Le capitalisme n’est plus qu’un tombeau pour l’humanité. La vie humaine nécessite d’autres perspectives d’avenir…
31 mars 2023, 05:52, par Jefresi
Karl Marx écrit dans " Un chapitre inédit du Capital " p260 ed. 10/18 1971 : " La croissance du capital va donc de pair avec l’augmentation du prolétariat : ce sont deux produits jaillissant aux pôles opposés d’un seul et même procès. " En conséquence, la décroissance du capital entraînera la diminution du prolétariat. Plus cette décroissance sera rapide, plus vite le prolétariat se réduira. D’où la décroissance vantée actuellement, par les verts/bruns notamment, qui n’est que l’expression inversée de Marx. D’où les espérances guerrières de la bourgeoise pour se " requinquer ".
Mais, la destruction du capital fixe, de production, par la guerre, entraîne aussi la destruction du capital variable, le prolétariat, ainsi les espoirs bourgeois disparaissent parallèlement avec le capital humain. Le fascisme, quelle que soit sa déclinaison nationale, est le fossoyeur impérial de toute la société capitaliste, c’est la dernière "machine" du capitalisme qui broie, détruit inexorablement le capitalisme et peut amener la vie à disparaître.
Pour enrayer cette machine infernale, il découle de la nécessité pour le prolétariat de changer le mode de fonctionnement du capitalisme, de changer de mode de production, de changer le mode gouvernement des humains, de changer les institutions, en somme de tout transformer. Le processus est en cours, il réapparaît à la conscience.
Karl Marx écrit dans " Un chapitre inédit du Capital " p260 ed. 10/18 1971 : " La croissance du capital va donc de pair avec l’augmentation du prolétariat : ce sont deux produits jaillissant aux pôles opposés d’un seul et même procès. " En conséquence, la décroissance du capital entraînera la diminution du prolétariat. Plus cette décroissance sera rapide, plus vite le prolétariat se réduira. D’où la décroissance vantée actuellement, par les verts/bruns notamment, qui n’est que l’expression inversée de Marx. D’où les espérances guerrières de la bourgeoise pour se " requinquer ".
Mais, la destruction du capital fixe, de production, par la guerre, entraîne aussi la destruction du capital variable, le prolétariat, ainsi les espoirs bourgeois disparaissent parallèlement avec le capital humain. Le fascisme, quelle que soit sa déclinaison nationale, est le fossoyeur impérial de toute la société capitaliste, c’est la dernière "machine" du capitalisme qui broie, détruit inexorablement le capitalisme et peut amener la vie à disparaître.
Pour enrayer cette machine infernale, il découle de la nécessité pour le prolétariat de changer le mode de fonctionnement du capitalisme, de changer de mode de production, de changer le mode gouvernement des humains, de changer les institutions, en somme de tout transformer. Le processus est en cours, il réapparaît à la conscience.