La musique dite « classique », qui va en fait du baroque au romantique, a, à tort une réputation d’élitisme, mais elle est née d’un élan de liberté à l’époque des révolutions sociales et politiques en Europe…
Elle est ainsi passée d’un art essentiellement vocal et religieux à un art profane, effectivement élitiste d’abord, mais ensuite populaire et guidé par le seul plaisir des sens. Et le changement est radical : c’est désormais le grand public qui détermine le succès d’une œuvre.
L’élan de la musique européenne, qu’elle soit baroque, classique ou romantique, a été porté par la dynamique de la société issue de l’innovation, de la liberté et de la révolution apportée par la lutte de la bourgeoisie et des couches populaires pour transformer le monde.
Musique classique et révolution
La musique dite « classique », qui va en fait du baroque au romantique, a, à tort une réputation d’élitisme, mais elle est née d’un élan de liberté à l’époque des révolutions sociales et politiques en Europe…
Elle est ainsi passée d’un art essentiellement vocal et religieux à un art profane, effectivement élitiste d’abord, mais ensuite populaire et guidé par le seul plaisir des sens. Et le changement est radical : c’est désormais le grand public qui détermine le succès d’une œuvre.
L’élan de la musique européenne, qu’elle soit baroque, classique ou romantique, a été porté par la dynamique de la société issue de l’innovation, de la liberté et de la révolution apportée par la lutte de la bourgeoisie et des couches populaires pour transformer le monde.