La Saint-Barthélemy et le massacre des protestants, une contre-révolution sociale
23 septembre 2016, 17:00, par Robert Paris
Désolé mais les termes ont leur importance et fasciste ne veut nullement dire antisémite. Vous-mêmes expliquez que le fascisme italien ne l’était pas. Pour moi le fascisme n’est pas le fanatisme ni le fanatisme le fascisme. La Saint-Barthélemy, si vous avez lu l’article, n’est pas du fanatisme. C’est un calcul des classes dirigeantes qui ont fait le choix de manipuler violemment les couches moyennes. Le fanatisme religieux n’est pour ces classes dirigeantes qu’un moyen et un prétexte. Il n’a d’importance que pour les couches qui ont été manipulées mais ce n’est pas elles qui ont pris la décision du massacre... tout comme en Allemagne ou dans d’autres situations de fascisme de masse comme au Rwanda.
Désolé mais les termes ont leur importance et fasciste ne veut nullement dire antisémite. Vous-mêmes expliquez que le fascisme italien ne l’était pas. Pour moi le fascisme n’est pas le fanatisme ni le fanatisme le fascisme. La Saint-Barthélemy, si vous avez lu l’article, n’est pas du fanatisme. C’est un calcul des classes dirigeantes qui ont fait le choix de manipuler violemment les couches moyennes. Le fanatisme religieux n’est pour ces classes dirigeantes qu’un moyen et un prétexte. Il n’a d’importance que pour les couches qui ont été manipulées mais ce n’est pas elles qui ont pris la décision du massacre... tout comme en Allemagne ou dans d’autres situations de fascisme de masse comme au Rwanda.