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La vaccination forcée impose « un bonheur insoutenable » !!

jeudi 14 octobre 2021, par Robert Paris

La vaccination forcée impose « un bonheur insoutenable » !!!

Le monde capitaliste s’oriente progressivement vers la vaccination permanente obligatoire.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/07/13/covid-19-quels-pays-ont-choisi-d-imposer-la-vaccination_6088160_3244.html

La vaccination qui stérilise, Ira Levin l’a-t-il inventée de toutes pièces dans son roman de science fiction « Un bonheur insoutenable » ? Non, c’est le capitalisme qui l’a mise mondialement en place !

http://www.matierevolution.fr/spip.php?article6096

La dictature sanitaire a une histoire :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dictature_sanitaire

Et une réalité actuelle :

https://www.google.fr/search?hl=fr&q=dictature+sanitaire+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.fr+OR+site%3Ahttp%3A%2F%2Fwww.matierevolution.org&btnG=Recherche&meta=

Big Brother Uni s’appelle Gates-Microsoft-Big Pharma :

https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6152

« Un bonheur insoutenable » d’Ira Levin :

« — Nous sommes devenus plus forts en médecine et en
chimie, dit Copeau. Maintenant, les traitements sont efficaces…

— Écoute-moi, Li, dit Bob en se penchant vers lui. Les diverses substances qui entrent dans les traitements sont très difficiles à fabriquer et coûtent très cher. Si on en donnait
réellement à tous les membres âgés autant qu’il leur en faudrait, il n’en resterait peut-être plus assez pour les jeunes, qui sont quand même plus importants pour la Famille. Et si nous fabriquions suffisamment de substances chimiques pour satisfaire tout le monde, nous serions obligés de négliger des tâches plus importantes. Uni sait quelle quantité de chaque chose existe, et de combien chacun a besoin…

— Répète-toi sans cesse (c’était la jeune voix de Lilas) que c’est une drogue qui te fait penser que tu es malade et te donne envie de te confesser ; un produit chimique qu’on t’injecte sans ton consentement.

— Mon consentement ?

— Oui. Ton corps est à toi, pas à Big Brother Uni…

Une puissante Famille

Une race parfaite

Libérée de l’égoïsme

De l’agressivité

De l’avidité

Chacun donnant tout ce qu’il a

Et recevant tout ce qu’il lui faut

Non, pensa-t-il. Ils ne forment pas une famille puissante, mais une famille faible et pitoyable, abêtie par des traitements chimiques et déshumanisée par des bracelets. Seul UNI est puissant…

 Comment oses-tu parler contre Uni ? Uni nous a tout accordé !

 Il ne nous accorde qu’une partie de ce que nous lui donnons, et nous refuse le centuple.

 Il nous a laissé naître !

 Et combien d’enfants ne laisse-t-il pas naître ? Ne serait-ce que les tiens. Ou les miens, d’ailleurs.

 Que veux-tu dire ?... Que quiconque désire des enfants... devrait être autorisé à en avoir ?

 Oui, dit-elle. C’est cela que je veux dire.

Hochant la tête, il recula jusqu’à son lit et s’y assit. Elle vint l’y rejoindre ; accroupie, elle posa ses mains sur ses genoux.

 Copeau, je t’en prie. Je ne devrais pas te dire ces chose pendant que tu es dans cet état, mais je t’en prie, vraiment, crois-moi. Crois-nous. Nous ne sommes pas malades, nous sommes sains. C’est le monde qui est malade - malade de chimie et d’efficacité, d’humilité et de bonne volonté. Fais ce que nous te disons. Deviens sain. S’il te plaît, Copeau. »

Lire le roman

Un roman d’anticipation de la dictature vaccinatoire

La dystopie devient réalité… et est même dépassée par la réalité…

Qu’est-ce que la la dystopie ?

« Un bonheur insoutenable », roman de science fiction dystopique d’Ira Levin

Voir aussi

Ou bien

Et toujours

Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu’une dystopie est, par définition, la description d’une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. Il existe cependant des contre-exemples et la critique est divisée quant aux relations entretenues entre la dystopie et les régimes politiques qu’elle vise. Que la dystopie soit par nature une critique d’un système politique ou idéologique précis (et en particulier une critique du totalitarisme) est un point qui demeure débattu dans les milieux universitaires.

Cette forme littéraire a été popularisée par des romans devenus des classiques du genre dystopique : par exemple, Le Talon de fer (1908) de Jack London, Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine, Le Meilleur des mondes (1932) d’Aldous Huxley, La Guerre des salamandres (1936) de Karel Čapek, La Kallocaïne (1940) de Karin Boye, 1984 (1949) de George Orwell, Limbo (1952) de Bernard Wolfe, Fahrenheit 451 (1953) de Ray Bradbury, La Grève (Atlas Shrugged, 1957) de Ayn Rand, Le Maître du Haut Château (1962) de Philip K. Dick, La Planète des singes (1963) de Pierre Boulle, Soleil Vert (1966) de Harry Harrison, Un bonheur insoutenable (1970) de Ira Levin, La Servante écarlate (1985) de Margaret Atwood. En littérature jeunesse, on peut citer Le Passeur (1993) de Lois Lowry, ou encore Globalia (2003) de Jean-Christophe Rufin.

Lire 1984 de George Orwell

Lire aussi 1984 de George Orwell

Lire Fahrenheit 451 de Ray Bradbury

Lire aussi Fahrenheit 451 de Ray Bradbury

Lire Limbo de Bernard Wolfe

Lire La Guerre des salamandres de Karel Čapek

Lire La peste écarlate de Jack London

[Lire aussi La peste écarlate -> https://beq.ebooksgratuits.com/classiques/London-peste.pdf

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