoile en formation peut aussi bien définir de la matière que de l’anti-matière, et le choix est du pur hasard, mais une fois allumé, si cette étoile est réalisée en anti-matière, et bien elle brillera de la même façon que les étoiles de matière. De dire que nous sommes dans une Monde de matière est totalement faux, car nous sommes dans un Monde mixte, ou des anti-objets brillent comme d’autres objets. Le modèle standard peut donc être révisé, car rien a disparu..., et le reste de 1 pour 1 milliard est de la poésie plus que de la science.
    ▬Pour reprendre votre fin de phrase [l’Univers matériel baignant dans l’antimatière virtuelle], et bien nous baignons dans un Univers aussi bien matériel que anti-matériel mais localement où nous sommes c’est à dire dans notre système solaire c’est de la matière au sens d’un centre positif et une couronne négative. Les étoiles les plus proche de ce soleil peuvent avoir l’autre modèle ou le centre est négatif et une couronne positive. En tous cas nous baignons dans un vide de l’espace qui lui n’a pas choisi une voix plutôt qu’une autre,car ce vide est aussi bien négatif que positif avec ce virtuel des deux charges opposées.
    ▬Nous avons déjà émis ce genre de remarques dans d’autres articles, mais cela vous semble sans doute de la science fiction, et donc nous réitérons nos remarques que sont nos concepts s’approchant d’une nature qui semble beaucoup plus simple de ce que l’on essaie de nous dire. D’ailleurs les tous premiers physiciens de cette quantique étaient plus sages que la complexité de ce qui a été fait de cette quantique. Si vous ne comprenez pas vraiment nos écris c’est que vous survolez nos dires, et donc c’est vous qui planez et non le temps, et cela est sans agressivité. De toutes façons nous arrivons aux mêmes conclusions que les vôtres pour les photons, car dans l’un de vos articles vous considérez les photons comme étant constitués de particules positives de même quantité que de particules négatives. Donc même au niveau des bosons, il y a équilibre de charge, ce qui fait que le vide quantique de l’espace comme les photons, et encore comme la dite matière ou celle de l’anti-matière, tout est équilibré. Le déséquilibre ne serait que de chercher les petites bêtes éphémères le temps d’une transformation, et où ces bêtes sont en réalité des BUG se auto-détruisant ‼‼
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦03012020¦¦Pourquoi ce type de sujet sur l’anti-matière ne se trouve que sur une seule hémisphère du cerveau, si on considère votre site comme deux hémisphères d’un cerveau, car c’est ce que vous nous aviez dit Ɂ
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • « la matière comme l’anti-matière subit le vide quantique de l’espace » ?

    Personnellement, je ne le formulerai pas ainsi.

    Le vide quantique, c’est de la matière et de l’antimatière.

  • JFP¦¦04012020¦¦Vous avez complètement raison de dire que nul n’est parfait, car déjà nous avons utilisé ce mot d’hémisphère au féminin alors qu’il est masculin. Mais on dit bien, une belle moustache, sachant que les femmes n’en portent absolument pas, comme on dit un sac à main que les hommes n’utilisent jamais mais que les femmes adorent. Comme quoi cette langue française avec son genre est difficile et où le genre n’apporte pas toujours de sens. Car on dira UNE sphère mais UN hémisphère, et c’est toute la difficulté du genre qui est quelque fois inutile.
    ▬Nous approfondissons nos recherches sur cette anti-matière... et on vous donnera nos réflexions.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦04012020¦¦ Nous ne savons pas qui est ce Charles Fourrier, dont vous parlez, mais ce Fourrier pourrait se traduire et être "fou rire" pas vrai Charles ‼‼ Si vous appréciez et bien tant mieux, mais cela est un peu involontaire.
    ▬VIDÉO¦¦ La vidéo que vous nous avez proposée de cette conférence datant du 2000 et qui dure 1h 07mn a bien été regardé du moins bien entendu. D’ailleurs avec ces nouveaux outils, sur des passages que l’on ne comprend pas bien, on peut toujours faire un retour de quelques minutes. Pour 50mn de cette vidéo, elle nous montre l’historique de la conception de l’anti-matière, et ne reste alors que 17mn pour nous expliquer ce qui est compris de cette anti-matière.
    Et bien dans la vidéo on nous dit qu’électron comme quark sont des particules fondamentales et donc qu’il n’y a pas plus petit formant ces structures. Nous sommes déjà en désaccord total avec ce qui est dit, car l’électron, le positron le quark... ne sont pas des ultimes particules du plus bas niveau, car ces objets sont eux-mêmes constitués d’autres choses. Ce type de conférence nous apporte pas grand chose, car une belle femme Catherine Thibault sans doute première de classes, nous récite ses leçons apprises par cœur. On nous parle vers la fin de cette conférence d’asymétrie en parlant de ce fameux kaon neutre qui est une particule très étrange car formée d’un quark et d’un anti-quark. Mais cette particule de kaon neutre est aussi une fausse particule, du moins éphémère ne pouvant pas rester dans un monde de matière comme dans un monde d’anti-matière, car justement elle est formée des deux notions. Déjà cette particule de kaon neutre est une particule composée car formée de 2 éléments de plus bas niveau. L’étrangeté vient pour nous de cet anti-quark, car on se demande comment on peut déterminer une anti-particule et comment sont réalisé les tests pour définir ces éléments de très bas niveau. Cette particule composée dit kaon neutre est instable, et se désintègre et se transforme soit en matière ou soit en anti-matière. Ces kaons neutres sont créés à partir de protons et d’anti-protons, et donc ce sont des résidus de collisions entre particules. Le constat de ces désintégrations spontanées de kaons neutres est que le temps pour reformer de la matière est plus cour que le temps pour former de l’anti-matière. Ces explications sont complément confuses, car déjà ces kaons neutres sont fabriqués et ne sont pas naturels, et puis de dire qu’ils se transforment en matière ou en anti-matière est très subjectif car qu’elles est cette matière et qu’est-ce qui la compose Ɂ
    ▬Conférence ¦¦ Les protons et les anti-protons résultant du Big-bang vont s’annihiler pour que ne reste que des protons. Le rapport de ces annihilations entre protons et anti-protons est que pour un milliard et un protons, et il y a 1 milliard d’anti-proton, et donc pour 2 milliard et un éléments initiaux n’en reste que UN qui est le proton. On constate que dans le rayonnement froid il y a un milliard de fois plus de photons que de neutrons ou proton dans l’Univers.
    ▬Nous ¦¦ Ces dires ou idées ne valent rien dire, car c’est un scénario absurde, pas plus vrai que les films de science fiction. que viennent faire ces photons de rayonnement froid plus grand d’un milliard de fois les protons et les neutrons, car quel lien y a t-il entre photons (bosons) et protons et neutrons (fermions) Ɂ On se demande pourquoi comparer les quantités de photons émis du Big-bang et les protons/neutrons évalués de nos jours. Dans cette conférence on nous utilise au moins 10 fois le verbe annihiler, mais la beauté du résultat de ces annihilations, c’est que justement on en parle pas. Il est assez frustrant que pour 2 milliards et un éléments, 2 milliards disparaissent et ne reste donc qu’un seul élément, et ne rien dire sur ces annihilations qui sont des disparitions ou de désintégrations. Mais comme il est dit que rien ne se perd mais que tout se transforme, ces annihilations représentent toujours quelque chose dans notre Univers actuel, et donc que la masse calculée de l’Univers devrait être multipliée par 2 milliard et une fois.
    ▬Dans cette conférence, on nous dit que l’univers est complètement fait de matière, mais on rajoute, ce n’est pas complètement sûr, et on nous dit qu’il est plus facile d’imaginer à partir du Big-bang que l’anti-matière disparaît plutôt que de dire l’anti-matière se sépare dans l’espace. Dans le Big-bang l’énergie donne autant de matière que d’anti-matière, et il faut faire disparaître l’anti-matière pour que ne reste que de la matière. Les rencontres entre matière et anti-matière génèrent des rayons X et des rayons gamma, et nous constatons en observant l’espace de l’Univers que ces fréquences de photons n’existent pas, et donc on en déduit que l’Univers ne possède pas d’anti-matière, car des zones proches de matière et d’anti-matière devraient générer ces types de fréquences de photons gamma et X.
    ▬Nous¦¦Dans ces explications on se demande bien pourquoi une étoile d’anti-matière irait contrarier une autre étoile de matière et si cela n’est pas des étoiles mais des gaz, et bien le problème reste le même. Les concentrations de gaz stellaires peuvent très bien être de natures différentes. Même si il y a des annihilations de départ après ce Big-bang, les résultats peuvent donner aussi bien de la matière que de l’anti-matière. Ce que nous ne savons pas et qui n’est pas expliqué dans cette conférence, c’est d’où sort ce rapport de 1 pour 2 milliards et 1 Ɂ Ce même rapport est aussi donné par Wikipédia sans plus d’explication. Dans la vidéo il y a même une erreur de rapport car on nous parle après d’un rapport de 1 milliard... Mais ce rapport de 1 milliard est aussi celui de la proportion de photons de rayonnement froid et du nombre de protons/neutron estimés de notre Univers, et on se demande quel lien il y a entre ces objets Ɂ Quand on veut mêler l’humour à la science, il faut être serin, car de parler d’un extra-terrestre revenant et bien avant de revenir il faudra déjà qu’il vienne avant même de revenir. Et puis fêter son retour avec du champagne ne ferait rien exploser comme il est dit, car l’annihilation n’est pas une explosion.
    ▬QUELQUE MINUTE AVANT LA FIN DE LA CONFÉRENCE ¦¦
    ▬En fin de conférence (2/3mn avant la fin) on nous dit que le kaon neutre c’est facile car c’est la moité du proton et la moitié du neutron, et quand ce kaon neutre se désintègre il peut avoir plus de positrons ou d’électrons, et dans ces dernières paroles tout devient confus car le peu d’explication est incohérente... Sachant qu’un neutron possède 3 quarks et en va de même pour le proton, il semble difficile de prendre la moitié de chacune de ces particules ‼‼
    ▬DIALOGUE ¦¦
    ▬A la fin de la conférence, un dialogue avec les spectateurs s’établit, et des questions sont posées.
    ▬Question de spectateur ¦¦ Y a t-il un mécanisme qui décrit ce qu’est l’annihilation Ɂ
    ▬Réponse¦¦L’annihilation et la matérialisation vient naturellement avec la lois d’Einstein.
    ▬Nous ¦¦ les équations d’Einstein ne nous disent pas comment ça marche et ne décrivent pas de mécanismes ‼‼
    ▬Question de spectateur ¦¦ D’où vient l’énergie du Big-bang Ɂ
    ▬Réponse¦¦Pour ce qui est du Big-bang, adressez vous à Dieu ou à ses saints.
    ▬Question de spectateur ¦¦ Pourquoi la dissymétrie Ɂ
    ▬Réponse¦¦On est pas capable de répondre...
    ▬Question de spectateur ¦¦ Que pensez vous des trous noirs Ɂ
    ▬Réponse¦¦On peut dire d’un trou noir, qu’elle est sa masse, on peut dire qu’elle est son mouvement de rotation, on peut dire qu’elles est sa charge électrique, mais on ne peut absolument pas dire si il est fait de matière ou d’anti-matière. Donc c’est un bilan très spécial, car on ne sait pas dire si c’est de la matière très dense, ou de l’anti-matière très dense ▬Question de spectateur ¦¦ Qu’elle est la spécificité du photon sachant qu’il est lui-même son anti-particule Ɂ
    ▬Réponse¦¦C’est que tous les nombres quantiques sont nuls
    ▬RÉSUMÉ ¦¦
    ▬Pour résumer, on ne sait pas ce que sont les trous noirs, et de dire que l’on connaît la charge d’un trou noir est osé, car c’est seulement sur papier et avec de l’imagination, mais n’est absolument pas réalisée avec vérifications réelles. De parler d’annihilation entre matière et d’anti-matière est aussi assez osé, car ces annihilations deviennent quoi Ɂ Si ces annihilations deviennent de l’énergie pure, qui est une notion qui n’existe pas d’ailleurs, cette énergie donnerait naissance à encore de la matière et de l’anti-matière, et donc par élimination de d’anti-matière car surplus de matière, la résultante de ces annihilations serait de ne plus avoir d’anti-matière, mais dans ce cas cela veut dire qu’il ne faille pas multiplier la masse de l’Univers par 2 milliards et un fois de ce qu’il est, car cette masse calculée est déjà le résultat par élimination et donc conversion. Bien sûr nous ne croyons pas à ces annihilations de départ de l’Univers. Entre les prédictions d’un certain Dirac et où nous n sommes dans les recherches, et bien les chemins pris sont déroutants, car nous évaluons la matière comme l’anti-matière à partir de ces kaons neutres fabriqués, où le temps de désintégration de ces particules composées n’existant pas dans notre Monde, est différent selon si cela devient de la matière ou de l’anti-matière. C’est donc à partir de ces kaons neutre que la dissymétrie CPT est trouvée. Faudrait-il que les tests soient dans un environnement sans matière ou sans anti-matière pour que ces tests soient valables. Car fabriquer un vide partiel pour les expériences avec ces kaons neutres, ne garanti en rien d’un vrai vide. Fabriquer un vrai vide n’existe pas, car il suffit de comprendre que la gravitation est toujours présente, pour se dire que le vide fabriqué n’en est pas un, et il n’y a pas que la gravitation que l’on ne sache pas éliminer ‼‼ Pour résumer, l’histoire est plus jolie et plus belle que ces sciences racontées comme une récitation...
    ▬Nous restons donc avec nos mêmes interrogations, car cette conférence proposée de l’année 2000, ne répond pas plus à nos questions, et nous ne pensons pas qu’en vingt ans cela ait changé. Pour nous ces kaons neutres sont comme une forme de tricherie, car on se base sur des particules éphémères n’existant pas réellement pour déduire certaines choses, mais faudrait-il mettre ces expériences en dehors de ces faux vides comme si ils étaient de vrais vides. Essayer de trouver une dissymétrie entre matière et anti-matière par le biais de ces fausses particules éphémères de kaons neutres, nous semble exagéré. Nous ne savons pas ce qu’est notre Monde,et ce qu’il contient, car l’anti-matière brille de la même façon que la matière. Cette anti-matière n’a rien d’étrange, car c’est un noyau négatif et un entourage positif. Donc un modèle simple opposé au notre qui est de la matière, sachant que le notre est sûrement très local. Tous les objets que nous voyons dans le cosmos peuvent êtres aussi bien de matière que d’anti-matière. Il n’y a aucune étrangeté à cela. Ce qui est sûr c’est que nous refusons ce modèle standard avec ses rapports de 2 milliard et un pour un, car c’est de la fantaisie qui n’est qu’un concept parmi d’autres, et nous trouvons cela même grossier que de telles idées soient acceptées par la communauté scientifique. A ce propos si vous avez des raccourcis pour accéder à ce que dit ce modèle standard...
    ▬RÉSFLECTIONS ¦¦
    ▬Dans cette conférence on sent bien la volonté à trouver absolument des causes et des explications pour faire disparaître cette notion d’anti-matière, comme si on avait besoin de justifier la matière restante. Mais nos concepts donnent une autre explication à ces manques, car la matière inclus l’anti-matière, et l’anti-matière inclus la matière, ce qui est en définitive très simple. La raison est que le neutron comme son nom l’indique, est exactement comme ces kaons neutres, c’est à dire équilibré en charge. Mais appartement la nature ne veut pas de cet équilibre, car elle le fait autrement par un système où deux parties sont bien distinctes. Il en va aussi pour ces neutrinos sans charge apparente, et où ces derniers mutent en d’autres neutrinos. Pour nous le proton comme l’anti-proton sont stables car déséquilibrés en charge, et ces éléments sont constitués d’électrons comme de positrons, et où pour le proton il manque un électron se trouvant hors du noyau, et pour l’anti-proton c’est l’inverse car il manque un positron qui se trouve hors du noyau. Il y a donc une très grande facilité à comprendre ce que peuvent être ces protons comme ces anti-protons, car dans un cas on prend un neutron et on élève un électron pour construire un proton, et pour l’anti-proton on enlève du neutron un positron se retrouvant à l’extérieur. Maintenant que la composition du proton ou de l’anti-proton se divise en deux ou trois parties, voir même plus, que l’on appelle des quarks, cela n’a guère d’importance, mais justement quand il y a que deux parties ou deux quarks, il y a forcément équilibre de charge et rend donc la particule composite instable comme ces kaons neutres ne se retrouvant pas dans ce qui existe réellement, et c’est donc contre nature que ces kaons existent.
    ▬Nous vous remercions par ailleurs de la requête donnant une liste d’articles où le mot clef antimatière est donné, cependant cette liste n’est pas exhaustive car la requête commence par rechercher dans l’hémisphère droit du site, et si un article se trouvant sur hémisphère gauche est relié à l’article trouvé, et bien l’article de l’hémisphère gauche ne sera pas donné. Pour ne pas favoriser une recherche par requête sur les deux hémisphère, il faut donner les deux ordres de recherche possibles. Donc rechercher dans l’hémisphère droit, puis dans l’hémisphère gauche, et une deuxième requête donnant un ordre différent en commençant la recherche par l’hémisphère gauche puis l’hémisphère droit. Ce cerveau est bien compliqué, et n’est pas informatisé, c’est pour cela qu’il travaille en parallèle sur des hémisphère différentes, et on peut donc se demander si tout cela est centralisé...
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦04012020¦¦ Nous sommes très pointilleux et sûrement exigeant Monsieur Robert, car l’informatique on connaît un peu, ainsi pour les deux requêtes qui suivent, les résultats seront différents, et pourtant dans la première requête une défini d’abord l’hémisphère droit de recherche puis l’hémisphère gauche, et dans la deuxième requête on inverse les recherches en recherchant d’abord par l’hémisphère gauche puis l’hémisphère droit. Ceci est valable pour une simulation de notre cerveau, mais dans la réalité de notre cerveau, nous ne savons absolument pas comment on retrouve des choses et quel hémisphère à trouvée ces choses.
    ▬D’abord l’hémisphère droit puis le gauche en recherche ¦¦
    https://www.google.fr/search?hl=fr&q=antimatir%C3%A8e+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.fr+OR+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.org&btnG=Recherche&meta=&gws_rd=ssl
    ▬D’abord l’hémisphère gauche puis droit en recherche ¦¦
    https://www.google.fr/search?hl=fr&q=antimatir%C3%A8e+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.org+OR+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.fr&btnG=Recherche&meta=&gws_rd=ssl
    ▬Cela n’est même d’être pointilleux comme on le dit, mais les nombres d’articles trouvés sont différents. Ce que l’on peut dire c’est que le cerveau n’est pas un ordinateur, même si l’ordinateur peut donner des surprises.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦05012020¦¦Afin d’être concis ¦¦ Que pensez vous des neutrons/protons/anti-protons à Électrons/Positrons Ɂ Ɂ Ɂ Trois points d’interrogations car 3 particules élémentaires ‼‼ Nous allons lire votre lire ici...
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • JFP¦¦06012020¦¦Merci pour les retours, mais nous avons été tellement concis que dans notre phrase il manque des mots, donc nous réitérons notre question ¦¦ Que pensez vous des neutrons/protons/anti-protons constitués avec des Électrons/Positrons Ɂ Ɂ Ɂ Ceci veut dire que les quarks sont des assemblages d’électrons et de positrons... Qu’en pensez vous Ɂ Ɂ Ɂ
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François POULIQUEN

  • L’absence de symétrie entre la matière et l’antimatière est démontrée…

    L’expérience T2K au Japon a permis de montrer une différence cruciale entre la matière et l’antimatière. Alors qu’elles ont été toutes deux produites lors du Big bang en quantité égale, il y a aujourd’hui bien plus de matière que d’antimatière. Pour quelle raison ? Eh bien cette asymétrie reste un mystère. L’expérience T2K l’éclaire néanmoins d’un jour nouveau en mettant en évidence la capacité des neutrinos (une particule élémentaire) à osciller, c’est-à-dire à passer d’un type à un autre (il en existe trois : neutrinos électroniques, muoniques et tauiques). Seulement, les neutrinos oscillent plus fréquemment que les antineutrinos. Une différence qui pourrait expliquer pourquoi la matière domine l’antimatière aujourd’hui.

    https://www.sciencesetavenir.fr/espace/astrophysique/l-antimatiere-se-revele-un-peu-plus_143657

  • ▬JFP¦¦20210531¦¦Bonjour cher toto.
    ▬Personnellement je pense que cette notion d’anti-matière est disparue de notre univers, car elle fait partie intégrante de la matière. Qu’est-ce que la matière ? Un moins autour d’un plus, ou des moins autour des plus centrés. Il y avait une chance sur deux pour être dans ce modèle plutôt que l’inverse, c’est à dire un plus autour d’un moins, ou des plus autour de moins groupés qu’est le noyau. Dans un environnement où c’est le moins qui est autour du noyau plus, il n’y a pas que cet ensemble formant l’atome, mais aussi d’autres notions participant à cet équilibre. Quand on créer des atomes d’anti-matière ou anti-particules, il faut absolument que l’environnement de la matière ne soit pas présente, pour que ces anti-particules puissent durer, c’est bien ce qui est le plus difficile. Personnellement i n’y a pas de dysmétrie entre matière et anti-matière, mais une disposition des charges structurées différemment. Parler d’anti-neutron est moi une absurdité, car toutes les particules sans charge apparente, sont chargées en égalité de plus et de moins. En allant encore plus loin, je dirais que l’électron possède des charges positives, mais les charges négatives l’emportent sur l’ensemble de la particule. Il en va pour le proton, où ce dernier à aussi des charges négatives, mais un excédant de charges positives. Les particules n’ayant pas de charges, sont pour ma part, des particules en équilibre de charge positive et négative, c’est à dire qu’une particule neutre en charge, n’est qu’une apparence. Je considère que l’anti-matière n’a absolument pas disparue, car elle fait partie intégrante de la matériel. Parler d’anti-neutrinos me parait curieux, car déjà tester ces particules est très difficile, et de pouvoir créer leur anti me semble impossible. Si nous savons que toutes les planètes du système solaire sont fait de matière et non d’anti-matière, pour des exoplanètes tournant par rapport à d’autres étoiles nous en savons rien. Pire encore, car si il est possible qu’il existe des galaxies entière fait de matière, mais rien n’empêche de croire que les galaxies aussi entières soient en réalité fait d’anti-matière. Les lumières venant d’étoiles ou d’anti-étoiles donneraient les mêmes lumières, car je ne pense pas qu’il existe des anti-photons.
    Donc mon cher toto, chaque personne à le droit de croire en se qu’il pense et imagine, dans la mesure où actuellement on ne sait pas pourquoi tel modèle à pris plutôt que l’autre, en considérant que rien à disparu, car la quantité de départ est la même que celle actuellement après 13, 8 milliard d’années. A chacun son modèle et son imagination.
    ▬Les jumeaux JFP/Jean-François Pouliquen

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.