Les spéculateurs jouent la Grèce à la baisse, mais la crise, ce n’est pas spécialement la Grèce...
11 décembre 2014, 07:29
L’indice général de la Bourse d’Athènes perdait plus de 10% mardi en début d’après-midi au lendemain de l’annonce-surprise par le gouvernement d’une présidentielle anticipée en décembre.
Déjà en très forte baisse depuis l’ouverture mardi matin, l’indice a cédé jusqu’à 11,3% à 918,10 points peu avant 12h00 GMT, alors que le Premier ministre grec Antonis Samaras venait de confirmer à la télévision le nom du candidat du gouvernement pour la présidentielle, l’ancien commissaire européen et ministre des Affaires étrangères, Stavros Dimas.
Si 180 députés sur 300 ne parviennent pas à se mettre d’accord sur son nom avant la fin de l’année, -alors que la coalition droite-socialistes au pouvoir ne parvient pas à réunir plus de 155 députés pour l’instant— il y aura des législatives anticipées, dont le parti de gauche radicale anti-austérité Syriza est favori, une perspective de changement de pouvoir qui est redoutée par les marchés.
L’indice général de la Bourse d’Athènes perdait plus de 10% mardi en début d’après-midi au lendemain de l’annonce-surprise par le gouvernement d’une présidentielle anticipée en décembre.
Déjà en très forte baisse depuis l’ouverture mardi matin, l’indice a cédé jusqu’à 11,3% à 918,10 points peu avant 12h00 GMT, alors que le Premier ministre grec Antonis Samaras venait de confirmer à la télévision le nom du candidat du gouvernement pour la présidentielle, l’ancien commissaire européen et ministre des Affaires étrangères, Stavros Dimas.
Si 180 députés sur 300 ne parviennent pas à se mettre d’accord sur son nom avant la fin de l’année, -alors que la coalition droite-socialistes au pouvoir ne parvient pas à réunir plus de 155 députés pour l’instant— il y aura des législatives anticipées, dont le parti de gauche radicale anti-austérité Syriza est favori, une perspective de changement de pouvoir qui est redoutée par les marchés.