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Renault après la chute libre en bourse

vendredi 29 janvier 2016, par Robert Paris

Ce que nous disaient les média

L’action Renault perd un peu plus de 20% à la bourse de Paris après l’annonce de perquisitions réalisées par les services de la répression des fraudes dans plusieurs des sites Renault en Ile-de-France.

La CGT s’interrogerait sur une possible enquête sur une fraude aux émissions polluantes.

"Des agents de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) sont intervenus sur différents sites Renault jeudi dernier", affirme jeudi dans un tract le syndicat CGT Renault du site de Lardy (Essonne).

Les "secteurs" concernés ("homologation et mise au point des contrôles moteur") "laissent fortement penser" que ces "perquisitions" sont "liées aux conséquences de l’affaire des moteurs truqués de Volkswagen", écrit le syndicat.

"Ils ont récupéré les PC de plusieurs directeurs", précise-t-il.
Les sites visés ont été selon la CGT : le centre d’ingénierie de Lardy, le technocentre de Guyancourt (Yvelines), le site du Plessis-Robinson et le siège à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).

Pour sa part, la CFDT a été informée par des militants de perquisitions de la DGCCRF à Lardy et Guyancourt. "Nous avons questionné hier (mercredi) la direction mais n’avons pas eu de réponse. Tout le monde est surpris", a déclaré à l’AFP Franck Daoût, délégué syndical central CFDT.

Contactée par l’AFP, la DGCCRF n’était pas en mesure de répondre dans l’immédiat, tout comme la direction de Renault.

La Bourse ou la vie

Dernièrement, la CGT de Renault à Lardy a sorti un tract qui a fait grand bruit, enfin juste l’encart informant les salariés qu’une enquête de la répression des fraudes avait lieu à Lardy (entre autres). Le reste, sur les embauches, a bien sûr été passé sous silence par les journalistes. Mais cela a suffi à faire baisser les actions (20%) car l’actionnaire, c’est bien connu, fait profit de tout : des baisses comme des hausses ! Rien ne dit que Carlos lui-même n’aie pas tiré profit de la chute boursière… Les média, en tout cas, ont parfaitement vu que c’était ses cachotteries qui étaient responsables de celle-ci et il fallu la CFDT de Renault pour tirer à boulets rouges sur la CGT, lui reprochant d’avoir laissé filtrer la situation. Quel grand crime ! C’est pas la CFDT qui aurait considéré que c’est un principe de toujours tenir informés les salariés, oh non ! D’ailleurs, pas un mot dans le tract CFDT sur la question des embauches. Car le deuxième principe de ce « syndicat » : faut pas embarrasser la direction !

Renault et le "développement durable"

Comme nous le pensions, Renault doit avouer qu’il polluait plus qu’il ne le prétendait, notamment pour les véhicules diesel, et va être contraint de le reconnaitre. Quand on pense que Renault s’est gargarisé avec les mots de "développement durable" en occupant les premiers rangs de la COP21 !!!

Ce que nous écrivions...

Le PDG de Volkswagen est-il le seul à mentir ?

Au coeur du scandale Volkswagen, les oxydes d’azote, et en particulier le dioxyde d’azote, sont des gaz d’échappement nocifs pour le système respiratoire, émis en plus grande quantité par les moteurs diesel. Mais ce scandale là ne touche pas que Volkswagen mais toutes les firmes automobiles qui ont affirmé pendant des années, la main sur le cœur, que leurs automobiles n’étaient pas dangereuses. Tous les constructeurs trichent sur leurs annonces concernant la pollution des véhicules et ce n’est pas les services de surveillance de l’Etat qui ont épinglé un trust mais, par hasard, une analyse faite par une ONG !!! Non seulement les Etats n’ont pas fait les vérifications mais ils ont exercé des pressions pour que l’Europe n’en fasse pas !! D’après des documents consultés par le journal britannique The Gardian, les gouvernements de France, Allemagne et Angleterre ont effectué un important lobbying auprès de la Commission européenne pour maintenir en place des failles dans ces procédures. On sait déjà que les BMW dépassent les normes européennes mais l’Europe n’a rien dit. Rien ne prouve que les autres trusts ne pratiquent eux aussi des méthodes curieuses pour faire passer leurs véhicules… C’est ce qui a amené la bourse à faire chuter tous les trusts automobile et pas seulement VW !!! Les trusts de l’Automobile ont construit une véritable religion du profit dans laquelle tout est permis, y compris d’empoisonner consciemment la population !

VW, un exemple pour Renault ?

Bien entendu, il ne s’agit pas de prétendre que l’entreprise Volkswagen aurait des leçons à donner à la firme au losange en matière de camouflage des résultats des tests de pollution. Pas d’inquiétude là-dessus, à Renault on sait faire en sorte que les résultats ne donnent pas des pollutions désagréablement élevées et ce n’est même pas forcément par un truquage des logiciels de tests. Le système d’injection des automobiles Renault vient d’Allemagne. Il n’est pas différent de celui des VW. Renault ne peut donc pas prétendre avoir davantage réglé le problème de la pollution au diesel que Volkswagen. Si les mesures de pollution sur les Renault donne des résultats acceptables selon les normes européennes UTAC, c’est sans doute que Renault sait y faire comme VW pour les modifier… Ne vous faites pas de souci, on ne dévoilera pas les secrets ! Des nanotubes de carbone, issus des pots d’échappement, ont été découverts chez des petits Parisiens asthmatiques. Ces molécules sont suspectées d’être à risque pour la santé. Les constructeurs automobiles français ne se sont pas gênés, pour diminuer la pollution, d’utiliser des pots d’échappement à microparticules !!! Non, là où Renault devrait prendre exemple sur la firme VW, c’est en matière de pollution de la vie des personnels par des mails trop nombreux, intempestifs, inutiles et surtout au-delà des heures de travail… Car à VW, on interdit les mails au travail en dehors des horaires, pendant les vacances ou les congés. Pas de mail du chef après 18 heures trente ! Et il y a même des trusts qui ont un concours des chefs pour le minimum de mails professionnels. On sait le stress qu’occasionne le fait d’être inondés de mails, de pressions en somme pour en faire sans cesse plus, mails qu’on n’a même pas le temps de lire, sans parler d’y répondre ! Mais Ghosn ne semble pas prêt de suivre l’exemple venu d’Allemagne : ses responsables inondent tout le monde de mails à toute heure et à tout moment de l’année

Le scandale des moteurs diesel du groupe Volkswagen a pris une ampleur inédite ce mardi 22 septembre, le constructeur allemand admettant que 11 millions de ses véhicules dans le monde étaient équipés du logiciel de trucage aux tests antipollution découvert aux Etats-Unis. Pour le deuxième jour consécutif, l’action Volkswagen a vécu une véritable descente aux enfers à la Bourse de Francfort (-19,82%). En deux jours, elle a dévissé de près de 35%, effaçant 25 milliards d’euros de capitalisation boursière, plus du double de la capitalisation totale de PSA Peugeot Citroën, et entraînant dans son sillage les autres titres automobiles sur les places européennes.

Volkswagen a reconnu que "des enquêtes internes (avaient) montré que le logiciel en question était aussi présent dans d’autres véhicules diesel du groupe". Soit pas seulement des voitures de marque VW ou Audi, comme avéré jusqu’alors, mais potentiellement aussi des Skoda, des Seat ou des Porsche. Volkswagen chapeaute douze marques de voitures et de camions. Le trucage, qui visait à contourner les tests antipollution au moyen d’un logiciel détectant le moment où ils étaient effectués, concerne tous les moteurs diesel de type EA189, soit "un volume total d’environ 11 millions de véhicules dans le monde", selon le constructeur. Cela correspond à peu près au nombre de voitures que le groupe, qui a récemment détrôné Toyota comme numéro un mondial du secteur, vend en un an.

Rien ne prouve que VW soient les seuls à employer de tels dispositifs !

Pseudo-formation

Ce lundi, nous étions "invités" (obligés ?) à suivre une soi-disant formation intitulée « Séduire et satisfaire les clients – Contribution de l’Ingénierie ». Bien sûr, nous ne nous attendions pas à ce que cela traite de « séduire et satisfaire »… le salarié mais quand même ! Il faut bien dire que cette "formation", constituée de verbiages insipides et ennuyeux, n’aura aucun effet sur les véhicules et donc aucun sur les clients. Et comme, dans cette "contribution", il n’y a rien qui contribue à mettre plus de moyens, ni plus d’embauches, pour faire du meilleur travail dans de meilleures conditions, ça prouve que la priorité de notre entreprise est d’engraisser les actionnaires et de faire fructifier le salaire de Carlos. Et, dans l’immédiat, la priorité était de remplir les chiffres des horaires de la formation des salariés ! C’est dire à quel point on est séduits, satisfaits et... formés !

Renault pollue autrement que par ses moteurs !!!

Renault et les cancers liés à l’amiante...

Les salariés venant du CTR de Rueil seront heureux d’apprendre que leur ancien site est en train d’être désamianté et que des tas de sacs d’amiante se trouvent aux entrées des bâtiments. On se souvient ce que la direction de Renault répondait au collectif amiante de Renault Rueil-Lardy qui défendait des salariés ayant contracté un cancer : aucun risque selon elle ! Mais c’est seulement quand les salariés ont été déménagés qu’elle entreprend le désamiantage. Ce qui signifie qu’on ne peut pas y mettre une autre entreprise avant d’avoir désamianté. Bel aveu que le site est pollué à l’amiante.
Et, bien avant un tel aveu, tous les procès gagnés contre Renault pour cancer lié à l’amiante contractés au travail sont là pour condamner la direction de Renault. Car celle-ci se refuse toujours à faire un suivi des salariés, à s’assurer que les cancers de ceux-ci ne sont pas dus à l’amiante dans les faux plafonds du site ou à la manipulation des pièces amiantées telles que : embrayages, joints de culasses, joints de collecteurs, plaquettes de freins… Et notamment elle refuse toujours de faire pratiquer des scanners des poumons qui sont pourtant tellement significatifs à cet égard ! On rappellera que nos camarades de Rueil avaient fait évacuer plusieurs secteurs du site pour cause d’amiante dans l’air !

Le site de Rueil n’est pas le seul à être exposé. Le Mans, Billancourt ou Lardy ont fourni leur contribution au bilan macabre de la politique de la direction. Il faut que ça cesse et que le silence sur la question de l’amiante ne soit plus respecté. Tout salarié de Renault victime d’un cancer doit être examiné et tous les salariés qui ont travaillé à proximité d’amiante doivent avoir un suivi médical permettant d’anticiper les soins et de sauver le malade !

Un plan d’urgence pour le Capital et contre le Travail : pas contre le chômage !

Tous les arguments sont bons pour nous faire croire que le gouvernement serait mobilisé par la lutte contre le chômage. Pas plus que son prédécesseur Sarkozy, Hollande ne souhaite pas « inverser la courbe du chômage » qui permet aux patrons d’exercer des pressions contre les salaires, contre les conditions de travail, contre les grèves et pour l’accroissement de la charge de travail, c’est-à-dire pour les profits.

Bien sûr, on nous dit que Hollande y jouerait sa candidature à la présidentielle et que la nouvelle ministre du Travail (dites plutôt du Capital !) y jouerait sa carrière. Mais l’enjeu des profits patronaux est plus sérieux que ces considérations politiciennes mineures.

Et le gouvernement prétend qu’il s’échine pour s’attaquer au chômage. Valls et Macron rivalisent d’inventivité et le MEDEF se charge de leur donner des « bonnes idées » : casser le code du travail pour favoriser les licenciements, pousser à la précarité afin de lutter contre l’emploi fixe, casser les emplois de fonctionnaires, faire cadeau des taxes et impôts aux entreprises, payer la formation professionnelle, distribuer des cadeaux pour toute embauche ou pour tout contrat d’apprentissage.

Bien entendu, le simple fait que tous les cadeaux précédents au patronat n’aient favorisé aucune embauche ne les arrête absolument pas ! Tous les crédits d’impôts, les suppressions de taxes, les avantages de toutes sortes sont restés sans effet.

Et pour cause ! Si les capitalistes n’investissent plus dans la production et le commerce, c’est parce que la finance les attire beaucoup trop. Plus l’Etat s’endette, plus il devient rentable de spéculer car les dettes titrisées deviennent beaucoup trop rentables pour être concurrencées par les profits du secteur productif.

Quant à l’emploi, il est trop évident que tous les gouvernants successifs n’ont fait que le casser, en soutenant tous les plans de suppressions massives d’emplois, en cassant les luttes contre les fermetures et les licenciements. Les mises en examen de salariés d’Air France et les peines d’emprisonnement des salariés de Goodyear viennent encore de rappeler dans quel sens l’Etat intervient dans ces conflits. On se rappelle de la violence des forces de l’ordre contre les salariés de Goodyear mais la justice, elle, n’aura retenu que la violence des salariés. De même, on se souvient des chantages violents et successifs du patron d’Air France contre les emplois mais la justice ne sera saisie que de la « violence » de l’arrachage de chemise !

Que des trusts comme Peugeot, Renault, Areva, Sanofi, Total qui ont des milliards de capitaux et font des profits, suppriment massivement des emplois avec le soutien de tous les gouvernants montre bien que leurs discours anti-chômage n’est que de la façade.

Et, malgré cela, le patronat peut politiquement et socialement se permettre de se prétendre le meilleur défenseur des emplois, peut prétendre qu’en assouplissant les conditions légales de licenciement, on favorisera… les embauches. Un peu comme si on vous dit qu’en vous volant, on vous enrichit ! Gattaz, patron du MEDEF, déclare ainsi : « On a peur d’embaucher parce qu’on ne sait pas licencier. » Et le gouvernement de préparer un « plan d’urgence pour l’emploi » et une « loi travail » qui n’ont pour but que de satisfaire les pires demandes du patronat !

D’ailleurs, peut-on croire que l’Etat cherche des emplois pour les chômeurs alors qu’il laisse les hôpitaux manquer à ce point d’aides soignantes, d’infirmières, de secrétaires, de personnel d’entretien et de nettoyage, alors qu’il laisse l’école manquer à ce point d’enseignants, sans parler de La Poste, de la SNCF qui continue à supprimer massivement des emplois pour mieux privatiser comme l’a affirmé hautement son PDG Pépy, de Radio France, de France Télévisions, de l’AFP qui suppriment eux aussi des emplois en masse comme tous les services publics, comme toutes les régions, comme les communes, comme les services d’aide sociale. Et pourtant, un emploi public ne nécessite aucun investissement : le site est là, le matériel est là, le travail existe, les compétences aussi.

C’est la volonté des classes dirigeantes de lutter contre le chômage qui est mensongère. Le chômage de masse les arrange bien. Il sert à casser la classe ouvrière. Mais, contrairement à ce qu’on essaie de nous faire croire, nous sommes toujours capables de lutter, de nous rassembler, de développer nos conceptions, nous les travailleurs. Plus la crise finale du capitalisme approche, plus les classes dirigeantes ont peur de nous et plus elles veulent nous casser et nous diviser. Mais aussi plus approche le moment où nous pourrons développer notre programme à nous, la classe ouvrière, et changer le monde. C’est indispensable et inévitable. Ne craignons pas de nous y préparer.

Messages

  • Le trafic des voitures aux dépens de la respiration des hommes et pour le profit commence à se dévoiler malgré les yeux fermés des gouvernants… Après Volkswagen, c’est Mitsubischi, et aussi Renault… Le gouvernement français a tout fait pour protéger Renault et PSA mais l’Allemagne s’en mêle !!!

  • C’est confirmé : Renault est mis en cause même si ce n’est pas par le gouvernement français. On ne se juge pas soi-même !

    Volkswagen n’est plus le seul montré du doigt, même s’il reste a priori le seul à avoir recouru à des moyens illégaux pour réduire les valeurs d’émission des moteurs Diesel. Selon un rapport présenté vendredi par le ministre allemand des Transports, Alexander Dobrindt, qui a annoncé le rappel « volontaire » de 630.000 véhicules, la quasi-totalité des constructeurs – de Daimler à Renault en passant par Opel – ont agi pour faire croire qu’ils remplissaient les critères de pollution au diesel ce qui était faux aussi bien pour Mitsubishi, pour Renault, pour PSA, pour Suzuki et Nissan !

    Une enquête sur les émissions polluantes des modèles diesel en Allemagne a mis au jour des irrégularités concernant 16 marques automobiles, dont cinq allemandes, le français Renault et les japonais Suzuki et Nissan, a indiqué vendredi le ministre des Transports.

    Alexander Dobrindt a cité Alfa Romeo, Chevrolet, Dacia, Fiat, Hyundai, Jaguar, Jeep, Landrover, Nissan et Suzuki, en sus des allemands Opel, Volkswagen (véhicules utilitaires), Porsche, Audi et Mercedes et du français Renault.

  • Le ministère de l’Environnement a publié mercredi soir un communiqué pour démentir les informations du Financial Times selon lesquelles le rapport de la commission Royal a omis des éléments importants sur la performance d’un modèle Renault lors des tests de pollution lancés à l’automne dernier.

    L’action Renault a reculé en Bourse mardi après l’article du FT. Selon le quotidien britannique, la Commission européenne entend demander à la France toutes les données recueillies lors des tests de voitures réalisées par la commission Royal.

    Le FT s’est notamment interrogé sur le système de dépollution d’un SUV Renault Captur testé en France, qui s’est activé intensément lorsque le véhicule a été préparé pour les tests d’émission.

    Le Financial Times, qui s’appuie sur le témoignage de 3 des 17 membres de la commission, met en cause précisément la version diesel du Renault Captur. La trappe à oxydes d’azote – les très polluants NOx – de ce modèle fonctionnerait seulement en situation de tests, mais pas en conditions habituelles de conduite sur route. Charlotte Lepitre, membre de la commission pour l’ONG France nature environnement, citée par le FT, a confirmé au Monde que l’enquête avait mis en évidence un réglage des véhicules Renault conduisant leur système antipollution à ne plus se déclencher lorsque la voiture roule longtemps. Aucun de ces faits n’apparaît pas dans le rapport final du 29 juillet.

    Depuis janvier, Renault est montré du doigt pour l’efficience limitée de ses systèmes antipollution diese l. Des écarts importants d’émissions d’oxyde d’azote (NOx) avaient été constatés lors des tests menés par l’Utac-Ceram (l’organisme chargé en France de certifier les véhicules) - les système de dépollution (« NOx trap », en l’espèce) de Renault étant bien plus efficaces lors des tests d’homologation effectués en laboratoire qu’en conditions réelles de conduite. D’après le quotidien, le piège à NOx en question se purgeait cinq fois de suite juste avant le début d’un test d’homologation. Ce qui pourrait laisser envisager la présence d’un logiciel détectant le moment où le véhicule passe un test officiel.

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