La FCPE de la Haute-Garonne et le Réseau éducation sans frontière (RESF) dénoncent la séparation d’une famille. Jeudi 9 mars 2017, en fin de matinée, M. Q., Albanais d’origine, est passé en audience, au tribunal administratif de Toulouse. L’homme, père de trois enfants, contestait, devant la justice, une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) dont il faisait l’objet.
Mais sa demande d’asile a été refusée, le contraignant à retourner au centre de rétention de Cornebarrieu (Haute-Garonne), où il est placé depuis le lundi 6 mars.
Or, dénonce l’association de parents d’élèves, sa famille et lui ont fait une demande de droit séjour « pour des raisons médicales », concernant l’un des enfants. « Mais la préfecture a fait le choix d’appliquer l’OQTF, sans atteindre la fin de la procédure », ajoute-t-elle. En effet, lundi 6 mars, le père de famille a été arrêté puis conduit à Cornebarrieu. Son expulsion vers son pays d’origine ne serait maintenant plus qu’une « question de jours » car, selon la FCPE, plus rien n’y ferait obstacle.
Sa femme et ses trois enfants, dont deux sont scolarisés au collège Georges-Sand et le troisième à l’école Bénezet, vivent toujours dans le squat géant, situé impasse des Arènes, récemment endommagé par un feu de cuisine.
La FCPE de la Haute-Garonne et le Réseau éducation sans frontière (RESF) dénoncent la séparation d’une famille. Jeudi 9 mars 2017, en fin de matinée, M. Q., Albanais d’origine, est passé en audience, au tribunal administratif de Toulouse. L’homme, père de trois enfants, contestait, devant la justice, une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) dont il faisait l’objet.
Mais sa demande d’asile a été refusée, le contraignant à retourner au centre de rétention de Cornebarrieu (Haute-Garonne), où il est placé depuis le lundi 6 mars.
Or, dénonce l’association de parents d’élèves, sa famille et lui ont fait une demande de droit séjour « pour des raisons médicales », concernant l’un des enfants. « Mais la préfecture a fait le choix d’appliquer l’OQTF, sans atteindre la fin de la procédure », ajoute-t-elle. En effet, lundi 6 mars, le père de famille a été arrêté puis conduit à Cornebarrieu. Son expulsion vers son pays d’origine ne serait maintenant plus qu’une « question de jours » car, selon la FCPE, plus rien n’y ferait obstacle.
Sa femme et ses trois enfants, dont deux sont scolarisés au collège Georges-Sand et le troisième à l’école Bénezet, vivent toujours dans le squat géant, situé impasse des Arènes, récemment endommagé par un feu de cuisine.