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Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

29 juin 2021, 10:56, par JFP/Jean-François POULIQUEN

▬JFP¦¦20210629¦¦Bonjour. Suite au message précédant du 21 juin 2021 1347 du même article sur l’autre base.
▬Nouveau concept pour comprendre ce que sont les relativités de Einstein comme celle de Galilée.
▬J’ai trouvé un concept qui permet d’éliminer les déformations en dilatation du temps et des contractions des longueurs, qui sont liés aux relativités de Einstein définissant des référentiels. C’est un concept simple et sans mystère qui résout l’incompréhension de ce que sont les relativités de Einstein, et donne du coup une explication vraiment physique et non imaginaire non comprise. Le temps comme les longueurs ne se déforment pas, car c’est nous qui sommes déformés à ne pas comprendre la simplicité !!! Cela remet aussi en cause la relativité de Galilée reprise par Einstein, ce qui n’est pas des moindres, car nous pouvons savoir si nous sommes fixes dans l’espace et sans masse importante autour de nous, ou justement ses contraires. Je remets donc en cause les visions de voir les relativités de Einstein, Lorenz, Poincaré, Larmor, et même Galilée, car il suffit d’une petite étincelle pour comprendre plein de choses.... Bien sûr les équations de Larmor, Lorentz, Einstein sont bonnes, car elles donnent les résultats attendus et bien vérifier, mais ces équations ne sont que des équations d’effets, et ne donnent pas les causes de ces effets, et c’est bien le problème physique à expliquer pourquoi ces équations sur le temps ou sur la gravitation sont réellement adéquates aux calculs, mais ces calculs ne nous donnent pas les causes de ces effets, car pourquoi quand on va vite, le référentiel change son temps et sa réalité de voir autrement, pourquoi les masses font de même ? Avec des équations sophistiquées de relativité restreinte ou générale, nous n’avons pas la moindre idée physique des causes de ces effets, car dire que le temps et les dimensions se déforment ne résout en rien la compréhension de ces phénomènes...
▬D’où viennent les notions de la dilatation du temps et des contractions de longueurs ?
▬Je voudrais remettre en cause la notion de dilation du temps comme aussi la notion de contractions des longueurs qui vont de paire. Ces notions sont liées à la relativité restreinte comme aussi à la relativité générale de Einstein, où ces notions sont utilisées pour calculer les effets à partir de référentiels en vitesse et/ou à partir de masse. Avant Einstein il y a eu un certain Lorentz et ses facteurs aidés par Poincaré, mais avant Lorentz et Poincaré il y a eu quelques années avant un certains Larmor physicien qui avant trouvé avant Lorentz et Einstein, ces notions particulières de déformations du temps et de longueurs. Einstein a repris les formules de Lorentz en donnant d’autres explications différentes, et Lorentz et Poincaré ont repris aussi ce qu’avait trouvé Larmor sur les électrons, mais Lorentz et Poincaré ont généralisé les formules, en donnant les facteurs de Lorentz.
▬Temps et longueurs ne se déforment pas suivant les référentiels mais ce sont les fréquences qui se déforment !!!
▬Des expériences ont été effectuées pour nous montrer que des horloges atomiques embarquées dans des fusées allant assez vite, avaient pris du retard par rapport aux mêmes horloges atomiques restées sur terre servant de référence, et synchronisées entre elles au départ. On attribut cela à la déformation du temps et des longueurs, mais en réalité, il n’y a pas de déformation du temps comme déformation des longueurs, car ce qui c’est déformé ce sont les fréquences !!!
▬Quoi de plus simple que déformer les fréquences des atomes plutôt que le temps et les longueurs, car la vraie explication est bien celle là, car ces fréquences d’atomes subissant des vitesses anormales ont simplement ralenti. Ni le temps, ni les longueurs sont en cause, seules les fréquences des matériaux ont subit un ralentissement de leur propre fréquence. Le fait de se baser sur les fréquences des matériaux pour définir la seconde, on comprend alors, que si les référentiels particuliers, déformant initialement comme il était dit le temps et longueur est faut, et cela n’est que les fréquences des matériaux qui ont réduit ou augmenter, et la notion de seconde basée sur le nombre de périodes et donc de fréquence de matériaux, ne fonctionne plus. Ainsi ce beau césium et sa belle fréquence de 9 192 631 770 Hz homologuée, ne bat plus de la même façon mais sa fréquence à diminuée ou augmentée, et la seconde est complètement faussée car rallongée et dilatée ou au contraire contractée !!! Ce concept de déformation dilatée/contractée des fréquences des matériaux est relativement très simple conceptuellement à comprendre et même physiquement, et élimine du coup le temps dilaté et les longueurs contractées. Plus les vitesses sont grandes ou plus les masses sont importantes, et plus les fréquences des matériaux réduisent, ce qui semble très simple, logique et même physique. À l’inverse une fusée ou objet situé à quelques kilomètres de la terre et sans rotation autour de celle-ci et donc stationnaire, verrait son temps se contracter et ces longueurs d’allonger, ce qui veut dire simplement que les fréquences des atomes battraient plus rapidement, car la gravitation de la masse de la terre agirait moins sur l’atome. Donc plus on s’éloigne de la terre en considérant de ne pas tenir compte de la vitesse, et plus les fréquences des matériaux battent de plus en plus vite, car les fréquences augmentent. Maintenant si on conjugue les deux notions de vitesse et de gravitation, plus on s’éloigne de la terre, et plus la fréquence augmente, car on subit de moins en moins la gravitation, mais comme la vitesse joue aussi sur l’atome, plus on va vite et plus les fréquence diminuent, et il y a donc conjugaison des deux phénomènes, car l’un augmente la fréquence, et l’autre la réduit.
▬Que veut dire des fréquences d’atomes dilatées ou même contractées !!!
▬Une fréquence dilatée veut dire que le battement des atomes (structure fine ou hyperfine) par périodes est moindre, ainsi le temps dont on dit qui bat la mesure est faux, car le temps ne bat aucune mesure, ce sont des mécanismes cycliques réguliers et perpétuels qui battent la mesure, et donnent des fréquences pour pouvoir mesurer le temps. Mais justement les mécanismes réguliers que l’on utilise, par le biais de l’atome, pour mesurer le temps, peuvent se dérégler en battant moins ou plus vite par leur fréquence habituelle suivant les référentiels utilisés. Donc on se fie à l’atome pour mesurer le temps, mais ces atomes peuvent changer de fréquences suivant les référentiels. On est donc obligé de réadapter des fréquences que l’on croyait immuables fonction d’autres référentiels. Notre référentiel sur terre, est un référentiel comme tous les autres, mais spécifique à notre environnement de masse de la terre et de sa rotation comme de sa révolution, et aussi des astres autour, et c’est à partir de cela, que l’on fixe des valeurs et même des constantes dites universelles, mais en montant en altitude de quelques mètres, notre référentiel de référence, n’est déjà plus le même. On comprend alors les difficultés à définir des constantes que l’on dit universelles et fiables, car en réalité certaines constantes sont faussées, car c’est l’environnement qui doit être reproduit et respecté pour avoir une définition du temps. Peu importe les matériaux utilisés et leurs fréquences, car le vrai problème est de définir les caractéristiques de l’environnement définissant un référentiel de référence. En réalité il n’y a pas de référentiel spécifique pour calculer le temps, car chaque référentiel possède ses fréquences d’atomes et donc son temps. Je pense que les organismes des poids et mesures ont du pain sur la planche, car cette belle fréquence de 9 192 631 770 Hz du césium 133, qui est un beau nombre entier, n’est valable que dans des conditions particulières sur terre. Donc de fixer une fréquence de référence n’est pas suffisant, car il faille fixer aussi son environnement. En montant en altitude par rapport à la surface de la terre, la fréquence de ce césium 133 devrait battre plus rapidement, car on échappe à la gravitation de la terre, mais il faut tenir compte aussi de la vitesse d’échappement qui elle réduit la fréquence de ce même matériau. Les satellites géostationnaires à une certaine altitude, le césium 133 devrait battre plus rapidement, car même si la vitesse de rotation est plus grande qu’à la surface de la terre, il y a aussi une diminution de la gravitation qui est plus importante que la vitesse. Quand je dis que le temps n’est qu’un mécanisme cyclique simple et régulier, on comprend facilement que la simplicité n’y est pas du tout, car il faille des tas de paramètres pour évaluer d’autres fréquences suivant d’autres référentiels, comme ces simples satellites autour de la terre. Si on peut comprendre que le temps est une notion très simple à comprendre par des mécanismes cycliques réguliers, l’ajuster est d’une grandeur extrême.
▬Conséquences de ce petit concept de déformation des fréquences d’atomes.
▬Ce petit concept remet plus de choses en cause que l’on croit, car ces beaux instruments que sont les interféromètres, ne mesurent pas vraiment le temps comme les longueurs, mais la fréquence des atomes par le biais de la lumière. Cela est quand même assez curieux, de construire des instruments très sophistiqués et performants pour mesurer les ondes gravitationnelles, et de nous montrer des déformations de longueurs sur des objets imaginaires, alors que les dimensions seront exactement les mêmes, car ces instruments destinés à mesurer les déformations du temps et aussi de longueurs, mesurent en réalité les fréquences des atomes dont ils sont constitués. Bien sûr on pourrait dire que le temps est quand même déformé, mais cela est une totale erreur, car ce qui se déforme ce sont bien les fréquences des atomes donnant la mesure du temps. Donc pour généraliser, la mesure du temps est propre à chaque référentiel, c’est ce qui est donné par les relativités de Einstein, mais il faille attribuer des modifications de fréquences d’atomes adaptés à la définition de la seconde. Cette belle fréquence de 9 192 631 770 Hz homologuée pour le césium 133, n’est valable que dans notre référentiel sur terre, car si nous étions sur une autre planète du système solaire, cette fréquence ne serait plus la même à quelques périodes près. Ce que j’aime dans ces définitions de constantes, est qu’elles sont universelles, et là je trouve cela poussé comme termes, car cette fréquence de césium 133, n’a aucun rapport avec l’univers, car cette constante n’est valable que pour notre référentiel sur terre, et encore, car un écart d’altitude d’un mètre, donne un référentiel différent. On s’aperçoit que de mesurer le temps, n’est pas une chose facile, car chaque référentiel à son temps propre, mais en réalité à ces fréquences propres. Donc de définir une constante de fréquence de ce césium 133, n’a rien d’universel, car pour utiliser sa fréquence, il faut être dans des conditions très spéciales, où la fréquence sera de 9 192 631 770 Hz. On peut dire que de ce baser sur l’atome pour mesurer le temps, n’est pas plus fiable, que de voir tourner des objets célestes ayant une rotation ou révolution régulière, car cela dépend du référentiel qui regarde ces objets. Ici la notion de relativité prend tout son sens, car suivant notre référentiel et notre regard sur d’autres référentiels différents, les rotations et révolution d’objets célestes ont une certaine fréquence, mais si nous adoptions un autre référentiel, le regard sur ces mêmes objets célestes serait différent. On est même en droit de se poser la question à savoir si il existe un référentiel absolu.... Mais ils existe des endroits dans le cosmos où ces référentiels absolus sont vrais, mais sont hors de nos portées, car il faille sortir des galaxies, et même plus, car il faille sortir des filaments de galaxies qui forment des bulles de vide sans matière, où entre ces filaments ou dans ces bulles, les masses ne perturbent pas le vide qu’est l’éther qui correspond à une gravitation pure sans modification de densité du vide par des masses.
▬Autres conséquences des variations de fréquences d’atomes.
▬Le paradoxe de Langevin ne devient plus un paradoxe et donc s’envole, car effectivement la réalité nous montre déjà que le vieillissement peut être ralenti, simplement en changeant notre métabolisme. Les tortues terrestres s’enfouissant dans la terre pendant quelque mois, changent leur métabolisme au niveau de leur horloge biologique interne, et ce sans utiliser la relativité restreinte ou générale de Einstein. Quand elles se réveillent et sortent de leur trou, on peut dire qu’elles sont dans le futur, car elles ont subit le temps différemment au ralenti que celles qui ne se sont pas enfoui. ▬Pour des projets de longues durée dans l’espace, la notion d’être au ralenti n’est pas une gageure et n’est pas de la science fiction, car si on peut ralentir notre horloge biologique, le vieillissement se trouvera forcément au ralentit, ceci veut dire aussi que l’on peut aller dans le futur, mais jamais son contraire, c’est à dire d’aller dans le passé, car aller dans le futur c’est simplement de ralentir son métabolisme et ses horloges internes du vivant, ce qui revient à voir les autres vieillirent plus rapidement que vous qui êtes dans des conditions particulières, ou les fréquences des atomes sont freinées.
▬On peut dire que l’atome est vivant, car il vibre à une certaine fréquence suivant les types d’atomes, mais tout être vivant subit ces fréquences d’atomes, et comme la vitesse ou les masses ralentissent les fréquences des atomes, l’horloge biologique interne change forcément, et vieillir moins vite est une réalité, car c’est ce que font déjà certains animaux sans les relativités.
▬Conclusions avancées
▬Ce petit concept de réduction ou augmentation des fréquences des atomes des structures fines ou hyperfines, lié aux référentiels qui ne sont pas le notre défini par Einstein, est que cela fait un vrai pont entre la physique quantique, et les relativités de Einstein. Le temps comme les longueurs ne changent pas, mais les fréquences des atomes par le biais des électrons changent de fréquence suivant les relativités de Einstein liées aux référentiels, et changent forcément les mesures du temps. Les fréquences des atomes appartiennent à la physique quantique, et les relativités de Einstein appartiennent à une autre physique. Ce n’est pas la quantique qui définie les relativités de Einstein, mais ce sont bien les relativités de Einstein qui agissent sur les particules quantiques. D’essayer de trouver des lois communes entre ces deux physiques, me parait difficile, mais un pont est franchi, car ce sont les relativités de Einstein qui modifient les valeurs du quantique et non l’inverse. Ce qui reste à trouver ce n’est même pas au niveau quantique, mais au niveau encore inférieur du subquantique, c’est à dire aux échelles encore inférieures aux particules, car les particules définissent une certaine échelle, mais l’éther qui est ce vide plein de l’espace est encore autre chose et à une échelle encore plus petite et agit sur les particules. Je pense totalement le contraire de ce que disait Einstein à propos du vide de l’espace ou espace-temps, car pour moi cet éther est en mouvement constant venant dans toutes les directions, et donc n’est pas du tout statique comme le prédisait Einstein. Ce que font les masses, c’est de réduire la densité de ces particules inconnues (gravitons) du subquantique symbolisé par l’éther. L’univers est noyé dans un bain de petites particules en mouvement, bien plus petites que les particules connues, et c’est même ce bain qui est en réalité l’énergie du vide, qui de plus agit sur les particules pour les mettre en mouvement, mais cette notion d’électromagnétisme des particules chargées, subit cette pression de l’éther, et il y a un combat permanent entre l’éther et l’électromagnétisme, qui donne ces effets de fréquence d’atomes. Sans cet éther l’atome n’existe pas, et on peut même dire que les particules n’existent pas. L’énergie des particules vient de l’énergie du vide c’est à dire de l’éther. La portée des charges électromagnétiques est très réduite en distance, mais la portée de la différence de densité de l’éther est très grande, mais pas infinie, et c’est ce que l’on appelle le champ gravitationnel. En fait ce champ gravitationnel existe même sans les masses, mais les masses réduisent ce champ, c’est à dire que les masses réduisent la densité du champ initial, et c’est ce qui est appelé la déformation de l’espace-temps. Comme je viens de dire que le temps ne se déformait pas comme les distances d’ailleurs, ce qui se déforme est la densité de cet éther par les masses, mais il y a un retour de cet l’éther appauvrit qui agit sur les atomes et leurs fréquences. Nous sommes dans une logique sans équations, simplement parce que les équations existent déjà, mais les explications physiques n’existent pas vraiment, car on connaît les effets par les équations, et on sait les calculer, mais on ne connaît pas les causes physiques de ces effets. Chaque référentiel à ces fréquences d’atomes, ce qui veut dire que chaque référentiel possède son temps, du moins de calculer son temps, car le temps, n’est qu’un mécanisme répétitif immuable et perpétuel.... Compter la durée d’une rotation de planète, ou compter les périodes d’une fréquence d’un atome spécifique, revient au même, mais plus il y a de périodes pour une fréquence et plus la mesure est précise.
▬Le temps existe, mais on peut dire que c’est quand même une invention humaine...
▬Si la variation de fréquence d’un même atome semble être une réalité, alors les atomes de surface d’une étoile, et ceux qui sont au centre du noyau de l’étoile, ont des structures différentes, car les fréquences changent, et cela peut donner des lois différentes que l’on ne connaît pas encore.
▬Il est plus simple de dire et comprendre que les fréquences d’atomes se déforment, plutôt que de dire que le temps et les distances se déforment dans la relativité restreinte et générale de Einstein, car c’est une réalité !!!
Amicalement.
JFP Jean-François Pouliquen
jfp.pouliquen@hotmail.fr

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