Ce que nous répondions dans notre éditorial du 26-10-2009 :
"Quand le gouvernement s’attaque aux travailleurs sans-papiers, instrumentalise l’immigration, parle d’ « identité nationale », les organisations syndicales et politiques de « gauche », tout aussi nationalistes que la droite, sont incapables de parler au nom de l’identité internationale des travailleurs qui ne fait plus partie de leurs valeurs. Pourtant le nationalisme est l’ennemi des travailleurs y compris français. N’est-ce pas en son nom qu’en Suisse on est en train, par un curieux retournement des choses, de chasser les travailleurs français, comme des sans-papiers, comme s’ils osaient profiter … du gruyère."
Ce que nous répondions dans notre éditorial du 26-10-2009 :
"Quand le gouvernement s’attaque aux travailleurs sans-papiers, instrumentalise l’immigration, parle d’ « identité nationale », les organisations syndicales et politiques de « gauche », tout aussi nationalistes que la droite, sont incapables de parler au nom de l’identité internationale des travailleurs qui ne fait plus partie de leurs valeurs. Pourtant le nationalisme est l’ennemi des travailleurs y compris français. N’est-ce pas en son nom qu’en Suisse on est en train, par un curieux retournement des choses, de chasser les travailleurs français, comme des sans-papiers, comme s’ils osaient profiter … du gruyère."