La chute de Ben Ali a causé un choc à la bourgeoisie de la Tunisie et du reste du monde arabe, ainsi qu’aux Américains et à l’impérialisme mondial. Ce qui a été encore plus inquiétant pour eux est le déclenchement de manifestations massives dans l’Algérie voisine et, plus à l’Est, en Jordanie.
Il est certain que les scènes de dizaines de milliers de travailleurs et de jeunes défiant l’armée et la police pour se répandre dans tout Tunis et exiger la fin de la dictature donnent des sueurs froides aux banquiers et aux spéculateurs de New York, Paris, Francfort et d’autres centres de la finance impérialiste. Quand il est question de corruption et de détournement arbitraire de la richesse, aucune élite dirigeante au monde ne peut égaler celle des États-Unis.
La chute de Ben Ali a causé un choc à la bourgeoisie de la Tunisie et du reste du monde arabe, ainsi qu’aux Américains et à l’impérialisme mondial. Ce qui a été encore plus inquiétant pour eux est le déclenchement de manifestations massives dans l’Algérie voisine et, plus à l’Est, en Jordanie.
Il est certain que les scènes de dizaines de milliers de travailleurs et de jeunes défiant l’armée et la police pour se répandre dans tout Tunis et exiger la fin de la dictature donnent des sueurs froides aux banquiers et aux spéculateurs de New York, Paris, Francfort et d’autres centres de la finance impérialiste. Quand il est question de corruption et de détournement arbitraire de la richesse, aucune élite dirigeante au monde ne peut égaler celle des États-Unis.