Lettre ouverte a tous les exploités du monde entier
Bonsoir à tous. travailleurs, chômeurs, et prolétaires du monde, plus particulièrement ceux de la Guadeloupe.
Dans tous les coins du monde, à nous qui travaillons jours et nuits dans les usines, dans les mines, dans les chantiers et qui sommes les premières victimes des licenciements, je m’adresse à nous.
Nous devons se battre pour notre existence.
Que vive toujours la mémoire des militants tués lors des revendications pour l’amélioration de nos vies.
Je veux dire clairement, une fois de plus, que c’est à nous, les travailleurs, de rester motivés dans nos luttes et de comprendre que c’est nous-mêmes qui allons trouver des solutions à nos problèmes au sein de la société en s’organisant ensemble pour un but commun.
Je pense que nous devons toujours nous battre pour nous-mêmes et surtout pour les générations à venir, afin de leur éviter le même sort que le nôtre. et j’invite tous les militants à s’engager à comprendre que c’est sur la sueur et le sang des travailleurs que repose la fortune de la classe bourgeoise.
Lettre ouverte a tous les exploités du monde entier
Bonsoir à tous. travailleurs, chômeurs, et prolétaires du monde, plus particulièrement ceux de la Guadeloupe.
Dans tous les coins du monde, à nous qui travaillons jours et nuits dans les usines, dans les mines, dans les chantiers et qui sommes les premières victimes des licenciements, je m’adresse à nous.
Nous devons se battre pour notre existence.
Que vive toujours la mémoire des militants tués lors des revendications pour l’amélioration de nos vies.
Je veux dire clairement, une fois de plus, que c’est à nous, les travailleurs, de rester motivés dans nos luttes et de comprendre que c’est nous-mêmes qui allons trouver des solutions à nos problèmes au sein de la société en s’organisant ensemble pour un but commun.
Je pense que nous devons toujours nous battre pour nous-mêmes et surtout pour les générations à venir, afin de leur éviter le même sort que le nôtre. et j’invite tous les militants à s’engager à comprendre que c’est sur la sueur et le sang des travailleurs que repose la fortune de la classe bourgeoise.
S. (Mali)