Le fascisme bouddhiste est au pouvoir en Inde et tente de sauver le pouvoir capitaliste par un bain de sang interethnique et interreligieux
13 novembre 2019, 06:12
Près de 2 millions de citoyens indiens ont été déchus de leur nationalité, fin août, par le gouvernement. Musulmans pour la quasi-totalité d’entre eux, ces Indiens de l’Assam, dans le nord du pays, se retrouvent apatrides, sans nationalité et risquent d’être déportés.
Après avoir brutalement révoqué l’autonomie constitutionnelle de la région himalayenne de Cachemire indien à majorité musulmane, New Delhi l’a coupée du reste du monde, imposant des restrictions draconiennes de communication et de déplacement à toute la population. Aucun chiffre officiel n’a été communiqué, mais les rares médias étrangers qui ont pu se rendre sur place évoquent des chiffres de l’ordre de plusieurs milliers de personnes placées en détention ou assignées à résidence. Parmi lesquelles des opposants politiques mais aussi des mineurs, selon les informations du « Washington Post ».
Près de 2 millions de citoyens indiens ont été déchus de leur nationalité, fin août, par le gouvernement. Musulmans pour la quasi-totalité d’entre eux, ces Indiens de l’Assam, dans le nord du pays, se retrouvent apatrides, sans nationalité et risquent d’être déportés.
Après avoir brutalement révoqué l’autonomie constitutionnelle de la région himalayenne de Cachemire indien à majorité musulmane, New Delhi l’a coupée du reste du monde, imposant des restrictions draconiennes de communication et de déplacement à toute la population. Aucun chiffre officiel n’a été communiqué, mais les rares médias étrangers qui ont pu se rendre sur place évoquent des chiffres de l’ordre de plusieurs milliers de personnes placées en détention ou assignées à résidence. Parmi lesquelles des opposants politiques mais aussi des mineurs, selon les informations du « Washington Post ».