Mais le plus frappant reste qu’aucun dirigeant syndical, aucun média non plus, ne reproche à Lepaon la politique qu’il a menée, signant un rapport du Conseil Economique et Social en vue de la privatisation de la SNCF et torpillant publiquement et ouvertement la grève au beau milieu de celle-ci en appelant à la reprise du travail contre l’avis des militants cheminots de son syndicat...
Mais le plus frappant reste qu’aucun dirigeant syndical, aucun média non plus, ne reproche à Lepaon la politique qu’il a menée, signant un rapport du Conseil Economique et Social en vue de la privatisation de la SNCF et torpillant publiquement et ouvertement la grève au beau milieu de celle-ci en appelant à la reprise du travail contre l’avis des militants cheminots de son syndicat...