L’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM) observe un arrêt de travail de 3 jours, du 9 au 11 janvier, afin de soutenir ses revendications sociales. Il s’agit de la première grève générale du second mandat du président IBK qui en plus de l’amplification des risques sécuritaires, fait face à une montée des revendications sociales.
On est toujours dans la logique des journées d’action, logique syndicale réformiste...
C’est la logique selon laquelle la revendication est... de négocier avec le pouvoir des profiteurs et des corrompus !!!!
Selon le secrétaire général de l’Union, Yacouba Katilé, la rupture des négociations c’est de la responsabilité du gouvernement.
« Le gouvernement, en ouvrant les discussions seulement, le lundi 7 janvier 2019 à 15h, n’entendait pas négocier. »
L’Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM) observe un arrêt de travail de 3 jours, du 9 au 11 janvier, afin de soutenir ses revendications sociales. Il s’agit de la première grève générale du second mandat du président IBK qui en plus de l’amplification des risques sécuritaires, fait face à une montée des revendications sociales.
On est toujours dans la logique des journées d’action, logique syndicale réformiste...
C’est la logique selon laquelle la revendication est... de négocier avec le pouvoir des profiteurs et des corrompus !!!!
Selon le secrétaire général de l’Union, Yacouba Katilé, la rupture des négociations c’est de la responsabilité du gouvernement.
« Le gouvernement, en ouvrant les discussions seulement, le lundi 7 janvier 2019 à 15h, n’entendait pas négocier. »