Le nucléaire nous éclaire… sur la faillite du système
14 novembre 2017, 14:35
EDF n’avait cessé, contre toute logique, d’affirmer vouloir faire entrer plus d’argent dans l’entreprise qu’il n’en sort chaque année, afin de rassurer des marchés financiers inquiets de voir les dépenses opérationnelles et les investissements dépasser chaque année les ventes d’électricité et de gaz.
Alors que l’objectif était réaffirmé chaque année, EDF a annoncé ce lundi qu’il n’était plus à même de le garantir, prévoyant désormais un cash-flow « légèrement positif ou proche de l’équilibre » l’an prochain. Le cours du titre a accusé le coup, avec une chute de 12 % en fin de matinée, à 10,32 euros (ce qui pourrait constituer sa plus forte chute en une seule séance depuis plus de dix ans).
EDF n’avait cessé, contre toute logique, d’affirmer vouloir faire entrer plus d’argent dans l’entreprise qu’il n’en sort chaque année, afin de rassurer des marchés financiers inquiets de voir les dépenses opérationnelles et les investissements dépasser chaque année les ventes d’électricité et de gaz.
Alors que l’objectif était réaffirmé chaque année, EDF a annoncé ce lundi qu’il n’était plus à même de le garantir, prévoyant désormais un cash-flow « légèrement positif ou proche de l’équilibre » l’an prochain. Le cours du titre a accusé le coup, avec une chute de 12 % en fin de matinée, à 10,32 euros (ce qui pourrait constituer sa plus forte chute en une seule séance depuis plus de dix ans).