En réponse à :
7 avril 2016 12:16, par Robert Paris
C’est alors que la vague révolutionnaire protestante gagne véritablement le peuple de France. Il devient alors évident à la royauté et à la noblesse catholique que le bain de sang est inévitable sinon, c’est la défaite assurée.
Le cardinal de Lorraine (l’un des Guise qui sont à la tête de la contre-révolution catholique) déclare :
« Il va falloir appliquer de violents remèdes et user du fer et du feu. »
Pour la première fois, l’idée d’un Saint-Barthélemy massacrant les Protestants en masse est évoquée dans les hautes sphères du (...)