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39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

1er mai 2016, 14:19, par Vidović

LE CYCLE DE LA LUMIERE NOIRE
DE L’AMORCE A L’ABOUTISSEMENT

La protomatière, amorcée dans les primes structures de la matière passe de l’état immuable dans l’état définissable en application des coordonnées espace/temps et de l’unicité de chaque élément de base s’associe a d’autres émanations compatibles pour former des structures des éléments que nous connaissons depuis peu de temps.

Depuis que l’homme essaie de comprendre le monde en fonction duquel est fait son organisme, la lumière était l’émanation qui se manifestait a la surface de la terre, depuis le sous-sol terrestre et dans les aires, et surtout dans l’espace. En plus de la manifestation propres a toutes ces lumières - les corps célestes et la foudre, entre autres, n’ont été qu’admirées ou craintes, mais le conscient de l’homme a amorce sa compréhension de tout ce qui est lumière et luminosité qu’a partir de la compréhension en quoi consistait la différence de la lumière froide et chaude, et surtout de la foudre - lumière froide qui brûle et amorce la combustion.

Ces impressions et ensuite la compréhension des lumières ont été, sans doute, le début de la dissociation des notions de : certain, improbable, possible et pragmatique. On ne peut que spéculer sur la longueur du temps ou l’homme observait, sentait et adoptait son environnement dans l’abri naturel ou il a appris que le feu qui éclaire et le feu qui chauffe pouvaient le protéger du péril et même servir pour se chauffer et apprêter sa nourriture de cueilleur et de chasseur. C’est sans doute dans cette première ambiance de l’homme sédentarisé que la civilisation a pris son amorce jusqu’à être habile - de dessiner su les parois les scènes du bien et du mal pour vivre constamment dans l’adoration du danger représente par lui même.

Il est difficile de deviner en spéculant sur nombre de manière des premiers hommes de se maintenir en vie sans connaitre la certitude aussi bien dans le sens utile et positif que dans le sens périlleux et imprévisible. Cette approche de la nature environnante et l’interrogation qui cherche l’accord entre les manifestations de la nature et la compréhension de son effet sur la vie et la survie de l’homme et de sa smala, a peu évolue jusqu’à notre temps ou on a a peine entamé la notion de la non opposition entre le réel et le virtuel. Autant les interrogations sur la nature environnante était source de l’angoisse de nos ancêtres, autant de nos jours reste un flou et pensée incertaine de notre interrogation sur l’amorce et l’aboutissement de la matière dont le monde est fait, dont nous sommes faits.

Il n’y a, du reste, pas longtemps ou on a appris a comprendre intuitivement ce que l’optique ne nous permettait pas - l’amorce de la lumière et la découverte de la force qu’elle émane (de l’électricité et du magnétisme). Disons que pur tout prendre, tout le reste qu’on a compris dans le domaine infinitésimal, microscopique et telescopique ne serait point faisable sans la compréhension du comportement de l’infiniment petit ou s’amorce la lumière et par la toutes les structures de la matière visible, palpable et observable grâce aux ustensiles appropries a notre pouvoir naturel de l’optique. Autre question nous met en garde face a d’innombrables illusions optiques.

Ayant compris les structures de la matière depuis l’amorce jusqu’à l’aboutissement, on na pas épuisé notre pouvoir intuitif qui va très au delà de l’optique. La découverte que même dans notre espace sidéral la matière ne représente qu’un relativement faible pourcentage de l’espace, on ne cesse de s’interroger sur - la structure du vide - dont la matière même est faite pour l’essentiel.

Or, comme la matière s’amorce depuis l’infiniment petit et se construit avec les primes particules dans toute la complexité jusqu’à en arriver au stade de l’épuisement, voir du retour a l’état dont toutes ses structures tirent leur origine - on a compris qu’il y a lieu de faire la différence entre la matière et la proto-matière dont la matière tire son origine, en faisant dans la pleine complexité son ’épaisseur’, pour retourner a cet état de son origine qu’on a du mal a nommer autrement que - la proto-matière.

REINVERSION DE LA LUMIERE

Est tout aussi légitime de rester dans la même logique en se demandant - si la matière se manifeste dans sa prime structure comme une lumière qui vient de ’l’espace noir’, une fois que les primes particules avec leur unicité absolue, arrivent a passer toute l’épaisseur de la matière pour ne plus être la continuation de l’émanation de la lumière, mais son inversion - en quoi consiste le retour de la proto-matière dans son état d’origine - non mesurable en application des coordonnées espace/temps - qu’en est-il de cette anti-diffusion et comment être sur qu’elle a bel et bien lieu y compris dans notre optique ?

On est la dans l’amorce du chapitre de découverte intuitive de la LUMIERE NOIRE. D’aucuns essaient de spéculer en disant que la nuit l’immensité de l’espace sidéral nous offre une vision très pauvre de la matière lumineuse dans la totalité de la lumière noire a défaut de la ’matière noire’ (a quoi d’aucuns donnent nombre de supposées propriétés et autant d’appellation.

DISONS : La lumière noire est la proto-matière qui a traverse toute l’épaisseur de la matière, libérée des primes structures de la matérialisation ’par aspiration, combustion et libération’ pour se retrouver dans leur état originel de la proto-matière mais en retournant a l’état d’origine dans un parfait ordre de déstructuration là aussi par le procède inverse de l’aspiration .

Pour pouvoir admettre cet échange de l’énergie entre deux éléments (ici et, ne serait-ce que pour le moment) un troisième etc éléments non seulement ne s’imposent pas, mais du moins dans cet échange il n’y a point de nécessite logique pour en supposer une existence quelconque.

Des l’amorce des primes structures de la matière, disons le encore une fois, jusqu’à la traverser de toutes les structures de l’épaisseur de la matière, c’est la fréquence des primes grains de la matière, la lumière donne l’impression a notre optique que la matière est blanche. Or, la quasi totalité du monde environnant est blanc lorsque le Soleil nous éclaire et noire la nuit durant. C’est la source de la lumière qui émane la ’matière blanche’ qui vient de la focalisation de la proto-matière par émanation plus au moins profusionnelle de tout ce qui est le ciel étoile grâce a la propagation par la proto-matière qui s’avère être le plus parfait conducteur de la lumière et autres fréquences que nous connaissons ou supposons être.

La se pose une question et non mineure : que devient l’énergie sortant libérée des structures de la matière ? Elle est certainement invisible car elle n’a plus la charge de l’énergie émanante mais poursuit sa manifestation sans doute a l’oppose des fréquences interstellaires dans toute la splendeur des fréquences apparantées a la lumière primaire.

On pourrait dans ces rapports de l’inversion qualifier la LUMIERE NOIRE de l’anti-lumière qui, pour se libérer totalement de toutes les structures et leurs émanations de la matière, coordonner leur RETRECISSEMENT QUANTIQUE de manière a ne plus être tributaire des structures matérielles. Et comme la lumière émane des sources des lumières (étoiles etc), la lumière noire, dans l’opposition de la logue de l’émanation, allant de l’infiniment grand parsemée des particules de la matières, vers l’effacement de l’espace et en réduisant le temps a l’effacement - se regroupe dans des zones de l’espace sidéral ou est l’activité de la lumière ’blanche’ la plus forte en circ-concentration et se met a graviter vers ce qu’on appelle - LE TROU NOIR.

Les ’trous noirs’ ne mangent pas les particules de la matière, elles reçoivent l’énergie qui a traverse toutes les structures de la matière et les libère de l’aspiration de la matière pour qu’elles se retrouvent dans leur ELEMENT D’ORIGINE - l’inconcevable, mais logique ! unicité de l’infiniment petit et de l’infiniment grand.

NOTA : Pour d’aucuns (et cela depuis Roger Boskovic) ces deux éléments (matière et protomatière) seraient les structures majeures des ’mondes parallèlles’.

On ne s’en tient qu’a ce qui est logique - intuitivement concevable et probables et on laisse a d’autre la spéculation avec les notions ésotériques.

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