Indonésie : les autorités d’Etat laissent crever les victimes du tsunami
26 décembre 2018, 07:45
Voilà les témoignages que l’on pouvait lire lors du séisme précédent de septembre :
Le déploiement de l’aide est placé sous le contrôle étroit de l’armée. Trois jours après le séisme, elle a reçu l’ordre du tirer à vue sur les « pillards ». Les secouristes français présents fournissent du matériel, mais n’ont pas le droit de participer directement aux opérations : « L’armée bloque tout. Nous sommes venus livrer du matériel, et nous ne pouvons rien faire d’autre. Pas de missions de sauvetage, pas de tentatives de recherche des survivants parmi les décombres […] Ce qui nous surprend aussi, c’est qu’une semaine seulement après la catastrophe, il ne semble plus y avoir de recherches de survivants. »
Voilà les témoignages que l’on pouvait lire lors du séisme précédent de septembre :
Le déploiement de l’aide est placé sous le contrôle étroit de l’armée. Trois jours après le séisme, elle a reçu l’ordre du tirer à vue sur les « pillards ». Les secouristes français présents fournissent du matériel, mais n’ont pas le droit de participer directement aux opérations : « L’armée bloque tout. Nous sommes venus livrer du matériel, et nous ne pouvons rien faire d’autre. Pas de missions de sauvetage, pas de tentatives de recherche des survivants parmi les décombres […] Ce qui nous surprend aussi, c’est qu’une semaine seulement après la catastrophe, il ne semble plus y avoir de recherches de survivants. »