Justement l’étude des particules dites "élémentaires" (et qui ne le sont pas autrement que par rapport à une interaction donnée) regorge de tels exemples.
Cela signifie que les structures sont issues d’une dynamique, d’une histoire, des interactions entre des contraires couplés.
Quels sont ces contraires : matière et antimatière, durable et éphémère, particules aux charges opposées ou aux spins opposés.
Qu’est-ce qui prouve que ce sont bien celles-ci qui ont tendance à se coupler ?
Déjà le "principe d’exclusion" de Pauli décrète que sont exclus les couplages proches entre particules de même état, par exemple de même spin. Ne peuvent donc coexister dans un même lieu que des particules de spins opposés.
Ensuite, on constate que les particules individuelles ou les structures associant des particules le font en changeant d’état tout en conservant la charge ce qui signifie que le changement ne peut correspondre qu’au gain ou à la perte de couples de contraires.
Il y a sans cesse des changements au sein de la structure par émission ou réception de couples d’opposés : par exemple des mésons (couplage de quarks et antiquarks opposés) pour le proton.
Justement l’étude des particules dites "élémentaires" (et qui ne le sont pas autrement que par rapport à une interaction donnée) regorge de tels exemples.
Cela signifie que les structures sont issues d’une dynamique, d’une histoire, des interactions entre des contraires couplés.
Quels sont ces contraires : matière et antimatière, durable et éphémère, particules aux charges opposées ou aux spins opposés.
Qu’est-ce qui prouve que ce sont bien celles-ci qui ont tendance à se coupler ?
Déjà le "principe d’exclusion" de Pauli décrète que sont exclus les couplages proches entre particules de même état, par exemple de même spin. Ne peuvent donc coexister dans un même lieu que des particules de spins opposés.
Ensuite, on constate que les particules individuelles ou les structures associant des particules le font en changeant d’état tout en conservant la charge ce qui signifie que le changement ne peut correspondre qu’au gain ou à la perte de couples de contraires.
Il y a sans cesse des changements au sein de la structure par émission ou réception de couples d’opposés : par exemple des mésons (couplage de quarks et antiquarks opposés) pour le proton.