La mobilisation populaire dirige fermement Moubarak vers la sortie, qu’il le veuille ou pas...
8 février 2011, 03:41, par ali
Au quatorzième jour de la contestation du régime, alors que le nouveau gouvernement se réunissait au complet, des milliers de personnes ont continué d’occuper la place Tahrir (Libération), au coeur de la capitale, pour exiger le départ immédiat du raïs.
De nombreux jeunes protestataires disent ne rien attendre des consultations engagées entre le vice-président Omar Souleimane et l’opposition, et veulent poursuivre la "Révolution du Nil".
"Je rejette le dialogue. Nous ne reconnaissons pas ce gouvernement. Moubarak doit partir, le despote doit partir, et nous ne bougerons pas d’ici tant qu’il restera", déclare Sayyed Abdel-Hadi, un comptable de 28 ans. "Nous ne voulons pas de Souleimane, c’est le symbole du régime de Moubarak. S’il devient président, nous ferons une autre révolution", renchérit Oussama Gamal, un enseignant de 22 ans.
Au quatorzième jour de la contestation du régime, alors que le nouveau gouvernement se réunissait au complet, des milliers de personnes ont continué d’occuper la place Tahrir (Libération), au coeur de la capitale, pour exiger le départ immédiat du raïs.
De nombreux jeunes protestataires disent ne rien attendre des consultations engagées entre le vice-président Omar Souleimane et l’opposition, et veulent poursuivre la "Révolution du Nil".
"Je rejette le dialogue. Nous ne reconnaissons pas ce gouvernement. Moubarak doit partir, le despote doit partir, et nous ne bougerons pas d’ici tant qu’il restera", déclare Sayyed Abdel-Hadi, un comptable de 28 ans. "Nous ne voulons pas de Souleimane, c’est le symbole du régime de Moubarak. S’il devient président, nous ferons une autre révolution", renchérit Oussama Gamal, un enseignant de 22 ans.