Connaissez-vous Francis Bacon alias Shakespeare ? - Do you know that Shakespeare was Francis Bacon ?
4 novembre 2015, 05:38, par Robert Paris
Comparons quelques adages fameux de Francis Bacon et ceux prêtés à William Shakespeare :
Shakespeare :
« L’amour, sous ses traits naturels, est un enfant aveugle et nu. »
« L’amour est une fumée formée des vapeurs de soupirs. »
Bacon :
« Qui se livre à l’amour renonce à la sagesse. »
« L’amour est l’enfant de la folie. »
Bacon :
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. »
Shakespeare :
« Dès que la calomnie s’est logée quelque part, elle s’y fixe à jamais. »
Bacon :
« Il n’est pas de vertu que la calomnie ne sache atteindre. »
Shakespeare :
Sois aussi chaste que la glace, aussi pure que la neige, tu n’échapperas pas à la comnie. »
Shakespeare :
« A des maux étranges, on applique d’étranges remèdes. »
« Les maux désespérés ont des remèdes désespérés… »
Bacon :
« Celui qui ne saura pas appliquer de nouveaux remèdes devra s’attendre à de nouveaux maux ; car le temps est le plus grand des innovateurs. »
Bacon :
« Le doute est l’école de la vérité. »
Shakespeare :
« Etre dans le doute, c’est déjà être résolu. »
Shakespeare :
« Pour tromper le monde, ressemblez au monde. »
Bacon :
« On ne triomphe de la nature qu’en lui obéissant. »
William Shakespeare :
« L’hérétique n’est point celui qui brûle dans la flamme, mais celui qui allume le bûcher. »
Francis Bacon :
« L’hérétique n’est pas celui que le bûcher brûle, mais celui qui l’allume. »
Bacon, Essais (1625) :
« Le soupçon est parmi nos pensées ce que la chauve-souris est parmi les oiseaux, comme elle, il ne voltige que dans l’obscurité. On ne doit pas l’écouter, ou du moins s’y livrer trop aisément : il obscurcit l’esprit, éloigne nos amis, et fait que l’on marche avec moins de facilité et de constance vers le but. »
Shakespeare :
« Il vaut mieux se tromper tout à fait que d’avoir le moindre soupçon. »
Francis Bacon ; De dignitate et augmentis scientiarum (1605) :
« Mieux vaut se fier aux preuves qu’aux témoins, elles mentent plus rarement. »
Shakespeare :
« Avant de douter, je veux voir ; après le doute, la preuve. »
Shakespeare :
« L’esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l’amitié le console. »
Bacon, De dignitate et augmentis scientiarium (1605) :
« La pire solitude est celle d’un homme qui n’a point d’amis. »
Shakespeare a des questions que se posait le scientifique Bacon !
Shakespeare, Le roi Lear :
« Peux-tu me dire comment une huître fait son écaille ? »
Comparons quelques adages fameux de Francis Bacon et ceux prêtés à William Shakespeare :
Shakespeare :
« L’amour, sous ses traits naturels, est un enfant aveugle et nu. »
« L’amour est une fumée formée des vapeurs de soupirs. »
Bacon :
« Qui se livre à l’amour renonce à la sagesse. »
« L’amour est l’enfant de la folie. »
Bacon :
« Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose. »
Shakespeare :
« Dès que la calomnie s’est logée quelque part, elle s’y fixe à jamais. »
Bacon :
« Il n’est pas de vertu que la calomnie ne sache atteindre. »
Shakespeare :
Sois aussi chaste que la glace, aussi pure que la neige, tu n’échapperas pas à la comnie. »
Shakespeare :
« A des maux étranges, on applique d’étranges remèdes. »
« Les maux désespérés ont des remèdes désespérés… »
Bacon :
« Celui qui ne saura pas appliquer de nouveaux remèdes devra s’attendre à de nouveaux maux ; car le temps est le plus grand des innovateurs. »
Bacon :
« Le doute est l’école de la vérité. »
Shakespeare :
« Etre dans le doute, c’est déjà être résolu. »
Shakespeare :
« Pour tromper le monde, ressemblez au monde. »
Bacon :
« On ne triomphe de la nature qu’en lui obéissant. »
William Shakespeare :
« L’hérétique n’est point celui qui brûle dans la flamme, mais celui qui allume le bûcher. »
Francis Bacon :
« L’hérétique n’est pas celui que le bûcher brûle, mais celui qui l’allume. »
Bacon, Essais (1625) :
« Le soupçon est parmi nos pensées ce que la chauve-souris est parmi les oiseaux, comme elle, il ne voltige que dans l’obscurité. On ne doit pas l’écouter, ou du moins s’y livrer trop aisément : il obscurcit l’esprit, éloigne nos amis, et fait que l’on marche avec moins de facilité et de constance vers le but. »
Shakespeare :
« Il vaut mieux se tromper tout à fait que d’avoir le moindre soupçon. »
Francis Bacon ; De dignitate et augmentis scientiarum (1605) :
« Mieux vaut se fier aux preuves qu’aux témoins, elles mentent plus rarement. »
Shakespeare :
« Avant de douter, je veux voir ; après le doute, la preuve. »
Shakespeare :
« L’esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l’amitié le console. »
Bacon, De dignitate et augmentis scientiarium (1605) :
« La pire solitude est celle d’un homme qui n’a point d’amis. »
Shakespeare a des questions que se posait le scientifique Bacon !
Shakespeare, Le roi Lear :
« Peux-tu me dire comment une huître fait son écaille ? »