Cette réponse démontre que vous ne comprenez pas. Bergson conteste les deux visions, le réalisme qui est la vôtre et l’idéalisme qui n’est pas la mienne ni celle de Bergson. Il tente de présenter une autre vision qui est bien entre réalisme et idéalisme et de mon point de vue, il réussit.
"L’objet de notre premier chapitre est de montrer qu’idéalisme et réalisme sont deux thèses également excessives,"
Remarquez qu’il ne dit pas que ces visions sont fausses (réalisme ou idéalisme) mais plutôt excessives. Subtil.
Et voici comment il le fait :
"Toute image est intérieure à certaines images et extérieure à d’autres ; mais de l’ensemble des images on ne peut dire qu’il nous soit intérieur ni qu’il nous soit extérieur, puisque l’intériorité et l’extériorité ne sont que des rapports entre images." Ici, la dualité est dissoute, fusionnée, dans un processus symbiotique.
Cette réponse démontre que vous ne comprenez pas. Bergson conteste les deux visions, le réalisme qui est la vôtre et l’idéalisme qui n’est pas la mienne ni celle de Bergson. Il tente de présenter une autre vision qui est bien entre réalisme et idéalisme et de mon point de vue, il réussit.
"L’objet de notre premier chapitre est de montrer qu’idéalisme et réalisme sont deux thèses également excessives,"
Remarquez qu’il ne dit pas que ces visions sont fausses (réalisme ou idéalisme) mais plutôt excessives. Subtil.
Et voici comment il le fait :
"Toute image est intérieure à certaines images et extérieure à d’autres ; mais de l’ensemble des images on ne peut dire qu’il nous soit intérieur ni qu’il nous soit extérieur, puisque l’intériorité et l’extériorité ne sont que des rapports entre images." Ici, la dualité est dissoute, fusionnée, dans un processus symbiotique.