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Qu’est-ce que la gravitation quantique à boucles ?

2 août 2013, 08:20, par Mareau

En effet, l’univers est bien fait d’atomes d’espace-temps mais on retrouve toujours les mêmes erreurs quant à sa taille, sa morphologie, la pauvre approche réductionniste et surtout le manque de prémisses fondatrices solides.

 la taille : le seul argument dimensionnel pour justifier les unités de Planck est très loin de suffire. Une cascade d’arguments tous convergents, montre que la taille du volume élémentaire est en fait l’intervalle entre tachyons formant réseau dynamique. Cet intervalle est la longueur de Compton de l’électron. La taille transversale d’un tachyon est 10^11 fois supérieure à la longueur de Planck et l’intervalle est (10^11)^2 fois plus grand. De plus, il existe une seconde subdivision (observée) de condensats de Bose Einstein (BEC cosmologiques) chacun formé par un réseau de tachyons.

 la morphologie : ce n’est pas le résultat d’une fiction mathématique mais la conséquence physique de l’organisation précise de ce réseau dynamique. Il s’agit en fait de sphères enchevêtrées selon un mode très précis. Les intervalles sont matérialisés par des trajectoires hélicoïdales de tachyon-oscillateurs qui dotent chacun des volumes d’un spin unique. La trajectoire hélicoïdale n’est pas une fiction mais une contrainte imposée par l’état stochastique (antérieur) des tachyons duaux.

 l’approche réductionniste : en prenant tel ou tel phénomène physique et en l’isolant de toutes les contraintes observationnelles, on se condamne à ne jamais comprendre l’univers qui est un tout indissociable.

 des prémisses fondatrices solides : à partir du principe absolu d’action nulle et du principe fort de dualité, on obtient une richesse de déclinaisons qui, de contraintes en contraintes, lèvent 33 énigmes fondamentales. Le problème ? Personne ne cherche à recenser les énigmes fondamentales de l’univers qui est le premier tissu de contraintes dont tout modèle devrait tenir compte. La pauvreté lexicale des concepts académiques tels que le néant ou l’univers n’a d’égale que la naïveté des prémisses physiques.

C’est mieux que la théorie des cordes mais on est très loin de la réalité. La réalité se mesure à l’aulne des énigmes levées et donc rien d’autre que la cohérence observationnelle. Tout le reste est de la poésie (cependant intéressante par ailleurs).

Dominique MAREAU

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