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Qu’est-ce que la vitesse de la lumière c et est-elle indépassable ?

19 décembre 2018, 16:13, par JFP/Jean-François POULIQUEN.

— -Bonjour.

— -Merci de votre retour, sur le sujet de la vitesse de la lumière, mais surtout de son vide qui était mon interrogation.

— -Vous dites "De mon point de vue, on nous dit de quel vide il s’agit : le vide à proximité de matière." Et bien je pense que M.Einstein disait exactement le contraire, et que personne n’a rien compris, car je l’ai lu dans l’un de vos articles, où justement j’ai eu des échanges avec vous, car il parle ce grand M.Einstein de 2 types de temps bien différents, qui est l’un pour la physique et que l’on peut dire absolu, et qui est donc fait pour les vraies mesures physiques, hors de tous objets proche et ne pouvant être perturbé, et des temps locaux, qui ne peuvent pas être une vraie vérité objective même si c’est la même réalité, car chaque référentiel aura son propre temps. Je parle temps car la vitesse est associée au temps.

— -Exemple : : Prenons le point A isolé dans l’espace du cosmos et hors de tous objets proche, et bien ce point aura un temps physique "normal" car rien ne perturbe cet environnement, et son temps local est exactement le même que son temps physique et ce référentiel A définit aussi un vraie référence spéciale car il ne bouge pas et ne possède pas de masse, et donc il est invariant, car rien ne le perturbe. On ne peut donc pas déformer son espace et par la même son temps qui est associé à cet Éther de l’espace. Imaginons que ce référentiel y figure un petit électron et peut importe ce qu’est la définition physique de cet électron. Pour etre encore plus cohérent, ce Référentiel est le centre de l’une des bulles de vide sans matière, et où la vraie matière vient se mettre en filet sur cette surface virtuelle.

— -Prenons maintenant un point B qui est un référentiel en mouvement et qui possède une certaine masse de l’ordre d’une planète ou d’une étoile, et prenons comme exemple notre terre par exemple où justement toutes les mesures sont faites. Pour le dire encore autrement ce référentiel B est notre environnement où la seconde vaut telle valeur, mais ne correspond en rien avec la seconde du point A où ce référentiel A n’a ni masse et n’est pas en mouvement. Notre temps du point B est spécifique par rapport à ce point B car il est un référentiel totalement différent du référentiel A car son temps est local et ne peut pas être le temps physique dont parle M.Einstein, car ce référentiel B est en mouvement mais surtout ce référentiel B possède une masse importante. Nous sommes donc bien sur terre avec sa belle seconde, et cette seconde est dépendante de ce référentiel qui est le notre et qui est B. Toutes les mesures que nous faisons sont en rapport avec notre référentiel B donnant une certaine valeur à cette seconde, et par la même une certaine vitesse de la lumière, car cette notion de vitesse est un rapport entre distance et de notre temps local de notre référentiel B. J’espère que jusqu’ici tout est clair, car nous avons notre propre seconde, mais dépendant de notre référentiel B.

— -Maintenant construisons un 3e référentiel C, qui aura des caractéristiques très différentes des référentiels A et B , et pour se faire prenons un extrême comme étant proche d’un trou noir, et où la masse est des milliards de fois celle de notre petite terre. Dans ce référentiel C le temps est encore local, mais sans rapport avec les référentiels A et B. Et si on se trouve proche de ce référentiel C, et bien tout se passe normalement, car ma montre semble trotter normalement, sauf que de ma position de ce référentiel C en vu du référentiel B, est que tout va très très vite et même énormément vite, comme si le temps du référentiel B était différent de celui du référentiel C où je me trouve. Si ce référentiel C regarde vers le référentiel A, cela est encore pire, malgré qu’il n’y ait qu’un petit électron seul et unique à voir. Ceci est imagé bien sûr, et même un peu bébête, mais c’est par la simplicité que l’on explique mieux les choses. Donc du référentiel C en regardant les référentiels B et A tout semble agité et aller très vite, sauf que dans l’environnent de C tout est normal.

— -Maintenant revenons sur terre et donc dans notre référentiel B, mais regardons coté référentiel C, et bien nous verrions par imagination des événements presque arrêtés, comme si le temps du référentiel C ne s’écoulait pas, ce qui est exactement l’inverse quand nous étions proche du référentiel C. Maintenant regardons le référentiel A, où seul un petit électron existe, et bien nous serions surpris, car le temps de ce référentiel A est plus rapide que le notre, comme si cet électron était encore plus agité que nos électrons sur terre.

— -Résumé et conclusion de ce récit NEUNEU sur les 3 référentiels : : Comme la vitesse est un rapport entre une distance et un temps conventionné, que les distances ne bougent comme on essai de l’interpréter comme cela, que la vitesse de la lumière est soit disant une constante, et que fonction où je me trouve sur l’un de ces 3 référentiels le temps où je suis me semble toujours normal, mais quand regardant les autres référentiels à partir d’un référentiel donné, que ces vitesses apparentes changes pour les référentiels regardés, ceci veut dire avec la plus grande affirmation, que la vitesse de la lumière n’est pas une constante, mais simplement une variable. Ce que M.Einstein à voulu exprimé par ces petites phrases non développées d ’ailleurs, et que c’est à partir d’un référentiel isolé et donc d’un temps non déformé, ce qu’il appel un temps pour la physique, comme aussi un Éther de l’espace non déformé, qu’il faille mesurer le temps comme aussi les vitesses, car ce référentiel A est stable. Donc les calculs des physiques devraient s’appuyer sur un temps qui n’est pas le notre sur terre correspondant au référentiel B, mais tout devrait être calculé fonction de A, car A est une vraie référence indéformable et stable car sans déformation, tandis que B et C sont déformés, et correspondent à des temps locaux. Notre impression ne veut rien dire, car nous sommes dans un référentiel déformé, où le temps est ce qu’il est, mais n’est pas une référence pour autant.

— -Pour le redire différemment le temps est associé à l’espace, d’où cette expression espace-temps, mais ce n’est pas l’espace qui se déforme mais son contenu, par le biais des objet qui y figurent même en mouvement et fonction des masses de ces objets. Donc notre temps sur terre n’est pas une vrai référence, car la masse de la terre déforme en permanence le contenu de l’espace, et nous donne une valeur du temps qui n’est pas celle de la référence dont parle M.Einstein en disant un temps physique.

— -Comme tous ces physiciens ne parlent QUE du quantique, pensant que l’on peut résoudre tout les problèmes avec cette physique, et bien l’énergie du ce soit disant vide comme les particules virtuelles de ce monde quantique, ne sont pas l’Éther de M.Einstein, et ce n’est pas la matière ou le virtuel qui défissent l’Éther et le temps !!!

— -Si en physique on n’utilise pas ce "temps physique" de référence dont parle M.Einstein, et bien je tombe sur le cul, mais cela n’en m’empêche pas à continuer à vous lire, et il va suivre un complément sur votre article sur cette vitesse.

Bonne fin de journée.
JFP/Jean-François POULIQUEN.

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