La stratégie syndicale de la défaite et la stratégie révolutionnaire de la victoire
9 février 2020, 05:56, par GMI
Le PCF, le PCRF, LFI, le NPA, LO, le POI, le POID, la FCL…, qui font partie des appareils des syndicats, ont tous déclaré que « si les journées d’action ne suffisaient pas », il fallait donc les « compléter avec les grèves reconductibles » à la base, s’ingéniant à opposer à la grève générale des formules caoutchouc comme « préparons la riposte générale » (LO), « généraliser la grève reconductible » (NPA et FCL), tout en couvrant intégralement les journées d’action décidées par les bureaucraties syndicales contre à la grève générale et sans dire un seul mot de la nécessité d’imposer aux directions syndicales la rupture des négociations ! Ils ont parfois fait taire les travailleurs qui réclamaient la grève générale dans les AG et dans les syndicats.
Certains d’entre eux ont participé aux « actions coup de poing » des directions syndicales CGT et SUD, bloquant de l’extérieur, sans qu’il y ait grève à l’intérieur, des établissements ou s’en prenant à la CFDT. Jamais avec l’objectif de bloquer toute l’économie capitaliste, de prendre la bourgeoisie française à la gorge, ce que seule la grève générale permettait. Pour diviser les travailleurs entre eux et pour épuiser les plus combattifs.
Le PCF, le PCRF, LFI, le NPA, LO, le POI, le POID, la FCL…, qui font partie des appareils des syndicats, ont tous déclaré que « si les journées d’action ne suffisaient pas », il fallait donc les « compléter avec les grèves reconductibles » à la base, s’ingéniant à opposer à la grève générale des formules caoutchouc comme « préparons la riposte générale » (LO), « généraliser la grève reconductible » (NPA et FCL), tout en couvrant intégralement les journées d’action décidées par les bureaucraties syndicales contre à la grève générale et sans dire un seul mot de la nécessité d’imposer aux directions syndicales la rupture des négociations ! Ils ont parfois fait taire les travailleurs qui réclamaient la grève générale dans les AG et dans les syndicats.
Certains d’entre eux ont participé aux « actions coup de poing » des directions syndicales CGT et SUD, bloquant de l’extérieur, sans qu’il y ait grève à l’intérieur, des établissements ou s’en prenant à la CFDT. Jamais avec l’objectif de bloquer toute l’économie capitaliste, de prendre la bourgeoisie française à la gorge, ce que seule la grève générale permettait. Pour diviser les travailleurs entre eux et pour épuiser les plus combattifs.