Le Parisien révèle un nouveau mensonge de Lepaon : en effet, alors qu’il affirmait avoir renoncé, dès mars 2013, au salaire de 5 200 euros qui lui était proposé, le quotidien révèle qu’il n’aurait réduit ses émoluments qu’en décembre 2014, soit plusieurs semaines après le début de la crise.
Le Parisien révèle un nouveau mensonge de Lepaon : en effet, alors qu’il affirmait avoir renoncé, dès mars 2013, au salaire de 5 200 euros qui lui était proposé, le quotidien révèle qu’il n’aurait réduit ses émoluments qu’en décembre 2014, soit plusieurs semaines après le début de la crise.