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L’actualité est volcanique !!!

mercredi 20 novembre 2013, par Robert Paris

Volcans en activité

L’actualité est volcanique !!!

Dans un laps de temps très court (août-novembre 2013), on a assisté aux événements suivants :

 En Italie, l’Etna est entré en éruption en Sicile. On a appris d’autre part que ce qui apparaît comme une mini-éruption, s’est produit récemment près de l’aéroport de Rome. Un petit cratère s’est formé au milieu d’un carrefour giratoire à moins de 800 mètres de l’extrémité d’une piste. Il émet du dioxyde de carbone, de l’hydrogène sulfuré et du méthane. On sait qu’en Italie le volcanisme est présent depuis Viterbe et les Colli Albani - à 20 km au SE de la capitale et dont la dernière activité remonte à 17.000 ans1 – jusqu’à la Sicile.

 En Indonésie, deux volcans sont en éruption. Un des plus dangereux volcans au monde, le Mérapi, est entré en éruption, lundi 18 novembre, en Indonésie, tandis qu’un autre continuait à cracher des panaches de cendres pouvant atteindre jusqu’à 8 kilomètres d’altitude. Parallèlement, l’éruption du Sinabung (2 460 mètres), situé dans le nord de l’île de Sumatra (nord-ouest), se poursuit depuis mi-septembre.

 En Russie, dans le Kamchatka, en octobre dernier, les deux volcans russes Chiveloutch et Klioutchevskoï sont entrés en éruption, crachant d’importantes quantités de lave et de cendres. Des évènements auxquels a assistés le photographe et biologiste britannique Richard Roscoe. Toujours en Russie, le volcan Shiveluch a connu une émission de laves volcaniques importantes. Il y a plus de 150 volcans du Kamtchatka, et jusqu’à 30 d’entre eux sont actifs ; Shiveluch et Chirinkotan ont tous deux avaient marqué des augmentations dans les cendres et de vapeur au cours des dernières 24 heures.

 Les autorités d’Equateur font état de l’évacuation de 200 personnes des régions montagneuses autour du volcan Tungurahua suite à l’émission de lave et de cendres.

 Un volcan en activité a été découvert sous la glace de l’Antarctique. Les enregistrements réalisés suggèrent qu’il pourrait entrer en éruption. A l’origine de cette découverte, il y a la détection en 2010 et 2011 de deux « essaims sismiques », enregistrés à 55 km au sud du Executive Committee Range, une chaîne montagneuse constituée elle-même de 5 volcans. Qu’est-ce qu’un essaim sismique ? Il s’agit d’un épisode au cours duquel une activité sismique est générée en un lieu précis, pendant plusieurs semaines ou même plusieurs mois, et qui se manifeste par une succession de secousses de magnitudes variées sans que l’on puisse déterminer avec certitude quand la magnitude maximale est atteinte.

 Le plus grand volcan du monde a été découvert sous le Pacifique. William Sager de l’Université A & M au Texas et ses collègues viennent de montrer que le mont Tamu, un plateau océanique long de 650 kilomètres et large de 450 situé à quelque 1 500 kilomètres à l’Est du Japon, a été créé par un unique volcan, l’un des plus grands du Système solaire.

 Au Chili, le volcan Copahue
s’est mis à émettre massivement des gaz.

 En RDC Congo, le chef de projet de l’UNOPS au Nord-Kivu, Dario Tedesco craint que la prochaine éruption du volcan Nyiragongo puisse commencer directement dans la ville de Goma, chef-lieu de la province. Il a déclaré, vendredi 8 novembre à Radio Okapi, que ce volcan est toujours actif et contient un lac permanent de lave qui, depuis 2002, est monté de 600 m. « On a plusieurs millions de mètre cube de lave à l’intérieur. A partir de ce volume de lave, en imaginant les éruptions de 2002 et 1977, la lave atteindrait, s’il y a éruption, la ville de Goma. C’est hyper dangereux », a prévenu Dario Tedesco, indiquant qu’une telle catastrophe serait « la plus grande du siècle ».

 En Espagne, le volcan sous-marin El-Hierro s’est mis à émettre des masses de CO² et augmente la température des eaux.

 Les Philippines comptent deux des plus puissants volcans du monde, potentiellement menaçants : le Mont Pinatubo (1486 m), situé dans l’île de Luçon (au nord), à moins d’une centaine de kilomètres de Manille, et responsable d’une éruption cataclysmique en avril 1991. Et le célèbre mont Mayon (2462 m), situé au sud de l’île de Luçon, dont le cône presque parfait le fait comparer au mont Fuji (Japon) : il est actuellement en éruption.

 En Equateur, le volcan Reventador connaît en ce moment une activité importante.

 Le volcan Vestmannaeyjar d’Islande émet du magma.

 Au Mexique, le volcan Colima est à nouveau en activité avec émissions de laves incandescentes…

 L’activité sismique a augmenté dans le volcan Popocateptl près de Mexico, incitant les autorités à émettre des alertes dans des villes de deux États du centre du pays et dans la capitale.
Selon les responsables du Centre national de prévention des désastres du Mexique, le volcan au sommet blanc a laissé échapper un nuage de vapeur à une hauteur d’un kilomètre. Des secousses ont retenti samedi soir, et le volcan a occasionnellement expulsé de rougeoyantes roches au-dessus du cratère.
Le gouvernement a déployé des soldats et des officiers de la police fédérale, dimanche, en prévision d’une plus importante éruption. Les officiels ont également ceinturé un territoire de 18 kilomètres carrés autour du volcan dont la hauteur s’établit à 5450 mètres. Les autorités ont préparé des refuges.
Le volcan Popocatepetl a été le théâtre de petites éruptions de cendre à un rythme presque quotidien depuis le début d’une ronde d’activité sismique, en 1994. Les éruptions ont commencé à prendre de la vigueur il y a deux semaines et ont même augmenté au cours du week-end.

 Plusieurs tremblements de terre se sont produits, au Nord-Ouest du Mont Saint Helens, État de Washington, le 23 Août 2013, et ont constitué un mini-essaim séismique qui, en première apparence, l’activité sismique attachée au volcan se situant à un niveau basal normal, ne seraient pas liés à une activité volcanique. Les trois derniers tremblements de terre ont eu, le premier, à 06 h 08, heure locale, une magnitude locale de 3.4 sur l’échelle ouverte de Richter, le second, à 14 h 38, une magnitude de 3.7 et le troisième, à 18 h 12, de magnitude 3.1, selon l’United States Geological Survey, - l’USGS -.
La zone épicentrale, de ces séismes, se localise à environ 18 kilomètres au Nord-Ouest du Mont Saint Helens, avec une profondeur focale d’environ 13 kilomètres. L’USGS les classifie d’origine tectonique car ce type de tremblement de terre en essaim est fréquent dans les régions autour des volcans Mont Saint Helens et Mont Hood d’autant que, parallèlement, un autre mini-essaim séismique a frappé, a environ 10 kilomètres, au Sud-Ouest de Mont Hood, au Nord de l’État de l’Oregon.

 Le volcan Fuego, dans le centre du Guatemala, a commencé à cracher de la lave et des colonnes de cendres dans les airs, et les autorités ont augmenté le niveau d’alerte dans la région. Le volcan surplombe la ville touristique d’Antigua et est l’un des volcans les plus actifs de l’Amérique centrale. L’Institut guatémaltèque de la séismologie, de la vulcanologie, de la météorologie et de l’hydrologie a indiqué samedi par voie de communiqué que le volcan avait craché de la cendre à 5000 mètres dans les airs. Les écoulements de lave ont atteint une longueur d’un kilomètre.

La liste des événements récents en environ trois mois donne à réfléchir.

La suite

Les volcans actuellement en activité sur la planète

La moyenne des éruptions par année est de 60. En un seul jour, il y en a eu 34. Donc, plus de 6 mois d’éruptions en un seul jour.

A remarquer que les climatologues accusent les volcans de diminuer le réchauffement planétaire mais omettent l’idée inverse que l’augmentation de la température globale puisse être due non à l’effet de serre mais à la diminution du volcanisme dans les décennies précédentes...

Messages

  • Dimanche 18 août 2013, le volcan Sakurajima a explosé. Son panache a atteint 5 km de haut, ce qui fait de cette éruption la plus importante depuis 2006, c’est-à-dire depuis que le volcan est surveillé par la Japan Meteorological Agency.

  • Científicos estadounidenses que elaboraban un estudio sobre la capa de hielo de la Antártida, hallaron por casualidad un nuevo volcán que se está formando bajo una capa helada de un kilómetro de espesor.

    Desde enero de 2010 este equipo ha estudiado la zona con instrumentos necesarios para poder detectar terremotos distantes y obtener imágenes del hielo y de las rocas situadas en las profundidades del continente helado. Su intención es medir la capa de hielo para ayudar a reconstruir la historia climática de la Antártida. Sin embargo su investigación les llevó a detectar algo que no esperaban.

    El software automatizado de detección de eventos se puso a trabajar para peinar los datos para cualquier cosa inusual, detectando dos ráfagas de eventos sísmicos entre enero de 2010 y marzo de 2011. Al buscar las razones de estas sacudidas, los investigadores hallaron un nuevo volcán que se estaba formando bajo el hielo.

    Los autores del descubrimiento, que ha sido publicado en Nature Geoscience, han explicado que los acontecimientos sísmicos detectados se habían producido "en el mismo lugar", un hecho "extraño". "Entonces nos dimos cuenta de que estaban cerca de algunas montañas, pero no justo encima de ellas", han apuntado.

  • Des chercheurs de Institut d’études géologiques des Etats-Unis ont récemment découvert 12 nouveaux volcans et reclasser 25 cratères et coulées de laves identifiés auparavant au Sud-Est de l’Alaska. Cachés à l’abri des côtes et enveloppés par les forêts luxuriantes du Sud-Est de l’Alaska, une douzaine de volcans semblent avoir échappé à la vigilance des scientifiques. Il aura fallu pas moins de trois ans d’études acharnées pour les déceler et reclasser ainsi 25 cratères et coulées de laves identifiés auparavant sur des îles et des fjords. Les travaux de recherche ont été coordonnés par une équipe de chercheurs de Institut d’études géologiques des Etats-Unis et du Service des forêts des Etats-Unis. De manière générale, le Sud-Est de l’Alaska s’apparente à une bande côtière particulièrement étroite qui se poursuit jusqu’au territoire canadien. Les volcans retrouvés dans cette région sont minuscules comparés aux statovolcans situés au niveau de la chaine aléoutienne, à l’Ouest du territoire. Ils représentent par ailleurs une classe complètement à part, selon les géologues. Une caractéristique chimique identifiée par les scientifiques dans la lave permet toutefois de les relier à un massif volcanique situé au Canada.

  • Guatemala - Volcan Fuego : hausse de l’activité éruptive

    Alors que l’édifice maintenait depuis au moins deux semaines une activité effusive continue, alimentant deux coulées de lave, l’INSIVUMEH fait part, dans un bulletin spécial, de la mise en place d’écoulements pyroclastiques.

    Cette nouvelle phase éruptive a débuté le 2 septembre 2013 vers 06h00 du matin.

  • Une nouvelle petite île encore fumante a été découverte mercredi après-midi dans l’océan Pacifique à un millier de kilomètres au sud de Tokyo, selon d’étonnantes images diffusées par les autorités japonaises.

    L’émergence de cet îlot de 200 mètres de diamètre est due à une intense activité volcanique. Située au sud-sud-est de l’île volcanique inhabitée Nishinoshima du petit archipel Ogasawara, elle a été aperçue pour la première fois mercredi à 16H17 par un avion des garde-côtes.

    "L"éruption volcanique se poursuit toujours", ont expliqué ces derniers qui ont filmé l’îlot.

    C’est la première fois que cela se produit dans cette zone depuis 40 ans. En septembre 1973 était apparue une nouvelle île appelée Shinshima-Nishinoshima qui a en grande partie été mangée par les vagues depuis mais dont il reste encore un bout aujourd’hui.

  • In Kamtchatka, the Tolbachik volcano began to erupt on November 27, 2012. Volcanologists did not predict this increased activity in advance. It was the seismic sensors located at the foot of the giant that alerted the scientists that something was happening under Tolbachik. Experts could confirm their suspicions only a few days later, when the clouds dispersed. During this time, a flow of red-hot lava came within about 15 kilometers (9 miles) of Kozyrevsk village.

  • The magma reservoir under the Yellowstone National Park is 50 miles (80km) long and 12 miles (20km) wide : more than two and a half times larger than expected. Nature describes the reservoir as "a 4,000 cubic kilometer underground sponge," between six and eight percent of it filled with molten rock.

    Nature reports the imaged magma blob is three to six miles below the earth’s crust, and separated from the surface by "cooler and more brittle" rocks that fracture easily under geomorphic pressure. Postdoctoral researcher at the University of Utah Jamie Farrell made the discovery after studying data recorded from more than 4,500 earthquakes. Yellowstone is one of the world’s most geologically active places : Farrell and his Utah team noted small quakes occurring "as often as every few seconds."

  • Stromboli (Eolian Islands, Italy) : Activity has remained similar since our previous visit 9 days ago : most activity is at the NW crater (towards Ginostra), where 3 vents are active and produce mild to strong strombolian explosions (to heights of up to 250 m approx) at rates of one every 5 minutes approximately, mostly from the eastern vent and sometimes from the tall hornito to the north. The eastern vent also shows weak spattering and continuous glow, suggesting a high magma level within its conduit.

  • Klyuchevskoy (Kamchatka) : The eruption seems to have ended. No more lava flows or strombolian explosions were seen during the past days.
    KVERT reports moderate seismic activity of the volcano and strong degassing at the summit.

    Karymsky (Kamchatka) : A volcanic ash plume was observed yesterday at 10,000 ft (3 km) altitude, indicating a likely explosion of moderate size had occurred earlier. The volcano has been in a state of intermittent strombolian to vulcanian explosive activity for years.

    Shiveluch (Kamchatka) : Extrusion of viscous lava at the dome continues to feed at least 2 thick lava flows on the SW, NW and NE slopes. Two larger partial dome collapses occurred yesterday, producing pyroclastic flows and ash plumes that rose to altitudes of 23,000 ft (7 km).

    Sakurajima (Kyushu, Japan) : Since the larger explosions on 27 Oct, the volcano has been a bit calmer with on average 2 explosions per day ejecting ash plumes to 7-10,000 ft (2-3 km) altitude.

    Sinabung (Sumatra, Indonesia) : Explosive activity from the summit crater continued to occur intermittently. At 16:00 on 31 Oct, an explosion produced a small ash plume and an avalanche of blocks on the ESE flank that traveled about 800 m down the flank. Other explosions were reported to have occurred during the night 31 Oct-1 Nov at 23:17 and 23:30 (local time).

    Popocatépetl (Central Mexico) : No significant change in activity have occurred recently. The volcano produces frequent (on average 3 per hour) steam and sometimes small ash emissions / explosions and continues to show weak crater glow at night.

    Santa María / Santiaguito (Guatemala) : In recent days the eruptive activity has increased, in particular towards more effusive activity. The Caliente lava dome produced a higher rate of lava extrusion at the edges of the dome and explosions at a rate of approx. one per hour with ash plumes of up to 500 m drifting in westerly directions.
    The volcano observatory warns that rapid accumulation of fresh deposits (lava flows and tephra) the risk of pyroclastic flows generated on the steep flanks of the dome is elevated, mainly on the east, south and western flanks.

    Pacaya (Guatemala) : Mild to moderate strombolian activity with ejections of incandescent lava to heights of 50-100 m above the Mackenney crater continues.

    Fuego (Guatemala) : Weak to moderate strombolian activity at the summit craters continues with little changes. Ash plumes rose to up to 500 m above the crater and drifted about 10 km in westerly directions, where light ash falls occurred in San Pedro Yepocapa and the villages of Sangre de Cristo, Morelia, Panimaché. The stronger explosions produce often loud rumblings and incandescent avalanches on the upper slopes.

    Reventador (Ecuador) : Sporadic explosions of small to moderate size continue to occur at the summit vent. A pilot observed an ash plume at 22,000 ft (6.7 km) altitude last night.

    Tungurahua (Ecuador) : Activity is at moderate levels, characterized by relatively infrequent and small ash explosions.
    During early October, strombolian activity had increased and explosions have become more frequent (60-100 per day) and ash-rich, sometimes accompanied by loud shock waves. Between 20 and 23 October, activity started to decrease to 20-35 explosions per day with steam and ash columns 2-3 km high, drifting mainly to westerly directions and causing fine ash fall in Palitagua, Chogluntús, El Manzano, Penipe, and Riobamba .
    Deflation was recorded in late October, interpreted as the result of degassing and depressurization caused by the numerous explosions. IGPEN is not certain whether the decrease in activity during late Oct is a signal that the eruptive phase is ending or whether it will increase again in the near future.

    Jebel Zubair (Red Sea) : A new island has emerged in late Oct at the submarine eruption site, but the exact date is currently not known. At the moment, satellite images do not allow to determine whether eruptive activity at the island continues, but suggest that it is currently low or has stopped. If any, it might be strombolian or the effusion of small lava flows. The last ash /steam plume was spotted a MODIS satellite image on 30 Oct.

  • Currently erupting :

    Ambrym (Vanuatu) : active lava lakes in several craters (updated 16 Sep 2013)

    Bagana (Bougainville Island, Papua New Guinea) : ash explosions (updated 3 Oct 2013)

    Barren Island (Indian Ocean) : new eruption in mid October 2013 (updated 17 Oct 2013)

    Batu Tara (Sunda Islands, Indonesia) : strombolian explosions, ash plumes up to 500 m, extrusion of a small lava dome with rockfalls (updated 10 Oct 2013)

    Chirinkotan (Northern Kuriles) : unspecified activity - possibly lava flows (updated 2 Sep 2013)

    Cleveland (Aleutian Islands, Alaska) : continuous small eruptions (updated 6 May 2013)

    Colima (Western Mexico) : lava flow on upper eastern flank (updated 19 Jul 2013)

    Dukono (Halmahera) : thermal anomaly, probably small explosive activity in summit crater (updated 23 Oct 2013)

    Erebus (Antarctica) : active lava lake in summit crater (updated 21 Jan 2012)

    Erta Ale (Ethiopia) : active lava lake in northern pit crater, active hornito with intermittend flow in southern crater (updated 11 Jan 2013)

    Etna (Sicily, Italy) : paroxysm at New SE crater on 26 Oct 13 (updated 26 Oct 2013)

    Fuego (Guatemala) : lava flow on upper southern flank, small to moderate explosions (updated 3 Nov 2013)

    Ibu (Halmahera, Indonesia) : growing lava dome, seismic unrest (updated 23 Oct 2013)

    Jebel Zubair (Red Sea) : submarine eruption started 28 Sep 2013 (updated 3 Nov 2013)

    Karymsky (Kamchatka) : occasional small explosions, thermal anomaly (updated 3 Nov 2013)

    Kilauea (Hawai’i) : lava lakes in Halemau’uma’u and Pu’u ’O’o, lava flows on coastal flat and weakly active ocean entries (updated 13 Aug 2013)

    Kizimen (Kamchatka) : growing lava dome and incandescent rock avalanches (updated 15 Oct 2013)

    Marapi (Western Sumatra, Indonesia) : occasional weak explosions (updated 14 Aug 2013)

    Nyiragongo (DRCongo) : active lava lake in summit crater (updated 12 Jun 2013)

    Ol Doinyo Lengai (Tanzania) : effusion of natrocarbonatite lava inside the crater (updated 8 Jul 2013)

    Pacaya (Guatemala) : strombolian activity and lava flow (updated 3 Nov 2013)

    Paluweh (off Flores Island, Indonesia) : active growing lava dome (updated 12 Aug 2013)

    Rabaul (Tavurvur) (New Britain, Papua New Guinea) : explosions and ash emissions (updated 1 Oct 2013)

    Reventador (Ecuador) : ash explosions, occasional pyroclastic flows (updated 3 Nov 2013)
    Sakurajima (Kyushu, Japan) : constant ash emissions and strong explosions (updated 3 Nov 2013)

    Santa María / Santiaguito (Guatemala) : Santiaguito volcano (Guatemala) : lava flow on south flank of dome becomes more active (updated 3 Nov 2013)

    Semeru (East Java, Indonesia) : growing lava dome, ash venting and small to moderate explosions (updated 18 Oct 2013)

    Shiveluch (Kamchatka) : slow dome growth, occasional explosions and pyroclastic flows (updated 3 Nov 2013)

    Sinabung (Sumatra, Indonesia) : ash emissions and explosions (updated 3 Nov 2013)

    Stromboli (Eolian Islands, Italy) : continuing lava overflows (updated 3 Nov 2013)

    Suwanose-jima (Ryukyu Islands) : Mt Ontake volcano of Suwanose-jima Island, Japan (updated 12 Sep 2013)

    Telica (Nicaragua) : normal (low) seismic activity (updated 26 Sep 2013)

    Tungurahua (Ecuador) : strombolian activity, strong ash emissions (updated 3 Nov 2013)

    Ulawun (New Britain, Papua New Guinea) : steaming, degassing (updated 1 Oct 2013)

    Yasur (Tanna Island, Vanuatu) : strong strombolian activity (level 3), crater currently closed (updated 10 Sep 2013)

    Zhupanovsky (Kamchatka, Russia) : new explosive activity since 23 Oct (updated 24 Oct 2013)

    Bezymianny (Central Kamchatka Depression) : slow lava flow extrusion from dome (updated 13 Oct 2013)

    Chirpoi (Kurile Islands, Russia) : hot spot visible on satellite imagery (updated 14 Oct 2013)
    Dieng (Central Java) : increased degassing (updated 28 Mar 2013)

    Heard (Australia, Southern Indian Ocean) : likely lava lake in summit crater (updated 3 Oct 2013)

    Iliwerung (Lesser Sunda Islands) : possible submarine eruption from Mt Hobal on 20 August (updated 20 Aug 2013)

    Karangetang (Siau Island, Sangihe Islands, Indonesia) : lava extrusion at summit crater, strombolian activity, glowing avalanches (updated 4 Sep 2013)

    Kerinci (Sumatra) : occasional ash explosions (updated 5 Jun 2013)

    Ketoi (Kurile Islands, Russia)

    Kirishima (Kyushu) : degassing, slightly increased seismic activity (updated 30 Jul 2012)

    Langila (New Britain, Papua New Guinea) : occasional ash explosions (updated 24 Oct 2013)

    Lokon-Empung (North Sulawesi, Indonesia) : small explosions, lava flow ? (updated 24 Sep 2013)

    Manam (Papua New Guinea) : occasional explosions (updated 12 Sep 2013)

    Merapi (Central Java) : moderate gas and ash plume on 22 july (updated 3 Oct 2013)

    Nevado del Ruiz (Colombia) : seismic unrest (updated 7 Oct 2013)

    Papandayan (West Java) : strong hydrothermal activity, increased seismicity (updated 6 May 2013)

    Poas (Costa Rica) : occasional small phreatic explosions from lake (updated 22 Aug 2013)

    Popocatépetl (Central Mexico) : steam/gas/ash emissions (updated 3 Nov 2013)

    Raung (East Java) : strombolian activity in summit crater (updated 5 Aug 2013)

    Tangkubanparahu (West Java) : occasional phreatic explosions (updated 15 Oct 2013)

    Turrialba (Costa Rica) : ash venting, strong degassing (updated 24 Jul 2013)

    White Island (New Zealand) : strong degassing, volcanic tremor (updated 13 Oct 2013)

  • Des sismologues américains auraient découvert un nouveau volcan en activité sous la calotte glacée de l’Antarctique ouest. Selon leurs estimations, il n’est pas impossible qu’il entre un jour en éruption et que sa chaleur accélère la fonte des glaces de la région.

    La Terre Marie Byrd, située dans l’ouest du continent Antarctique, est la seule région au monde à ne compter ni gouvernement ni habitant. Il faut dire que cette région est plutôt inhospitalière. Elle est même si isolée qu’aucun État n’en a jamais revendiqué la souveraineté. Cette région pour le moins inconnue est pourtant l’objet de l’attention des sismologues qui y ont fait une découverte tout à fait inattendue. Là, sous la glace, se cache un volcan vraisemblablement en activité.

    La découverte a été réalisée par hasard grâce aux instruments installés au cours des six dernières années dans la région. Ce réseau de sismographes a capté à deux reprises, en janvier 2010 et mars 2011, une série de tremblements dans la Terre Marie Byrd. Des évènements qui ont intrigué des chercheurs de la Washington University de St. Louis. "J’ai commencé à voir des évènements qui se produisaient toujours au même endroit, ce qui était étrange", explique dans un communiqué, Amanda Lough qui a dirigé l’équipe.

    Les secousses sismiques ont été enregistrées entre 25 et 40 km de profondeur et à 55 km au sud du Executive Committee Range, une chaîne montagneuse. Pour expliquer ces phénomènes, diverses hypothèses ont alors été évoquées : des roches grinçant sous les roches, de la glace gémissant sous la glace, des gaz ou des liquides se frayant un chemin à travers des fractures. Il ne pouvait en tous les cas pas s’agir d’un séisme puisque les secousses montraient une faible fréquence.

  • Un volcan dans l’ouest de l’Indonésie en éruption depuis plusieurs mois a explosé à neuf reprises dans la nuit du lundi 30 au mardi 31 décembre, projetant des gerbes de lave et obligeant des milliers d’habitants à fuir. Le Sinabung, situé dans le nord de l’île de Sumatra, est entré en éruption depuis mi-septembre. Il a rejeté au cours des dernières heures des roches incandescentes et de la cendre à plus de 7 000 mètres de hauteur.

    « Le Sinabung reste au niveau d’alerte maximal et nous avons prévenu qu’aucune présence humaine ne devrait se trouver dans un rayon de cinq kilomètres autour du cratère », a déclaré le porte-parole de l’agence chargée de la prévention des catastrophes naturelles. « Lundi soir, 19 126 personnes avaient fui leurs habitations et nous pensons que ce chiffre va continuer à augmenter », a précisé Sutopo Purwo Nugroho.

    Le Sinabung, qui était endormi depuis près d’un siècle, s’était déjà réveillé en août dernier et en septembre 2010. L’archipel indonésien, situé sur la « ceinture de feu » du Pacifique, est le pays comptant le plus de volcans en activité au monde. Le Merapi, sur l’île centrale de Java, avait provoqué la mort de 350 personnes fin 2010.

  • Les autorités salvadoriennes poursuivaient, mercredi 1er janvier, l’évacuation de centaines de personnes vivant aux abords du volcan Chaparrastique, dans l’est du Salvador, qui continue depuis son entrée en éruption dimanche d’émettre des gaz toxiques.

    Le vice-ministre de la santé, Eduardo Espinoza, a souligné au cours d’une conférence de presse à San Salvador le danger constitué par l’inhalation de dioxyde de carbone ou de dioxyde de soufre. Il a critiqué la réticence des populations à évacuer la zone dangereuse entourant le volcan, haut de 2 130 mètres et situé dans le département de San Miguel, à 140 kilomètres à l’est de la capitale salvadorienne.

    « Le dioxyde de carbone est incolore et inodore, les gens ne peuvent pas le percevoir, et si de grandes quantités en sont produites et restent sur place, les gens peuvent mourir bêtement », a déclaré le vice-ministre. Quant au dioxyde de soufre, « il peut causer des brûlures lorsqu’on en respire », a dit M. Espinoza.

  • Plus de 2 200 personnes ont été évacuées dimanche par les autorités après l’éruption du Chaparrastique, la première de cette ampleur depuis plus de trente ans. Mais seules 200 d’entre elles se trouvaient encore dans les hébergements provisoires où elles avaient été accueillies, toutes les autres étant rentrées chez elles pour célébrer le Nouvel An.

    Les émanations de gaz toxiques étant en forte augmentation, le chef de la défense civile, Jorge Melendez, a décidé mardi soir une nouvelle évacuation. Plus de 1 500 personnes se trouvaient mercredi dans les hébergements provisoires et ce chiffre devait augmenter dans les heures suivantes. L’éruption de dimanche, qui n’a fait ni victimes ni dégâts importants, a produit une colonne de gaz et de cendres qui s’est élevée à plus de 5 000 mètres dans les airs, et les autorités salvadoriennes ont annulé des dizaines de vols. Des débris sont retombés dans un rayon de 10 kilomètres autour du volcan.

    Situé sur la ceinture de feu du Pacifique, zone à forte activité sismique et volcanique, le Chaparrastique est le plus actif des 23 volcans que compte le Salvador, avec au moins 20 éruptions dans les trois cents dernières années.

  • Un nouveau volcan actif découvert sous la glace de l’Antarctique

    A l’Ouest du continent Antarctique s’étend le Executive Committee Range, une grande chaîne montagneuse constituée de 5 volcans. Or, au sud de cette chaîne montagneuse, un volcan actif gît très probablement sous l’épaisse couche de glace, à quelques 25 à 40 km de profondeur.

    C’est en tout cas ce qu’affirment des scientifiques américains, qui ont publié leurs conclusions le 17 novembre 2013 dans la revue Nature Geoscience, sous le titre « Seismic detection of an active subglacial magmatic complex in Marie Byrd Land, Antarctica ».

    A l’origine de ces conclusions, il y a la détection en 2010 et 2011 de deux « essaims sismiques », enregistrés à 55 km au sud du Executive Committee Range. Un essaim sismique ? C’est un épisode au cours duquel une activité sismique est produite en un même lieu durant plusieurs semaines, et qui se caractérise par une série de secousses de magnitudes variées, sans que le moment où la magnitude maximale est atteinte ne puisse être déterminé avec précision.

    Or, selon la sismologue Amanda Lough (Université de Washington de St. Louis, Etats-Unis) et ses collègues, une telle activité sismique ne peut qu’indiquer la présence d’un volcan actif. En effet, ces phénomènes sismiques se produisent généralement sous les volcans en activité, générés par l’activité magmatique de ces derniers.

    Et ce n’est pas tout. Car selon les sismologues américains, les grondements actuellement produits par ce volcan enfoui sous la glace pourraient même annoncer la venue prochaine d’une éruption, sans toutefois que cette dernière puisse être datée.

    Que se passerait-il en cas d’éruption ? Si les scientifiques excluent la possibilité que l’épaisse couche de glace située au-dessus du volcan fonde intégralement, ils indiquent en revanche que cela pourrait entraîner la fonte de la base de cette couche de glace. Ce qui pourrait alors avoir un impact important sur le mécanisme de fonte de la glace actuellement en cours en Antarctique. Et possiblement, un effet sur le niveau de l’océan (sur ce point toutefois, il semble que les avis divergent : des scientifiques n’ayant pas participé à l’étude, comme le glaciologue Robert Bindschadle, ont en effet indiqué que cet effet serait probablement très faible).

    Notons enfin que d’autres volcans en activité ont déjà été découverts en Antarctique. L’un des plus célèbres est le Mont Erebus, situé sur l’Ile de Ross. Plus récemment, des travaux publiés en 2008 par le British Antarctic Survey avaient révélé l’existence d’un volcan actif suglaciaire (situé sous la glace), qui aurait même connu une éruption il y a quelques 2000 ans de cela (lire « First subglacial eruption found in Antarctica » sur le site du New Scientist).

  • Les autorités équatoriennes ont déclaré l’état d’alerte autour du volcan Tungurahua, situé dans le centre du pays, et décidé d’évacuer plusieurs centaines d’habitants de villages environnants.

    Le Service national de gestion des risques (SNGR) a annoncé samedi 1er février au avoir décrété dans certaines zones l’alerte orange, dernier niveau avant l’alerte rouge, le degré maximum, après de nouvelles éruptions du volcan qui culmine à 5.029 mètres d’altitude dans la cordillère des Andes, à 135 km au sud de Quito.

    Les services d’urgence ont également annoncé sur les réseaux sociaux avoir évacué avec l’aide de la police "tous les habitants" des localités voisines de Chacauco et Bilbao. Le SNGR a précisé que l’activité du volcan était "élevée" samedi soir, avec d’importantes émissions de cendres dans certaines localités et des projections incandescentes ayant provoqué la fermeture de plusieurs routes.

  • Au moins quatorze personnes ont été tuées ce samedi 1er février lors d’une spectaculaire éruption du volcan Sinabung, sur l’île de Sumatra, dans l’ouest de l’Indonésie. Elles ont été englouties par les nuages de cendres brûlants.

    Des cadavres couverts de cendres gisaient au bord d’une route à seulement 2,7 kilomètres du cratère alors que des secouristes portant des masques de protection luttent contre l’épaisse fumée pour les atteindre.

    Les autorités craignent que le bilan s’alourdisse. En raison d’une forte teneur en gaz mortels et de la chaleur du nuage craché par le volcan, les opérations de recherche et de sauvetage ont dû être interrompues, selon des responsables locaux. "Nous pensons qu’il y a plus de victimes, mais on ne peut les récupérer parce qu’elles se trouvent dans la trajectoire du nuage (de cendres) brûlant", a déclaré Sutopo Purwo Nugroho, le porte-parole de l’Agence nationale de gestion des catastrophes.

  • Des roches incandescentes dévalent les flancs du volcan Chiveloutch situé dans la péninsule du Kamtchatka (Extrême-Orient russe).

    Le regain d’activité de ce géant de quelque 3000 mètres d’altitude a commencé en mai 2009.

    Le volcan projette périodiquement des colonnes de cendres de 5 kilomètres d’altitude. Actuellement, l’éruption du volcan ne présente pas de danger pour les localités avoisinantes, bien que la menace soit grave pour l’aviation. Les cendres peuvent aussi provoquer une intoxication des hommes et des animaux. Il a été recommandé aux touristes et sportifs de ne pas se rendre dans les environs du Chiveloutch. T

  • Oui, ces activités peuvent n’avoir rien avoir entre elles. Mais elles peuvent aussi rappeler que l’activité sismique a des périodes qui dépendent de la dynamique du noyau, laquelle n’est pas constante.

  • L’Indonésie a ordonné, vendredi 14 février, l’évacuation de centaines de milliers de personnes et trois aéroports internationaux ont été fermés après l’éruption spectaculaire du mont Kelud, sur l’île de Java. Ce volcan, particulièrement dangereux car situé dans une région densément peuplée, est entré en éruption jeudi soir.

    Les télévisions ont diffusé des images des gerbes de cendres et de roches ardentes qui se sont abattues sur les villages environnants. Les aéroports de Surabaya, Yogyakarta et Solo ont été fermés, selon le ministère des transports, tandis que la chaîne Metro TV diffusait des images des avions couverts de cendre sur le tarmac.

    L’agence de gestion des catastrophes a indiqué que 200 000 personnes habitant 36 villages dans un rayon de 10 kilomètres autour du Kelud avaient reçu l’ordre d’évacuer. « Une pluie de cendres, de sable et de pierres tombe jusqu’à 15 km du cratère du volcan », a précisé un porte-parole de l’agence. Les services de secours ont envoyé des SMS aux habitants pour les exhorter à ne pas rentrer chez eux, expliquant que la lave continuait de couler dans certains villages et que l’air était localement saturé de soufre.

    La probabilité d’une nouvelle éruption aussi violente que celle de jeudi serait toutefois faible, selon le centre pour la prévention des risques vulcanologiques et géologiques. Les éruptions du Kelud (1 731 mètres) ont fait quelque 15 000 morts depuis le 16e siècle, dont 10 000 en 1568.

    Début février, un autre volcan indonésien, le Sinabung, est entré en éruption, faisant au moins seize morts. En sommeil depuis 400 ans, il s’est réveillé en 2010 puis en septembre 2013. Les tremblements de terre et les éruptions volcaniques sont fréquents en Indonésie, un immense archipel formé de milliers d’îles et d’îlots situé sur la « ceinture de feu » du Pacifique, qui compte environ 130 volcans actifs.

  • Un puissant séisme, d’une magnitude 6,9, s’est produit au large des côtes du nord de la Californie, sans risque de tsunami.

  • Quelque 100.000 personnes ont été évacuées, dimanche soir, à la suite d’un séisme de magnitude de 6,5 degrés sur l’échelle ouverte de Richter, qui a secoué le Nord du Chili, indique l’Office National des Urgences du Chili (ONEMI). Le tremblement de terre, dont l’épicentre a été localisé à 75 km au sud-ouest de Pisagua, a eu lieu vers 06H17 (Heure Locale), selon le Centre de sismologie de l’Université du Chili. Le directeur national de l’organisation Ricardo Toro à précisé qu’environ 80 000 résidents de la région de Tarapaca avaient été év...

  • Les 13 et 14 février 2014, le volcan indonésien Kelud a explosé. Son panache était exceptionnellement volumineux et les volcanologues estiment que 430.000 t de SO2 ont été expulsées en quelques heures seulement.

  • Le volcan indonésien Galunggung a été placé en alerte de niveau 2 depuis hier lundi 20 février 2012. Les eaux du lac de son cratère ont viré à la couleur Kaki et leur température a brusquement augmenté.

    Le volcan Galunggung, nommé Danau kawah Galunggung dans la langue locale des populations de l’Est de Java, suscite des inquiétudes chez les volcanologues. Ces derniers ont constaté depuis septembre 2011, des signes poussant à croire que ce volcan endormi serait en train de se réveiller.

    Depuis cette époque, les eaux du lac du cratère de ce volcan ont changé de teinte. Cette eau a progressivement pris la couleur kaki. Jusque là, rien d’alarmant n’avait été signalé.

    Mais les choses ont commencé à s’accélérer depuis le 5 février. En seulement 3 jours, les eaux de ce lac de 8 millions de mètres cubes ont connu une augmentation de température de 13°C. Leur température est brusquement passée de 27°C à 40°C, entraînant la mort de la plus grande partie des poissons et d’un certain nombre d’animaux vivant dans les eaux retenues dans le cratère. Le plus curieux est qu’aucun autre signe, parmi ceux qui accompagnent habituellement le réveil d’un volcan n’a encore été détecté.

    Les séismographes chargés de surveiller l’activité sismiques dans les abords immédiats du Danau kawah Galunggung, n’ont enregistré aucune anomalie. Le pH de l’eau du cratère n’a pas non plus varié et aucune odeur de soufre n’est détectable. Les volcanologues ont toutefois usé de prudence en plaçant ce volcan au passé tumultueux en alerte de niveau 2 sur une échelle qui en comporte 4. Il est notamment recommandé de rester à plus de 500 mètres des eaux du lac.

    Le Danau kawah Galunggung est stratovolcan dont une partie du cône est éventré par une caldeira semblable à un fer à cheval. Cette caldeira résulte d’une avalanche qui a emporté une partie du cône volcanique. Ce volcan est situé dans les environs de la ville indonésienne de Tasikmalaya qui appartient à la province de Java occidental. Le sommet de ce volcan qui culmine à 2.240 mètres d’altitude est occupé par un cratère de 600 m de diamètre et 300 mètres de profondeur. Ce cratère abrite un lac et un cône de cendre.

    Le Galunggung se serait formé il y a de cela 4200 ans. Ce volcan est connu pour deux de ses éruptions. La première eu lieu en 1822 et fit un bilan de 4011 morts. Cette éruption qui dura trois mois (du 8 octobre à la fin de l’année 1822) fut extrêmement violente. Une épaisse panache de cendres volcaniques surchauffées se répandit dans un rayon de 10 kilomètres et produisit la destruction de 115 villages. L’éruption était accompagnée de violentes explosions de niveau 5 et de coulées de laves.

    Mais ce volcan doit surtout son succès à son éruption de qui s’étala du 5 avril 1982 au 8 janvier 1983. Cette éruption historique provoqua de graves avaries sur deux avions de lignes et permit aux ingénieurs aéronautiques de se rendre compte du grave danger que pouvait représenter une éruption volcanique pour un avion de ligne. Un Boeing 747 de la british Airways avait vu l’ensemble de ses quatre réacteurs s’arrêter brusquement durant 16 minutes alors qu’il se trouvait à une altitude de 11500 mètres. L’appareil qui transportait à son bord 263 passagers n’avait vu ses moteurs repartir qu’après une chute vertigineuse de 7500 mètres. Les réacteurs avaient été encrassés par la fine cendre volcanique qui s’échappait du volcan en cette nuit du 24 juin 1982.

    Dans la péninsule du Kamtchatka en Russie un deuxième volcan, le Bezymianny, 2882 m, se réveille

    En raison de la hausse progressive de la sismicité, accompagnée d’une hausse progressive de l’intensité de l’anomalie thermique sur le dôme, les volcanologues du KVERT ont décidé, hier, de passer le niveau d’alerte du Bezymianny à l’orange. Ils estiment donc qu’une activité explosive, source de risque pour l’aviation en particulier, est hautement probable dans un délai assez court.

    En Alaska dans les iles Aléoutiennes, un deuxième volcan, le Kanaga, se réveille, ...quant au Mont Cleveland son cratère s’agrandit

    Suite à du trémor volcanique et de petits séismes détectés, et un petit panache de cendres repéré par le satellite AVHRR à 39 km. au NE du volcan et s’étirant sur 8 km, l’alerte du Kanaga, situé sur l’île du même nom au centre de la chaine des Aléoutiennes, a été relevée à jaune pour l’aviation et vigilance pour le volcan.

    Ce stratovolcan basalto-andésitique, d’un diamètre de 4,8 km., s’élève à 1307 m de hauteur. Sa dernière éruption date de 1994-95, avec émissions de panaches de cendres atteignant 7.500 m.

    Le dôme de lave sommital du Cleveland grossit et atteint un diamètre de 50 mètres, selon une observation par satellite du 10 février.

    Entre les 8 et 14.02, aucune observation concernant des éventuelles émissions de cendres, ou élévation de températures, n’a été possible en raison des conditions d’ennuagement.

    Le Cleveland ne possède pas de "réseau sismique en temps réel". Le niveau d’alerte aviation est maintenu à orange.

    Une chaine de nouveaux cratères, le plus large mesurant 50 m. de diamètre, est apparue sur le flanc Est du Mont Fuji, vers 2.200 m. d’altitude. De la vapeur est émise par ces évents.

    Diverses observations suggèrent un réveil graduel du volcan : un essaim de séismes, incluant 4 secousses de Magnitude 5, a marqué le NE du Mt Fuji à partir du 28 janvier. ( un séisme de M 6,4 l’avait déjà secoué le 15.03.2011) ; de plus, depuis 2003, l’activité fumerollienne d’un évent situé à une altitude de 1500 m. s’est intensifiée, ainsi que celle de sources chaudes sur le flanc Est.

    L’alignement géographique de ces divers emplacements, et leur possible connexion, laisse supposer, selon les volcanologues de la Ryukyu University, qu’une éruption est possible sur le flanc Est.

  • Le Mont Fuji volcan situé au sud-ouest de Tokyo a été mis à dure épreuve lors du séisme survenu au large des côtes japonaises, le 11 mars 2011. Le tremblement de terre de magnitude 9, suivi du tsunami dévastateur a mis sous haute pression le point culminant de l’archipel nippon. Le mont Fuji est un volcan de type explosif situé dans une région à la jonction des plaques tectoniques eurasienne, philippine et pacifique. Bien que les éruptions se soient faites rares ces derniers siècles, il n’en reste pas moins actif et sa situation actuelle inquiète les chercheurs. "Nos travaux ne disent pas que le volcan va entrer en éruption. Mais ils montrent qu’il se trouve dans un état critique", explique à Le Monde Florent Brenguier, chercheur à l’Institut des sciences de la Terre. Une méthode d’analyse innovante Les conclusions des chercheurs sont le fruit d’une méthode tout à fait innovante. Le protocole mis en place consiste en effet à analyser des données considérées jusqu’à aujourd’hui comme parasites. Les signaux en question, recueillis en profondeur par un réseau de 800 capteurs sismiques, représentent le bruit de fond sismique. Il s’agit d’ondes sismiques de faible amplitude produites en continue par le mouvement de la houle. Dans les analyses de sismologie ordinaire, ce bruit de fond est systématiquement supprimé. Toutefois, selon les chercheurs, ces ondes sont extrêmement intéressantes car elles permettent en quelque sorte d’effectuer une "échographie" des profondeurs terrestres. Dans leur étude, les sismologues sont parvenus à établir une cartographie des perturbations géologiques provoquées par le violent séisme du 11 mars en traitant plus de 70 téraoctets de données. Un risque d’éruption accru Leurs résultats, publiés dans la revue Science, indique un notable endommagement de la croûte terrestre au niveau des régions volcaniques nippones même éloignées de l’épicentre, comme le mont Fuji. "Les régions volcaniques sont celles où la pression des fluides comprimés dans la roche – eau bouillante, gaz, magma liquide –, qui, en remontant à la surface, provoquent une éruption, est déjà la plus forte. Les ondes sismiques ajoutent encore à cette pression, avec pour effet de fracturer davantage le milieu", explique Florent Brenguier. Selon le chercheur, le volcan sous étroite surveillance "est aujourd’hui dans un état de pression tel qu’il présente un potentiel d’éruption important. Le risque est clairement accru". La dernière éruption du mont Fuji remonte à 1707 et une théorie avait déjà établi un lien entre cette dernière et un séisme géant de magnitude 8,7 survenu 49 jours plus tôt dans la région de Hoei. A cette époque, environ un milliard de mètres cubes de cendres avaient été rejetées. "De manière plus générale, ces résultats montrent comment caractériser les régions affectées par des pressions élevées de fluides volcaniques grâce aux données sismiques issues de réseaux de capteurs sismiques denses. Ils permettent ainsi d’améliorer l’estimation du risque d’éruptions volcaniques majeures à travers le monde", conclut le CNRS dans un communiqué.

  • La Protection civile islandaise a annoncé mercredi avoir achevé dans la nuit l’évacuation des abords du volcan Bardarbunga, dont l’activité stable laissait toujours incertaine la probabilité d’une éruption.

    Les autorités ont indiqué à l’AFP que cette opération qui concernait la région au nord de cet immense volcan situé sous le plus grand glacier d’Islande, le Vatnajökull, avait pris fin vers 3H00 (même heure GMT).

  • Volcan Bardarbunga : l’Islande confirme l’éruption et décrète l’alerte « rouge »...

  • L’éruption du volcan Tavurvur en Papouasie-Nouvelle-Guinée le 29 août au matin s’est accompagnée d’un haut nuage de fumée. L’Australie voisine surveille son évolution. Qantas a dû dérouter trois de ses vols pour éviter le nuage.

  • Le 24 août, tremblement de terre :

     en Californie

     au centre du Chili

     au Pérou

     en Islande en liaison avec l’éruption du volcan Bárdarbunga

    Le 28 août, tremblement de terre

     en Suisse, près des Grisons

    Un tsunami pourrait s’abattre sur le Japon si les pans de lave d’une île volcanique en éruption qui grossit au large de l’archipel s’effondraient soudainement, ont averti des scientifiques nippons, ce mardi 19 août.

    Cette île, située dans le Pacifique à un millier de kilomètres au sud de Tokyo, se présentait dans les premiers jours sous une forme à peu près ovale de 400 mètres de long sur 200 de large. Mais elle a fini par rejoindre celle inhabitée de Nishinoshima appartenant au petit archipel Ogasawara, et l’ensemble, qui continue de s’étendre, couvre désormais 1,26 kilomètre carrés.

    Les cratères de l’île crachent actuellement 200.000 mètres cubes de lave chaque jour, assez pour remplir 80 piscines olympiques. Cette matière s’accumule sur son flanc Est. "Si la lave continuait à monter ainsi, une partie des pentes pourrait s’effondrer et provoquer un tsunami", a prévenu Fukashi Maeno, professeur adjoint de l’Institut de sismologie de l’Université de Tokyo.

    Selon lui, un affaissement de 12 millions de mètres cubes de lave générerait un tsunami d’un mètre qui pourrait atteindre en environ 18 minutes l’île de Chichijima à 130 kilomètres de distance. Chichijima, où vivent quelque 2.000 personnes, est la plus grande île de l’archipel d’Ogasawara, un groupe d’îles administré par Tokyo.

    "Le moyen idéal pour surveiller et éviter une catastrophe naturelle serait de mettre en place un nouveau système de détection de tsunami et de tremblement de terre près de l’île, mais il est impossible pour quiconque de s’y poser dans la situation actuelle", a expliqué Fukashi Maeno.

    Un responsable de l’Agence météorologique du Japon, qui surveille les séismes et les raz-de-marée, a indiqué surveiller tout signe annonciateur. "Nous avons étudié une simulation ce matin et envisageons de consulter des experts des tremblements de terre sur la probabilité de survenue d’un tel phénomène, pour voir quelles mesures nous pourrions prendre," a-t-il dit.

    Le Japon, situé au confluent de quatre plaques tectoniques, enregistre chaque année plus de 20% des séismes les plus violents recensés sur Terre. Plusieurs volcans y sont actifs et les risques de tsunami redoutés sur une bonne partie des côtes de l’archipel.

  • Une île soudainement apparue en novembre dernier à un millier de kilomètres au sud de Tokyo continue de grossir, selon les images prises cette semaine par les autorités japonaises.
    Cette île, qui se présentait dans les premiers jours sous une forme à peu près ovale de 400 mètres de long sur 200 de large, a fini par rejoindre l’île inhabitée de Nishinoshima appartenant au petit archipel Ogasawara.

    L’ensemble mesure désormais 1.550 mètres d’est en ouest et 1.350 mètres du nord au sud et selon un responsable des garde-côtes cité par la chaîne de télévision publique NHK. Elle a des chances de s’étendre.

    Trois cratères sont visibles sur les images tournées mercredi, dont deux crachent régulièrement de la lave, témoin d’une activité volcanique encore intense et qui a même tendance à s’accentuer. Le nuage de poussière s’élève en outre jusqu’à 2.000 mètres d’altitude, trois fois plus haut que le mois dernier, et retombe à une distance de plusieurs centaines de mètres du cratère d’origine.

    Depuis la fin de la guerre du Pacifique, quatre à cinq îles seraient soudainement apparues dans les eaux du Japon, un pays de séismes et de volcans, dont une en 1986, qui a disparu en l’espace de deux mois, et une en septembre 1973 également dans les parages de Nishinoshima.

    C’est toutefois la première fois depuis 40 ans qu’un nouvel îlot émerge dans cette zone.

  • N’y aurait-il pas un lien entre volcanisme accru et réchauffement ?

  • Le volcan Tavurvur, à Rabaul, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, est entré en éruption ce vendredi. Les habitants de l’île voisine de Matupit, à environ un kilomètre du mont ont quitté leurs habitations, mentionne La Dépêche de Tahiti. Les autorités n’ont pas encore émis un ordre d’évacuation pour les résidents de Rabaul et pour le moment, les vols aériens ne sont pas modifiés. Confronté également à une éruption, l’Islande a de son côté interdit, ce vendredi, le trafic aérien au-dessus du volcan Bardarbunga, avant d’autoriser à nouveau les avions de ligne à emprunter cette zone aérienne. Il y a quelques semaines, c’est le volcan Stromboli qui est lui aussi entré en éruption.

  • L’Islande a élevé dimanche à "rouge" le niveau d’alerte, près du volcan Bardarbunga, après une nouvelle éruption dans un champ de lave adjacent, ce qui signifie une interdiction partielle du trafic aérien au-dessus du volcan. L’éruption s’est produite peu avant 6 heures GMT dans la même zone environ qu’une précédente éruption vendredi, a précisé l’Institut météorologique islandais, chargé de la surveillance de l’activité volcanique, et qui a annoncé l’alerte.

    L’alerte comporte une interdiction de tous les vols en dessous de 1,8 km dans un rayon de 10 milles nautiques (18,5 km) autour du volcan. C’est la troisième fois en une semaine que l’Islande émet une alerte rouge en raison des activités sismiques près de Bardarbunga.

    Le Bardarbunga, immense volcan situé sous le plus grand glacier du pays qui s’élève à quelque 2 000 m, est considéré comme assez dangereux pour menacer, une fois en éruption, le trafic aérien dans le nord de l’Europe et l’Atlantique Nord, comme l’Eyjafjallajökull en 2010.

  • Le Mont Ontake, un volcan situé au centre du Japon, est entré en éruption samedi.

    L’éruption du Mont Ontake, qui culmine à 3.067 mètres, est survenue à la mi-journée samedi. Des images de la télévision ont montré d’énormes nuages de fumée s’élevant au-dessus du volcan qui est une destination prisée des marcheurs au Japon.

    Les projections auraient causé la mort d’une personne tandis que trente autres personnes auraient été blessées dans un secteur qui attire beaucoup de marcheurs.

    L’agence de météorologie a prévu de nouvelles éruptions et a averti que des projections pourraient avoir lieu jusqu’à quatre kilomètres du cratère du volcan.La dernière éruption majeure du Mont Ontake remonte à 1979, lorsque le volcan avait craché plus de 200 000 tonnes de cendre,

  • D’après l’Agence environnementale islandaise, l’éruption du volcan Holuhraun émet jusqu’à 60.000 tonnes de SO2 par jour, ce qui dépasse largement toutes les pollutions au SO2 émises par les transports, l’énergie, le chauffage domestique dans la totalité de l’Europe, qui est en moyenne de 14.000 tonnes par jour.

  • L’un des volcans les plus actifs des Philippines, Mayon, risque d’exploser. Plus de 12’000 personnes habitant au pied de celui-ci ont été évacuées mardi.

    Plus de 12’000 personnes habitant au pied du volcan Mayon, l’un des plus actifs des Philippines, ont été évacuées, ont dit mardi les autorités. Une série de secousses sismiques et d’éboulements ont été enregistrés récemment sur le site, ce qui laisse présager une possible éruption dans les semaines à venir.

    Le directeur de l’Institut philippin de vulcanologie, Renato Solidum, a déclaré que le niveau d’alerte avait été relevé de 2 à 3, entraînant l’évacuation forcée de 12’000 familles dans une zone de six à huit kilomètres autour du volcan, où l’armée patrouille pour empêcher les habitants de revenir. Les familles seront logées dans des abris temporaires pendant une période allant jusqu’à trois mois.

    Avec son cône presque parfait, le volcan Mayon, situé dans la région centrale de Bicol, sur l’île de Luçon, a connu une cinquantaine d’éruptions au cours des 600 dernières années. La plus destructrice a eu lieu en février 1841, faisant 1200 morts.

    La dernière éruption du Mayon remonte elle à mai 2013. Trois touristes allemands et leur guide philippin avaient péri. Et en décembre 2009, des dizaines de milliers d’habitants avaient quitté provisoirement leurs habitations lorsque le volcan avait craché des cendres et de la lave.

  • Actif depuis 1999, le volcan Tungurahua (« gorge de feu » en quechua) vient d’entrer en éruption près de Banos, en Équateur. Situé dans la cordillère orientale des Andes, ce stratovolcan connaît une nouvelle phase explosive.

  • Le volcan situé sur l’île d’Ambrym, qui culmine à quelque 1.334 mètres, en Polynésie est entré dans une phase d’activité préoccupante, justifiant une augmentation du niveau d’alerte du niveau 1 à 2.
    Les zones les plus à risque sont celles situées dans un périmètre immédiat du cratère, précise le bureau, qui estime qu’il n’est « pas sûr » de s’en approcher et, pour les touristes, de se contenter d’observer ce mont actif à une distance respectable.
    Le 2 septembre 2014, un autre volcan de Vanuatu faisait aussi l’objet d’un autre bulletin du même organisme. Sur l’île d’Ambae (Nord-est), le volcan qui culmine à près de 1.500 mètres, aurait aussi commencé à émettre, depuis environ un mois, des quantités importantes de gaz.

  • Le volcan Tavurvur, à Rabaul, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, est entré en éruption ce vendredi. Les habitants de l’île voisine de Matupit, à environ un kilomètre du mont ont quitté leurs habitations, mentionne La Dépêche de Tahiti. Les autorités n’ont pas encore émis un ordre d’évacuation pour les résidents de Rabaul et pour le moment, les vols aériens ne sont pas modifiés. Confronté également à une éruption, l’Islande a de son côté interdit, ce vendredi, le trafic aérien au-dessus du volcan Bardarbunga, avant d’autoriser à nouveau les avions de ligne à emprunter cette zone aérienne. Il y a quelques semaines, c’est le volcan Stromboli qui est lui aussi entré en éruption.

  • Les Philippines ont commencé à évacuer des milliers de personnes vivant près d’un des volcans les plus actifs de l’archipel, craignant une éruption dans les semaines à venir.

  • Dans le Kamtchatka l’activité de quatre volcans représente un danger pour les avions et les groupes de touristes se trouvant à proximité, communique mardi le ministère des Situations d’urgence de Russie.

    Le communiqué indique que l’activité des volcans Chiveloutch, Karymski, Joupanovski et Bezymenny s’est intensifiée et que des projections de cendres à une altitude de 10 km sont possibles à tout moment. Des traînées de cendres et d’aérosols pourraient menacer les vols sur les lignes locales et internationales.

  • Le Piton de la Fournaise est entré en éruption mercredi matin, quelques heures après de premiers séismes, signes précurseurs d’un éveil du volcan, déjà entré en éruption en juin 2014, a indiqué l’Observatoire volcanologique du piton de Fournaise (OVPF).

    Le volcan de la Réunion est l’un des plus actifs au monde et entre en moyenne en éruption tous les 8 mois depuis 1640, selon l’Observatoire. Des périodes d’inactivité sont toutefois enregistrées à intervalles réguliers.

  • Le volcan Villarrica, situé dans le sud du Chili et considéré comme l’un des plus actifs d’Amérique du Sud, est entré en éruption mardi, entraînant l’évacuation de milliers de personnes, sans causer de dégâts.

    L’alerte rouge, déclenchée vers 03H00 (06H00 GMT) autour du volcan par le Bureau national des urgences (Onemi), a été maintenue durant 24 heures. Mais l’éruption, la première depuis quinze ans, a cessé au bout de quelques heures.

    A la télévision, les images, impressionnantes, montraient une flambée de lave rouge et or, et de cendres s’échapper du Villarrica, encore plongé dans la nuit, le tout accompagné d’une épaisse fumée noire.

  • En Colombie, un groupe de scientifiques du service géologique a mis au jour un volcan inconnu dans le département de Caldas, plus précisément dans la forêt tropicale (selva) de Florencia, située à environ 1700 m au-dessus du niveau de la mer, il a été baptisé « Le volcan Caché » (« El Escondido »). L’information a été révélée par les chercheurs le 23 février 2015 : « Ce volcan se trouve sur le flanc oriental de la cordillère centrale, c’est une zone où, normalement, nous ne pensions pas trouver de volcans », a déclaré Maria Luisa Monsalve, géologue.

    Des études qui ont débuté en 2013 dans le cadre d’une mission institutionnelle prouvent que le volcan a connu sa dernière activité il y a environ 30 000 ans, la scientifique a précisé « c’est un volcan qui possède quelques caractéristiques qui laisse entendre qu’il pourrait être très explosif », à ce titre il est considéré comme « potentiellement dangereux ».
    Le volcan a été finalement repéré dans une zone recouverte de végétation de Florencia (municipalité de Samaná) et il présente une structure similaire au volcan Cerro Machín, localisé dans le département voisin de Tolima.

  • L’aéroport de Guatemala City a dû fermer ses pistes samedi suite à l’éruption du volcan Fuego, le trafic aérien devant retrouver un visage à peu près normal aujourd’hui.

    L’éruption volcanique du 7 février 2015 a entrainé la formation d’un nuage de cendres atteignant une altitude de 5500 mètres, recouvrant plusieurs villes alentour mais aussi des quartiers de la capitale guatémaltèque située à 25 km de là. L’aéroport de Guatemala City-La Aurora a immédiatement fermé ses pistes, tous les vols étant annulés. Le trafic a progressivement repris dimanche une fois les pistes nettoyées, même si les compagnies aériennes Aeromexico, American Airlines, Avianca, Copa Airlines, Delta Air Lines ou United Airlines entre autres affichaient encore des annulations. Un retour à la normale du trafic est annoncé pour ce lundi.

    Le volcan Fuego (feu), haut de 3760 mètres, s’était déjà réveillé en janvier, puis de nouveau au début du mois ; mais l’éruption de samedi est considérée comme la plus importante depuis 1999. Une centaine de personnes ont été évacuées mais on ne déplore aucune victime.

  • Le volcan Popocatepetl au Mexique s’est réveillé ce mercredi, crachant des volumes de fumée et de cendres qui, en retombant sur les villes proches et les pistes, ont forcé les annulations de vol à l’aéroport local. L’activité du volcan a commencé avec un certain nombre d’explosions, qui ont notamment propulsé des débris incandescent à 700 mètres au-dessus du cratère, et une colonne de fumée s’élève à plus de 4 kilomètres dans le ciel. C’est la deuxième fois en dix jours que le volcan a enregistré des niveaux de haute activité.

  • Après plusieurs mois de sommeil, le Piton de la Fournaise est entré en éruption, mercredi 4 au matin à La Réunion, quelques heures après plusieurs séismes, signes précurseurs d’un réveil du volcan. D’après l’Observatoire volcanologique du Piton de Fournaise (OVPF), "environ 180 séismes sommitaux, dont 5 de magnitude supérieures à 2" ont été enregistrés plusieurs heures avant l’éruption. "Nous sommes ensuite entrés dans une crise sismique avec six séismes par minute", a indiqué Nicolas Villeneuve, directeur de l’OVPF. Puis, les premières coulées de lave sont descendues du volcan réunionnais.

    D’après Nicolas Villeneuve, la faille éruptive s’est ouverte sur le flanc sud du cône central du volcan, dans une zone totalement inhabitée. Alors que l’Observatoire se doutait qu’une éruption était imminente ces derniers mois, la vigilance volcanique, qui avait été décrétée le 3 décembre, avait été levée le 16 janvier.

    Au moment où le volcan est entré en éruption, mercredi 4, le préfet de La Réunion, Dominique Sorain, a déclenché le niveau d’alerte 2-2 (éruption en cours). Seulement voilà, les mauvaises conditions météorologiques ne permettaient aucune visibilité de la zone. Si les nuages étaient présents toute la journée, le ciel s’est dégagé en fin d’après-midi, permettant aux curieux qui passaient aux alentours de profiter du spectacle.

    Ce n’est pas la première fois que le volcan entre en éruption. Le volcan, qui est l’un des plus actifs au monde, s’était déjà réveillé le 21 juin dernier. Il entre en moyenne en éruption tous les huit mois depuis (au moins) 1640. Toutefois, des périodes d’inactivité sont enregistrées à intervalles réguliers.

  • Le volcan Villarrica, situé dans le sud du Chili et considéré comme l’un des plus actifs d’Amérique du Sud, est entré en éruption mardi, entraînant l’évacuation de milliers de personnes, sans causer de dégâts.

    L’alerte rouge, déclenchée vers 03H00 (06H00 GMT) autour du volcan par le Bureau national des urgences (Onemi), a été maintenue durant 24 heures. Mais l’éruption, la première depuis quinze ans, a cessé au bout de quelques heures.

  • Le gouvernement chilien a décrété l’alerte rouge mercredi 22 avril après l’éruption du volcan Calbuco dans le sud du pays. L’alerte concerne les villes de Puerto Montt et Puerto Varas, situées dans la région de Los Lagos, à environ 1 300 kilomètres au sud de Santiago, la capitale. Les autorités ont par ailleurs décidé l’état d’« exception pour catastrophe » dans les localités proches du volcan, et l’armée prendra donc temporairement le contrôle de ces zones.

  • Selon les scientifiques de la Fondation Européenne de la Science, notre civilisation pourrait s’éteindre des suites d’une éruption volcanique massive. Un événement qui aurait entre 5 et 10% de chance de se produire d’ici la fin du siècle. Les volcans fascinent autant qu’ils préoccupent les scientifiques. Avec leur capacité éruptive, ils peuvent causer des dégâts considérables voire même des morts quand les éruptions surviennent par surprise.

    Toutefois, ils pourraient engendrer bien pire, selon une étude menée par la Fondation européenne de la Science : ils pourraient tout simplement faire disparaitre l’humanité. Ces travaux menés par des scientifiques se sont penchés sur les risques naturels menaçant le monde et ont conclu que l’avènement d’une éruption volcanique massive et capable de causer la destruction de l’Humanité avait 5 à 10% de chances de se produire d’ici la fin du siècle. D’après les spécialistes, cette éruption pourrait être d’une ampleur similaire à l’explosion, en 1815, du volcan Tambora en Indonésie. Cet évènement d’une ampleur de 7 sur l’indice d’explosivité volcanique (ou échelle VEI) avait fait environ 100.000 victimes. A titre de comparaison, l’éruption du Tambora avait été 20 fois plus puissante que celle du Vésuve qui raya Pompéi de la carte en l’an 79. Le problème est qu’aujourd’hui, la densité démographique démultiplie la dangerosité potentielle d’une éruption.

    "Durant l’Holocène, au moins sept éruptions de type VEI 7 se sont produites. Toutes exceptées une ont eu lieu alors que la population mondiale était bien en dessous du milliard d’habitants. Avec une population d’environ 7 milliards d’individus, s’acheminant vers les 12 milliards, la répétition d’éruptions de type VEI 7 pourrait avoir des conséquences gravissimes", explique l’étude reprise par le Daily Mail.

  • Les cendres rejetées par le volcan Turrialba, culminant à 3 340 mètres d’altitude, s’élèvent pour former un énorme nuage. Ce dernier s’est propagé à travers toute la région située au sud-ouest du volcan. San José, la capitale du Costa Rica, a également été touchée. Un événement filmé par l’observatoire volcanologique et sismologique du Costa Rica, qui présente ces images en accéléré dans une vidéo.

    L’événement a obligé les forces de l’ordre à évacuer en urgence les groupes de touristes présents dans le parc national aux abords du cratère. D’importantes quantités de gaz et de vapeurs nocives ont continué à être diffusées bien après. Les habitants ont été évacués des zones environnantes par mesure de précaution.

  • Le volcan Ubinas, le plus actif du Pérou, est entré en éruption le 10 avril. Il est situé dans la province de Sánchez Cerro, département de Moquegua, au sud du pays.

  • Parmi les nombreux volcans de la planète, il y en a un qui remporte haut la main le titre de plus actif, il s’agit du Kilauea. Et pour cause, il est en éruption depuis le 3 Janvier 1983. On ne compte plus les dégâts qu’il a occasionné durant ses nombreuses courses vers l’océan. Le Kīlauea ou Kilauea est un volcan des États-Unis situé à Hawaï, dans le Sud-Est de l’archipel et de l’île du même nom.

  • Au Chili, Villarrica continue de cracher lave, cendres et fumée. Pour l’heure aucune évacuation n’est prévu dans la station touristique populaire de Pucon, à environ 750 km au sud de la capitale Santiago.

  • Un volcan japonais est entré en activité et a commencé à émettre des fumerolles dans la région de Hakone, une station thermale proche de Tokyo, selon l’agence météorologique japonaise qui a décidé aujourd’hui de limiter l’accès au site.

    Deux mini-séismes, de magnitude 2 et 2,4, ont été enregistrés ce matin au mont Hakone, au sud-ouest de la capitale. "L’activité à Hakone est incertaine à prédire. Il se peut qu’une petite éruption survienne soudainement", a précisé l’agence, exhortant les touristes à "ne pas pénétrer dans des zones dangereuses".

  • Le Piton de la Fournaise (La Réunion) est entré en éruption.

    La lave coule dans l’enclos, la caldeira centrale du volcan, dans une zone totalement inhabitée, et ne présente donc pas de danger pour la population.

    Une crise sismique importante s’est d’abord produite en début de matinée, et à 11h30 la préfecture de La Réunion a déclenché la phase d’alerte ("éruption probable") du dispositif spécifique ORSEC volcan.

    L’accès à la partie haute de l’enclos du Piton de la Fournaise a été immédiatement interdit au public.

    Le Piton de la Fournaise avait donné ses premiers signes de réveil mercredi et des centaines de séismes et d’éboulements avaient été enregistrés par l’observatoire volcanologique.
    La dernière éruption du volcan remonte au mercredi 4 février. Le phénomène avait duré jusqu’au lundi 16 février.

  • Impressionnante éruption du mont Shindake au Japon.

    Les quelques 130 habitants de l’île de Kuchinoerabu, située à l’extrême sud du Japon, ont été évacués vendredi après le réveil brutal du mont Shindake. Le volcan a craché toute la journée un impressionnant panache de fumée et de cendres qui est monté jusqu’à 9.000 mètres d’altitude et que la télévision japonaise a pu filmer. Un séisme de 5 minutes et une coulée de cendres brûlantes qui s’est dirigée vers la mer se sont ajoutés aux rejets atmosphériques.

    Les habitants, après avoir été évacués sur des navires des garde-côtes japonais ainsi que sur un ferry affrété spécialement, ont été accueilli sur une île voisine. Aucun mort et blessé ne sont à déplorer, à part un septuagénaire légèrement touché au visage.
    "Le ciel est devenu tout noir et j’ai entendu un énorme grondement, suivi par une puissante explosion", a témoigné une habitante de l’île.

    L’activité volcanique au Japon est plus intense depuis plusieurs années, conséquence, selon les experts, du très violent séisme de mars 2011 qui a dévasté la région de Tohoku et a provoqué un tsunami. Un tremblement de terre, qui atteint la magnitude de 9, peut en effet, à défaut de ressusciter les volcans endormis, réveiller ceux qui sont endormis en venant les "chatouiller".

    Sur les 110 volcans actifs de l’archipel japonais, l’agence météorologique en surveille 47. Sur l’échelle de dangerosité mise en place allant de 1 à 5, le mont Shindake est au niveau 5, deux autres sont au niveau 3 (risque d’éruption), sept sont au niveau 2 (danger uniquement près du cratère), tous les autres sont au niveau 1 (sans risque).

  • Deuxième séisme ressenti à Tokyo au cours de cette semaine. Lundi, un premier séisme avait sécoué la région de la capitale sans faire de dégâts ou de victimes. Il avait atteint une magnitude de 5,6 selon l’agence de météorologie japonaise, et de 5,3 selon l’Institut américain de géophysique.

  • Vendredi dernier, le mont Shindake situé sur une île de l’archipel japonais est entré en éruption. L’événement spectaculaire a été entièrement filmé. Les résidents de l’île japonaise de Kuchinoerabu ont été évacués vendredi 29 mai suite à l’éruption de son volcan : le mont Shindake. L’île se situe au cœur de l’océan Pacifique, dans une partie reculée au Sud de l’archipel nippon. Depuis la survenue du séisme historique, en mars 2011, la région est en régulièrement proie à des éruptions volcaniques.

  • L’éruption du volcan Wolf, sur l’île principale de l’archipel des Galapagos, risque de mettre en danger de nombreuses espèces animales et végétales uniques au monde.

  • Le volcan Fuego, d’une altitude de 3.763 mètres et situé entre les départements de Chimaltenango, Escuintla et Sacatepéquez (sud-est), enregistre une "nouvelle phase d’éruption", a indiqué à des journalistes le porte-parole de la Conred, David de Léon. Le volcan a expulsé des colonnes de cendres à quelque 1.200 mètres au-dessus du cratère, a-t-il précisé.

    "Pour le moment, il n’est pas nécessaire de procéder à des évacuations, cependant nous demandons à la population d’être attentive aux indications des autorités". De son côté, l’Institut de volcanologie (Insivumeh) a recommandé aux autorités de la protection civile de redoubler de vigilance dans la surveillance du volcan et à la Direction générale de l’aviation civile, d’adopter des mesures de précaution concernant la navigation aérienne. En février dernier, le volcan Fuego était entré en éruption, projetant un épais de nuage de cendres qui avait obligé à fermer l’unique aéroport de la capitale.

  • Près de 3.000 habitants ont été évacués jeudi en Indonésie après une éruption du volcan Sinabung, sur l’île de Sumatra, qui a entraîné le déclenchement du plus haut niveau d’alerte.

    Les quantités de cendres brûlantes, de fumée et de pierres s’échappant du volcan ont considérablement augmenté depuis dimanche, avec une coulée de lave visible sur le cratère, selon le chef de la Station d’observation du mont Sinabung. "L’activité volcanique reste élevée jusqu’à maintenant, entraînant des secousses sismiques", a déclaré M. Sukarna, responsable militaire du district.

  • Après trente-trois ans d’inactivité, le volcan Wolf des îles Galapagos s’est réveillé, produisant d’impressionnantes coulées de lave et des panaches de fumée. Cette éruption menacerait une espèce rare d’iguanes roses.

  • Les résidents de l’île japonaise de Kuchinoerabu ont été évacués vendredi 29 mai suite à l’éruption de son volcan : le mont Shindake. L’île se situe au cœur de l’océan Pacifique, dans une partie reculée au Sud de l’archipel nippon. Depuis la survenue du séisme historique, en mars 2011, la région est en régulièrement proie à des éruptions volcaniques. Cette dernière en date, particulièrement spectaculaire, a été filmée par l’Agence météorologique du Japon. La vidéo a ensuite été diffusée par le service public japonais NHK. La séquence, que vous pouvez observer ci-dessus, dévoile un énorme nuage noir de cendres s’échapper du mont Shindake.

  • Plusieurs centaines de personnes ont été évacuées et un aéroport fermé, samedi 12 juillet, après l’éruption du volcan Colima, situé à 450 km à l’ouest de Mexico. Les opérations se sont accélérées alors que son activité gagnait en intensité.

    Selon des experts, il pourrait connaître cette année sa plus violente explosion depuis un siècle : « [Les] conditions sont similaires à celles de 1913. » Le ministère de l’intérieur se montre, lui, moins alarmiste, estimant que Colima pourrait tout aussi bien perdre peu à peu de la vigueur au cours des prochaines semaines

  • Une éruption volcanique dans le centre de l’Indonésie a entraîné l’annulation de plus de 100 vols et la fermeture de l’aéroport de Bali pour raisons de sécurité, ont indiqué vendredi les autorités, des milliers de touristes se retrouvant bloqués sur l’île.

    Quatre autres aéroports parmi lesquels celui de Lombok, île voisine de celle de Bali, ont également été fermés dans la nuit de jeudi à vendredi, à la suite de l’éruption au mont Raung où d’épais nuages de cendres s’échappent du volcan, a déclaré à l’AFP un porte-parole du ministère des Transports, J.A.
    Barata.

    "C’est pour des raisons de sécurité", a-t-il dit, ajoutant que des responsables suivaient de près la situation, sans être en mesure de dire quand ces aéroports situés dans la province de Java Oriental pourraient rouvrir.

  • "L’observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise enregistre depuis ce midi une augmentation du nombre de séismes de faible intensité localisés sous le sommet du volcan à faible profondeur ainsi que des déformations persistantes sur le bord Nord du cratère", indique la préfecture dans un communiqué. Par conséquent, le préfet a mis en oeuvre depuis 14 heures le dispositif spécifique ORSEC volcan.

    "En raison de la montée de magma en cours, une éruption est probable à plus ou moins brève échéance. Les déformations sont également susceptibles de déstabiliser la falaise du Dolomieu. [...] En conséquence, l’accès du public à la partie haute de l’enclos du Piton de la Fournaise est interdit jusqu’à nouvel avis, que ce soit depuis le sentier du Pas de Bellecombe ou depuis tout autre sentier, ainsi que le poser d’hélicoptère dans la zone du volcan", précise la préfecture.

    Le Piton de la Fournaise était en phase de vigilance volcanique depuis le 5 juin dernier, suite à la dernière éruption du mois de mai, et connaît donc un nouveau regain d’activité. "Nous avons observé 87 séismes ce matin (lundi, ndlr), avec une augmentation du gonflement du sommet du volcan", explique Andrea Di Muro, responsable du réseau géochimique à l’Observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise (OVPF).

    "Contrairement à la dernière éruption pour laquelle la source était très profonde, la source est cette fois superficielle, pas très profonde, à environ 1,5 kilomètre. C’est ce qui a été pris en compte par la préfecture, car une fois que le magma a décidé de franchir le dernier palier, il peut mettre entre 20 minutes et 2 heures pour atteindre le sommet", poursuit-il.

    Le Piton de la Fournaise a déjà connu deux éruptions cette année : la première du 4 au 16 février, le seconde du 17 au 31 mai.

  • Le mont Asama, l’un des volcans les plus actifs du Japon situé à 140 km de Tokyo sur l’île de Honshu, est entré en éruption sans faire de victimes ni de dégâts. La dernière éruption, remonte à 2009. Elle avait duré plusieurs mois. Avec l’augmentation des séismes volcaniques et la détection de certains gaz, les services météorologiques ont relevé le niveau d’alerte sur Asama la semaine dernière. Il est conseillé de rester à plus de deux kilomètres du sommet.

  • Les volcans repartent de plus belle avec notamment le Batu Tara, le Gunung Raung, le Gamalama, volcans indonésiens, etc...

    Ce volcan indonésien, le Batu Tara, s’est soudainement réveillé ces derniers jours, donnant des images impressionnantes. L’aéroport de Surabaya a été fermé jeudi par précaution en raison du nuage de cendres craché par le volcan Gunung Raung qui sème le chaos depuis une dizaine de jours dans le ciel indonésien en particulier sur les liaisons avec l’Australie. Les volcans Raung (ouest de l’Indonésie) et Gamalama (est) sont de nouveau entrés en éruption jeudi alors que le Gamalama n’avait pas connu d’éruption depuis décembre dernier. L’éruption d’un autre volcan sur l’île de Ternate, dans l’archipel des Moluques (est), a aussi entraîné la fermeture de l’aéroport local. Dans l’ouest de l’Indonésie, plus de 10.000 villageois ont été évacués depuis le début du mois, à cause des violentes éruptions du volcan Sinabung.

    Un volcan dans le Mexique occidental a continué son éruption mardi, crachant de la lave le long de ses pentes et faisant pleuvoir des nuages de cendre sur les villages alentour.
    L’éruption du volcan de Colima a commencé la semaine dernière et se révèle de plus en plus active, obligeant les autorités à évacuer les habitants.

    Le volcan Turrialba au Costa-Rica a connu un nouveau pic d’activité. L’observatoire volcanologique et sismologique du pays a enregistré un important dégagement de cendres.

  • Le Piton de la Fournaise, à La Réunion, a été placé ce matin en alerte 1 « éruption probable ou imminente » par la préfecture et l’« enclos », la caldera centrale du volcan, a été évacué immédiatement après le déclenchement de l’alerte.

    La nuit dernière, l’Observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise (OVPF) a enregistré « une sismicité en très forte augmentation, un pic de dégagements de gaz et une déformation du cratère présageant la possibilité d’une éruption imminente », indique la préfecture dans un communiqué. L’alerte a été décrétée alors que de nombreux randonneurs, locaux et touristes se trouvaient sur le site. Les gendarmes ont fait évacuer les lieux au plus vite.

  • Modérément actif, le Cotopaxi, volcan de l’Equateur à nouveau en activité, n’avait pas connu de véritable éruption depuis 1877. Pourtant, il est considéré comme l’un des volcans les plus dangereux au monde. Son réveil a donc obligé les autorités équatoriennes à évacuer « à titre préventif » plusieurs localités de la région, située à 45 kilomètres au sud de Quito. Le gouvernement n’a pas précisé le nombre de personnes concernées. Perché à 5 897 mètres d’altitude, le Cotopaxi a été secoué vendredi par de nombreuses explosions, dégageant une importante colonne de cendres de 8 kilomètres de hauteur. Il a expulsé samedi des fragments solides...

  • Soi-disant afin d’éviter la propagation de toute panique, les autorités de l’Equateur ont décidé d’appliquer une censure préventive de toute information relative à l’éruption !!!

  • Quatrième éruption de l’année du piton de la Fournaise, sur l’île de La Réunion…

    Le volcan Kilauea à Hawaï entre en éruption...

    Le volcan Colima est entré en éruption mercredi au Mexique...

    En Équateur, le volcan Cotopaxi est entré en éruption...

    Eruption du du volcan Sakurajima, au Japon... Il est situé à côté de la centrale nucléaire que le gouvernement japonais vient de remettre en route...

    etc...

  • Un premier séisme d’une magnitude 5,9 sur l’echelle de Richter a frappé l’Est de la République démocratique du Congo dans la nuit de jeudi à vendredi entre 03h15 et 03H50 à Bukavu.

    Le bilan est d’au moins un mort et des centaines de maisons détruites.

    Le séisme a été ressenti à 70 km au nord-ouest de Bukavu et à Uvira, à quelque 125 km au sud de la capitale provinciale.

    Dieudonné Wafula Mifundu, géophysicien au Centre de recherche en sciences naturelles (CRSN), dans le Sud-Kivu, a déclaré à SciDev.Net que "ce tremblement de terre comportait en fait des centaines de secousses, mais seules les trois plus fortes ont été ressenties par les populations."

    "Nous observons ces activités géophysiques depuis 1997 et c’est la troisième vague de secousses que nous sommes en train de constater. La première, c’était le 24 octobre 2002, suivie d’une série de répliques dont la plus forte a atteint une magnitude de 6,1. La deuxième, c’était le 3 février 2008."

    D’après les explications de Dieudonné Wafula Mifundu, c’est tout le bassin du lac Kivu qui est en train de bouger.

    Les répliques se situent souvent même dans le lac, un site très mouvementé.

    Par ailleurs, il y aurait des liens avec l’activité volcanique dans la région, notamment celle du Nyiragongo.

    "Dans le passé, nous avons relevé que ces faits sont souvent liés. Quand il y a des tremblements de terre, il survient à court ou moyen terme des éruptions volcaniques. Par exemple, l’éruption du volcan Nyiragongo, le 10 janvier 1977, est intervenue après le séisme du 6 janvier 1977, à 130 km du volcan. Après ce séisme, dans la mesure où la situation du volcan était déjà très instable avec un lac de laves très élevé, le volcan Nyirangogo a libéré son lac de laves. En 2002 c’était presque les mêmes phénomènes : tremblement de terre de magnitude 4,8 enregistré le 4 janvier, puis éruption du Nyiragongo le 17 janvier. Le volcan a rejeté son lac de laves qui a coulé à travers toute la ville de Goma jusqu’au lac Kivu."

  • Les volcans s’activent en Amérique latine : le Popocatepetl, l’Ubinas, le Fuego entrent en éruption !
    Le volcan Colima, au Mexique, est à nouveau entré en éruption jeudi 15 octobre à 9 h 46, heure locale. Situé dans l’Etat de Colima, dans le sud-ouest du Mexique, ce volcan est redevenu actif depuis le 9 juillet et recouvre de cendres les villages environnants. Sur les 3 000 volcans mexicains, seuls 14 sont actuellement considérés comme actifs. Le Popocatepetl, situé à 70 kilomètres au sud-est de la capitale, et le Colima, sur la côte pacifique, ont propulsé des colonnes de fumée allant jusqu‘à plus d’un kilomètre et demi de hauteur. En Amérique centrale, l’Institut national de sismologie, volcanologie, météorologie et d’hydrologie (INSIVUMEH) du Guatemala, a appelé à la plus grande vigilance devant le risque de nouvelles éruptions dans les prochaines heures du volcan de Fuego situé à 1 300 m d’altitude, l’un des plus actifs de cette région du monde. Les autorités guatémaltèques a confirmé mercredi une nouvelle éruption du volcan situé entre les départements de Escuintla, Chimaltenango et Sacatepéquez (sud).

  • Le volcan du mont Rinjani de l’île de Lombok de 3 707 mètres d’altitude, l’un des 129 volcans actifs de la ceinture de feu du Pacifique de l’archipel, crache depuis mardi des nuages de cendres, obstruant la visibilité. « Le vent pousse les cendres volcaniques en direction de Bali de telle manière qu’elles recouvrent le ciel autour de l’aéroport, rendant les conditions inappropriées pour la navigation aérienne », a déclaré un responsable de l’aéroport.

    Les cendres provenant d’un autre volcan de la région avait déjà entraîné la fermeture de l’aéroport de Bali en juillet, en pleine haute saison, bloquant des milliers de touristes de l’île la plus touristique d’Indonésie.

  • De nombreux volcans se sont réveillés récemment…

    Le volcan indonésien Soputan est entré en éruption…

    Le Popocatepl est le deuxième plus haut sommet du Mexique (5452 mètres). Entré en éruption début octobre, ce volcan se situe à proximité de la capitale du pays. 4,5 millions de personnes vivent dans un rayon de 50 km autour du volcan….

    Le 14 septembre, le Japon demande aux touristes de s’éloigner du volcan Aso. Ce mont de 1592 mètres est l’un des volcans les plus actifs de l’archipel nippon…

    Le Momotombo du Nicaragua : un réveil après 110 ans de sommeil…

    Alors qu’aucun signe annonciateur n’a été détecté les jours précédents, le volcan Calbuco du Chili, d’une altitude de 2003 mètres et situé au bord de l’océan Pacifique se réveille soudainement. Les zones habitées sont évacuées sur un rayon de 20km…

    Le 24 août, c’est la quatrième éruption de l’année pour le Piton de la Fournaise à La Réunion...

    Depuis son réveil en août, les scientifiques ne quittent plus des yeux le Cotopaxi. Les Équatoriens sont sur leurs gardes. Ce sommet de 5897 mètresest considéré comme l’un des volcans les plus dangereux du monde par sa proximité avec la ville de Quito...

    Près de 3000 habitants sont évacués en Indonésie après une éruption du volcan Sinabung, sur l’île de Sumatra. Le regain d’activité de ce volcan de plus de 2000 mètres entraîne le déclenchement du plus haut niveau d’alerte et recouvert de cendres une partie de la ville…

    Le 4 décembre, L’Etna, en Sicile, connaît une éruption parmi les plus "énergiques des 20 dernières années" selon l’Institut italien de géophysique et de vulcanologie. Une colonne de fumée et de gaz haute de 7 km s’échappe du plus haut volcan européen (3350 mètres)…

    L’éruption du volcan Eyjafjöll dans le sud de l’Islande a généré un immense nuage de cendres qui, poussé par les vents, perturbe l’espace aérien de l’Europe du Nord…

    Au Guatemala, le volcan Fuego, près de la ville d’Antigua Guatémala, affiche un niveau d’activité élevé, selon un bulletin émis le 4 janvier 2016 par les autorités locales (CONRED).
    Sa première éruption effusive de l’année s’est d’ailleurs produite le 4 janvier 2016. Elle était accompagnée de trois coulées de lave sur les flancs sud et nord-ouest du volcan qui culmine à 3 763 mètres d’altitude…

    Le Nevado del Ruiz de Colombie, qui culmine à 5.400 mètres d’altitude, est l’un des nombreux volcans de la "ceinture de feu" du Pacifique. Il a connu deux éruptions particulièrement meurtrières : en 1595 avec 639 morts, et surtout en 1985 lorsque ses neiges éternelles ont fondu sous le coup de la chaleur, provoquant une monstrueuse avalanche qui a englouti la ville d’Armero, faisant plus de 25.000 morts. Son activité s’accroît à nouveau depuis 2010. Près de vingt vols intérieurs ont été annulés aujourd’hui et trois aéroports fermés dans la région de Colombie productrice de café en raison du rejet de cendres par le volcan Nevado del Ruiz, a annoncé la compagnie aérienne colombienne Avianca…

    Toute la baie de Naples est menacée par un super volcan en dormance. Il s’agit des « Champs Phlégréens » ou du « Campi Flegrei » en italien. Cette structure volcanique, la plus grande dans toute l’Europe, peut engendrer des dégâts incommensurables...

    Pourquoi le volcanisme s’accroît depuis 2010 ? C’est le magma souterrain et le noyau terrestre qui pourraient sans doute nous répondre…

  • Depuis le 24 janvier, les scientifiques de l’Observatoire volcanologique du piton de la Fournaise (OVPF) observent une accélération dans le gonflement du volcan. Un regain d’activité notable depuis la dernière éruption en date du 24 août qui s’est achevée le 31 octobre. Depuis plus rien ou presque.

    « Jusqu’à début décembre nous avons observé un gonflement du volcan assez important presque identique a ce que nous observions avant les éruptions de juillet et août dernier. Ensuite, l’activité s’est calmée jusqu’au 24 janvier où l’inflation a repris. On note également une anomalie de CO2 dans la Plaine des cafres, ce qui signifie que nous avons une pressurisation de l’édifice et une réalimentation en continu », explique la volcanologue Aline Peltier.

  • Situé dans le sud du Japon, le volcan Sakurajima est une nouvelle fois entré en éruption vendredi soir. Des images capturées à l’occasion rendent compte de l’ampleur de l’explosion survenue à seulement 50 kilomètres d’une centrale nucléaire.

  • Le 22 janvier 2016, l’Institut géologique péruvien (INGEMMET) a publié une inquiétante vidéo tournée durant le mois de décembre. On y voit deux volcanologues arpenter le cratère du gigantesque volcan Misti. Cratère duquel s’échappent des fumerolles blanches, signe d’une activité particulièrement importante ces dernières semaines. "Les gaz que rejette le Misti confirment que le volcan est bien plus actif que ne le pensent les gens", a confié à l’AFP l’ingénieure de l’OVS, Luisa Macedo, lors d’un entretien téléphonique depuis la ville d’Arequipa.

    Situé dans la cordillère des Andes, ce volcan dont le sommet culmine à plus de 5.800 mètres, est le troisième plus haut du monde. Il domine la ville d’Arequipa et ses presque 900.000 habitants, dont le centre ville se trouve à moins d’une vingtaine de kilomètres du cratère.

  • Depuis le 24 janvier, les scientifiques de l’Observatoire volcanologique du piton de la Fournaise (OVPF) observent une accélération dans le gonflement du volcan. Un regain d’activité notable depuis la dernière éruption en date du 24 août qui s’est achevée le 31 octobre. Depuis plus rien ou presque.

    « Jusqu’à début décembre nous avons observé un gonflement du volcan assez important presque identique a ce que nous observions avant les éruptions de juillet et août dernier. Ensuite, l’activité s’est calmée jusqu’au 24 janvier où l’inflation a repris. On note également une anomalie de CO2 dans la Plaine des cafres, ce qui signifie que nous avons une pressurisation de l’édifice et une réalimentation en continu », explique la volcanologue Aline Peltier.

    Alors pètera ou pètera pas ? Comme à chaque fois, difficile de prévoir, le volcan a ses mystères. « En juin 2014, nous avions observé les mêmes signes et une éruption a eu lieu onze jours plus tard. Par contre, en février 2015, il a fallu attendre six mois », soulève, prudente, la volcanologue. Le niveau de sismicité quant à lui reste très bas avec seulement trois à quatre séismes par jour.

    « Mais ça peut s’accélérer très vite. Au regard de l’histoire éruptive de ce volcan, nous savons que la situation peut évoluer rapidement, à tout moment. Nous sommes toujours sur le qui-vive et attendons patiemment car quelque chose se prépare », assure-t-elle.

  • Un séisme de magnitude 7,9 dans la mer a secoué mercredi l’île de Sumatra, dans l’ouest de l’Indonésie, selon l’institut américain de géophysique (USGS).

    Le tremblement de terre s’est produit vers 18h50 locales (13h50 en France) à 10 km de profondeur et à plusieurs centaines de km de la ville de Padang, a précisé l’USGS.

    Le séisme a été ressenti fortement à Padang pendant quelques secondes, et des habitants ont quitté précipitamment leurs maisons en courant vers des endroits plus en hauteur. Cet événement a provoqué des scènes de panique dans les rues, selon la même source. L’USGS a cependant indiqué que « la probabilité de victimes et de dégâts » était « faible ».

    L’Indonésie est située sur la « ceinture de feu » du Pacifique, où la collision de plaques tectoniques cause de fréquents séismes et une importante activité volcanique.

    En 2004, un séisme sous-marin dévastateur, au nord-ouest de l’Indonésie, avait provoqué un gigantesque tsunami, tuant plus de 170000 personnes en Indonésie et des dizaines de milliers d’autres dans plusieurs autres pays de l’océan indien.

  • Le volcan équatorien Tungurahua, qui culmine à 5020 mètres d’altitude, en éruption depuis 1999, a connu depuis vendredi une nouvelle phase explosive.

  • Le volcan japonais Sakurajima est entré en éruption vendredi en début de soirée dans le sud du Japon, a annoncé l’agence météorologique.

    Cette éruption, au large de la ville portuaire de Kagoshima (600.000 habitants) située à près d’un millier de kilomètres au sud-ouest de Tokyo, a débuté à 18H56 (09H56 GMT), a précisé l’agence sur son site internet. Aucun dommage ni blessé n’était déploré dans l’immédiat. La télévision publique a diffusé des images de spectaculaires projections rougeoyantes de pierres et cendres haut dans le ciel.

    Le volcan est situé dans le sud du pays à une cinquantaine de kilomètres de la centrale nucléaire Sendai, dont les réacteurs 1 et 2 ont été récemment relancés. L’accès au site a été restreint. Les risques nucléaires sont énormes.

  • Big Ben, le volcan sub-antarctique situé sur l’île de Heard, en Australie, est entré en éruption.

  • Chili : Un nouveau cratère est découvert dans le complexe volcanique Nevados de Chillán.

  • Tremblement de terre au Japon et en Equateur. Il semble qu’il y ait un accroissement du volcanisme et des tremblements de terre...

  • Ce jeudi 26 mai 2016, le volcan piton de la Fournaise, qui culmine à 2 632 mètres d’altitude, volcan actif de l’île de La Réunion. est entré en éruption à 8h05, selon l’observatoire volcanologique. L’éruption en cours dans l’enclos aurait débuté "vraisemblablement au sud-est du massif volcanique dans la région de Château fort", indique l’observatoire. Cependant, en raison de mauvaises conditions météo - un important brouillard diminue la visibilité sur la zone-, l’observatoire n’a pas pu pour l’instant effectuer de reconnaissance visuelle et aérienne. Peu avant 9h, "une équipe de volcanologue se dirige actuellement vers le piton de Bert afin d’essayer de localiser de manière plus précise l’éruption", notamment grâce aux bruits, précise encore l’observatoire. Mais au vu des prévisions météo du jour, les passionnés vont certainement devoir attendre une demain pour admirer l’éruption.(photo archives)

  • L’activité éruptive du volcan Santa Maria (ou Santiaguito) se poursuit avec une phase explosive importante depuis plusieurs jours. Des projectiles sont éjectés dans un rayon de 3 km.

    Les cendres poussées par des vents de sud-est ont franchi la frontière mexicaine et sont tombées en grande quantité dans le sud Chiapas, notamment sur les villes de Tapachula, Tuxtla, Chico, et Metapa, villes frontières à 35 km du volcan.

  • Les prédictions de Páll Einarsson, un géophysicien, laissent à prévoir une éruption imminente du volcan Hekla, l’un des plus actifs d’Islande. Il ne s’est pas réveillé depuis 16 ans mais certains signes pourraient indiquer un réveil proche. Longtemps considéré comme un des volcans les plus actifs d’Islande, l’Hekla a été surnommé la "Gateway to Hell", littéralement la "porte des enfers". Le cratère a connu plusieurs éruptions régulières entre 1970 et 2000 puis s’est enfin endormi.

  • Le Piton de la Fournaise, le volcan de La Réunion, est entré en éruption dimanche matin pour la deuxième fois de l’année, a-t-on appris auprès de l’observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise (OVPF).

    L’éruption s’est produite à 8h41 (locales, 6h41 à Paris) dans la caldera centrale du volcan dans une zone totalement inhabitée du sud-est de l’île et ne présente aucun danger pour la population, a-t-on précisé de même source.

    "Plusieurs centaines d’événements (séismes - ndlr)" sous le sommet du Piton de la Fournaise se sont produits à partir de 07H30, rapporte la préfecture dans un communiqué. Le préfet a déclenché à 08h30 "l’alerte 2-2 du plan ORSEC Volcan : éruption en cours".

    Il s’agit de la deuxième éruption de l’année pour ce volcan très actif. La première avait duré quelques heures fin mai et n’avait elle aussi présenté aucun danger pour la population.

  • L’inquiétude grandit actuellement en Islande, où le volcan Katla a donné des signes d’activité, chose qui ne s’est pas produite depuis 1977. Le volcan le plus craint dans ce pays pourrait entrer en éruption dans un avenir proche.

    Selon Iceland Review, des mouvements d’origine sismique ont été détectés autour du volcan Katla, le plus redouté d’Islande, mais également le plus grand, avec ses 1450 mètres de hauteur. Le 29 août 2016, encore deux nouvelles secousses d’une magnitude de 4 sur l’échelle de Richter s’y sont produites.

  • Le volcan de Colima, au Mexique, est à nouveau entré en éruption lundi 29 août, projetant un nuage de fumée et de gaz. La dernière éruption de ce volcan, redevenu actif en juillet 2015, était survenue le 30 octobre de la même année.

    Quatorze des trois mille volcans mexicains sont considérés comme actifs.

  • Les tremblements de terre se suivent et se ressemblent dans le centre de l’Italie : destructions de maisons anciennes inadaptées aux séismes, mensonges des autorités sur les aides apportées à la reconstruction...

  • En quelques jours, des tremblements de terre se sont multipliés aux quatre coins de la planète : Chine, Amérique centrale, Japon, Nouvelle Zélande, Salvador, Nicaragua, Salvador, , Chili, etc.

    Un séisme de magnitude 7,2 au large du Salvador a secoué jeudi 24 novembre une partie de l’Amérique centrale, frappée une heure plus tôt par l’ouragan Otto, et les autorités salvadoriennes ont lancé une alerte tsunami. La secousse, qui a fait une victime indirecte au Nicaragua décédée suite à un arrêt cardiaque, s’est produite dans l’océan Pacifique, à environ 120 kilomètres au large des côtes du Salvador et à une profondeur de 33 kilomètres, selon l’institut géologique américain USGS. Le tremblement de terre a aussi été ressenti au Nicaragua et au Costa Rica.

    Un puissant séisme a ébranlé jeudi 24 novembre la côte pacifique de l’Amérique centrale, alors même qu’un ouragan balayait certaines parties du Nicaragua et du Costa Rica. Une alerte au tsunami lancée dans un premier temps a été levée par la suite.

    La magnitude de ce tremblement de terre a été estimée tout d’abord à 7,2 sur l’échelle de Richter, avant d’être ramenée à 7,0. Il a frappé à la faible profondeur de 10,3 kilomètres sous le plancher marin, ce qui a dû amplifier son impact. Quant à son épicentre, il a été localisé à 150 km environ au sud-sud-ouest de Puerto Triunfo, au Salvador, selon l’Institut géologique américain (USGS). Le tremblement de terre a aussi été ressenti au Costa Rica.

    Un tremblement de terre d’une magnitude 6,5 a frappé vendredi soir la région du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, où surviennent régulièrement des secousses sismiques, a indiqué l’Institut de géophysique américain (USGS). Le séisme s’est produit à 22H24 heure locale (14H24 GMT), à une profondeur de 12 km, dans une zone reculée et montagneuse près de la frontière chinoise avec le Tadjikistan.

    Un nouveau fort séisme a secoué le Japon jeudi matin au nord-est du pays, au large de Fukushima, sur la côte d’Honshu, à une profondeur de 10 km, sans provoquer de risque de tsunami et seulement quelques légers dégâts matériels, selon l’Agence nationale de météorologie. La secousse, de magnitude 5,6 selon l’institut géologique américain USGS (6,1 selon la méthode de l’Agence japonaise de météo), s’est produite à 06h23 heure locale (22h23 heure de Paris), 48 heures après un plus violent tremblement de terre qui avait déclenché un tsunami sur la côte nord-est.

    Un séisme, suivi d’un tsunami, frappe la Nouvelle-Zélande. Le tremblement de terre, de magnitude 7,8, a eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi à 23 kilomètres de profondeur et à 90 kilomètres au nord de la ville de Christchurch, sur l’île du Sud. De nombreux Néo-Zélandais ont fui, dans la nuit du dimanche 13 novembre, les zones côtières après qu’un séisme de magnitude 7,8, l’un des plus forts jamais enregistrés en Nouvelle-Zélande, eut secoué leur pays endommageant des bâtiments et provoquant un tsunami. Des informations encore imprécises ont fait état de victimes près de Kaikoura, une localité côtière de l’île du Sud, où s’est produit le tremblement de terre, a annoncé devant la presse le ministre de la défense civile, Gerry Brownlee. Largement ressentie sur l’ensemble du territoire néo-zélandais, la principale secousse, suivie d’une série de fortes répliques, est survenue lundi à minuit heure locale (dimanche à 10 heures en France). Son épicentre a été localisé à 23 km de profondeur et à environ 90 kilomètres au nord de la ville de Christchurch, où un séisme de magnitude 6,3 avait fait 185 morts en février 2011, selon l’Institut d’études géologiques des Etats-Unis (USGS).

    Un séisme de magnitude 7,2 au large du Salvador a secoué jeudi une partie de l’Amérique centrale, frappée une heure plus tôt par l’ouragan Otto, et les autorités salvadoriennes ont lancé une alerte tsunami. La secousse, dont on ignorait à 20H00 GMT si elle avait fait des victimes, s’est produite dans l’océan Pacifique, à environ 120 kilomètres au large des côtes du Salvador et à une profondeur de 33 kilomètres, selon l’institut géologique américain USGS. Le tremblement de terre a aussi été ressenti au Nicaragua et au Costa Rica. Par précaution, le gouvernement du Salvador a lancé une alerte tsunami et demandé aux habitants des régions côtières d’évacuer la zone. "Tous les mécanismes de protection ont été activés et donc nous commençons les évacuations", a annoncé le ministre de l’Intérieur Aristides Valencia sur la radio nationale. Au Nicaraga, le président Daniel Ortega a déclaré l’état d’urgence en raison du séisme et de l’ouragan Otto, qui avait touché terre dans le sud-est du pays à peine une heure plus tôt, entraînant aussi des pluies intenses et des vents violents dans le nord du Costa Rica. Otto a déjà fait quatre morts au Panama

    Un séisme de magnitude 6,4 sur l’échelle de Richter a secoué vendredi le centre du Chili, mais il n’y a pas eu d’alerte au tsunami, ont annoncé les autorités. Le tremblement de terre, dont l’épicentre se situait à 38 km au sud-est de la ville de Curico (200 km au sud de Santiago), selon le Centre national des séismes (CSN), a été ressenti en début d’après-midi à Santiago, et provoqué des mouvements de panique, selon des journalistes de l’AFP.

  • En quelques jours, des tremblements de terre se sont multipliés aux quatre coins de la planète : Chine, Amérique centrale, Japon, Nouvelle Zélande, Salvador, Nicaragua, Salvador, , Chili, etc.

    Un séisme de magnitude 7,2 au large du Salvador a secoué jeudi 24 novembre une partie de l’Amérique centrale, frappée une heure plus tôt par l’ouragan Otto, et les autorités salvadoriennes ont lancé une alerte tsunami. La secousse, qui a fait une victime indirecte au Nicaragua décédée suite à un arrêt cardiaque, s’est produite dans l’océan Pacifique, à environ 120 kilomètres au large des côtes du Salvador et à une profondeur de 33 kilomètres, selon l’institut géologique américain USGS. Le tremblement de terre a aussi été ressenti au Nicaragua et au Costa Rica.

    Un puissant séisme a ébranlé jeudi 24 novembre la côte pacifique de l’Amérique centrale, alors même qu’un ouragan balayait certaines parties du Nicaragua et du Costa Rica. Une alerte au tsunami lancée dans un premier temps a été levée par la suite.

    La magnitude de ce tremblement de terre a été estimée tout d’abord à 7,2 sur l’échelle de Richter, avant d’être ramenée à 7,0. Il a frappé à la faible profondeur de 10,3 kilomètres sous le plancher marin, ce qui a dû amplifier son impact. Quant à son épicentre, il a été localisé à 150 km environ au sud-sud-ouest de Puerto Triunfo, au Salvador, selon l’Institut géologique américain (USGS). Le tremblement de terre a aussi été ressenti au Costa Rica.

    Un tremblement de terre d’une magnitude 6,5 a frappé vendredi soir la région du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, où surviennent régulièrement des secousses sismiques, a indiqué l’Institut de géophysique américain (USGS). Le séisme s’est produit à 22H24 heure locale (14H24 GMT), à une profondeur de 12 km, dans une zone reculée et montagneuse près de la frontière chinoise avec le Tadjikistan.

    Un nouveau fort séisme a secoué le Japon jeudi matin au nord-est du pays, au large de Fukushima, sur la côte d’Honshu, à une profondeur de 10 km, sans provoquer de risque de tsunami et seulement quelques légers dégâts matériels, selon l’Agence nationale de météorologie. La secousse, de magnitude 5,6 selon l’institut géologique américain USGS (6,1 selon la méthode de l’Agence japonaise de météo), s’est produite à 06h23 heure locale (22h23 heure de Paris), 48 heures après un plus violent tremblement de terre qui avait déclenché un tsunami sur la côte nord-est.

    Un séisme, suivi d’un tsunami, frappe la Nouvelle-Zélande. Le tremblement de terre, de magnitude 7,8, a eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi à 23 kilomètres de profondeur et à 90 kilomètres au nord de la ville de Christchurch, sur l’île du Sud. De nombreux Néo-Zélandais ont fui, dans la nuit du dimanche 13 novembre, les zones côtières après qu’un séisme de magnitude 7,8, l’un des plus forts jamais enregistrés en Nouvelle-Zélande, eut secoué leur pays endommageant des bâtiments et provoquant un tsunami. Des informations encore imprécises ont fait état de victimes près de Kaikoura, une localité côtière de l’île du Sud, où s’est produit le tremblement de terre, a annoncé devant la presse le ministre de la défense civile, Gerry Brownlee. Largement ressentie sur l’ensemble du territoire néo-zélandais, la principale secousse, suivie d’une série de fortes répliques, est survenue lundi à minuit heure locale (dimanche à 10 heures en France). Son épicentre a été localisé à 23 km de profondeur et à environ 90 kilomètres au nord de la ville de Christchurch, où un séisme de magnitude 6,3 avait fait 185 morts en février 2011, selon l’Institut d’études géologiques des Etats-Unis (USGS).

    Un séisme de magnitude 7,2 au large du Salvador a secoué jeudi une partie de l’Amérique centrale, frappée une heure plus tôt par l’ouragan Otto, et les autorités salvadoriennes ont lancé une alerte tsunami. La secousse, dont on ignorait à 20H00 GMT si elle avait fait des victimes, s’est produite dans l’océan Pacifique, à environ 120 kilomètres au large des côtes du Salvador et à une profondeur de 33 kilomètres, selon l’institut géologique américain USGS. Le tremblement de terre a aussi été ressenti au Nicaragua et au Costa Rica. Par précaution, le gouvernement du Salvador a lancé une alerte tsunami et demandé aux habitants des régions côtières d’évacuer la zone. "Tous les mécanismes de protection ont été activés et donc nous commençons les évacuations", a annoncé le ministre de l’Intérieur Aristides Valencia sur la radio nationale. Au Nicaraga, le président Daniel Ortega a déclaré l’état d’urgence en raison du séisme et de l’ouragan Otto, qui avait touché terre dans le sud-est du pays à peine une heure plus tôt, entraînant aussi des pluies intenses et des vents violents dans le nord du Costa Rica. Otto a déjà fait quatre morts au Panama

    Un séisme de magnitude 6,4 sur l’échelle de Richter a secoué vendredi le centre du Chili, mais il n’y a pas eu d’alerte au tsunami, ont annoncé les autorités. Le tremblement de terre, dont l’épicentre se situait à 38 km au sud-est de la ville de Curico (200 km au sud de Santiago), selon le Centre national des séismes (CSN), a été ressenti en début d’après-midi à Santiago, et provoqué des mouvements de panique, selon des journalistes de l’AFP.

    Que penser de ces nombreux séismes aux quatre coins du monde sinon que ça chauffe davantage en dessous et que c’est peut-être là qu’est la source d’un réchauffement de la terre ?

  • Au moins 97 personnes ont été tuées et des centaines d’autres blessées dans un séisme qui a touché la province d’Aceh, à la pointe nord de Sumatra en Indonésie. « Jusqu’ici, 97 personnes ont été tuées et le nombre continue d’augmenter », a déclaré à l’AFP un responsable militaire à Aceh, Tantang Sulaiman. Un précédent bilan faisait état de 52 morts.

    Le séisme de magnitude 6,5 a frappé l’île très tôt à une faible profondeur dans le district de Pidie Jaya, dans l’ouest de l’Indonésie, au moment où des habitants de cette région, majoritairement musulmane, se préparaient pour la prière du matin. Sur plusieurs images diffusées par les chaînes internationales on peut voir que plusieurs bâtiments dont des boutiques et des mosquées se sont effondrées

  • Un séisme d’une magnitude de 3,7 sur l’échelle de Richter a été enregistré samedi matin à 7h35 dans le centre de la Bretagne, a-t-on appris auprès du Réseau national de surveillance sismique. Selon les premiers éléments, il n’y a eu ni victime ni dégâts. Le point d’impact de ce tremblement de terre, situé à une profondeur de 10 km, se trouvait dans un triangle compris entre les communes de Loudéac (Côtes d’Armor) et celles de Pontivy et Josselin (Morbihan).

    Un séisme de magnitude 7,2 a eu lieu mercredi au large des îles Fidji, déclenchant une alerte locale au tsunami, selon l’institut géologique américain USGS. Le tremblement de terre s’est produit à une profondeur de 15 km à quelque 283 km de Suva, la capitale des Fidji.

    Un puissant séisme de magnitude 7,6 a été enregistré dans la région de Los Lagos, dans le sud du Chili, dimanche 25 décembre, a annoncé l’Institut d’études géologique américain USGS. Une alerte au tsunami a d’abord été déclarée pour la zone côtière des régions affectées, déclenchant l’évacuation d’environ 4 000 habitants, selon la police.

    Un séisme modéré de magnitude 5,5 a frappé samedi la côte est du Japon, a annoncé l’institut de géophysique américain USGS. Le tremblement de terre s’est produit juste après 05H00 locales (20H00 GMT vendredi) à une profondeur de 11 km, à 244 km au nord-est de Tokyo. Mercredi, un séisme de magnitude 6,3 avait été enregistré à 18 km au nord-est de la ville de Daigo, sans faire ni victimes ni dégâts.

    Un séisme modéré de magnitude 5,5 a frappé samedi la côte est du Japon, a annoncé l’institut de géophysique américain USGS. Le tremblement de terre s’est produit juste après 05H00 locales (20H00 GMT vendredi) à une profondeur de 11 km, à 244 km au nord-est de Tokyo. Mercredi, un séisme de magnitude 6,3 avait été enregistré à 18 km au nord-est de la ville de Daigo, sans faire ni victimes ni dégâts.

    Le nord-est de l’Inde a été secoué par un puissant tremblement de terre, d’une magnitude de 5,5 à 5,7 sur l’échelle de Richte. L’épicentre est situé dans la région du Tripura, à l’extrême nord-est de l’Inde, tout près du Bangladesh.

  • Au Mexique le volcan Colima est entré en éruption...

    Le volcanisme se développe...

    Voici quelques exemples...

    Le niveau d’alerte est relevé concernant le volcan Sabancaya au Pérou, son activité augmente et inquiète !

    L’Institut géophysique d’Équateur surveille de près quatre volcans en ce début d’année 2017 :

    Un panache de vapeur de 1 000 mètres a été observé au-dessus du Cotopaxi les 22 et 23 janvier 2017. Les géologues affirment que le panache est le résultat des émissions de gaz combiné avec des facteurs climatiques et n’ont pas indiqué d’augmentation de l’activité interne. Le volcan de près de 6000 mètres, considéré comme le plus dangereux du pays, est entré dans une phase active en 2015, conduisant à une mobilisation massive des communautés dans la voie d’une éventuelle éruption. Le Cotopaxi est situé à environ 65 km au sud de Quito.

    Le Reventador, dans la forêt à l’est de Quito, continue d’être le volcan le plus actif en Équateur. Ces derniers jours, il a envoyé des panaches de cendres sur une vaste zone, principalement inhabitée, à l’est du sommet.Les scientifiques disent qu’une éruption complète pourrait causer des « dommages environnementaux extrêmes » mais n’aurait pas d’incidence sur les grands centres de population.

    Le volcan Cayambe, situé sur l’équateur au nord de Quito, continue de montrer sa première activité en près de 200 ans, bien que les géologues disent ne pas croire qu’une éruption soit imminente. Considéré comme l’un des volcans préférés des andinistes, le volcan a connu une série de tremblements de terre depuis fin novembre, résultat de la pression du gaz interne et la rupture des roches sous la surface.

  • Le Piton de la Fournaise, entré en éruption ce mardi à 19h40, poursuit son spectacle. Le site éruptif se situe à 1.1 km au Sud Sud-Est de Château Fort et à environ 2.5 km à l’Est Nord-Est du Piton de Bert, indique l’observatoire volcanologique dans son bulletin de 9h. Une localisation précise obtenue suite au survol de reconnaissance réalisé ce matin avec le concours de la Section Aérienne de Gendarmerie.

    La hauteur de l’évent éruptif a été estimée à une dizaine de mètres. "Une activité modérée a été observée au niveau de l’évent d’où s’échappe des fontaines de lave d’une 20-30aine de mètres de haut, et des coulées actives (...). L’extension des coulées reste limitée et se partage en plusieurs bras actifs", indique le bulletin, qui précise qu’à 7h40 les bras actifs avaient parcourus entre 600 et 750m de distance par rapport à l’évent éruptif.

  • Bien moins connu que le Vésuve, les Champs Phlégréens, à une vingtaine de kilomètres à l’ouest de Naples, montrent des signes de réveil.

  • Une recrudescence de l’activité sismique près de la faille de San Andreas, en Californie, inquiète les scientifiques. Elle pourrait annoncer un “big one”, un tremblement de terre de grande ampleur.

    Près de 200 séismes de faible magnitude (de 1,4 à 4,3 sur l’échelle de Richter) ont été enregistrés depuis une dizaine de jours sous le lac salé de Salton, en Californie. Leur épicentre se situe à seulement 6 km de l’extrémité sud de la faille de San Andreas qui court sur 1 300 km le long de la côte californienne. Cette activité, estiment les sismologues, pourrait être le prélude d’un tremblement de terre bien plus important, un big one.

    Cette zone est en sommeil depuis plus de trois siècles. Une durée anormalement longue au regard de l’histoire. Les scientifiques estiment que les séismes de grande ampleur s’y produisent en moyenne tous les 150 ou 200 ans.

  • Et il y a aussi les tremblements de terre...

    L’Italie centrale les multiplie...

    Un tremblement de terre a été ressenti à La Réunion, d’une intensité de 2,5 sur l’échelle de Richter, il a été ressentie principalement à Saint-Paul, Saint-Denis et Trois-Bassins. Un séisme de magnitude 7,9 a frappé, dimanche 22 janvier, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, a annoncé l’institut d’études géologiques américain USGS.

    Début janvier 2017, un séisme d’une magnitude de 3,7 sur l’échelle de Richter a été enregistré samedi matin vers 7 h 30 dans le centre de la Bretagne.

    Selon le Réseau national de surveillance sismique, le point d’impact de ce tremblement de terre, situé à une profondeur de 10 km, se trouvait dans un triangle compris entre les communes de Loudéac (Côtes d’Armor) et celles de Pontivy et Josselin (Morbihan).

    Fin janvier 2017, un légère secousse a été enregistrée dans la nuit de samedi à dimanche dans le parc du Mercatour. Le tremblement de terre, dont l’épicentre se situe entre Saint-Martin-Vésubie et Valdeblore, a eu lieu à 4h43.

    Selon le réseau national de surveillance sismique, la magnitude enregistrée est de 2.5.

    Le tremblement de terre s’est produit vers 15 h 30 (5 h 30 à Paris) à 40 kilomètres à l’ouest de Panguna, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, à 153 kilomètres de profondeur, a précisé l’USGS.

    Samedi 9 avril, tard dans la soirée, les habitants de la vallée de Chamonix ont ressenti un tremblement de terre mineur. D’une magnitude de 3,0 sur l’échelle de Richter, ce séisme s’est produit à 23h19 et a été, malgré sa faible puissance, ressenti jusqu’en Suisse par de nombreux habitants.

    Et aussi en Israël : http://alyaexpress-news.com/tremblement-de-terre-a-ete-ressenti-a-travers-pays/

    En Australie : http://sport24.lefigaro.fr/tennis/open-australie/actualites/tremblement-de-terre-a-melbourne-avec-la-sortie-de-piste-d-andy-murray-842514

    A Madagascar : http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/tremblement-de-terre-fortes-secousses-a-madagascar/

    etc, etc...

  • Les autorités du Vanuatu ont ordonné jeudi l’évacuation obligatoire de l’île entière en raison du réveil du volcan Manaro Voui qui fait planer la menace d’une éruption majeure.

  • C’est la première fois de mémoire d’homme qu’une île de l’archipel doit être intégralement évacuée en raison d’un volcan, a dit le bureau de gestion des catastrophes naturelles (NDMO) du Vanuatu. "Nous avons la capacité maritime ici au Vanuatu de déplacer 11.000 personnes", a déclaré à l’AFP le directeur du NDMO, Shadrack Welegtabit.

    Depuis lors, la plupart des habitants d’Ambae vivent dans des centres d’hébergement d’urgence.

    Les efforts se sont concentrés jusqu’à présent sur l’évacuation mais il faudra rapidement renforcer l’aide à destination de ces centres, a ajouté le porte-parole.

    Ces centres "commencent à gérer la situation" mais "nous allons devoir intervenir rapidement, nous devons rassembler les ressources pour fournir les abris, l’eau, les vivres et installations sanitaires dont les gens ont besoin".

    Et là, bien entendu, l’argent des donneurs se fait attendre...

  • Quelque chose s’est passé ces derniers jours avec la caldeira du volcan Bardarbunga situé sous le glacier de Vatnajökull, le plus grand d’Islande. Pour cette raison le géophysicien Pall Einarssonn a exprimé son inquiétude.

    Pour l’Amérique et l’Europe la peur des volcans islandais remonte à l’éruption en 2010 de l’Eyjafjallajökull qui a causé un nuage de cendres et paralysé plus de 20 000 vols, entraînant une perte de plusieurs millions de dollars.

    Quelque chose de similaire va-t-il se passer avec le Bardarbunga ? Certains géologues ont analysé cette possibilité après que les sismographes islandais ont eu enregistré deux séismes de 4,7 degrés sur l’échelle de Richter, les 26 et 27 octobre.

  • Pall Einarssonn de l’Université d’Islande, a déclaré à Wazir que les tremblements de terre des 26 et 27 octobre ont été les plus forts en intensité depuis 2015.

    « Il n’y a jamais eu rien de tel jusqu’à ce soir-là, a dit Einarssonn, cela montre simplement que le processus se poursuit très activement (…) Bárdarbunga se prépare pour le prochain épisode de cette séquelle qui peut se faire de plusieurs façons. C’est un volcan très polyvalent », a-t-il ajouté.

    Le géophysicien a rappelé que l’éruption précédente du volcan s’est produite en août 2014 et s’est terminée le 27 février 2015, alors qu’aucun éblouissement n’avait été détecté sur la caldeira, ce fut l’événement le plus important en 230 ans. Ce qui se passe actuellement, c’est que le Bardarbunga est tout simplement entré dans une nouvelle étape, les scénarios peuvent être nombreux et inconnus. Il n’existe pas de références à long terme qui puissent clarifier les prévisions.

    Selon Pall Einarssonn on ne sait pas quand, mais « il est évident que le Bardarbunga se prépare pour une prochaine éruption… ce qui est important c’est de rester vigilant ».

    Parmi les dangers identifiés par Pall Einarssonn il y a le flux de lave dans la région de Veiðivötn qui peut affecter la production d’électricité du pays et couvrir de vastes zones de pêche. La lave qui coule en direction de Veiðivatna est également inquiétante.

  • Y a t-il tellement de volcans actuellement actifs ?

  • Eh oui, en voici une liste :

    • Stromboli (Eolian Islands, Italy)
    • Etna (Sicily, Italy)
    • Campi Flegrei (Phlegrean Fields) (Italy)
    • El Hierro (Canary Islands)
    • Katla (Southern Iceland)
    • Askja (Central Iceland)
    • Hekla (Iceland)
    • Krísuvík (Southwestern Iceland)
    • Brennisteinsfjöll (Reykjanes Peninsula, SW Iceland)
    • Ol Doinyo Lengai (Tanzania)
    • Erta Ale (Ethiopia)
    • Nyiragongo (DRCongo)
    • Nyamuragira (DRCongo)
    • Nabro (Eritrea)
    • Piton de la Fournaise (La Réunion)
    • Karangetang (Siau Island, Sangihe Islands, Indonesia)
    • Dukono (Halmahera, Indonesia)
    • Lokon-Empung (North Sulawesi & Sangihe Islands, Indonesia)
    • Soputan (North Sulawesi, Indonesia)
    • Semeru (East Java, Indonesia)
    • Batu Tara (Sunda Islands, Indonesia)
    • Krakatau (Sunda Strait, Indonesia)
    • Marapi (Western Sumatra, Indonesia)
    • Gamkonora (Halmahera, Indonesia)
    • Gamalama (Halmahera, Indonesia)
    • Lewotobi (Flores, Indonesia)
    • Sirung (Pantar Island, Indonesia )
    • Rinjani (Lombok, Indonesia)
    • Sangeang Api (Indonesia)
    • Ijen (East Java, Indonesia)
    • Merapi (Central Java, Indonesia)
    • Papandayan (West Java, Indonesia)
    • Tangkubanparahu (West Java, Indonesia)
    • Talang (Sumatra, Indonesia)
    • Slamet (Central Java, Indonesia)
    • Sinabung (Sumatra, Indonesia)
    • Kerinci (Sumatra, Indonesia)
    • Cleveland (Alaska)
    • Iliamna (Cook Inlet (SW Alaska))
    • Little Sitkin (Western Aleutian Islands)
    • Yellowstone (Wyoming, USA)
    • South Sister (Oregon)
    • Santa María / Santiaguito (Guatemala)
    • Fuego (Guatemala)
    • Popocatépetl (Central Mexico)
    • San Cristobal (Nicaragua)
    • Telica (Nicaragua)
    • Masaya (Nicaragua)
    • Concepción (Nicaragua)
    • Rincón de la Vieja (Costa Rica)
    • Irazu (Costa Rica)
    • Soufriere Hills (Montserrat, West Indies (UK))
    • Pacaya (Guatemala)
    • San Salvador (El Salvador)
    • San Miguel (El Salvador)
    • Apoyeque (Nicaragua)
    • Arenal (Costa Rica)
    • Poas (Costa Rica)
    • Turrialba (Costa Rica)
    • Popocatépetl (Mexico)
    • Villarrica (Central Chile and Argentina, South America)
    • Reventador (Ecuador)
    • Sangay (Ecuador)
    • Ubinas (Peru)
    • Tungurahua (Ecuador)
    • Nevado del Ruiz (Colombia)
    • Machin (Colombia)
    • Nevado del Huila (Colombia)
    • Sotará (Colombia)
    • Galeras (Colombia)
    • Cumbal (Colombia)
    • Cuicocha (Ecuador)
    • Reclus (Southern Chile and Argentina, South America)
    • Chaitén (Southern Chile and Argentina, South America)
    • Puntiagudo-Cordón Cenizos (Central Chile and Argentina, South America)
    • San Pedro-Pellado (Central Chile and Argentina, South America)
    • Chiliques (Northern Chile, Bolivia and Argentina, South America)
    • El Misti (Peru)
    • Erebus (Antarctica)
    • Siple (Marie Byrd Land, Western Antarctica)
    • Kilauea (Hawai’i)
    • Ulawun (New Britain, Papua New Guinea)
    • Manam (Papua New Guinea)
    • Yasur (Tanna Island, Vanuatu)
    • Ambrym (Vanuatu )
    • Bagana (Bougainville Island, Papua New Guinea)
    • Langila (New Britain, Papua New Guinea)
    • Mauna Loa (Big Island, Hawai’i)
    • Pagan (Mariana Islands)
    • Lamington (New Guinea, Papua New Guinea)
    • Karkar (Northeast of New Guinea, Papua New Guinea)
    • Rabaul (Tavurvur) (New Britain, Papua New Guinea)
    • Tongariro (North Island, New Zealand)
    • White Island (New Zealand)
    • Havre Seamount (Kermandec Islands)
    • Monowai (Kermandec Islands, New Zealand)
    • Gaua (Vanuatu )
    • Tinakula (Santa Cruz Islands, Solomon Islands)
    • Plosky Tolbatchik (Kamtachtka)
    • Shiveluch (Kamchatka)
    • Kliuchevskoi (Kamchatka)
    • Bezymianny (Kamchatka, world)
    • Kizimen (Eastern Kamchatka (Russia))
    • Karymsky (Kamchatka)
    • Sakurajima (Kyushu, Japan)
    • Gorely (Southern Kamchatka)
    • Aso (Kyushu, Japan)
    • Kirishima (Kyushu, Japan)
    • Suwanose-jima (Ryukyu Islands, Japan)
    • Iwo-jima (Volcano Islands, Japan)
    • Grozny (Iturup Island, Kuril Islands)
    • Tiatia (Kunashir Island, Kuril Islands)
    • Mt Fuji (Honshu, Japan)
    • Kuchinoerabu-jima (Ryukyu Islands, Japan)
    • Taal (Luzon, Philippines)

  • Une nouvelle éruption de plus ! Le 11 octobre 2017, le volcan japonais Shinmoedake de l’île Kyushu est entré en éruption. Il y a un risque d’éruption explosive avec envoi dans les airs d’une masse de poussières qui bloque l’espace aérien.

  • Les données recueillies par la Smithsonian Institution soutiennent le fait que, depuis une vingtaine d’années, un nombre toujours plus grand de volcans sont en éruption dans le monde entier !

  • Bien des gens n’imaginent l’évolution du volcanisme terrestre que comme des éruptions indépendantes et régulières en moyenne (tout en étant imprédictibles) et aussi comme un lent déclin inéluctable mais toute l’histoire de la Terre nous montre des brutales poussées de volcanisme à grande échelle qui ont donné les grands trapps, ce qui suppose que cette activité qui donne naissance au volcanisme aurait des hauts et des bas et ne serait pas aussi continue ni déclinante qu’on nous le dit souvent.

  • Mt Ruapehu, Öræfajökull, Kanlaon, Mount Agung, Popocatépetl, Mexico, les éruptions se multiplient...

  • Les "super éruptions" volcaniques, pouvant menacer notre civilisation en rejetant des milliards de tonnes de cendres dans l’air, sont susceptibles de se produire plus fréquemment qu’on ne le pensait, affirme une étude basée sur des données statistiques.

    Une équipe de l’université d’Oxford a calculé que le laps de temps estimé entre deux "super éruptions" serait en moyenne d’environ 17.000 ans. "C’est substantiellement plus court que les estimations précédentes", souligne cette étude parue mercredi dans la revue Earth and Planetary Science Letters. Cela "indique que les volcans représentent pour notre civilisation humaine un risque plus grand qu’on ne le pensait", ajoute le texte.

    Les précédentes estimations de fréquence de ces cataclysmes réalisées en 2004, considéraient que les super éruptions se produisaient en moyenne tous les 45.000 à 714.000 ans, indique Jonathan Rougier, professeur de sciences statistiques à l’Université d’Oxford et principal auteur de l’étude.

    "Nous avons réévalué cet intervalle que nous situons désormais entre 5000 et 48.000 ans, la fréquence la plus probable étant de 17.000 ans", ajoute-t-il.

    Les super éruptions sont donc "beaucoup plus fréquentes qu’on ne le pensait précédemment tout en restant très rares", déclare ce chercheur à l’AFP.

    Les volcanologues qualifient de "super éruptions" les gigantesques éruptions explosives, capables de rejeter au moins 1000 gigatonnes (mille milliards de tonnes) de matière volcanique dans l’atmosphère. Soit assez pour recouvrir de cendres un continent, assombrir le ciel durablement et refroidir le climat de la planète pour des décennies.

    La dernière super éruption recensée sur la planète est celle du Taupo en Nouvelle-Zélande, il y a environ 25.000 ans. Il y a eu également celle de Aira au Japon il y a quelque 27.000 ans. Chacune avait éjecté environ 1.000 gigatonnes de débris et de cendres dans l’air.

    "D’une certaine façon, nous avons eu de la chance de ne pas avoir connu de super éruption depuis", relève Jonathan Rougier.

  • Environ 600 habitants d’une minuscule île au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée ont été évacués après l’éruption d’un volcan que les spécialistes croyaient endormi, ont annoncé les autorités et les médias.
    Le volcan de plus de 500 mètres de haut, situé sur l’île de Kadovar, au nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée, s’est réveillé vendredi, a déclaré à l’AFP Chris Kearney, prévisionniste du Centre d’observation des cendres volcaniques (VAAC) de Darwin. "Depuis, il émet un panache continuel (de cendres) en direction de l’ouest-nord-ouest", essentiellement au dessus de l’océan, a-t-il poursuivi.

    Après un sommeil d’au moins 400 ans, le volcan Sinabung s’est réveillé en 2013 et crache des flammes et d’épaisse colonnes de fumée.
    Le volcan Sinabung, sur l’île indonésienne de Sumatra, a craché des flammes et une épaisse colonne de cendres brûlantes très haut dans l’atmosphère cette semaine, dans la plus grande éruption de l’année, a indiqué vendredi un responsable local.
    L’aéroport international de Bali, haut lieu du tourisme en Indonésie, était fermé mardi pour le second jour consécutif à cause du risque d’éruption d’un volcan qui crache d’immenses panaches de cendres, bloque des milliers de touristes et provoque des évacuations massives. Des dizaines de milliers d’habitants effrayés ont fui leur maison aux alentours du mont Agung, où les autorités ont décrété le niveau d’alerte maximum et prévenu qu’il pourrait connaître une éruption majeure à tout moment. Le volcan émet des spectaculaires colonnes d’épaisse fumée grise depuis plusieurs jours et les avions resteront cloués au sol jusqu’à au moins mercredi matin. "Le Centre d’avis en cendres volcaniques de Darwin (Australie) montre que les couloirs aériens sont pleins de cendres volcaniques, c’est dangereux pour les avions", a expliqué Wisnu Darjono, de l’agence de contrôle aérien AirNav.
    Six volcans sont particulièrement menaçants : au Japon, en Indonésie, en Islande, au Mexique, au Chili et aux Etats-Unis…

    voir ici

  • Le dimanche 12 janvier dernier, Taal, l’un des volcans les plus dangereux du monde, est entré en éruption. Ce volcan, qui se trouve aux Philippines, est assez puissant pour recouvrir presque tout le pays de cendre, incluant Manille la capitale.

  • Le volcan Popocatépetl, situé au centre du Mexique, est brutalement entré en éruption ce jeudi 9 janvier, sous l’objectif des webcams qui le surveillent. L’explosion, qui a duré environ 90 minutes, était visible à des kilomètres à la ronde. Elle s’est accompagnée de projections de cendres et de pierres incandescentes, générant une colonne de fumée de plus de 8.000 mètres.

  • Plus d’un mois après l’éruption sur l’île volcanique de White Island, en Nouvelle-Zélande, le bilan est monté à 20 morts.

  • Le volcan La Cumbre, située sur l’île inhabitée de Fernandina de l’archipel des Galapagos, est en éruption.

  • Le volcan Anak Krakatau est entré en éruption !

  • A Mayotte, l’énorme volcan sous-marin dispose d’une chambre magmatique inédite !

  • Le bilan de l’éruption soudaine du volcan de White Island, en Nouvelle-Zélande, s’est alourdi à une vingtaine de morts

  • Eruptions volcaniques à Hawaï, en Indonésie, La Réunion, Etna, Nouvelle Zélande, Whakaari White Island, Klyuchevskoy, Popocatépetl, Semeru, Dukono,...

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