Selon un documentaire diffusé dimanche par la télévision publique russe et où figuraient des interviews avec le président russe Vladimir Poutine, la Russie s’était préparée à une guerre nucléaire après le putsch pro-occidental des 21 et 22 février l’an dernier à Kiev, la capitale ukrainienne.
Poutine a déclaré qu’il était prêt à faire face à « l’évolution des événements la plus défavorable. » Comme l’indique clairement l’entretien, cela fait allusion à une guerre nucléaire véritable avec l’OTAN. Le Kremlin s’était préparé à armer ses forces nucléaires, a déclaré M. Poutine : « Nous étions prêts à le faire. Je parlais avec des collègues occidentaux et leur disais que [la Crimée] est notre territoire historique, que des Russes y vivent, qu’ils étaient en danger, et que nous ne pouvions pas les abandonner ».
Il a ensuite ajouté : « Quant à nos forces nucléaires, elles sont, comme toujours, à cent pour cent prêtes au combat ».
Les implications de la déclaration de Poutine selon laquelle il avait préparé l’armée russe à toute éventualité, sont sidérantes. Washington a toujours refusé de s’engager à un soi-disant « non recours en premier » à l’arme nucléaire. On doit supposer que les forces nucléaires russes avaient été placées en état d’alerte immédiate, prêtes à une riposte à grande échelle aux signes d’une attaque nucléaire de l’OTAN menée par les USA contre la Russie.
Selon un documentaire diffusé dimanche par la télévision publique russe et où figuraient des interviews avec le président russe Vladimir Poutine, la Russie s’était préparée à une guerre nucléaire après le putsch pro-occidental des 21 et 22 février l’an dernier à Kiev, la capitale ukrainienne.
Poutine a déclaré qu’il était prêt à faire face à « l’évolution des événements la plus défavorable. » Comme l’indique clairement l’entretien, cela fait allusion à une guerre nucléaire véritable avec l’OTAN. Le Kremlin s’était préparé à armer ses forces nucléaires, a déclaré M. Poutine : « Nous étions prêts à le faire. Je parlais avec des collègues occidentaux et leur disais que [la Crimée] est notre territoire historique, que des Russes y vivent, qu’ils étaient en danger, et que nous ne pouvions pas les abandonner ».
Il a ensuite ajouté : « Quant à nos forces nucléaires, elles sont, comme toujours, à cent pour cent prêtes au combat ».
Les implications de la déclaration de Poutine selon laquelle il avait préparé l’armée russe à toute éventualité, sont sidérantes. Washington a toujours refusé de s’engager à un soi-disant « non recours en premier » à l’arme nucléaire. On doit supposer que les forces nucléaires russes avaient été placées en état d’alerte immédiate, prêtes à une riposte à grande échelle aux signes d’une attaque nucléaire de l’OTAN menée par les USA contre la Russie.