Tout à fait d’accord pour applaudir Babeuf qui apostrophait ainsi les parlementaires : « Délégués ! vous ne comptez pas parmi vous de vrais sans-culottes. Presque aucun de vous, on le voit, n’a jamais ressenti les angoisses déchirantes des besoins. »
Voir aujourd’hui le caractère antipopulaire des assemblées et du gouvernement qui ne compte quasi aucun membre de la classe qui travaille et qui peine à joindre les deux bouts !
Tout à fait d’accord pour applaudir Babeuf qui apostrophait ainsi les parlementaires : « Délégués ! vous ne comptez pas parmi vous de vrais sans-culottes. Presque aucun de vous, on le voit, n’a jamais ressenti les angoisses déchirantes des besoins. »
Voir aujourd’hui le caractère antipopulaire des assemblées et du gouvernement qui ne compte quasi aucun membre de la classe qui travaille et qui peine à joindre les deux bouts !