Apeurée par la montée de l’insurrection du peuple travailleur, la bourgeoisie capitaliste déterre la hache de guerre
10 février 2019, 08:28
Une telle violence répressive, personne n’a jamais vu cela dans ce pays !!!
Pour faire face à l’afflux de blessés, l’hôpital Cochin, dans le 14e arrondissement, a ainsi mis en place des mesures d’exception, afin de permettre aux urgences de continuer à tourner malgré les épidémies et le manque de personnel.
Sur sa page Twitter, le documentariste engagé David Dufresne relaie le signalement de plus de 300 blessés graves. Dans cet hospice 2.0, il répertorie mains arrachées, mâchoires brisées et yeux crevés. Sur les réseaux sociaux, des pontes de la médecine comme le Professeur Lantieri -spécialiste de la greffe de visage- dénoncent aussi cette vague de mutilation hors norme.
L’IGPN - la police des polices - a reçu 200 signalements sur sa plate-forme et a été saisie par la justice à 78 reprises.
Mais, si les comparutions de manifestants ont été ultra rapides, aucune de ces enquête n’a mené à un résultat quelconque : le bras armé des classes possédantes a agi sur ordre. Sa violence n’est pas un accident ni un débordement mais un ordre. C’est la guerre de classe que la classe possédantes a déclenché !
Une telle violence répressive, personne n’a jamais vu cela dans ce pays !!!
Pour faire face à l’afflux de blessés, l’hôpital Cochin, dans le 14e arrondissement, a ainsi mis en place des mesures d’exception, afin de permettre aux urgences de continuer à tourner malgré les épidémies et le manque de personnel.
Sur sa page Twitter, le documentariste engagé David Dufresne relaie le signalement de plus de 300 blessés graves. Dans cet hospice 2.0, il répertorie mains arrachées, mâchoires brisées et yeux crevés. Sur les réseaux sociaux, des pontes de la médecine comme le Professeur Lantieri -spécialiste de la greffe de visage- dénoncent aussi cette vague de mutilation hors norme.
L’IGPN - la police des polices - a reçu 200 signalements sur sa plate-forme et a été saisie par la justice à 78 reprises.
Mais, si les comparutions de manifestants ont été ultra rapides, aucune de ces enquête n’a mené à un résultat quelconque : le bras armé des classes possédantes a agi sur ordre. Sa violence n’est pas un accident ni un débordement mais un ordre. C’est la guerre de classe que la classe possédantes a déclenché !