Friedrich Hegel, pourtant idéaliste, écrivait dans « Philosophie de la Nature » :
« Non seulement la philosophie ne peut être qu’en accord avec l’expérience naturelle, mais la naissance et la formation de la science philosophique ont la physique empirique pour présupposition et condition. »
Le marxiste est clairement matérialiste. Son emprunt à l’idéaliste Hegel a consisté à changer complètement l’ordre hiérarchique entre le monde de la pensée et le monde réel qui était celui d’Hegel.
Engels écrivait dans « Ludwig Feuerbach » :
« La grande question fondamentale de toute philosophie, et spécialement de la philosophie moderne, est celle ... du rapport de la pensée à l’être, de l’esprit à la nature... la question de savoir quel est l’élément primordial, l’esprit ou la nature... Selon qu’ils répondaient de telle ou telle façon à cette question, les philosophes se divisaient en deux grands camps. Ceux qui affirmaient le caractère primordial de l’esprit par rapport à la nature, et qui admettaient, par conséquent, en dernière instance, une création du monde de quelque espèce que ce fût... formaient le camp de l’idéalisme. »
Friedrich Hegel, pourtant idéaliste, écrivait dans « Philosophie de la Nature » :
« Non seulement la philosophie ne peut être qu’en accord avec l’expérience naturelle, mais la naissance et la formation de la science philosophique ont la physique empirique pour présupposition et condition. »
Le marxiste est clairement matérialiste. Son emprunt à l’idéaliste Hegel a consisté à changer complètement l’ordre hiérarchique entre le monde de la pensée et le monde réel qui était celui d’Hegel.
Engels écrivait dans « Ludwig Feuerbach » :
« La grande question fondamentale de toute philosophie, et spécialement de la philosophie moderne, est celle ... du rapport de la pensée à l’être, de l’esprit à la nature... la question de savoir quel est l’élément primordial, l’esprit ou la nature... Selon qu’ils répondaient de telle ou telle façon à cette question, les philosophes se divisaient en deux grands camps. Ceux qui affirmaient le caractère primordial de l’esprit par rapport à la nature, et qui admettaient, par conséquent, en dernière instance, une création du monde de quelque espèce que ce fût... formaient le camp de l’idéalisme. »