Pour les travailleurs qui se sont engagés dans ce combat et pour ceux qui ne le sont pas encore, la mobilisation doit continuer en la portant au sein des usines, là où ça fait mal aux patrons, en mettant en place des comités de lutte à l’intérieur même des usines en vue de faire échec aux révocations, d’exiger la réintégration des ouvriers licenciés, de faire appliquer sans tarder les 50 gourdes d’ajustement, tout en exigeant les 800 gourdes et les accompagnements sociaux.
Pour les travailleurs qui se sont engagés dans ce combat et pour ceux qui ne le sont pas encore, la mobilisation doit continuer en la portant au sein des usines, là où ça fait mal aux patrons, en mettant en place des comités de lutte à l’intérieur même des usines en vue de faire échec aux révocations, d’exiger la réintégration des ouvriers licenciés, de faire appliquer sans tarder les 50 gourdes d’ajustement, tout en exigeant les 800 gourdes et les accompagnements sociaux.