Le mythe d’une énergie abondante à bon marché ne résiste plus à l’épreuve des faits. Le nucléaire français est cher, de plus en plus cher. Il suffit pour s’en convaincre d’observer l’évolution du marché européen de l’électricité. En novembre 2012, la France a largement plus importé d’électricité d’Allemagne qu’elle n’en a exporté. Son solde déficitaire s’établit à 870 GWh, soit presque l’équivalent de ce que peut produire un réacteur de la centrale de Fessenheim, révèle l’aperçu sur l’énergie électrique de RTE.
Le mythe d’une énergie abondante à bon marché ne résiste plus à l’épreuve des faits. Le nucléaire français est cher, de plus en plus cher. Il suffit pour s’en convaincre d’observer l’évolution du marché européen de l’électricité. En novembre 2012, la France a largement plus importé d’électricité d’Allemagne qu’elle n’en a exporté. Son solde déficitaire s’établit à 870 GWh, soit presque l’équivalent de ce que peut produire un réacteur de la centrale de Fessenheim, révèle l’aperçu sur l’énergie électrique de RTE.