Birmanie : la force capable de se battre contre la dictature militaire n’est pas l’opposition démocratique et libérale (par exemple, celle d’Aung San Suu Kyi), mais la classe ouvrière
7 septembre 2017, 14:38
Loin de dénoncer les crimes de la dictature militaire, l’opposante (ou plus si opposante que ça) les couvre !
Après plusieurs jours de silence, Aung San Suu Kyi s’est exprimé ce mercredi sur les violences perpétrées contre la minorité musulmane rohingya de Birmanie. Mais pas question de fustiger le traitement réservé aux Rohingyas par l’armée birmane, comme le lui demandait lundi la prix Nobel de la paix Malala.
C’est la presse internationale qu’elle a dénoncé et accusé de diffuser de fausses informations sur les crimes ethniques contre les Rohingyas !
Loin de dénoncer les crimes de la dictature militaire, l’opposante (ou plus si opposante que ça) les couvre !
Après plusieurs jours de silence, Aung San Suu Kyi s’est exprimé ce mercredi sur les violences perpétrées contre la minorité musulmane rohingya de Birmanie. Mais pas question de fustiger le traitement réservé aux Rohingyas par l’armée birmane, comme le lui demandait lundi la prix Nobel de la paix Malala.
C’est la presse internationale qu’elle a dénoncé et accusé de diffuser de fausses informations sur les crimes ethniques contre les Rohingyas !