Accueil > ... > Forum 52556

Des idées pour la suite de la tyrannie capitaliste et aussi des idées sur la façon d’en sortir

14 septembre 2021, 08:40, par F. Kletz

Bonjour,

En réponse à une affirmation de licenciements qui vont arriver dans les semaines qui viennent, je lis :

« Les licenciements ont commencé dans l’industrie dès 2019 par la mise au chômage de milliers d’intérimaires, prestataires. « En 2020 ce sont des pans entiers de sous-traitance qui ont licenciés et les multinationales ont annoncé des fermetures de sites, d’usines, sans le chômage technique de longue durée. »

Je demande : où est l’opposition entre licenciements récents et licenciements à venir ?

Je ne vois pas ce qui empêcherait de nouveaux licenciements, même s’il y en déjà eu en 2019 et en 2020.

Les démissions suite à obligation d’injections prétendues vaccins, sont de même nature que celles qui ont poussé, à France Telecom, à EDF ou autres entreprises, il y a environ 15 ans, beaucoup à partir « volontairement »... ou à se suicider ! Bachelot a créé une loi qui allait dans ce sens en 2009 la fameuse loi HPST, pour casser l’hopital avec création de cellule de prévention des suicides. Il fallait éviter les scandales des suicides de Guyencourt ou d’ailleurs.

Ces démissions suite à l’annonce du 12 juillet et la loi du 5 août étaient très certainement prévues et prévisibles, et cela fait le jeu de la casse de la santé et des hostos démarrées depuis au moins la création des ARH sous Juppé en 1995 (ARH devenues ARS autour de 2010).

Les fins de droit le 31 décembre 2021 seront-elles reconduites ? C’est peu probable. Les mesures d’aide à l’économie sont en train de disparaître et la reprise est là pour le grand capital, quelques artisans, mais pas pour une grande partie des classes moyennes, par exemple, les petits patrons de la restauration ou d’autres secteurs qui ne repartent presque pas.

Oui, nous avons vécu une gestion de la crise économique sous couvert de crise sanitaire en 2020. Les mesures sanitaires ont aussi et surtout permis que l’enchaînement GJ-Grèves autonomes et échec de l’encadrement par grèves syndicales greffées sur les grèves autonomes s’arrête. On a assisté cet été 2021 à l’instauration d’une dictature sous prétextes sanitaires remettant en cause maintes libertés : droit du travail, droit à disposer de son corps, droit au secret médical, droit à choisir la façon de se soigner, droit à choisir le médecin que chacun souhaite, le consentement éclairé, et j’en oublie !

Cette crise sanitaire, ou du moins sa gestion, a permis de masquer la crise économique. Beaucoup restent aveugles à cela. Cette dictature permet maintenant de masquer encore ces mêmes questions économiques. Il faut toujours un décodeur pour faire de la politique. La notion de classe sociale en est un. Il en faut maintenant au moins un autre : si on entend des mots comme « sanitaire » ou « santé », ou « hôpital » et surtout « Covid », il s’agit de savoir ce qui relève de l’économique et/ou du politique sous couvert de cette liste qui est loin d’être exhaustive.

Alors, oui, sous cette dictature qui poursuit le maquillage d’une crise économique par des mesures prétendument sanitaires, des nouveaux licenciements sont à prévoir. Les licenciements se feront aussi sous prétexte sanitaire. Comment ? En premier lieu sous prétexte de refus de vaccin.

Le projet, avant l’adoption de la loi du 5 août 2021 était le licenciement des personnels hospitaliers soumis à contrainte vaccinale refusant de présenter leur attestation.

Le PS a posé ces derniers jours un projet de loi d’obligation vaccinale. Pour le PS, Macron est un petit-joueur, un faible. Eux vont savoir mater les récalcitrants. Ils ont commis le génocide du Rwanda, leurs anciens ont commis celui de la commune. Ils attendent de pouvoir les réitérer s’il le faut, mais en attendant, ils trouvent des lois à fabriquer pour pouvoir licencier les récalcitrants.

Et avant même qu’une telle loi ait éventuellement lieu, des licenciements vont avoir lieu. Une pression folle est déjà là dans les collèges, lycées, universités pour l’obligation vaccinale ou pour contrainte les étudiants futurs soignants à défendre les injections empoisonnantes.

Les dirigeants et leurs sbires vont repérer les contestataire et chercher à les faire marcher au pas. Les sanctions viendront, et plus vite qu’on ne l’imagine.

Seules l’organisation de comités informant de l’illégalité en train de devenir légale et préparant les soviets de demain pourront mettre fin à cette dictature déjà en place. Mais après l’écrasement des GJ depuis 18 mois, l’énergie d’il y a 3 ans peine à revenir à la hauteur des tâches du moment.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.