"Le glissement des syndicats vers la droite est dû à l’exacerbation des contradictions sociales et internationales. Les leaders du mouvement syndical sentaient, comprenaient, ou on leur avait fait comprendre, que ce n’était plus le moment de jouer à l’opposition. Chaque mouvement d’opposition au sein du mouvement syndical, et spécialement au sommet, menace de provoquer un formidable mouvement de masses et de créer ainsi des difficultés à l’impérialisme national. Cela motive le glissement des syndicats vers la droite et la suppression de la démocratie ouvrière dans les syndicats, l’évolution vers le régime totalitaire, caractéristique fondamentale de la période."
"Le glissement des syndicats vers la droite est dû à l’exacerbation des contradictions sociales et internationales. Les leaders du mouvement syndical sentaient, comprenaient, ou on leur avait fait comprendre, que ce n’était plus le moment de jouer à l’opposition. Chaque mouvement d’opposition au sein du mouvement syndical, et spécialement au sommet, menace de provoquer un formidable mouvement de masses et de créer ainsi des difficultés à l’impérialisme national. Cela motive le glissement des syndicats vers la droite et la suppression de la démocratie ouvrière dans les syndicats, l’évolution vers le régime totalitaire, caractéristique fondamentale de la période."