Au deuxième jour de l’opération d’expulsion partielle de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, la violence est clairement montée d’un cran entre gendarmes et zadistes par la volonté des gouvernants français. Très équipés, appuyés de véhicules blindés et de drones, les forces policières et militaires ont tenté d’attaquer violemment les opposants en usant de gaz lacrymogènes, grenades de désencerclement et flash-ball. Les seconds, plus nombreux que la veille, ont répondu par des jets de pierres (à l’aide de frondes ou d’une catapulte artisanale), de cocktails Molotov et de boue.
Au deuxième jour de l’opération d’expulsion partielle de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, la violence est clairement montée d’un cran entre gendarmes et zadistes par la volonté des gouvernants français. Très équipés, appuyés de véhicules blindés et de drones, les forces policières et militaires ont tenté d’attaquer violemment les opposants en usant de gaz lacrymogènes, grenades de désencerclement et flash-ball. Les seconds, plus nombreux que la veille, ont répondu par des jets de pierres (à l’aide de frondes ou d’une catapulte artisanale), de cocktails Molotov et de boue.