Selon M. Cuvillier, le redressement judiciaire serait « le seul moyen pour redonner un avenir à la SNCM, faire qu’elle redevienne un fleuron ». C’est la première fois que l’Etat, actionnaire à 25 % de la SNCM aux côtés de Transdev (66 %) et des salariés (9 %), envisage publiquement cette option comme une solution aux déboires récurrents de l’entreprise (14 millions de pertes en 2012). Il rejoint en cela les positions de Transdev (détenu à parité par Veolia et la Caisse des dépôts).
La CGT s’estime trahie. Cuvillier avait donné, dit-elle, des engagements !
Les promesses n’engagent que ceux qui y croient et ceux qui y font croire...
Selon M. Cuvillier, le redressement judiciaire serait « le seul moyen pour redonner un avenir à la SNCM, faire qu’elle redevienne un fleuron ». C’est la première fois que l’Etat, actionnaire à 25 % de la SNCM aux côtés de Transdev (66 %) et des salariés (9 %), envisage publiquement cette option comme une solution aux déboires récurrents de l’entreprise (14 millions de pertes en 2012). Il rejoint en cela les positions de Transdev (détenu à parité par Veolia et la Caisse des dépôts).
La CGT s’estime trahie. Cuvillier avait donné, dit-elle, des engagements !
Les promesses n’engagent que ceux qui y croient et ceux qui y font croire...