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Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

5 juillet 2021, 12:08, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦20210705¦¦Bonjour. Avant de lire et de décortiquer vos 3 autres pages internets recommandées, sur le temps, je commencerais en donnant mon avis sur ce que je pense et comprendre du temps.
▬Personnellement pour moi, le temps n’est pas un objet, ni même une action ou un évènement, car le temps dans un référentiel quelconque, est un simple phénomène qui se répète régulièrement et normalement perpétuellement. Le temps est donc une notion imaginaire créé par les humains.
▬Si on prend notre terre qui tourne sur elle-même, le cycle semble régulier et perpétuel, mais pour repérer un tour complet, il faille se repérer à quelque chose pour savoir si nous avons fait un tour complet, et c’est ce que nous faisons, car notre repère est le soleil et forcément notre repère sur terre, c’est à dire à notre position. Ces jours et nuits répétés sont aussi utilisés par la plupart des organismes vivants, comme les animaux, les plantes, et autres. Il n’en reste pas moins que de faire un tour complet pour notre terre, n’est lié qu’a deux repères qui est celui du soleil, et celui où nous nous trouvons sur la surface de cette terre. Que nous vivions plus la nuit plus que le jour, cela ne change en rien que la durée d’un tour complet nous fasse faire des veillées comme des repos, et ce indépendamment du soleil. Par rapport à ce cycle régulier de rotation de la terre, notre organisme à besoin de repos, et ce repos n’est pas le même pour toutes les personnes, ainsi nous nous adoptons fonction de ce cycle de jour et nuit donnant ce cycle, mais la durée du repos n’est pas la même pour tous les humains, comme pour le reste du vivant. Il y a seulement des conventions établies, mais si ce soleil ne donnait plus de lumière, se repérer à quelque chose serait alors une obligation, pour donner un ordre inventé. La terre en plus de tourner sur elle-même, tourne en révolution autour de notre soleil. Cela permet d’avoir des saisons, car son axe de rotation n’est pas perpendiculaire par rapport à sa révolution.
▬Maintenant imaginons que ce soleil soit remplacé par une étoile beaucoup plus massive que le soleil, et que la durée de rotation de la terre comme sa révolution autour de cette nouvelle étoile soient les mêmes durées, que se parait-il alors ? Bien que la seconde soit une division de 86 400 parties égales d’un jour complet, cette seconde ne dépend plus du tout de la rotation et de la révolution de la terre, mais maintenant de l’atome lui-même, qui dépend forcément d’autres choses. La seconde actuelle dépend pour certaines horloges atomiques du césium 133. Pourquoi ? Notre référentiel sur terre nous donne un nombre de périodes de 9 192 631 770 Hz pour ce matériau, et la raison d’avoir choisi ce matériau est que le nombre de périodes est un nombre entier, car d’autres matériaux ont des fréquences plus élevées, mais ne tombent pas juste, et donnent forcément des nombres avec des décimales. Donc ce nombre de périodes est vrai sur terre, dans des conditions particulières, mais si on remplace ce soleil par une masse beaucoup plus grande, la durée de la seconde en nombre de périodes ne sera plus le même, car le nombre de périodes aura diminué. Nous sommes dans cette image de pensée correspondant à la relativité restreinte, où les vitesses font changer les fréquences d’atomes, et donc le temps se dilater. La raison par ce changement d’étoile est que la distance à parcourir une révolution autour de cette nouvelle étoile beaucoup plus massive serait forcément plus grande, car nous serions plus loin de loin de l’étoile, et donc notre terre en révolution serait plus rapide dans l’espace, car forcément nous serions plus loin de cette étoile, et forcément la vitesse relative de révolution serait supérieure. Mais qu’est-ce que cela change si la durée du jour comme de l’année sont les mêmes avec le soleil ou cette nouvelle étoile plus massive ?
▬Le problème de nos temps modernes est que le temps soit décliné en rapport des fréquences des atomes, et ce sont même ces fréquences qui donnent la réalité de la rotation de la terre, car on ne s’amuse plus à prendre des mesures par rapport au soleil pour définir le temps qui est le jour puis la seconde, comme l’année d’ailleurs, car c’est l’atome et les fréquences qui définissent le temps.
Mais comme déjà dit, le temps ne se dilate pas, car physiquement ce sont les fréquences qui réduisent, et comme on se base sur les fréquences d’atomes pour calculer la seconde, et bien c’est le nombre de périodes qui donne la notion de temps, mais le temps n’est toujours qu’imaginaire, car on utilise un processus régulier, qui est les vibrations des atomes, mais si ces vibrations se trouvent en grande vitesse, les vibrations vont freiner et réduire. Le temps n’est donc qu’une notion abstraite et relative, car le temps est dépendant des fréquences d’atomes, et comme ces fréquences sont dépendantes de la vitesse des atomes, alors la notion du temps change, du moins le nombre de périodes d’oscillation change. Le temps n’est qu’une notion inventée pour se repérer et dont certaines équations ont besoin, mais ce temps est relatif au référentiel dont il dépend, car le temps précis d’aujourd’hui s’appuie sur les fréquences d’atomes, pour avoir des précisions plus rigoureuses, mais on voit que le temps n’est qu’une notion relative au référentiel, car le temps n’a aucune valeur générale, le temps dépend des atomes et leurs fréquences, et comme ces atomes peuvent être dans des conditions différentes, comme utilisant la vitesse ou d’être proche de masses importantes, ce qui revient à la relativité restreinte, puis la relativité générale, les fréquences des atomes changeront du nombre de périodes, et donc de leur cycle. Ainsi le temps ne se déforme jamais ni les longueurs, mais ce sont les fréquences des atomes qui se déforment en ralentissant en général. Le facteur à appliqué n’est ni celui sur le temps, ni celui des longueurs, mais le facteur à appliquer est celui simplement sur les fréquences, et le facteur inverse ne sert à rien (Lorentz) !!!
▬Physiquement il me semble plus simple de dire que les fréquences des atomes changent suivant les référentiels, plutôt que de dire que le temps et les longueurs changent, car déjà le temps est une notion abstraite. Vieillir moins vite ou même plus vite est une réalité, car la plupart des organismes vivants se basent sur ces fréquences d’atomes, et si les fréquences des atomes sont réduites, eh bien le temps semble être dilaté, ce qui donne une espérance de vie plus longue. C’est comme si le vivant avait un quota de vibrations alloué à vie, et donc peu importance le ralentissement des atomes, ou au contraire une augmentation de fréquence des atomes, le quanta de vie pour chaque espèce est alloué au départ. Le paradoxe des jumeaux de Langevin, n’a plus lieu d’être, car il n’y a aucun paradoxe. La vie est un quanta de vibrations donné, et ce indépendamment, si on peut ralentir les vibrations ou justement les augmenter. De ce petit principe ridicule, on comprend alors pourquoi les horloges atomiques embarquées dans des fusées allant à une vitesse plus grande que l’on connaît sur terre, ont ralenti leur fréquence, et donc ont pris du retard, et donne cette fausse notion de temps dilaté.
▬Le facteur à utiliser pour les fréquences des atomes est celui des longueurs de Lorentz, c’est à dire que si on considère que les longueurs rétrécissent, et donc que le temps s’allonge, eh bien les fréquences d’atomes feront de même que les longueurs en oscillant moins vite, c’est donc un facteur plus petit que 1. Avec la relativité générale sans même bouger mais proche de masses importante, cela revient au même que d’aller vite, car dans ce cas le changement de gravitation par les masses ont les mêmes effets que les vitesses, et d’être proche de masses importante allongera le temps, donc ralentira les fréquences d’atomes. Dans les deux cas de relativité restreinte et générale, c’est le vide de l’espace qui joue sur les fréquences des atomes, mais ce vide n’est pas celui du quantique avec ses particules virtuelles, car c’est un vide cosmologique sans particules virtuelles, car ces dernières existent toujours autour de la matière, mais n’épouse et ne rempli pas l’univers. Le vide quantique est plus ou moins la matière, mais ce vide quantique ne rempli par l’univers, car il se trouve ou la matière se trouve.
▬Autre incidence sur ce petit concept sur les fréquences d’atomes, car les instruments dit interféromètres, ne mesurent en rien les distances ou longueurs ou même le temps, mais mesurent les fréquences d’atomes qui subissent des rotations rapides, et donc donnent des référentiels différents. Les interféromètres fixes et statiques sur terre, pour essayer de mesurer les ondes gravitationnelles, ne mesureront pas vraiment des longueurs ou de temps, mais subiront ces vagues d’ondes venant du vide par l’intermédiaire des atomes constituants ces instruments, et ce sont les atomes des instruments qui varieront en fréquence d’oscillation. Il me semble curieux de construire des instruments sophistiqués, pour mesurer des notions de temps et de distance, alors que les notions mesurées ne sont pas celles voulues.
▬Autre sujet sur le temps : Le temps absolu est une réalité, car ce temps se trouve où les masses sont absentes, en gros hors des filaments de galaxies, comme dans ces bulles de vide sans matière. Le temps comme la gravitation est à son apogée, car rien ne fausse ces espaces par les masses, et où la fréquence si il y avait un instrument pour mesurer, cela deviendrait ce temps absolu, où les fréquences des atomes seraient les plus grandes, ainsi ce beau césium 133 ne vibrerait plus de la même façon, et que sûrement son nombre de périodes ne donnerait plus une valeur entière. Je n’invente rien au niveau du sens du temps absolu, car Monsieur Einstein en parlait, mais ce temps, ces longueurs, ces fréquences sont inaccessibles, car simplement nous avons pris nos références sur la surface de la terre, mais notre référentiel et ses valeurs, n’ont rien d’absolu. C’est dans ces endroits de l’espace cosmique où la matière est totalement absente, qui donnent des valeurs absolues, ainsi les fréquences des atomes en grande vitesse où proche de masses, ne feraient que ralentir ces fréquences, mais ne pourraient jamais augmenter ces fréquences, car ces lieux sans matière est une vraie limite de valeur. Dans ces endroits de vide cosmique sans masse, le temps est absolu, car les fréquences des atomes sont à leur plus grand régime de fréquence, car il n’y rien au dessus. Les trous noirs sont à l’opposé de ces endroits, car à l’intérieur de ces objets, simplement le temps n’existe plus, car les fréquences des atomes n’existent plus.
▬Les fréquences des atomes donnent aussi une sorte de pont entre les relativités et la physique quantique, et vous m’avez dit que Monsieur Lee Smolin dit que la clef des physiques est le temps, et bien je dirais que la vraie clef sont les fréquences d’atome, qui elles mêmes donnent cette notion de temps physique, car le temps n’est rien d’autre qu’un mécanisme régulier quelconque, et les fréquences sont de vrais mécanismes physiques, mais en disant cela je me trompe, car la vraie clef est le compromis de deux forces qui s’opposent que sont électromagnétique et la force de gravitation, car la gravitation est une vraie force que l’on ne comprend pas, et les vibrations de structures fines ou hyper-fines des atomes, ne sont qu’un combat constant entre électricité et la force de poussée qu’est la gravitation. En fait deux forces s’opposent, et donnent ces vibrations d’atome, car le combat est constant et régulier et sert de cycle de mesure, mais chaque type d’atome à sa fréquence, et les relativités dérèglent ces fréquences. La vraie clef est donc le combat de ces forces, le temps n’est qu’un sous-produit qui n’est qu’une notion abstraite.
▬L’électromagnétisme est porté par la matière et est une vraie force, mais la gravitation n’est pas de la matière mais est aussi une vraie force, et n’est pas les particules virtuelles du vide quantique, car elles mêmes sont animées par le vrai vide cosmologique qui est la gravitation, dont on ne sait le définir. Les sauts quantiques ne sont que les effets de la force de gravitation, et la gravitation n’est pas de la matière, mais une notion non statique, qui vient à une échelle encore inférieure au vide quantique. Les effets étranges du vide quantique, vient de la force de gravitation....
▬Je continue ma quête du savoir, par vos recommandations de lire sur le temps, mais je pense que mes idées sont assez arrêtées comme les vôtres, sans être obtus, car chacun fait des choix de voir et d’imaginer son univers...
Amicalement.
JFP Jean-François Pouliquen
jfp.pouliquen@hotmail.fr

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