Coupes budgétaires sauvages en Israël après la guerre à Gaza
20 juillet 2017, 11:09
Un Palestinien habitant dans la bande de Gaza n’a plus bu d’eau du robinet depuis dix ans. Chaque jour, certains marchent quatre kilomètres jusqu’à une station de dessalement pour y remplir d’eau un bidon de 20 litres.
La question de l’approvisionnement en eau courante est un vieux problème à Gaza.
Les nappes phréatiques sont souillées par les eaux usées, des résidus chimiques, de l’eau de mer, et les trois stations de dessalement ne peuvent pas répondre à la demande.
Pour s’hydrater, la plupart des Gazaouis dépendent des importations d’eau en bouteille. Pour la population et les spécialistes du développement, la situation devient intenable.
Selon le vice-président de l’Autorité palestinienne de l’eau, Rebhy al Cheikh, plus de 90% des eaux contenues dans les nappes phréatiques sont impropres à tout usage domestique.
Un Palestinien habitant dans la bande de Gaza n’a plus bu d’eau du robinet depuis dix ans. Chaque jour, certains marchent quatre kilomètres jusqu’à une station de dessalement pour y remplir d’eau un bidon de 20 litres.
La question de l’approvisionnement en eau courante est un vieux problème à Gaza.
Les nappes phréatiques sont souillées par les eaux usées, des résidus chimiques, de l’eau de mer, et les trois stations de dessalement ne peuvent pas répondre à la demande.
Pour s’hydrater, la plupart des Gazaouis dépendent des importations d’eau en bouteille. Pour la population et les spécialistes du développement, la situation devient intenable.
Selon le vice-président de l’Autorité palestinienne de l’eau, Rebhy al Cheikh, plus de 90% des eaux contenues dans les nappes phréatiques sont impropres à tout usage domestique.