La rue ou les urnes, il faut choisir. Notre choix est celui du peuple kazakh !
14 janvier 2022, 11:02, par Éphraïm
Eh voilà à quoi a servi la journée d’inaction du 13 janvier.
Les profs et autres personnels de l’Education ont été utilisés et manipulés par les syndicats.
La journée d’inaction du 13 est bien séparée de la prochaine journée d’inaction du 27 janvier prochain.
La FSU annonçait quelque chose d’historique.
La radio annonçait hier que même la hiérarchie était pour la participation à l’inaction : inspecteurs et autres dirigeants de la machine oppressive de la jeunesse sont cités dans les propos du journaliste.
Eh bien on a vu comment se sont déroulé ces manifs. Une demande de remise en cause des lois liberticides ? La fermeture des écoles ?
Que NENNI !
Les syndicats ont fait venir les candidats aux élections !
Il s’agissait de démarrer la campagne de la gauche capitaliste. Vous savez, celle qui est pour les massacres de masse et les injections, avec retour au gouvernement. LFI, PS, PCF et leurs figures médiatiques.
Et s’ils ne sont pas au second tour, ils appèleront à voter... contre l’extrême droite Le Pen ou Zemmour. Et pour qui donc ? Hé bien pour Macron !!!
Non, notre bulletin de vote n’est pas dans les urnes, il est dans la rue, mais pas derrières les manipulations syndicales. Il s’agit de s’organiser sans les directions syndicales. Elles sont intégrées et inféodées à l’Etat capitaliste. Nous n’avons rien à faire avec elles. Eles soutiennent la vaccination de masse, les différents laissez-passer, les lois liberticides.
Dans la rue, oui, nous devons y aller, mais pas pour prôner d’aller dans les bureaux de vote !
Aller dans la rue pour développer le programme de la révolution. Aller dans la rue pour prôner les comités de travailleurs, les fédérations de comités en communes révolutionnaires avec coordination et fédération nationale et internationale.
Vive la Révolution Kazakhe !
Vive la révolution mondiale !
Non aux soutiens aux dictatures mondiales Kazakhe ou ailleurs.
Qu’ils soient de gauche, de droite, du centre ou d’ailleurs, les politiciens soutiennent tous les dictatures et en particulier celle du Kazakhstan, qui massacre nos frères de classe. Notre camp est celui des travailleurs qui se révoltent et préparent la révolution.
La seule aide que nous pouvons apporter à nos frères insurgés passe par la révolution en France.
Pour que la révolution triomphe, voici pour commencer :
=> dissolution de l’armée, de la police,
=> évacuation des troupes françaises de ses colonies (hypocritement appelées DOM-TOM)
=> retraits des troupes françaises d’Afrique et de tous les pays où elles sont présentes.
Eh voilà à quoi a servi la journée d’inaction du 13 janvier.
Les profs et autres personnels de l’Education ont été utilisés et manipulés par les syndicats.
La journée d’inaction du 13 est bien séparée de la prochaine journée d’inaction du 27 janvier prochain.
La FSU annonçait quelque chose d’historique.
La radio annonçait hier que même la hiérarchie était pour la participation à l’inaction : inspecteurs et autres dirigeants de la machine oppressive de la jeunesse sont cités dans les propos du journaliste.
Eh bien on a vu comment se sont déroulé ces manifs. Une demande de remise en cause des lois liberticides ? La fermeture des écoles ?
Que NENNI !
Les syndicats ont fait venir les candidats aux élections !
Il s’agissait de démarrer la campagne de la gauche capitaliste. Vous savez, celle qui est pour les massacres de masse et les injections, avec retour au gouvernement. LFI, PS, PCF et leurs figures médiatiques.
Et s’ils ne sont pas au second tour, ils appèleront à voter... contre l’extrême droite Le Pen ou Zemmour. Et pour qui donc ? Hé bien pour Macron !!!
Non, notre bulletin de vote n’est pas dans les urnes, il est dans la rue, mais pas derrières les manipulations syndicales. Il s’agit de s’organiser sans les directions syndicales. Elles sont intégrées et inféodées à l’Etat capitaliste. Nous n’avons rien à faire avec elles. Eles soutiennent la vaccination de masse, les différents laissez-passer, les lois liberticides.
Dans la rue, oui, nous devons y aller, mais pas pour prôner d’aller dans les bureaux de vote !
Aller dans la rue pour développer le programme de la révolution. Aller dans la rue pour prôner les comités de travailleurs, les fédérations de comités en communes révolutionnaires avec coordination et fédération nationale et internationale.
Vive la Révolution Kazakhe !
Vive la révolution mondiale !
Non aux soutiens aux dictatures mondiales Kazakhe ou ailleurs.
Qu’ils soient de gauche, de droite, du centre ou d’ailleurs, les politiciens soutiennent tous les dictatures et en particulier celle du Kazakhstan, qui massacre nos frères de classe. Notre camp est celui des travailleurs qui se révoltent et préparent la révolution.
La seule aide que nous pouvons apporter à nos frères insurgés passe par la révolution en France.
Pour que la révolution triomphe, voici pour commencer :
=> dissolution de l’armée, de la police,
=> évacuation des troupes françaises de ses colonies (hypocritement appelées DOM-TOM)
=> retraits des troupes françaises d’Afrique et de tous les pays où elles sont présentes.