157 morts, peut-être beaucoup plus : les manifestation populaires pour exiger le départ du chef d’État putschiste de Guinée, Camara, ont été réprimées sauvagement par la junte.
La junte au pouvoir depuis décembre 2008 n’a pas arrêté de massacrer et de torturer. Alors, le gouvernement français fait mine de s’indigner aujourd’hui et de vouloir cesser d’envoyer des armes à ce régime.
Mais la France qui a de nombreux intérêts économiques dans le pays, avait été la première à reconnaître et à soutenir le chef actuel de la junte. Et ce n’est pas la seule dictature sanglante quelle soutient en Afrique.
Carnage en Guinée
157 morts, peut-être beaucoup plus : les manifestation populaires pour exiger le départ du chef d’État putschiste de Guinée, Camara, ont été réprimées sauvagement par la junte.
La junte au pouvoir depuis décembre 2008 n’a pas arrêté de massacrer et de torturer. Alors, le gouvernement français fait mine de s’indigner aujourd’hui et de vouloir cesser d’envoyer des armes à ce régime.
Mais la France qui a de nombreux intérêts économiques dans le pays, avait été la première à reconnaître et à soutenir le chef actuel de la junte. Et ce n’est pas la seule dictature sanglante quelle soutient en Afrique.